Gardasil : le pire cauchemar de ma fille
« Ayant à peine survécu à la deuxième injection,
la troisième l’aurait sûrement tuée ! »
Par Donna Malone, Murfreesboro, 27 novembre 2013 (Sanevax)
Le mot « Cancer » est effrayant. Tous les parents du monde feraient n’importe quoi pour protéger leurs enfants de cette terrible maladie. Quand j’ai ajouté le Gardasil à toutes les précautions que nous avions prises pour la santé, notre vie est devenue un véritable cauchemar.
Allie est ma jolie jeune-fille de 12 ans. Elle est la plus jeune de mes trois enfants. Comme elle est née 12 ans après son frère et sa sœur, elle a été quelque peu gâtée.
Pour Allie, chaque jour était un jour de fête. Pendant des années, elle n’a cessé de nous faire rire surtout au cours des repas que nous prenions ensemble. Elle était très intelligente, drôle, pleine d’esprit ; elle nous faisait tout le temps rire. Elle avait toujours été en parfaite santé, à part une bronchite et quelques maux de gorge. Et c’est récemment que tout a changé …
Allie a reçu sa première injection du vaccin Gardasil le 2 février 2012 avec 3 autres vaccins, y compris un vaccin contre la méningite. Elle a passé le mois de février avec de graves maux de tête, des problèmes d’estomac, des saignements de nez. En un mot, elle ne se sentait pas bien. Je n’ai pas fait part de ces problèmes à notre médecin, car nous ne courions pas le consulter pour le moindre bobo. A cette époque, je ne me doutais toujours de rien.
Ensuite, au début mars, les cuisses d’Allie ont présenté un aspect bizarre. A l’époque, je ne savais pas qu’il s’agissait du Livedo Reticularis.- une indication de maladie auto-immune, éventuellement un lupus. Je n’ai pas voulu en faire part au médecin, mais je trouvais la chose tellement bizarre que je me suis décidée à prendre une photo.
Le 3 avril 2012, Allie a reçu sa deuxième injection du Gardasil. Après l’injection, elle a perdu connaissance. On l’a conduite à l’arrière du cabinet pour qu’elle puisse rester allongée.
Le 17 avril, Allie se plaignait de douleurs à la jambe…comme si un muscle avait été forcé. Le 18 avril à 10h. 30, elle ne pouvait plus se redresser dans son lit. On a dû la porter, la descendre pour pouvoir atteindre la voiture afin de nous rendre aux urgences. Elle est ressortie avec deux béquilles, car ses jambes ne pouvaient plus supporter le poids du corps. On nous a demandé d’aller consulter un médecin orthopédiste le lendemain. Ce dernier a ordonné une IRM qui a révélé une petite infection près de son articulation sacro-iliaque. Le jour suivant nous sommes retournés voir l’orthopédiste.
Comme l’orthopédiste ne savait quoi faire, il a renvoyé Allie qui souffrait alors atrocement, chez son pédiatre. Comme le pédiatre n’avait aucune idée de la manière dont il fallait traiter la douleur, il nous a envoyées à l’hôpital Vanderbilt pour enfants.
Elle est rentrée le 20 avril 2012 à l’hôpital et y est restée 10 jours. Au cours des 6 premiers jours, il lui a été impossible de marcher. La seconde IRM a montré que l’infection était plus étendue, mais elle était trop profonde dans les muscles et les tissus de la hanche pour qu’il soit possible de pouvoir aspirer le liquide afin de pouvoir identifier le type d’infection. Son taux de CRP (protéine qui reflète l’inflammation aiguë) était de 166 alors que la normale est de 1-3.
