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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 14:24

Le Monde avec l'AFP & Reuters, 31/12/2011

 

Un chauffeur d'autobus de Shenzhen, dans le sud de la Chine, est mort, samedi 31 décembre, de la grippe A (H5N1), rapporte la presse officielle. Le malade âgé de 39 ans, qui présentait les symptômes d'une grave pneumonie, avait été hospitalisé le 25 décembre, précise l'agence Chine nouvelle.

 

"Jusqu'à présent, les 120 personnes qui ont été en contact avec cet homme récemment ne présentent aucun signe de maladie", indique-t-on de même source. De même, on pense que l'homme n'a eu aucun contact avec des oiseaux, et "nous n'avons aucune information concernant des oiseaux malades", a précisé de son côté le bureau de l'agriculture et de la pêche. Il n'y a "aucune raison pour l'instant d'abattre des volailles" dans la région.

 

Hong Kong, voisine de Shenzen, a relevé mardi son niveau d'alerte à la grippe aviaire et décrété un embargo provisoire sur les importations de volaille vivante après la mort mi-décembre sur le territoire de trois volatiles porteurs du virus H5N1. Le virus H5N1 est mortel dans 60 % des cas. On craint un pic d'infection en début d'année 2012.

 

Hong Kong avait été le premier pays à connaître une épidémie de grippe aviaire d'importance en 1997, avec le décès de six personnes, provoqué par une mutation à l'époque inconnue du virus. Des millions de volailles avaient été abattues. Les contaminations par le virus H5 se sont jusqu'ici déroulées de l'animal vers l'homme mais les scientifiques craignent qu'une mutation permette des contaminations d'homme à homme, déclenchant une pandémie meurtrière.

 

L'OMS INQUIÈTE PAR LES RECHERCHES SUR UN VIRUS MUTANT

 

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'est dite samedi "profondément inquiète" par les recherches menées en laboratoire sur un virus mutant de la grippe aviaire H5N1. Le laboratoire néerlandais dirigé par Ron Fouchier au centre médical universitaire Erasmus de Rotterdam avait annoncé en septembre avoir créé une mutation du virus H5N1 potentiellement capable, pour la première fois, de se transmettre facilement entre mammifères et potentiellement entre humains. L'Université du Wisconsin a également produit une communication sur ce virus. Les deux recherches ont été financées par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH).

 

"L'OMS prend note que "ces annonces ont suscité des inquiétudes sur les possibles risques et mauvais usages associés à ces recherches", indique l'organisation dans un communiqué mis en ligne en anglais. L'OMS "est également profondément inquiète des conséquences potentiellement négatives" de tels travaux, ajoute le texte. "Toutefois, l'OMS considère que les études menées dans des conditions appropriées doivent continuer" afin d'accroître les connaissances "nécessaires pour réduire les risques posés par le virus H5N1", selon le communiqué.

 

Source: Le Monde

 

Est-ce ici le début d’une prochaine pandémie tant attendue comme La Gloria (au Mexique) était le point de départ officiel de la fausse pandémie de H1N1 ?

 

Une autre pandémie, véritable celle-là, sera-t-elle déclenchée pour tenter de laver le scandale du H1N1 et le discrédit des vaccins ?

 

Beaucoup de questions se posent dans un tel dossier, comme notamment l’achat à grand frais de millions de vaccins H5N1 que nombre d’Etats occidentaux ont déjà effectués il y a quelques années et qui sont stockés on ne sait où, sans compter ces recherches hasardeuses destinées à rendre le H5N1 transmissibles d’homme à homme et qui sont pourtant financées par des instances officielles avec l’argent du contribuable ! Si on ajoute à ça la position schizophrène de l’OMS qui se prétend hypocritement « inquiète » tout en affirmant que les recherches « menées dans des conditions appropriées doivent continuer », on comprend bien que l’opacité du dossier H1N1 est en passe de se poursuivre avec la grippe aviaire.

 

Et puis n’oublions pas non plus les accords conclus entre l’OMS et les fabricants de vaccins pour « le partage des virus » dès le début de ce qu’ils auront décidé d’appeler « une pandémie » pour ainsi déclencher la fabrication de vaccins.

 

Une fabrication des plus espérée par certains à en croire notamment le partenariat entre la firme MEDICAGO, basée au Canada, et le Département Américain de la Défense en vue de produire toujours plus et toujours plus vite des vaccins pandémiques contre la grippe aviaire…

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 18:55

Dans un grand article du Soir de ce samedi 17 décembre 2011, signé par Frédéric Soumois et intitulé "Un virus mutant qui fait trembler l'Europe", on peut lire à plusieurs reprises que ces recherches hasardeuses de l'équipe de Ron Fouchier (de l'Erasmus Medical Center) se font dans un laboratoire P4, soit le plus haut niveau de sécurité.

