Un médecin, que nous appellerons Dr X, nous a fait parvenir cet article qu'il a rédigé.
Nous avons vérifié la qualité de médecin du Dr X. A la suite de différents ennuis avec le Conseil de l'Ordre consécutifs à ses critiques sur les vaccins dans différents médias, il préfère pour l'instant garder son anonymat, afin de pouvoir continuer à œuvrer contre leur pratique tout en pouvant vivre financièrement parlant, sans risquer l'excommunication.
[Comparaison entre les chiffres de l'étude KIGGS (pour les enfants vaccinés) à ceux de l'enquête Vaccine Injury. Info]
Ce graphique, comparant une population d’enfants vaccinés (en bleu) à une autre qui ne l’est pas (en rouge), montre la chose suivante, qui est effroyable :
A chaque fois que nous avons vacciné mille enfants :
à 123 d’entre eux nous avons donné une allergie,
à 156 un asthme ou une bronchite chronique,
à 62 une névrodermite,
à 126 un herpès,
à 90 une tendance aux otites,
à 81 le rhume des foins,
à 59 une hyperactivité,
à 48 une scoliose,
à 33 une épilepsie,
à 14 une migraine,
à 16 une affection thyroïdienne.
En résumé, en vaccinant 1000 enfants, nous avons instauré 808 maladies de façon tout à fait artificielle. Et cette statistique ne porte ni sur d’autres pathologies provoquées, ni sur les accidents immédiats, parfois mortels (Mort subite du nourrisson), ni sur les incidences à long terme.
Seul un enfant sur cinq est sorti pour l’instant indemne de notre action. Un peu plus, il est vrai, parce qu’il y a des cumulards… Mais sans doute ne perd-il rien pour attendre.
S’il est maintenant tout à fait certain que nous leur avons fait du mal, est-il certain que les maladies dont nous prétendons les avoir protégés, prétention probablement largement abusive d’ailleurs, étaient plus graves et justifiaient cette hécatombe ?
Il naît en France près de 800.000 enfants chaque année.
Selon les calculs résultant de ce graphique, l’abstinence vaccinale pourrait épargner tous les ans :
94.800 enfants allergiques
124.800 enfants asthmatiques ou bronchitiques chroniques
49.600 enfants atteints de névrodermite
100.800 enfants herpétiques
72.800 enfants atteints d’otite à répétition
64.800 enfants atteints de rhume des foins
63.200 enfants atteints d’hyperactivité
38.400 enfants scoliotiques
26.400 enfants épileptiques
11.200 enfants migraineux
12.800 enfants atteints de troubles thyroïdiens.
Soit un total de 646.400 enfants épargnés dans leur chair. Plus de 6 millions tous les 10 ans : c’est hallucinant.
Ceux précisément qui sont actuellement nos victimes, comment les appeler autrement ?
Auxquels il convient d’ajouter les victimes d’accidents à long terme (mais peut-on parler d’accidents ?) que représentent les scléroses en plaques, Parkinson, Guillain Barré, autisme, et autres Alzheimer dont on nous serine sans doute bien à tort qu’ils sont sans rapport.
Maintenant, il reste à mettre en parallèle les maladies dont nous prétendons les protéger, prétention largement abusive d’ailleurs.
Le calcul est vite fait, et il me paraît sans appel.
On nous a dit que la vaccination était destinée à protéger le plus grand nombre au prix de quelques accidents chez un petit nombre. Il s’avère que tout au contraire, cette vaccination provoque un grand nombre de maladies chez le plus grand nombre, en ne protégeant qu’hypothétiquement d’un petit nombre de maladies qu’on pourrait tout simplement soigner mieux.
Dans un premier temps, je propose donc de reculer l’âge de la primo-vaccination à au moins un an, le temps d’attendre que le système immunitaire de l’enfant soit prêt à recevoir un vaccin, qui est toujours une agression, et jamais une formalité banale et sans conséquence. Le mieux serait deux ans. Tout en sachant que le système immunitaire n’achève sa totale maturation qu’à sept ans.
Je propose aussi d’éviter au maximum les associations vaccinales : la nature nous épargne d’affronter simultanément plus d’une maladie à la fois, et il est absurde et dangereux, voire criminel, d’en proposer 13 d’un coup à sa bienveillante vigilance.
Cette mesure devrait être assortie d’une large information concernant le respect que mérite une fièvre bien maîtrisée, et sur la stupidité et les dangers de l’usage des antipyrétiques systématiques au cours des maladies infectieuses.
En sachant que par exemple, (en dehors de quelques espèces mutantes de virus dits « chauds », qui peuvent tolérer 40°C, mais pas plus), qu’à partir de 39.5°C, aucun virus polio ne se multiplie plus (Lwoff, prix Nobel). Quelques dixièmes de degré peuvent faire toute la différence.
Et qu’il est infiniment probable que la majorité des morts lors de la grippe espagnole de 1918 furent dues à l’usage immodéré de l’aspirine, ce qui est vérifié par les succès des médecins homéopathes aux USA à cette époque (il y avait alors autant d’homéopathes que d’allopathes dans ce pays), qui purent afficher pour leurs patients une mortalité inférieure à 1% parmi les sujets atteints, tandis que leurs collègues allopathes en déploraient 28%, la grande différence étant l’usage ou non de l’aspirine.
Il faudrait également cesser cette pratique abusive d’exploiter systématiquement telle ou telle poussée épidémique, dont on sait qu’elles sont récurrentes, pour affoler les populations et les diriger vers le vaccin.
Il y a toujours eu, il y aura encore, des poussées épidémiques de rougeole, de coqueluche. Il y a toujours eu, il y aura toujours des reculs spontanés de ces épidémies.
Jusqu’à ce qu’un jour, elles finissent par disparaitre spontanément et définitivement, comme l’ont fait la suette, la peste et la scarlatine, et ceci sans aucun vaccin. Mais d’autres prendront le relais, inéluctablement. (Peut-être ont-elles un rôle dans notre évolution génétique, et sans doute même en tirons nous des bénéfices : il semble bien qu’après une rubéole, on ne soit plus susceptible de souffrir d’une arthrite).
800.000 rougeoles aux USA en 1958, un peu moins de 500.000 en 1962, le vaccin étant apparu en 1963.
4.000 morts de rougeole en France en 1902, 20 en 1982, l’année des premières vaccinations (généralisation du ROR). Idem en Grande-Bretagne où le nombre des décès avait diminué spontanément de 97% avant l’arrivée du vaccin.
Ne laissons pas aux laboratoires et à leurs affidés le loisir de semer de fausses alarmes, et reprenons le contrôle de notre médecine, plutôt que de la laisser aux mains des marchands du temple, qui en font souvent un si mauvais usage. Leur métier est de vendre, le nôtre est de soigner : ne mélangeons ni les genres, ni les intérêts. Et retrouvons notre nécessaire vigilance, on nous a endormis, réveillons-nous avant d’être totalement disqualifiés.
Comprenez que je n’attaque pas la médecine, mais que je tente au contraire de la protéger d’elle-même. Quoi que vous puissiez en penser dans un premier temps et avant réflexion, la médecine a besoin de médecins comme moi.
Pas nécessairement brillants, mais fouineurs, curieux de tout, capables d’ouverture, de recul, et de hauteur de vue, dérangeants, mais assez courageux pour faire savoir.
Dr X. (France)