A cette époque, Allie souffrait atrocement, même avec une perfusion de morphine. Elle a ensuite été mise sous oxygène et a reçu une grande quantité de médicaments : Clindamycine, Vancomycine, Oxycodone, Morphine, Toradal, Tylénol et Benadryl. Tous ceux qui connaissent la Vancomycine savent qu’il s’agit d’un des antibiotiques les plus puissants. Les médecins nous avaient dit qu’endéans les 24-40 heures les souffrances d’Allie allaient fortement diminuer. Ce n’est que 80 heures après avoir pris la Vancomycine que nous avons pu voir quelque changement. Le fait qu’Allie était très anxieuse inquiétait les médecins. Ils ne semblaient pas comprendre qu’une jeune fille de 11 ans qui, quelques jours avant courait et jouait, était maintenant incapable de sortir de son lit. Allie avait l’impression qu’on ne lui disait pas tout. Quand je lui affirmé que si, elle m’a demandé si elle n’avait pas un cancer. J’ai immédiatement répondu que « NON », mais les mots étaient à peine sortis de ma bouche que je me suis rendue compte qu’au fait je n’étais pas certaine de ce que je disais étant donné que les médecins eux-mêmes ne comprenaient pas ce qui se passait. C’est à ce moment que mon cœur s’est brisé pour ma petite fille.
Au cours de l’hospitalisation d’Allie à Vanderbilt, j’ai demandé aux médecins si les symptômes qu’elle présentait ne pouvaient pas avoir un rapport avec les vaccins et ils ont répondu que non. Ils ont finalement diagnostiqué une Pyomyosite. Je crois qu’intérieurement je savais déjà que c’était le Gardasil, mais comme on le fait souvent, j’ai finalement voulu croire les médecins. Ne sont-ils pas les experts ?
Allie a dû faire tout un apprentissage pour se déplacer avec son déambulateur et des béquilles afin de pouvoir monter et descendre les escaliers. Elle avait en fait quitté l’hôpital avec des béquilles pour soulager sa hanche, et à ce moment là, elle était sous un puissant antibiotique, le Zyvox.
Allie est finalement retournée à l’école. Bien qu’elle n’y passait qu’une demi journée
Elle était épuisée. Après, elle s’est fortement repliée sur elle-même…
L’année suivante s’est passée sans trop de problèmes supplémentaires – elle saignait cependant toujours du nez, avait toujours ses problèmes de hanches et du bassin. On a consulté quelques fois le médecin. Elle devait rester inactive pour ne pas aggraver ses douleurs musculaires. Son pédiatre avait attribué ses douleurs à une croissance trop rapide. […]
Un jour, Allie a eu une attaque de panique. Je n’avais jamais vu chose pareille ; j’étais inquiète. Après avoir joué au « soccer », elle marchait comme un « Zombie ».
Je me suis de suite rendue compte qu’il ne s’agissait pas d’une crise de croissance et nous nous sommes rendues chez le médecin.
En octobre 2013, 18 mois après sa première hospitalisation et sa seconde injection de Gardasil, elle dut suivre 3 semaines de thérapie physique. Et comme la douleur augmentait, les médecins ordonnèrent une nouvelle IRM pour sa hanche et la région pelvienne. L’IRM du 1 er octobre 2013 n’a plus montré d’infection, mais 3 petits kystes sur l’ovaire. Les médecins ont dit que les kystes de l’ovaire étaient trop petits pour causer pareilles douleurs et que le corps s’arrangerait avec ces kystes vu qu’ils sont communs chez des filles de 12 ans. Allie a donc poursuivi sa thérapie physique deux fois par semaine. Elle souffre toujours beaucoup tous les jours au niveau des hanches, de la région pelvienne et du coccyx.
Il y a peu, un de mes amis m’a suggéré de le retrouver sur Facebook parce que sa fille avait connu les mêmes problèmes que la mienne. C’est au cours de ces contacts que tout a commencé à se mettre en place dans ma tête. J’ai recherché les dates des vaccins, les dates d’hospitalisations et tout a commencé à vraiment prendre sens. Après avoir recueilli plusieurs informations et retrouvé la date de la dernière injection de Gardasil, je me souviens être restée clouée devant mon ordinateur pendant plus d’une heure en pleurant. J’étais maintenant CERTAINE que les problèmes d’Allie étaient liés aux injections de Gardasil.