 

Le Pr Van Ranst répète également cela, comme si c'était en soi un gage de légitimité pour de telles recherches!

 

MAIS le pire dans tout cela c'est que ni le journaliste scientifique Frédéric Soumois ni le Professeur Van Ranst, pourtant virologue, ne semblent avoir vérifié cette information... Ce "super virus super mortel et très transmissible" a été élaboré et est conservé non pas dans un laboratoire P4 mais bien dans un laboratoire P3.

 

C'est ce qu'ont confirmé les virologues Bruno Lina (de Lyon) et Jean-Claude Manuguerra (de l'Institut Pasteur et de l'OMS) au cours de l'émission C'est dans l'Air du 7 décembre dernier sur France 5, intitulée "Super virus nous menace-t-il?"

 

Bien qu'ils se soient tous deux voulus très rassurants sur le degré exact de précautions prises, ils ont cependant admis qu'un degré P3 n'était pas identique à un degré P4 en terme d'exigences de sécurisation.

 

Le Pr Bruno Lina a d'ailleurs même précisé qu'un des critères décisionnels pour décider si la recherche s'effectuait dans un laboratoire P3 ou P4 dépendait de l'existence ou non d'un vaccin: comme il existe déjà un vaccin contre la grippe aviaire a-t-il dit, cette recherche de Ron Fouchier (ainsi que de son homologue japonais qui a reçu la même mission) s'effectue dans un laboratoire de type P3. Et ceci, nous précisons, même si rien ne dit que les vaccins aviaires actuels sont efficaces dans la prévention d'une contamination de ces chercheurs avec ce genre de virus muté.

 

Il est sans doute bon de préciser, pour ceux qui ne le savent pas, que le Pr Lina est également membre de l'ESWI (European Scientific Working Group on Influenza), tout comme son collègue le Pr Ab. Osterhaus de ce même Erasmus Medical Center de Rotterdam. C'est donc dire s'il est tenu au courant de tous les moindres détails d'une telle expérimentation! D'autant plus que le Pr Lina est également  "Président depuis 2008 du Groupe de Conseil de l'OMS pour le partage des virus et des bénéfices." comme l'indique également le site de l'ESWI.

 

Après vérification sur le site Wikipedia, il apparaît effectivement que le nombre de laboratoires P4 dans le monde est très restreint et qu'à l'Erasmus Medical Center de Rotterdam, ils n'en disposent pas, ne disposant donc que d'un laboratoire de type P3.

 

Un extrait du site du magazine Foreign Policy précise bien ceci (traduction):

 

"Depuis 2005, plusieurs expérimentations sur la grippe conduites dans des conditions de biosécurité de NIVEAU 3 ont suscité l'étonnement car des critiques ont fusé selon lesquelles ces recherches auraient dû être menées à l'intérieur de laboratoires P4 aux conditions de sécurité plus exigeantes. Le virus originel de 1918 tiré d'une dépouille conservée dans la glace fut "ressuscité" dans un laboratoire P3. Des expérimentations ont été faites sur le virus de 1918 afin de découvrir quels gènes le rendaient si létal. Et les recherches que l'équipe du CDC, Fouchier et Kawaoka réalisent sur le H5N1ont toutes été réalisées dans des laboratoires P3."

 

Mais que signifie au juste le BSL 3 (biosafety level 3/ niveau de biosécurité 3) et quelles différences existent-il avec le niveau 4?

 

Voici ce que dit Wikipedia au sujet des spécificités d'un laboratoire P4 (le plus haut niveau possible de sécurité):

 

« La classification P4 d'un laboratoire signifie pathogène de classe 4 et le rend susceptible d'abriter des micro-organismes très pathogènes. Ces agents de classe 4 sont caractérisés par leur haute dangerosité (taux de mortalité très élevé en cas d'infection), l'absence de vaccin protecteur, l'absence de traitement médical efficace, et la transmission possible par aérosols. La protection maximale exigée pour manipuler ces germes est désignée par le sigle NSB4 (niveau de sécurité biologique 4). »

 

« Les laboratoires P4 de sécurité maximale présentent deux grandes spécificités : ils sont totalement hermétiques et constitués de plusieurs sas de décontaminations et de portes étanches, les effluents liquides sont décontaminés chimiquement et stérilisés à la vapeur ; ils disposent aussi de sécurités anti-incendie (on prive l'incendie de son comburant oxygène en injectant un gaz inerte) couplées à des détecteurs de fumées.

