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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 11:30

« J’ai vécu le cauchemar du Gardasil »

 

Lisa de Spokane, Washington, 30 octobre 2013

 

Lisa--Gardasil-.jpg

 

 

Je m’appelle Lisa. J’ai fait une horrible réaction à l’ensemble des doses du vaccin Gardasil. Il m’a fallu presque six ans pour redevenir à peu près normale.

 

En 2007, quand j’avais 22 ans, je me suis rendue à une visite médicale routinière. Mon test s’est avéré positif. J’avais des « cellules anormales ». Il s’agissait de cellules cancéreuses causées par le HPV.

 

Après m’être soumise à la procédure habituelle « couper et brûler », mon médecin m’a dit qu’il existait un nouveau vaccin appelé Gardasil et qui était destiné à protéger contre le cancer du col de l’utérus. Le médecin m’a dit que je devais faire ce vaccin pour ne plus refaire un cancer ou perdre ma fertilité. Comme mon assurance couvrait les frais, j’ai dit : « allez-y, je ne veux plus faire de cancer. »

 

Et bien, après que le médecin m’ait eu administré le premier des trois vaccins, j’ai commencé à ressentir des vertiges. Le médecin m’a répondu : c’est normal ; je vous reverrai pour la seconde dose. »

 

J’ai donc quitté le bureau du médecin et ai pris l’ascenseur dans lequel je finis par m’évanouir. Heureusement,  une personne est parvenue à me ramener dans le bureau du médecin. Après 15 à 20 minutes, j’ai finalement pu reprendre ma voiture, mais je me sentais vraiment « lourde ». Je n’y ai pas prêté beaucoup d’attention et j’ai voulu me sortir tout cela de la tête.

 

Au cours des quelques semaines qui suivirent, j’ai commencé à avoir des migraines horribles qui me faisaient hurler ; la douleur persistait pendant 3 ou 4 jours ! Je perdis toute sensation dans mes mains et je sentais des picotements partout dans mes bras. Mon visage et mes lèvres étaient engourdis et de travers. Je finis par perdre la vue. Je ne pouvais plus parler. Les mots ne se formaient pas dans mon esprit. J’étais terriblement effrayée.

 

On m’a conduite aux urgences parce que je pensais souffrir d’un AVC. On m’a dirigé vers un neurologue. Ce médecin me diagnostiqua une migraine chronique et me proposa des calmants. Je ne les ai pas acceptés et ai demandé s’il n’y avait pas un moyen de régler totalement le problème.

 

Après deux mois, je suis allée recevoir ma seconde dose de Gardasil. Les mêmes phénomènes se sont à nouveau reproduits, mais cette fois j’y étais en quelque sorte préparée et décidai de rester pendant 30 minutes après l’injection dans le bureau du médecin.

 

Après cette seconde injection mes migraines empirèrent. Mon cerveau me faisait tellement mal ! Le sang coulait si abondamment de mon nez  que je me demandais si je n’allais pas me vider de mon sang. J’ai commencé à me sentir mal en conduisant ; je ne parvenais plus à réaliser si un feu vert signifiait qu’il fallait m’arrêter ou si je pouvais continuer ma route. Un jour, alors que je me rendais à mon travail,  je n’ai pas été capable de freiner et suis allée emboutir les escaliers de béton du bâtiment.

 

Mon patron n’a su quoi me dire. Il ne savait comment me venir en aide. Il m’a finalement dit que je devais prendre un jour de congé. Avec ces horribles migraines, j’ai dû appeler mon fiancé pour rentrer à la maison pour éviter un accident. Je ne savais plus lire les panneaux de signalisation. Je ne parvenais plus à comprendre les mots.

 

J’ai, une fois de plus, été consulter la neurologue. Elle me dit qu’avec de pareilles migraines, la confusion est tout à fait normale.

 

Et bien, après être passée pendant 6 mois par ces douleurs horribles, ces hémorragies, cette confusion, ces engourdissements, ces problèmes de vue et d’ouïe, je suis allée me faire injecter la troisième dose de Gardasil, en ne réalisant même pas que tous ces problèmes pouvaient être liés au vaccin !

 

Après toutes ces souffrances qui ne recevaient pas de véritables explications, j’ai pris la décision d’effectuer une recherche sur tous les symptômes que j’avais connus. J’ai tout d’abord découvert que je n’étais pas seule. J’ai trouvé quelques groupes de soutien et des blogs de mamans et d’adolescentes qui avaient été aux prises avec les mêmes symptômes que ceux que j’avais. Pour certains, la situation était même pire, d’autres étaient même décédées.

 

La seule chose que nous avions en commun était le fait que nous avions toutes reçu le vaccin contre le HPV, le vaccin Gardasil. Je ne crois vraiment pas qu’il s’agisse d’une coïncidence.

 

J’ai ainsi souffert pendant 5 ans avant de penser à chercher d’autres moyens qui pourraient soulager mes symptômes. J’ai appris à me détoxiquer, à changer mon alimentation, à utiliser des méthodes naturelles alternatives.

 

Il m’a fallu utiliser ces différentes méthodes (nourriture biologique, détoxification des métaux lourds, sels d’Epson, etc., pendant une année entière avant de commencer à voir un peu de lumière au bout du tunnel. Aujourd’hui mes symptômes sont loin d’être aussi horribles que ceux que j’avais précédemment connus.

 

J’ai encore des périodes où mes mains s’engourdissent et où je ne les sens même plus, mais c’est plutôt rare. Je suis malgré tout heureuse que le plus gros soit passé.

 

Avant que vous vous décidiez à vous faire vacciner avec le Gardasil, je vous prie de faire vos propres recherches. Les examens cervicaux réguliers ne m’auraient jamais causé toutes les souffrances que j’ai eu à endurer avec le Gardasil.

 

Source : SaneVax

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