Depuis, j’ai demandé à son pédiatre si ses problèmes étaient liés au Gardasil ou à d’autres vaccins, et il a de nouveau répondu que non. Il m’a cependant demandé si je pouvais lui remettre les informations que j’avais récoltées sur d’autres cas semblables à celui d’Allie, comme aussi tout l’histoire d’Allie que j’avais mise par écrit. Quand il aura lu toute cette information, peut-être qu’il se rendra compte que les problèmes d’Allie étaient bien dus au Gardasil. Mais jusqu’à aujourd’hui, il nous a avoué qu’il n’était pas certain- la médecine étant vraiment très complexe. Ce médecin a malgré tout manifesté son intérêt en apprenant que j’avais signalé le cas d’Allie au VAERS. (Organisme officiel américain qui reçoit les rapports d’effets secondaires des vaccinations).
Je ne sais vraiment plus ce que je puis faire pour ma fille ! Elle était si heureuse et si gentille ; elle amusait et faisait rire tout le monde. Maintenant elle est repliée sur elle-même, ne parle presque plus à l’école. Elle n’arrête pas de souffrir de migraines, de douleurs à la hanche et voudrait tellement que toute cette souffrance se termine. - Elle se relève plusieurs fois la nuit parce qu’elle ne parvient pas à dormir. Elle est la plupart du temps très fatiguée et ne sait plus jouer avec ses amies comme auparavant.
Il y a peu, nous nous sommes rendus chez un homéopathe.Ca a été une rencontre très intéressante. Nous avons appris qu’en plus du trachome, son système était pollué par des niveaux élevés de béryllium et d’aluminium. On a également trouvé du formaldéhyde, des pesticides, de l’antimoine, des barbituriques, de l’arsenic, des insecticides et des herbicides qui empêchaient son corps de fonctionner normalement. Le niveau de CRP d’Allie est encore élevé (40). Elle prend maintenant des suppléments alimentaires pour aider à la désintoxication de son organisme.
Une fois qu’elle sera désintoxiquée, nous irons consulter un neurologue et un endocrinologue ; nous ferons aussi tester son taux de thiamine pour lui permettre de mieux se rétablir. Le mois prochain nous avons rendez-vous avec des spécialistes de maladies infectieuses, ainsi qu’avec un rhumatologue de l’hôpital Vanderbilt. Nous ferons tout pour pouvoir apaiser ses douleurs. Il n’est pas possible qu’une fille de douze ans vive sans arrêt avec pareilles souffrances !
A propos, j’ai décidé qu’il n’y aurait pas de troisième injection de Gardasil pour Allie !
C’est une décision qui n’est pas si facile pour moi, car ma mère est morte à 52 ans d’un cancer du sein avec métastases. Le cancer m’effraie, mais le fait d’avoir vu ma fille à l’hôpital dans des souffrances épouvantables pendant 10 jours me fait encore plus peur.
Je crois vraiment qu’Allie a été victime du Gardasil et je pense que si elle avait reçu sa troisième dose, le vaccin l’aurait tuée alors qu’elle a à peine survécu à la seconde dose. Tout cela, les autorités ne le reconnaissent pas encore, mais elles seront, un jour, obligées de le reconnaître. En attendant, je serai toujours là pour défendre ma fille.
Ce sera dorénavant à moi à décider des médicaments ou des vaccinations dont elle aura besoin ou pas. Je vais entamer des recherches plus approfondies sur les effets secondaires des médicaments, de tous les médicaments.
Je voudrais demander instamment à tous ceux et celles qui me liront de faire la même chose. Faites votre propre recherche, je vous en prie, et SACHEZ ce qu’ils veulent mettre dans le corps de vos enfants !
Source: SaneVax