Des documents issus de « Kindergeneeskunde », ouvrage collectif de pédiatres publié en 1964 et rédigé par une kyrielle de « grands pontes », viennent apporter un nouvel éclairage lugubre sur les risques qu’on a fait encourir à des centaines de millions de gens dans le monde sans qu’ils en soient informés, ce qui est bien sûr éthiquement tout à fait inacceptable .
Ce qui frappe d’emblée est la franchise des auteurs, basée sur la foi inébranlable qu’ils agissent pour le bien de l’humanité. Dans ce contexte, toutes les horreurs qui sont décrites dans cet ouvrage passent froidement par la rubrique pertes et profits. Un tel langage serait impensable à l’heure actuelle ! C’est ce qui rend cet ouvrage si intéressant – et important sur le plan médico-légal. Quoique. Ne vous faites pas trop d’illusions : les vaccinalistes considéreront cet ouvrage comme dépassé, et donc nul et non avenu, compte tenu des « progrès » de la « vaccinologie ».
Variole
p259 : on vaccinait déjà les prématurés et les nouveau-nés, et, plusieurs fois de suite durant la grossesse, les femmes enceintes !
p260 : le placenta concentre les vaccinations répétées de telle sorte que les nouveau-nés se retrouvent avec des concentrations d’anticorps supérieures à celles de la mère.
P261 : illustration : « accidentele vaccinia » au niveau de l’œil et « vaccinia necrosum » suivi d’une généralisation (…) chez un nouveau-né de quatre mois…
P261 : Complications : varioles « accessoires », « vaccinoles… », « satellites… » : leur fréquence est relativement grande. Exanthèmes post-vaccinaux : rougeoleux, papuleux, exsudatif. Des sortes de purpura sont rencontrées. Cela peut se généraliser. Surinfections bactériennes (staphylocoques, streptocoques). Tétanos. Erysipèles.
P262 : Complications : vaccine généralisée. Suite de diffusion hématogène. Le déroulement de la vaccination est un jeu (…) entre, d’une part, la virulence du virus vaccinal qui se répand dans les tissus cutanés et sous-cutanés et les ganglions lymphatiques, et, d’autre part, les mécanismes immunitaires et humoraux de l’hôte qui sont susceptibles d’être mobilisés. Toutes les variantes sont possibles. Nous avons eu l’impression (…) que chez les jeunes nourrissons de deux à trois mois, dont la mère n’a pas été vaccinée, la vaccine généralisée est relativement fréquente.
P263 : Vaccination par inoculation ou vaccination accidentelle. Se produit lorsque le moment ou l’endroit de la vaccination sont mal choisis (…). Vaccine primaire des deux mamelons chez une femme qui allaite, dont l’enfant vacciné a fait une vaccine généralisée. Vaccine au niveau de l’œil ce qui peut conduire à la perte de l’œil.
P263 : Eczéma vaccinatum : chez des patients présentant un eczéma atopique, une névrodermite, un urticaire, la primovaccination peut devenir sévère. La vaccine se généralise. Le patient décède fréquemment des suites de l’infection. La mortalité est haute, de 30 à 40% chez les enfants de moins de deux ans. Des patients présentant une exacerbation de leur eczéma sont rarement vaccinés.
P264 : Complications : vaccine généralisée progressive, vaccinia necrosum = vaccine nécrosante ou gangréneuse. L’endroit de l’injection se nécrose. Après une certaine période, se produit la dissémination généralisée.
Ames sensibles, s’abstenir de lire ce qui suit :
P264 : Complications : ni l’excision du site (…) vaccinal primaire, ni, dans certains cas, l’amputation de toute la ceinture scapulaire (en clair, l’amputation des deux épaules…), n’ont réussi à endiguer le processus (de dissémination).
P264 : Complications : sans thérapie, la maladie (vaccine généralisée) est presque toujours mortelle. Le patient (cf. photo, p164) mourut le 19ième jour de la vaccination. D’autres (…) moururent dans les six mois après la vaccination. Ceux qui ont survécu, succombèrent systématiquement (…) à une autre infection. Avec les thérapeutiques intensives actuelles, la mortalité serait de 30 à 40% (Kempe, 1960).
P265 : Complications : altération des organes internes : glomérulonéphrite aiguë : douze jours après la vaccination. Thrombocytopénie : du 8ième au 16ième jour. Myocardite et péricardite : huit cas sont à attribuer à la vaccination. Deux nourrisson : l’un avec une myocardite mortelle le 12ième jour de la vaccination ; l’autre avec une myocardite mortelle. Lire également les conclusions d’un « expert » en français dans le texte.
P266 : Complications : Osteomyelitis vaccinulosa : atteinte du squelette de croissance. Pseudoparalyse de l’extrémité atteinte avec fièvre. Dans les 10 à 15 jours après la vaccination. Il va de soi (…) que, lors d’une vaccine généralisée, tous les organes peuvent être atteints. Atteinte du système nerveux central : encéphalite post-vaccinale : dès 1925, décrite comme une complication inconnue de la vaccination antivariolique. La poussée de température qui apparaît après quelques jours de fièvre, fait partie du climax de la réaction vaccinale. Le liquide cérébro-spinal est systématiquement perturbé. Histologiquement, le cerveau présente des altérations typiques.