Ces laboratoires assurent une protection optimale des chercheurs travaillant dans leurs enceintes. Pour y pénétrer, les personnes accréditées doivent prendre une douche, revêtir un scaphandre (sous pression positive de façon à ce qu'en cas de déchirure accidentelle de la combinaison scaphandre, l'air sortira du scaphandre, plutôt que d'y rentrer, évitant ainsi toute contamination) relié à l'une des prises fournissant de l'air dont le renouvellement est totalement indépendant de l'atmosphère du laboratoire ; quand elles sortent du laboratoire, elles prennent une douche au phénol revêtues de leurs scaphandres. Des caméras surveillent continuellement l'activité du laboratoire ; le personnel ne rentre jamais seul à l'intérieur du laboratoire. Une personne habilitée à entrer en zone P4 doit obligatoirement se trouver dans le Poste Central de Sécurité ; elle pourra ainsi intervenir en zone en cas de problème éventuel (malaise, accident divers ...). »

 

« Les principaux agents de classe 4 sont des virus générant :

soit des fièvres hémorragiques :

  

Ebola

Marburg

Lassa

Congo-Crimée

  

soit des maladies infectieuses à haut pouvoir de dissémination et à haut taux de mortalité, par exemple la variole. »

 

L'Institut National de Recherche Agronomique français (l'INRA) précise sur son site les spécificités d'un laboratoire de type P3:

 

« Le niveau de confinement 3 est applicable à la manipulation des agents pathogènes qui provoquent généralement une maladie grave pour les humains ou les animaux, ou qui peut avoir des répercussions économiques sérieuses, mais qui, habituellement, ne se transmet pas par contact d'une personne à l'autre, ou pouvant être traitée avec des agents antimicrobiens ou antiparasitaires. »

 

Il est donc étrange qu'un virus mortel, volontairement transformé en un virus également très transmissible d'homme à homme, se retrouve confiné dans un laboratoire de type P3 et non dans un P4. D'autant que, comme le révélait encore un tout récent article de Canoe.ca, le nombre de gens chez lesquels des antiviraux comme le Tamiflu sont inefficaces semble en hausse: ainsi, selon le Dr Boivin, « de 2007 à 2009, on a constaté une résistance importante. Jusqu'à 100 % des virus de souche A étaient résistants au Tamiflu, même chez des patients qui n'avaient jamais reçu cet antiviral».



On se retrouve donc avec un virus mortel, très transmissible, contre lequel les antiviraux n'ont fort probablement plus la moindre efficacité et pour lequel rien ne dit que les vaccins actuels ont le moindre effet préventif (sans même parler ici de leurs risques possibles en contrepartie!), mais malgré tout, ces recherches ne s'effectuent PAS sous le degré le plus élevé de sécurité possible... un comble serait-on naïvement tenté de dire pour des recherches qui sont pourtant commanditées par des organismes officiels de santé américains (le National Institute for Health ou NIH). Ainsi, quand on sait que le Daily Mail disait de ce virus qu'"A côté, l'anthrax ne fait pas peur du tout", on ne peut que se rendre à l'évidence: si on voulait vraiment une pandémie, on ne pourrait s'y prendre autrement c'est à dire primo, la faciliter par des recherches contestables et deuxio, réaliser ces recherches dans un laboratoire qui n'est pas aux normes de sécurité maximales.



Si on ajoute à cet état de fait, toujours selon Le Soir, que c'est un conglomérat de gens majoritairement NON élus (G7+ OMS+ Commission Européenne) qui vont décider tout prochainement de la destruction ou non d'un tel virus volontairement rendu dangereux, on ne peut que se rendre compte avec une plus grande acuité encore de la perte de contrôle totale du citoyen sur une Science devenue plus menaçante que jamais.

Nous vivons par conséquent une situation surréaliste où c'est l'argent du citoyen qui sert à financer des recherches hasardeuses, destinées à fabriquer des virus monstrueux dans le prétendu but de s'en prémunir mais où, en contrepartie, le citoyen n'a plus aucun droit de regard et est totalement tributaire du bon vouloir d'instances et de gens non élus, souvent sous l'emprise de colossaux conflits d'intérêts et ce alors même que ces virus mortels ne sont même pas confinés dans les endroits les plus protégés qui soient!



Même si certains experts qui se sont lamentablement discrédités avec la grippe AH1N1 ont sans doute espéré, via cet article du Soir, redorer quelque peu leur blason et regonfler quelque peu leur crédibilité auprès du public en déplorant le sens et les risques de ce genre de recherches, il faut malgré tout déplorer la persistance chez certains médias de cette vieille manie qui consiste à n'aller interviewer que des experts du système, histoire de donner l'illusion d'un faux débat. Et ce, d'autant plus qu'il n'est guère difficile de donner la parole à d'autres personnes qui portent un regard à la fois lucide et rigoureux sur cette problématique depuis déjà de longs mois. Mais il est vrai que ces experts ont sans doute toutes leurs entrées dans la presse et qu'ils sont nettement moins dérangeants qu'Initiative Citoyenne...



