Témoignage de Martine, une maman française (reçu ces 29 & 30 août 2012):
« Aujourd'hui j'ai vraiment subi ce que beaucoup de parents subissent de la part de leur médecin, à savoir la culpabilisation face à la non-vaccination de notre enfant. Je me suis fait traitée de criminelle parce que ma fille n'est plus vaccinée depuis 15 ans. Il est devenu comme fou furieux quand il a vu le carnet de santé (si j'avais su je ne l'aurais pas amené) : « Mais c'est un crime! » répétait-il comme un hystérique. Ma fille aussi a été choquée ! J'ai aussi eu droit à un ramassis d'idioties du genre « et s'il elle fait une rougeole, elle peut en mourir, et le tétanos c'est grave », etc etc !!!
J’ajouterai aussi que durant tout le reste de la consultation, il ne m'a plus regardé, ni adressé la parole, il n'a parlé qu'à ma fille, je n'existais plus, j'étais devenue une paria, l'au revoir fut tout aussi glacial.
Je n'ai pas voulu alimenter le débat car j'étais avec ma fille, je ne voulais pas la gêner, ni faire de scandale dans le cabinet médical mais là, je suis carrément écœurée !!! Bien sûr il me faut changer de médecin…
Je viens de lui faire une lettre de 2 pages sur ma façon de penser et vais la déposer à son cabinet ce matin.
Concernant les vaccins que ma fille a reçus, il y a eu 3 doses de Pentacoq à 3 mois d'intervalle, puis un dernier rappel à ses 18 mois, depuis plus aucun vaccin ! Le pire, c’est qu'il a osé me dire que le fait qu'elle avait fait des convulsions suite à ce vaccin, cela n'avait pas forcément de lien ! Bien sûr, ça devait être un de ces nombreux « hasards »… quel culot monstrueux !!!
Je suis amère, mais furieuse aussi d'avoir été traitée de la sorte, quant aux médecins on se demande s'ils ont réellement fait des études de médecine pour avoir de tels comportements...enfin, au moins pour certains d’entre eux disons, car ce serait insultant pour les médecins respectueux et consciencieux de tous les mettre dans un même sac. »
Martine, de Basse-Normandie.
Voilà à quels extrêmes mène la religion vaccinale, toute vouée à la défense d’un dogme qu’il faut croire aveuglément sans jamais oser le remettre en question !
Une agressivité pareille témoigne à elle seule du malaise croissant de ces médecins sous-informés qui sont finalement tiraillés entre la peur qu’on puisse, en cas de problèmes, leur reprocher de ne pas avoir fait leur laïus vaccinal aux patients et la frustration qu’ils ont de ne pas être à même de tenir une discussion scientifique pointue et rationnelle avec des patients de mieux en mieux informés.
Il est salutaire que le public prenne conscience de ces réactions inappropriées et totalement déplacées de la part du corps médical et qu’il les sanctionne. Nous avons des droits, dont celui au consentement libre et éclairé pour tout acte médical y compris la vaccination (Loi Kouchner de 2002 en France et loi d’août 2002 en Belgique). Il est grand temps que nous le rappelions aux médecins et aux autres soignants. qui l'auraient oublié ou ne l'auraient même jamais su.
Est-il, en outre, besoin de déplorer ici la probabilité quasi inexistante qu’il y aurait de voir ce genre d’attitudes graves condamnées par le Conseil de l’Ordre, décidément trop occupé à pourchasser tous les médecins qui osent trop s’écarter des dogmes dominants dans leur pratique quotidienne ?