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26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 23:22

La levure des vaccins liée aux maladies auto-immunes ?

 

La levure est associée à toutes sortes d’éléments de la vie quotidienne comme le pain et la bière. Alors pourquoi devrions-nous nous inquiéter de sa présence dans un grand nombre de vaccins ? Une nouvelle étude révèle que l’injection de levure pourrait être la cause de l’épidémie de maladies auto-immunes qui dévaste la vie de millions de personnes.

 

Seringue-Yeast.jpg

 

Par Heidi Stevenson

 

Il est bien connu que les maladies auto-immunes ont pris d’énormes proportions. Une nouvelle étude fait ressortir un facteur important qui pourrait en expliquer une des causes, et qui s’avérerait être la simple levure utilisée par les boulangers et les brasseurs, Saccharomyces cerevisiae [1]. Cette levure se retrouve dans plusieurs vaccins, y compris le vaccin contre l’hépatite B qui, aux Etats-Unis, est administré à presque tous les nouveau-nés qui ont à peine un jour.

 

La partie spécifique de S.cerevisiae [1] qui est préoccupante est le « mannane » (polysaccharide de la paroi cellulaire) des levures, ainsi que les glycoprotéines de mammifères. Ces glycoprotéines se trouvent dans les parois cellulaires, les tissus conjonctifs comme le collagène, les sécrétions muqueuses gastro-intestinales et le plasma sanguin. Elles remplissent de nombreuses fonctions. Il est évident que si le système immunitaire commence à attaquer le mannane, les effets peuvent être désastreux. Cela semble bien être le cas dans de nombreuses maladies-auto-immunes.

 

Ces maladies apparaissent quand le propre système de défense du corps se retourne contre lui-même, ce qui entraîne des maladies dévastatrices comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, des maladies intestinales inflammatoires, le lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques, le diabète mellitus de type 1, le syndrome des anti-phospholipides et même des maladies cardiaques.

 

Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) n’ont aucun doute quant à l’augmentation des maladies auto-immunes [2] Le NIH (L’Institut National Américain de Santé) a produit un excellent document décrivant la manière de les traiter. Le « plan de recherches sur les maladies auto-immunes » [3] décrit la manière d’aborder ces maladies ; décrivant même le type de recherches qu’ils appuient. Mais, nulle part dans ce document, on ne peut trouver la moindre indication que les vaccinations pourraient être envisagées comme des causes potentielles.

 

Evidemment on ne trouve que ce que l’on veut bien chercher. Il est clair que le CDC ne favorise guère une véritable enquête en vue de trouver les causes des maladies auto-immunes. Ils seraient prêts à envisager tout et n’importe quoi… à l’exception de l’éléphant planté en plein milieu de la pièce et qui s’appelle : vaccination.

 

Comme c’est le cas pour l’autisme, on continue d’ignorer complètement l’absurdité qui consiste à mettre en cause les gènes pour les nouvelles maladies non infectieuses.

 

Comment la levure peut-elle provoquer d’aussi terribles maladies ?

 

On utilise, bien sûr, la levure pour faire lever le pain ou produire l’alcool de la bière.

 

Alors, comment peut-elle brusquement se transformer en ennemi ? La réponse à cette question réside essentiellement dans la manière dont elle pénètre dans l’organisme (court-circuitant les premières barrières de défense de l’organisme : peau, muqueuses etc.) et ce qui entre avec elle. Le but d’un vaccin est de créer une « tempête » localisée dans le système immunitaire de sorte qu’il réponde à une substance co-injectée qui peut être un microbe affaibli ou une partie de microbe pour que des anticorps puissent être créés et  dirigés contre lui.

 

C’est la substance irritante qu’on appelle adjuvant qui provoque la « tempête » dans le système immunitaire. C’est le microbe que l’on appelle antigène. Le hic, c’est que d’autres substances injectées avec l’antigène et l’adjuvant peuvent aussi être perçues par le corps comme étant des antigènes. Si jamais l’une de ces substances ressemble à celles qui existent naturellement dans l’organisme, alors le système immunitaire peut créer des anticorps  contre certaines parties de son propre corps, créant ainsi une maladie auto-immune.