 

 

 

 

 

 

 

 

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 23:28

Dans le Journal du Médecin n°2197 du mardi 8 novembre dernier, on pouvait lire les propos éclairants des Prs Lina & Osterhaus.

 

Pr Bruno Lina:

 

"Nous avons pu bénéficier avec cette pandémie d'un exercice de répétition avec un virus qui se répand très rapidement mais qui, en soi, est moins dangereux que prévu. Ceci ne veut pas dire qu'il soit inoffensif! Ainsi, nous avons pu déceler toutes les failles des plans préétablis et qui nous semblaient parfaits à l'époque. C'est donc une bonne préparation pour la prochaine pandémie qui aura lieu dans quelques années et qui sera due à un H5N1 ou à un tout autre type, qui sait?"

 

Quels dons de prophète, y a pas à dire ! Quelqu’un capable de nous dire que déjà, d’ici quelques années (après la fausse pandémie H1N1, sans doute bien utile en effet comme « exercice de répétition »), une prochaine pandémie aura lieu… alors qu’avant les années 2000, ces prédictions récurrentes de prochaines pandémies tant attendues n’existaient pas. Or, pour rappel, les recherches du Pr Lina dans le labo P4 de Lyon, financées par les autorités françaises consistent à faire se croiser les virus H1N1 et H5N1...Cherchez l’erreur.

 

Autre extrait:

 

« Cependant, le H5N1 inquiète d’autant plus, qu’à Malte, les spécialistes ont révélé que des foyers infectieux dus au H5N1 en Asie et même au-delà s’étaient déclarés dans des élevages pourtant vaccinés. Ce nouveau mutant a été appelé H5N1-2.3.2.1. Pour le Pr Ab. Osterhaus de l’Erasmus Medical Center à Rotterdam et président de l’ESWI, « tous ces éléments mis ensemble constituent le signal de la résurgence de H5N1 et doit nous poser de sérieuses questions au sujet de son impact sur la santé humaine. »

 

L’ESWI est-elle une source d’information fiable et crédible ?

Pas à en croire ce qui s’est passé avec le fiasco du H1N1 et la pléthore de conflits d’intérêts qui ont ainsi pu être mis en évidence, notamment en son sein, le Pr Osterhaus s’étant tristement illustré en la matière (comme l’avait notamment montré l’émission « Pièces à Conviction », diffusée sur France 3 en mars 2010).

 

Cette obsession de futures pandémies est suspecte, très suspecte et surtout très rentable pour ces experts qui sont en conflits d’intérêts et qui détiennent souvent aussi des actions dans diverses sociétés impliquées.

 

 

RAPPEL DES FAITS (Lina, Osterhaus etc):

 

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 18:02

(AFP) – Il y a 19 heures  

 

ROME — L'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a recommandé lundi "une surveillance et une vigilance accrues" face au virus de la grippe aviaire "au moment où une souche mutante de ce virus mortel se propage en Asie et au-delà".

 

"Le dernier décès est survenu en début de mois au Cambodge où ont été enregistrés huit cas d'infection humaine cette année, tous mortels", ajoute l'agence onusienne, qui évoque "des risques imprévisibles pour la santé humaine", dans un communiqué publié à Rome.

 

Depuis sa première apparition en 2003, 565 personnes ont été infectées par le H5N1, et 331 d'entre elles en sont mortes, rappelle la FAO, citant des chiffres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

Le virus H5N1 a en outre tué ou conduit à l'abattage de plus de 400 millions de volailles et causé près de 20 milliards de dollars de dommages économiques dans le monde avant d'être éliminé dans la plupart des 63 pays infectés lors de son apogée en 2006.

 

Mais l'année 2008 a vu les prémisses d'une recrudescence de l'expansion géographique du H5N1 touchant à la fois volailles et oiseaux sauvages.

bird003.gif

 

 

Selon Juan Lubroth, vétérinaire en chef de la FAO, il semblerait que cette expansion soit liée aux mouvements migratoires des oiseaux : au cours des 24 derniers mois, le H5N1 est apparu chez des volailles et oiseaux sauvages dans des pays où il avait disparu depuis plusieurs années.

 

Les régions récemment affectées se trouvent en Israël, dans les territoires palestiniens, en Bulgarie, en Roumanie, au Népal et en Mongolie.

