La RTBF a diffusé le 1er février dernier un "Question à la Une" consacré à l'hyperactivité des enfants et à la Rilatine. Ce reportage, intitulé "Drogue-t-on nos enfants? " n'a hélas mentionné à aucun moment le lien entre vaccination infantile & hyperactivité or, s'il est certain que la vaccination n'est pas la seule et unique cause possible de cet état et de l'envolée inquiétante du nombre de cas, il est tout aussi certain qu'elle y participe au rang des causes principales.
Plusieurs éléments et indices forts permettent de l'affirmer.
- Tout d'abord une enquête hollandaise indépendante, qui a ceci de précieux qu'elle a valablement comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés (zéro vaccin) et qu'elle a porté sur les 5 premières années de vie, révèle un taux d'hyperactivité avec déficit d'attention deux fois plus élevé dans le groupe vacciné comparativement au groupe non vacciné (cfr p 3 et 4)
- Ensuite, une autre enquête américaine, financée par l'association sans but lucratif Generation Rescue et parue en 2007 révèle une très forte corrélation entre l'autisme, l'hyperactivité avec déficit d'attention et la vaccination infantile. Cette enquête, qui a porté sur plus de 9000 garçons âgés de 4 à 17 ans, est extrêmement importante car elle compare là aussi véritablement les vaccinés aux non vaccinés (contrairement aux études officielles).
Il en ressort que les garçons vaccinés souffrent 2 fois et demi plus d'hyperactivité avec déficit d'attention (224%) et 61% plus d'autisme. Comme l'a indiqué à l'époque le co-fondateur de Generation Rescue, jamais la prévalence de ces troubles neurologiques n'a été comparée entre enfants vaccinés et non vaccinés, ce qui est pour le moins étrange quand on sait que le nombre de vaccins officiellement recommandés dans le calendrier vaccinal a plus que triplé entre 1983 et aujourd'hui! D'un enfant autiste sur 10 000 en 1983, on est passé aujourd'hui à 1 enfant sur 150 soit une hausse de 6000% (les garçons étant significativement plus affectés). L'hyperactivité avec déficit d'attention affecte quand à elle 1 enfant sur 13 de nos jours aux Etats-Unis.
- A cela il convient d'ajouter également l'avis du Dr Buchwald, un médecin allemand qui a passé plus de 40 années de sa vie à étudier les effets secondaires des vaccins et leurs mécanismes. Selon lui, en effet, "Avec chaque vaccination nous créons une encéphalopathie qui réduit les capacités mentales de nos enfants. " Ce genre de dommage se fait parfois à minima explique Buchwald, de sorte qu'il n'est pas forcément diagnosticable en temps réel et peut se concrétiser parfois subtilement de diverses façons au fur et à mesure du développement de l'enfant (troubles du langage, de l'apprentissage, dyslexie, hyperactivité etc)
- Enfin, il ne faut pas non plus oublier les chiffres en Belgique et le lien avec l'introduction croissante de nouveaux vaccins dans le calendrier vaccinal infantile dont plusieurs contiennent pourtant de l'aluminium notoirement toxique pour le développement neurologique des enfants.
En 2004 en Belgique, environ 6000 enfants étaient sous Rilatine. En 2010, ils étaient 26 500 selon une publication d'une mutuelle belge. Actuellement, ils seraient plus de 32 000 selon ce que la RTBF vient encore de communiquer. Or, si on regarde le calendrier vaccinal belge, on s'aperçoit, comme par hasard, que 4 nouveaux vaccins ont été introduits depuis 2004 dont 3 contiennent de l'aluminium neurotoxique. Il s'agit des vaccins hexavalent (tétanos, coqueluche, diphtérie, polio, Hib et HB), des vaccins Prevnar/Synflorix (pneumocoques), de la vaccination anti-méningocoque C (Menjugate, Meningitec etc) et du vaccin anti-rotavirus (Rotateq et Rotarix), seul ce dernier ne contenant aucun aluminium.
C'est le 10 janvier dernier que l'équipe de chercheurs canadiens indépendants Shaw & Tomljenovic publiaient une analyse sur les mécanismes toxicologiques de l'aluminium vaccinal en pédiatrie. Ceux-ci, en passant près de 90 autres études scientifiques en revue, ont démontré par a+b que l'aluminium vaccinal n'a jamais fait l'object d'évaluations de sécurité fiables. Ils ont aussi expliqué que l'enfant était particulièrement vulnérable au niveau de son système nerveux par rapport à un toxique comme l'aluminium et que les enfants ne devaient par conséquent pas être assimilés à "de petits adultes".
Tout converge donc hélas pour montrer que l’absence de mention de la cause vaccinale dans un tel reportage constitue une carence journalistique certaine.
Or combien de parents qui donnent chaque jour de la Rilatine à leurs enfants (tout en continuant par ailleurs à les faire vacciner comme si de rien n’était) se doutent réellement de la possible origine vaccinale de cette situation ??
Sans doute bien peu. Et sans doute aussi que « la pilule » serait plutôt mal passée chez les pharmas si, en plus d’un reportage sur le revers de la Rilatine, la « boucle avait été bouclée » en mentionnant les revers lucratifs des vaccins, ces derniers venant en fait alimenter un autre marché pharmaceutique sans que rien ne « se perde » financièrement au passage pour ces mêmes pharmas, que du contraire.
La Rilatine, une fatalité?
Pas forcément! Lisez ICI
(Bio Info Sept. 2011)