 

Des parties de mannane  de la levure sont semblables, voire identiques à certains éléments du corps humain. C’est ainsi que S.cervisiae, autrement dit la levure utilisée dans les vaccins, possède le potentiel de provoquer des maladies auto-immunes. En fait, C.cerevisiae est utilisée de différentes manières dans les vaccins. Il s’agit en fait d’un puissant adjuvant quand il est utilisé seul. [4] En plus de cela, on utilise la manipulation génétique pour créer des anticorps artificiels [4], donc, S.cerevisiae est utilisé de plus en plus fréquemment dans les vaccins.

 

Les auto-anticorps de S.cerevisiae

 

Les chercheurs qui se sont penchés sur les aspects auto-immuns de S.cerevisiae (levure) ont trouvé des corrélations significatives  entre le mannane de la levure et  les antigènes connus dans différentes maladies auto-immunes. Dans certains cas, les chercheurs ont trouvé des correspondances proches et parfois exactes avec les différentes séquences génétiques.

 

La correspondance parfaite avec une molécule peut ne pas être nécessaire pour provoquer une réponse auto-immune. Cependant, au plus il y a correspondance entre la molécule et l’antigène, au plus il est probable que la réponse auto-immune se produise.

 

Bien que l’on ne pense généralement pas qu’une maladie cardiaque soit une maladie auto-immune, certaines formes de cette maladie, comme les cardiopathies rhumatismales semblent bien y correspondre et comme cette étude semble le montrer d’autres formes peuvent aussi en être les conséquences.

 

Il convient de noter que le syndrome des antiphospholipides a été associé au vaccin antitétanique.

 

Savons-nous en toute certitude que les vaccins qui contiennent S.cerevisiae provoquent des maladies auto-immunes ? Tout simplement non. Mais nous disposons cependant aujourd’hui d’informations qui établissent des liens forts entre les maladies auto-immunes et les levures des vaccins. Et nous n’avons absolument aucune autre indication qui préciserait qu’il n’y a aucun rapport.

 

En fait, non seulement nous savons qu’il existe une forte corrélation entre  les auto-anticorps S.cerevisiae et les protéines contenant du mannane, mais nous savons aussi que les taux de maladies auto-immunes ne cessent de grimper et semblent correspondre à l’élargissement des programmes vaccinaux dans tous les pays du monde.

 

tableau-vaccins-levure.jpg

Tableau des vaccins contenant des levures

 

 

Les maladies auto-immunes sont dévastatrices pour notre santé et innombrables sont  les personnes qui souffrent d’une qualité de vie dramatiquement diminuée à cause de cela. Ces maladies n’ont pas des origines génétiques. Continuer à le prétendre relève d’une insulte à l’intelligence.

 

Le coût de ces drames pour les individus et la société est énorme et incalculable.

Il est plus que grand temps d’envisager sérieusement et honnêtement les risques des vaccins, y compris l’utilisation de la levure comme ingrédient.

 

Au lieu de cela, nous sommes entraînés dans une course folle qui crée de plus en plus de vaccins contenant la levure parce que les technologies modernes de l’ADN recombinant permettent de produire des vaccins beaucoup plus facilement, beaucoup plus rapidement et à moindre prix. Faire marche-arrière et appliquer le principe de précaution ne rapporte rien. Ainsi, il nous faudrait nous résigner à voir de plus en plus de ces problèmes, peu importe les dégâts qu’ils occasionnent ! 

  

Références

 

1. Anti-Saccharomyces cerevisiae Autoantibodies in Autoimmune Diseases: from Bread Baking toAutoimmunity; Clinical Reviews in Allergies and Immunology; Maurizio Rinaldi, Roberto Perricone, Miri Blank, Carlo Perricone, & Yehuda Shoenfeld; DOI 10.1007/s12016-012-8344-9

2.Autoimmune Disease Rates Increasing

3.Autoimmune Diseases Research Plan

4.Saccharomyces cerevisiae: a versatile eukaryotic system in virology; Microbial Cell Factories; Rui P Galao, Nicoletta Scheller, Isabel Alves-Rodrigues, Tanja Breinig, Andreas Meyerhans and Juana Díez; doi:10.1186/1475-2859-6-32

 

Source: Gaia Health

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