 

Motif supplémentaire de préoccupation selon M. Lubroth, l'apparition en Chine et au Vietnam d'une variante du virus apparemment capable de contourner les défenses fournies par les vaccins existants.

 

Au Vietnam, la plus grande partie du nord et du centre - où le H5N1 est endémique - a été envahie par la nouvelle souche du virus, selon la FAO.

 

La circulation du virus au Viet Nam menace aussi directement le Cambodge, la Thaïlande et la Malaisie et met en péril la péninsule coréenne et le Japon.

 

"Les pays où le virus H5N1 est encore solidement retranché - Bangladesh, Chine, Egypte, Inde, Indonésie et Vietnam - pourraient faire face aux problèmes les plus importants mais aucun pays, particulièrement en Asie, ne peut se considérer à l'abri", a conclu M. Lubroth.

 

Source: Google.com

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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 22:31

Forts des résultats rassurants des analyses effectuées sur les virus ayant infecté deux soeurs décédées de la grippe aviaire, les chercheurs vietnamiens excluent toute mutation du virus de cette maladie en une forme hybride pouvant se transmettre d'homme à homme.

Le séquençage des deux virus extraits des corps des deux soeurs permet aux chercheurs de l'unité virus au département de la santé de Hongkong d'affirmer que ces deux virus sont d'origine aviaire et ne contiennent aucun gène de grippe humaine.

Cette découverte signifie que le virus ne s'est pas transformé en une forme facilement transmissible d'homme à homme, commente l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans son communiqué.

De nombreux scientifiques ont émis des craintes quant à une possible réorganisation du matériel génétique du virus de la grippe aviaire avec celui de la grippe humaine, susceptible de donner naissance à un virus hybride dont le potentiel de contamination de l'homme serait immense.

 

Réalisé et validé en collaboration avec des professionnels de la santé
sous la direction du Dr Anne Richard
 
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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 18:54

Communiqué de presse du 28 mars 2011 (ULB). Extrait

 

Grippe aviaire H5N1 : les zones à risque en Chine se précisent  

 

 

"Ces résultats montrent que les régions à risque de circulation de la grippe aviaire sont beaucoup plus restreintes que ce que l’on pensait précédemment et offrent ainsi des perspectives nouvelles pour orienter la surveillance et les interventions de contrôle."

 

Voir l'ensemble du communiqué ICI  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 22:27

Un reportage d'Arte en a reparlé....

 

"La grippe aviaire est une menace très certaine, prévue dans les vingt ans à venir par les scientifiques et possiblement, bien avant. On avance des chiffres, 20 millions de morts de par le monde. Subitement, le chiffre rappelle des fléaux très anciens qu'on croyait résorbés. Où l'on traite de la naissance des virus, de la connaissance que la communauté scientifique possède du H5N1, de son mode de propagation, mais aussi de sa possible mutation et du risque de recombinaison au virus de la grippe humaine."

   

http://www.artevod.com/grippeaviaireh5n1;jsessionid=DC57F94A84D4C5F42E9E295EEB431074.tc6v

 

 

Etrange qu'il s'agisse d'une menace si certaine, n'est-ce pas?

 

Cette obsession de la grippe aviaire n'a rien de très normal semble-t-il. Cela doit susciter de notre part et de celle de tous les citoyens une vigilance accrue. Sur le site News Medical.Net, un intéressant article du 10 février dernier en reparlait aussi.

 

Que disait-il?

 

Que des vaccins contre la grippe aviaire stockés en 2004 (par les Américains notamment) sont encore utiles selon certains chercheurs...

 

Ces vaccins, stockés en 2004 et dirigés contre la souche aviaire qui circulait à cette époque-là, pourraient être combinés à d'autres vaccins qui seraient cette fois dirigés contre la dernière variante aviaire circulante en date afin de "protéger contre une pandémie potentielle."

 

Selon cet article, une telle découverte permettrait aux officiels de santé publics de "faire un bon" en matière de lutte contre les pandémies parce qu'il ne serait ainsi plus nécessaire d'attendre le développement et la commercialisation d'un vaccin qui correspondrait de façon exacte à la souche la plus actuelle. Ils pourront ainsi vacciner sans attendre, au moyen d'un vaccin dirigé contre une ancienne souche (laquelle ne correspondait en fait pas encore à cette fameuse pandémie aviaire tant attendue) puis de revacciner ensuite, une seconde fois, avec un vaccin qui sera cette fois dirigé contre la soit-disant bonne souche.

 

 

"Le développement d'un vaccin efficace contre le virus de la grippe aviaire constitue un tournant décisif dans les plans de préparation à une pandémie." a dit le Dr Robert Belshe, directeur du Centre pour le développement de vaccins de l'Université de Saint Louis et auteur-clé de ladite publication scientifique.

