Le Pr Daniel Floret est pédiatre et président du Comité technique des vaccinations (CTV), en France. Il n'est pas exempt de conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins. Dans une émission de M6 relative au Gardasil, il avait refusé de répondre à la question d'une journaliste lui demandant d'expliquer pourquoi Xavier Bertrand s'était empressé de rembourser le vaccin Gardasil, avant même que le CTV ait rendu son avis. Dans la même émission, il reconnaissait implicitement le caractère expérimental du vaccin Gardasil (bien qu'estimant ce mot un peu trop fort), en défendant l'idée que si ce vaccin n'avait pas été aussi rapidement mis sur le marché et administré à des millions de femmes, "on n'aurait pas pu se rendre compte" de ce qui se passe.
Tout dernièrement, et dans le contexte du cas de la petite Luna, exclue de l'école et dont les parents refusent qu'on leur force la main avec le vaccin tétravalent (alors que seul le DTP est obligatoire), le Pr Floret a déclaré aux journalistes du Figaro, avec une légèreté tout à fait indécente que «si le vaccin contre le DTP Coqueluche, qui a une couverture vaccinale d'environ 98% en France, était dangereux, cela se saurait». «Il y a effectivement quelques effets secondaires possibles, comme de la fièvre ou des convulsions, précise-t-il, mais finalement, rien de grave.»
En France, la justice a donné raison, 17 ans plus tard, à une jeune fille, laissée handicapée à 95% par le vaccin Pentacoq (qui ne contient jamais qu'une valence de plus que le vaccin tétravalent). Elle a condamné l'Etat à lui verser à elle et à sa famille 3 millions d'euros, qui ne permettront cependant jamais hélas de lui restituer sa santé volée à jamais par ce vaccin. Mais à part cela, si c'était dangereux, ça se saurait selon Floret??
Non seulement les convulsions ne sont pas du tout un effet anodin mais peuvent au contraire signer un dommage neurologique grave et irréversible, mais en outre, il convient de remarquer que c'est tout à fait le même discours rassurant qui est tenu aux parents sur les autres vaccins pédiatriques en général, comme par exemple les vaccins Prevenar et Infanrix Hexa qui s'avèrent en réalité, selon des documents confidentiels accablants publiés sur ce site et communiqués aux médias, nettement moins sûrs qu'on le dit. En effet, alors qu'en Belgique, une instance officielle comme l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) a toujours affirmé que les vaccins combinés ne présentaient pas plus de risques et qu'ils contribuaient au "confort de l'enfant", il s'avère au contraire que la co-administration des vaccins combinés Infanrix hexa et Prevenar est associée à un risque 3 fois plus grand d'effets secondaires neurologiques.
Lorsqu'on épluche le document confidentiel sur le vaccin Infanrix hexa, on se rend compte que loin des quelques effets secondaires bénins qu'on se contente d'évoquer aux parents avant la vaccination (fièvre, douleur, rougeur au point d'injection), ce produit est associé à 825 effets secondaires différents listés par le fabricant dont plusieurs sont gravissimes et même parfois mortels. Parmi ces effets, on retrouve le diabète, l'épilepsie, l'autisme, la mort subite du nourrisson, le syndrome de l'enfant maltraité/violenté et bien d'autres horreurs encore.
Il est illusoire de penser que le vaccin tétravalent est tellement plus sûr que ne le serait l'Infanrix hexa ou le Prevenar. Et si ces documents confidentiels accablants existent pour l'Infanrix hexa et le Prevenar, il est tout à fait évident qu'ils existent aussi pour les vaccins tétravalents que Floret prétend si sûrs!
Bien entendu, comme les officiels sont ainsi mis à nu dans leur manque total de transparence et de respect vis-à-vis des gens, il leur est nettement plus facile de tout inverser, et de prétendre que ce sont des groupes comme le nôtre qui sèmont la peur. La réalité est hélas toute autre puisque la peur a été semée en amont par les officiels pour promouvoir l'idée de vaccination. Tandis que les fabricants de vaccins ont encore des tas de candidats-vaccins dans leurs tiroirs et que les autorités les considèrent comme "leurs partenaires naturels", il est logique que les autorités s'entêtent dans leur habituelle attitude de déni et de minimisation des effets secondaires vaccinaux, exactement comme l'ont aussi révélé des documents britanniques secrets.
Dans ces conditions, utiliser la formule volontairement naïve "si c'était vrai, cela se saurait", semble être un indicateur d'une mauvaise foi préoccupante pour la santé publique. Car ces gens savent mais se taisent. Ils mentent à tort et à travers, soit par omission, soit par déformation, comme l'ont montré les documents secrets britanniques. Tout est fait pour camoufler et taire au public les véritables risques. Et pendant que ces gens mentent, des enfants trinquent. Les vôtres, peut-être?