P267 : Complications : encéphalopathie toxi-infectieuse. Le patient peut décéder inopinément dès le début de cette complication. Convulsions. L’examen virologique a démontré qu’une vaccine peut s’accompagner d’une infection par un autre virus, p.ex. le virus coxsackie, ou le virus des oreillons. La concomitance de ces deux infections est si fréquente lors d’une encéphalopathie post-vaccinale chez les nourrissons, que nous déconseillons la vaccination dans la période durant laquelle ces infections sont fréquentes. En l’absence d’une autre cause, il faut considérer qu’une encéphalopathie post-vaccinale a pour origine la vaccine.
P268 et p269: prophylaxie : il est admis que lors de vaccinations massives, la fréquence des complications augmente sensiblement (Nanning, 1961). La cause réside dans le fait que la vaccinateur n’a plus l’opportunité d’évaluer convenablement les contre-indications, et qu’il n’est pas en mesure de déterminer le moment favorable pour la vaccination. Il est donc recommandé de ne pas pratiquer des primovaccinations massives.
P270 : facteurs supplémentaires qui peuvent provoquer des complications : on évitera de vacciner lors de la période d’incubation d’une maladie infectieuse. On évitera de vacciner durant une épidémie de quelque maladie infectieuse que ce soit. Les enfants anormaux forment un problème. On pèsera systématiquement le pour et le contre.
Polio
P273 : Sabin : virus atténué : vaccination per os. Salk : virus inactivé par de la formaline. Associé à la diphtérie, coqueluche, tétanos : DTCP.
P274 : Vaccination orale avec le virus atténué : les caractéristiques d’un virus vivant (atténué) sont variables. Parfois, l’infection ne prend pas. L’activité du virus dans le corps peut dépasser les limites de ce qui est admissible (…). L’excrétion (fécale…) du virus par l’individu vacciné peut mener à une contamination non souhaitée des personnes au contact, avec parfois des effets néfastes (…). Le vaccin polio oral est composé de trois souches virales atténuées qui sont administrées à des nourrissons de trois mois et plus. Le virus Sabin type 3 (produit aux Etats-Unis), a d’abord été refusé sur base de test neuropathogènes, mais a été ensuite finalement accepté sans modification.
P276 : Sécurité : la sécurité de la vaccination orale est à différents égards un point litigieux. Elle provoque des infections non souhaitées chez des personnes non vaccinées mais au contact. La stabilité du virus vaccinal n’est pas garantie. Le virus (vaccinal), retrouvé dans les selles, peut présenter une activité neuropathogène qui est plus grande qu’avant la vaccination. Même sans le passage intestinal, le virus Sabin de type 3, présent dans le vaccin oral, semblerait ne pas satisfaire aux critères de sécurité en matière de neuropathogénicité. Ceci explique les hésitations décrites plus haut lors de l’octroi de la licence. A plusieurs reprises, des séries (…) de cas de poliomyélite ont été constatées chez les vaccinés. Plus tard, aux Etats-Unis, des cas de poliomyélite se sont également déclarés dans des conditions qui indiquent un lien avec le virus Sabin de type 3 sous licence. Les personnes en contact avec des cohabitants (…) vaccinés peuvent être infectées par le virus après son passage intestinal (…) et la neurovirulence s’en trouve augmentée d’un facteur de 10 à 10.000.
P277 : virus simien SV40 : dans les préparations vaccinales, l’on trouve un virus simien SV40 qui provoque des tumeurs chez les cobayes. In vitro, il provoque la prolifération de cellules humaines avec des altérations du noyau et des altération malignes des chromosomes. Ce virus a aussi été démontré dans les préparations de Sabin (= vaccin polio oral) dans ses trois types. Le virus (simien) prolifère chez les nourrissons après son administration orale, et de plus provoque la formation d’anticorps chez les adultes après inhalation. La présence dans le vaccin de ce virus (simien) et d’autres (…) soi-disant (…) virus simiens inoffensifs devrait être intrinsèquement exclue. Dans la pratique, ce n’est pas toujours possible.
P277 : Vaccin Salk inactivé et filtré : obtenu par prolifération sur cultures primaires (…) de cellules de singe.
P280 : Il est possible d’exiger (…) que les enfants, avant qu’ils ne soient admis dans des crèches, des internats ou des communautés analogues, soient préalablement vaccinés contre certaines maladies, notamment la polio.
P281 : l’exigence des vaccins multiples ne peut que gagner du terrain.
IMPORTANT, il est utile à présent de confronter ces risques ci-dessus à d'autres données concernant cette fois l'efficacité de ces vaccins. Car en effet, contre quelle protection a-t-on fait courir des risques aussi graves à une aussi grande population?? On se référera notamment à cet article-ci sur l' "efficacité" du vaccin contre la variole. (NB: La variole a certes disparu mais pas grâce au vaccin comme il ressort du rapport final d'éradication de l'OMS de 1980 dans lequel l'Agence avoue que "si les campagnes de vaccination massives furent couronnées de succès dans quelques pays, elles échouèrent dans la plupart des cas.") Et à ces deux articles-ci sur le vaccin polio oral (Encyclopedia Universalis de 1988: hausse de 300% des cas de polio dans les pays subtropicaux après de grandes campagnes vaccinales de l'OMS; plus de 47 000 cas de paralysie flasque aiguë causés par le vaccin en Inde rien qu'en 2011, etc...) |
Lire aussi: "Variole: aveux explosifs à posteriori sur le vaccin."
Vaccins: ce que des médecins en disaient déjà en 1875 (= livre rare d'époque du Dr Coderre)