 

"Les résultats de la présente étude confirment toute l'utilité d'une vaccination contre le H5N1 dirigée contre une souche autre que celle effectivement circulante."

 

 

 

loupe

 

Un public non averti pourrait se réjouir (à tort) de telles perspectives. Une traduction française du texte (pourtant déjà en français) ci-dessus s'impose donc. Sachons décoder l'information!

 

Non contents d'avoir gaspillé les deniers publics des citoyens dans des achats inutiles de vaccins, basés sur la peur, les industriels veulent rééditer leur coup. Et s'en remettre plein les poches. Quoi de mieux que le fantôme de la grippe aviaire?

 

Pour écouler leurs vaccins, il ne faut jamais oublier qu'ils ont besoin du soutien indispensable des officiels (au niveau national, européen/Emea et mondial/OMS). Les industriels paient pour plus de 3/4 du financement des agences internationales comme l'Agence Européenne et l'OMS. Ils peuvent aussi influencer les politiciens nationaux via des financements de campagnes électorales (jamais révélés au grand jour), via le fameux chantage à l'emploi etc

 

Grâce à la complicité des officiels, représentant du vrai faux service "public", les fabricants peuvent voir les contrats (ré)activés et leurs profits monter en flèche. Sans parler du fait que ces fabricants sont peu voire pas taxés sur quantité de profits astronomiques au contraire du simple contribuable lambda!

 

Ce qui peut servir les industriels et les officiels s'échange en quelque sorte, il s'agit d'un système de "donnant-donnant", dans lequel le citoyen a bien sûr, le plus à perdre, comme toujours.

 

Ainsi, réécouler des vaccins achetés inutilement constitue un avantage pour les pouvoirs publics qui peuvent ainsi donner l'illusion à leurs détracteurs que "finalement, ils n'avaient peut-être pas gaspillé tant que ça en achetant autant de doses de vaccins de par le passé". En revanche, si on s'arrêtait là: simplement réutiliser l'ancien vaccin, cela mécontenterait les pharmas, bien décidées à repasser à la caisse. Il fallait donc trouver un "bon compromis" qui puisse satisfaire les deux partenaires (industrie ET gouvernement), d'où l'idée de vacciner quand même en utilisant les anciens stocks mais de quand même revacciner avec de nouveaux vaccins expérimentaux nouvellement produits. Si on réfléchit bien, c'est exactement le même type de "donnant-donnant" qu'on a pu découvrir en Belgique, à la lueur du contrat léonin, conclu entre la firme pharmaceutique en question et l'état belge.

Dans ce texte, on pouvait par exemple lire que l'état et la firme pharma devaient relire, avant publication, leurs communiqués de presse mutuels!

 Dans la même veine, on pouvait aussi lire que l'état doit avoir l'accord de la compagnie pharmaceutique pour pouvoir accepter d'indemniser les victimes!!! Ce donnant-donnant satisfait les deux parties car ni la firme, ni l'état n'ont un intérêt financier à indemniser les victimes de leur politique commune. Mieux vaut donc se boucher les yeux et les oreilles et laisser les victimes à leur triste sort. Ici aussi, on le voit ultra nettement: le citoyen est perdant!

 

En fait, il faut savoir, pour bien comprendre le fin mot et "boucler" la boucle si on peut dire, que ces scientifiques appartenant à des "Centres universitaires de vaccinologie" sont très souvent financés, personnellement ou via les recherches de leurs laboratoires par cette même industrie pharmaceutique, juge et partie et que donc, il n'est guère difficile pour ces industries de "faire paraître" à la demande telle ou telle publication abondant dans tel sens ou dans tel autre pour avaliser telle ou telle politique purement commerciale. En finançant des chercheurs (en conflits d'intérêts donc) ou même en faisant écrire certaines études par des auteurs fantômes puis en les faisant officiellement signer par des grands noms ou des "leaders d'opinion", les industriels sont en mesure de fournir à leurs obligés (les politiciens de tous bords) des études publiées dans de grands journaux scientifiques officiels avec toute la terminologie, le jargon et l'apparence d'études bien menées.

 

Au final, la seule manière pour le citoyen d'être sûr de s'y retrouver, c'est de se fier d'abord et avant tout à son seul bon sens. Ce faisant, il ne pourra que s'arrêter à des interrogations essentielles, incontournables comme par exemple les suivantes:

Comment ce médecin américain (Dr Belshe) peut-il estimer que le développement d'un vaccin contre la grippe aviaire est-il décisif dans la gestion d'une pandémie? Est-ce à dire qu'il sait déjà que la prochaine pandémie sera une pandémie de grippe aviaire? Ne trouvez-vous pas ça bizarre?

