Les officiels et l'ONE ont l'habitude d'affirmer qu'il n'y a pas de lien entre la vaccination infantile et la mort subite du nourrisson. C'est FAUX!
En réalité, même si la vaccination n'est pas la seule cause possible, il est absolument certain qu'elle participe de ces décès, comme en témoigne d'ailleurs le contenu de ce volumineux document confidentiel de GSK (de + de 1200 pages!) sur l'Infanrix hexa dont GSK a justement dit qu'il était confidentiel "pour ne pas faire paniquer le public" (sic!)
Dans ce document en effet, plusieurs rapports de décès sont consultables à la fin (36 en 2 ans de temps mais au moins encore 37 autres cas de mort subite depuis le lancement de l'Infanrix hexa en 2000). Si l'on tient compte du fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement comptabilisés et pris en compte, on en arrive à une fourchette réelle comprise entre 730 et 7300 décès, ce qui n'est donc pas négligeable du tout et même plutôt inquiétant!
Plusieurs indices probants permettent d'incriminer la vaccination infantile dans la survenue de la mort subite du nourrisson:
- D'abord le fait que la mort subite reliée aux vaccins ne présente pas de variations saisonnières, alors que la mort subite des enfants non vaccinés présente un pic de fréquence à la fin de l'hiver.
- Ensuite, le fait que le phénomène de mort subite chez les nourrissons non vaccinés présente un seul pic à l'âge de 2 mois, alors que la mort subite chez les enfants vaccinés en présente 2 (à 2 et 4 mois, fourchette d'âge endéans laquelle on vaccine plusieurs fois). La raison pour laquelle il n'y a pas de nouveau pic à 6 mois d'âge chez les enfants vaccinés est que les enfants plus fragiles qui sont plus enclins à succomber à la vaccination seront hélas déjà le plus souvent décédés après la première ou la deuxième dose.
- Enfin, il y a aussi la répartition inégale des décès dans le temps, à compter de la vaccination. Ainsi, si la vaccination n'avait strictement rien à voir avec les décès, il devrait y avoir le même nombre de décès dans la première que dans la deuxième semaine après la vaccination par exemple, et le même nombre approximatif de décès le lendemain de la vaccination que le deuxième ou le quatrième jour. OR, ce n'est pas le cas hélas: il y a au contraire une très nette sur-représentation des décès dans les tout premiers jours qui suivent la vaccination avec une concentration particulièrement accrue des cas dans les 24 premières heures et globalement, endéans la première semaine.
Si on ajoute qu'au Japon, entre 1975 et 1980, le simple décalage des premières vaccinations de 3 mois d'âge à 2 ans a permis de réduire de 90% les décès et de 80% les accidents neurologiques, on voit que tous ces éléments plaident clairement en faveur d'une immaturité immunologique des nourrissons qui ne fait donc décidément PAS bon ménage avec des vaccinations aussi précoces, nombreuses et standardisées que celles d'aujourd'hui!
Pour vous informer davantage sur les études scientifiques rigoureuses qui lient la vaccination infantile à la mort subite (pas si inexpliquée que cela...) du nourrisson: voyez ICI [= Extrait du livre incontournable "Vaccinations, les vérités indésirables", de Michel Georget, Editions Dangles]
Sachez enfin qu'une récente étude de la prestigieuse université du MIT aux USA lie l'aluminium des vaccins à l'autisme et à une mort prématurée. Petits extraits révélateurs, en lien justement avec le thème de la mort subite du nourrisson:
« Plusieurs chercheurs ont rapporté des fréquences accrues soit de mort subite du nourrisson, soit d’autres problèmes de santé, comme des problèmes d’anaphylaxie ou cardio-respiratoires en association avec les vaccins.
Dans la publication [90], il a été signalé que six enfants sont morts subitement dans les 48 heures après avoir reçu un vaccin hexavalent ; une fréquence anormalement élevée par rapport au risque de mort subite dans la population générale.
Des taux élevés de mort subite du nourrisson faisant suite à des vaccinations ont également été rapportés par les auteurs de la publication [91].
Des chercheurs italiens [92] rapportent que la première vaccination comporte un risque plus élevé de mort subite chez les nouveau-nés. Au cours d’une étude qui portait sur 300 cas de mort subite inexpliquée [93], un risque 16 fois plus élevé a été observé à partir de la quatrième dose dans une série de vaccinations. »
Dans l’étude Pourcyrous [95], un suivi de précaution est recommandé après la vaccination des nouveau-nés prématurés, en raison des réactions indésirables observées, notamment des problèmes cardio-respiratoires, ainsi qu'une augmentation substantielle des taux sériques de protéine C réactive, un marqueur inflammatoire. Cette situation de fait s'est révélée particulièrement vraie pour le DTCa (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire), un vaccin qui contient de l'aluminium, en particulier quand il est combiné à d'autres vaccins.
Goldman et Miller [96] ont précédemment examiné les données du VAERS, plus spécifiquement par rapport aux taux d'hospitalisation et de décès en fonction du nombre de vaccins administrés simultanément et en fonction de l'âge. Une analyse de régression linéaire a révélé plusieurs tendances statistiquement significatives, y compris une corrélation positive entre les taux d'hospitalisation et le nombre de doses de vaccin. En outre, les taux de mortalité des nourrissons de moins de six mois, ont été significativement plus élevés que pour les enfants âgés de six mois à un an, ce qui suggère une sensibilité accrue des nouveau-nés. Les auteurs ont suggéré de retarder l'administration de vaccins en tant que stratégie pour réduire le risque de réaction grave indésirable. »
Références:
[90] Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.
[91] Von Kries, R.; Toschke, A.M.; Strassburger, K.; Kundi, M.; Kalies, H.; Nennstiel, U.; Jorch, G.; Rosenbauer, J.; Giani, G. Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilius influenzae type b): Is there a signal? Eur. J. Pediatr. 2005, 164, 61–69.
[92] Traversa, G.; Spila-Alegiani, S.; Bianchi, C.; degli Atti, M.C.; Frova, L.; Massari, M.; Raschetti, R.; Salmaso, S.; Scalia Tomba, G. Sudden unexpected deaths and vaccinations during the first two years of life in Italy: A case series study. PLoS One 2011, 6, e16363.
[93] Kuhnert, R.; Hecker, H.; Poethko-Müller, C.; Schlaud, M.; Vennemann, M.; Whitaker, H.J.; Farrington, C.P. A modified self-controlled case series method to examine association between multidose vaccinations and death. Stat. Med. 2011, 30, 666–677.
[95] Pourcyrous, M.; Korones, S.B.; Kristopher, L.A.; Bada, H.S. Primary immunization of premature infants with gestational age < 35 weeks: Cardiorespiratory complications and C-reactive protein responses associated with administration of single and multiple separate vaccines simultaneously. J. Pediatr. 2007, 151, 167–171.
[96] Goldman, G.S.; Miller, N.Z. Relative trends in hospitalizations and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), 1990-2010. Hum. Exp. Toxicol. 2012, 31, 1012–1021
Voir aussi ces deux articles connexes:
- Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus
- Mortalité 3 fois plus élevée des bébés filles africains vaccinés avec le DTC par rapport aux bébés filles non vaccinées et même mal nourries (étude parue dans le British Medical Journal)