 

Ne trouvez-vous pas bizarre que l'on vous fasse peur avec ce spectre de la grippe aviaire alors que, dans le même temps, le gouvernement français finance justement les recherches du Pr Lina, destinées à faire volontairement se croiser les virus H5N1 et H1N1, soit disant, pour mieux les étudier? Souvenez-vous aussi de cet "accident" qui était survenu, au sein de la firme Baxter, début 2009, au cours duquel une souche aviaire s'était mystérieusement échappée du labo et avait été detectée, in extremis, par un employé d'une firme sous-traitante, en république tchèque, alerté par le décès suspect de furets exposés au "mélange viral expérimental" contaminé provenant de chez Baxter...

 

D'autre part, quand on sait l'efficacité médiocre du vaccin antigrippal saisonnier, même quand les souches contenues coïncident avec les souches circulantes, comment peut-on une seule seconde croire que l'utilisation d'un vaccin contre une ancienne souche, éronnément sélectionnée pourra avoir une quelconque utilité?

 

En réalité, de telles affirmations reposent sur le postulat, maintes fois répété par les officiels, que l'usage d'un adjuvant "permet de mieux lutter contre le virus lorsque celui-ci se diversifie."

Saviez-vous, pourtant, que, sans adjuvant, un vaccin n'est même pas capable de faire réagir votre corps et que l'adjuvant constitue ainsi un leurre dont les effets immunologiques peuvent parfois s'avérer incontrôlables avec tous les risques d'effets secondaires que cela comporte et qui se trouveront bien sûr multipliés par 2 en raison des 2 injections par personne envisagées?

 

Songez-y: si l'industrie (& les officiels) rêvent de faire coup double en relarguant d'une part leurs vieux boulets (anciens stocks) et en revendant de nouveau d'autres vaccins avec d'autres dividendes à la clé, n'acceptez pas qu'on fasse aussi "coup-double" avec votre crédulité. Il est grand temps que la prise de conscience nous "vaccine" tous, avec immunité à vie, contre une réédition du lamentable scandale du H1N1. Il y a véritablement des leçons à tirer!

 

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 17:19

- Les résultats de la société continuent de figurer parmi les meilleurs en comparaison avec les autres technologies de fabrication de vaccins contre la grippe,-

 

- Le vaccin à particules pseudo-virales de la société induit la production d'anticorps démontrant une réaction croisée avec plusieurs souches de la grippe

 

QUÉBEC, le 1er févr. /CNW/ - Medicago Inc. ("Medicago") (TSX : MDG), société de biotechnologie spécialisée dans la mise au point de vaccins hautement efficaces et compétitifs, et fondés sur des technologies de fabrication exclusive à base de particules pseudo-virales (PPVs), a annoncé aujourd'hui des résultats intermédiaires positifs pour l'essai clinique de phase II chez l'humain de son candidat vaccin PPV contre la grippe aviaire H5N1  vaccin H5N1 »). Le vaccin a été bien toléré par les sujets, il a induit une solide réponse immunitaire et son innocuité a été démontrée.

 

« Nous croyons que les résultats intermédiaires obtenus suite à notre essai de phase II continuent à démontrer les impressionnantes caractéristiques de notre vaccin H5N1. Ils démontrent que notre vaccin H5N1 est non seulement sécuritaire, mais qu'il induit la production d'anticorps qui génèrent une réaction croisée contre plusieurs souches de la grippe H5N1 », a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago.

 

« Nous pensons également que notre vaccin PPV, hautement efficace et produit en moins d'un mois, représente une solution rapide et nécessaire en cas de pandémie de grippe. Ces résultats encourageants vont nous permettre de passer à la partie B de notre essai de phase II, pour laquelle nous prévoyons être en mesure de transmettre les résultats finaux au cours du deuxième trimestre de 2011. »

 

« Ces résultats démontrent que nous avons un produit sécuritaire puisque notre vaccin H5N1 a été bien toléré à tous les dosages », a déclaré Nathalie Landry, vice-présidente, Développement de produits, Medicago. « Nous sommes la première technologie novatrice de fabrication de vaccins à démontrer une telle réponse immunitaire à des doses aussi faibles. Ceci est particulièrement important puisque les vaccins H5N1 sont reconnus pour être faiblement immunogènes chez l'humain. Ces résultats indiquent donc que nous disposons d'une plateforme de fabrication de vaccins très solide, et nous sommes impatients de poursuivre le développement clinique de nos candidats vaccins. »

 

« Ces résultats très prometteurs démontrent clairement le potentiel de la technologie novatrice de fabrication de vaccins PPV à base de plantes exclusive à Medicago », a souligné Doug Dean, premier vice-président, Recherche et développement, Philip Morris International. PMI détient actuellement une participation de 33% dans l'actionnariat de Medicago.

 

Résultats intermédiaires de l'essai

 

L'essai a été mené auprès de 135 volontaires sains qui ont reçu l'une des trois différentes doses du vaccin de Medicago, et ce afin de déterminer la dose optimale. Aucun effet indésirable sérieux n'a été signalé au cours de l'essai, le vaccin a été bien toléré par les sujets à toutes les doses, et son innocuité a été démontrée. Les réactions locales signalées au point d'injection ont été légères et comparables entre les groupes recevant le vaccin H5N1. Pour le groupe d'âge de 18 à 49 ans ayant reçu une dose de 20 microgrammes, 82 % des sujets ont développé une réponse immunitaire contre le virus H5N1 après la deuxième injection, 65 % des sujets ont présenté une multiplication par quatre des titres IH en comparaison avec les valeurs initiales, et 65 % des sujets ont montré un titre d'anticorps séroprotecteur approprié.

 

Tous les sujets avaient obtenu des résultats négatifs au test de dépistage d'anticorps contre la souche A/Indonésie du virus H5N1 avant la vaccination, et aucune réponse n'a été observée chez les sujets ayant reçu le placebo. Ces résultats montrent que le vaccin H5N1 de Medicago induit une forte réaction d'inhibition de l'hémagglutination (IHA) par les anticorps contre la souche H5N1. Les anticorps induits par le vaccin H5N1 se sont également révélés capables de réagir à plusieurs souches de la grippe aviaire H5N1, indiquant le potentiel des vaccins de Medicago de procurer une protection croisée. Conformément à la méthodologie initiale, le suivi des effets indésirables va continuer pendant une période de 6 mois suivant l'administration de la deuxième dose du vaccin.

 

En se basant sur les résultats intermédiaires de l'essai de phase II, un comité va choisir la dose optimale qui sera utilisée pour procéder à la partie B de l'essai clinique de phase II du vaccin H5N1. Dans ce second volet de l'essai, 120 adultes en santé recevront soit une injection du vaccin H5N1 à la dose optimale, soit un placebo. Les résultats finaux de ce second volet sont attendus au cours du deuxième trimestre de 2011.

 

À propos du candidat vaccin de Medicago contre la grippe pandémique

 

Le candidat vaccin H5N1 de Medicago a été préparé pour protéger contre la souche indonésienne du virus de la grippe. Il est fabriqué à partir de Nicotiana benthamiana, plante apparentée au tabac, avec la technologie de particules pseudo-virales (PPVs) exclusive de la société. Les PPVs peuvent présenter plusieurs avantages par rapport aux vaccins antigrippaux traditionnels. Elles  ont une structure faite pour reproduire la structure d'un virus, ce qui leur permet d'être rapidement reconnues par le système immunitaire de l'organisme; cependant, leur déficience en matériel génétique les rend non-infectieuses et incapables de se multiplier. De plus, la technologie de Medicago ne nécessite pas d'échantillon du virus vivant, mais simplement la séquence génétique de la souche virale d'intérêt. Cette différence cruciale permet à la société de fabriquer des vaccins dans les quatre semaines suivant l'obtention de la séquence génétique d'une nouvelle souche pandémique, tandis que les technologies de fabrication actuelles, qui nécessitent l'adaptation de la souche pandémique, ne peuvent livrer de vaccin contre cette souche pandémique que dans les six à neuf mois suivant l'apparition de la pandémie.

 

À propos de Medicago inc.

 

Medicago s'est donnée pour mandat de fournir des vaccins très efficaces et compétitifs reposant sur ses technologies de fabrication exclusives à base de particules pseudo-virales. Medicago met au point des vaccins à particules pseudo-virales visant une protection contre une pandémie de grippe H5N1; pour ce faire, elle fait appel à un système d'expression transitoire qui produit des antigènes de vaccins recombinants dans les cellules de plantes non transgéniques. Cette technologie a le potentiel d'offrir des avantages en matière de vitesse et de coûts par rapport aux technologies concurrentes. Elle pourrait permettre de produire un vaccin prêt pour les essais environ un mois après l'identification et la réception des séquences génétiques d'une souche pandémique. Cette rapidité de production permettrait de vacciner la population avant que la première vague d'une pandémie ne frappe, et de fournir de grandes quantités de vaccins sur le marché mondial. Pour obtenir de plus amples renseignements sur Medicago, veuillez consulter le site www.medicago.com.

 

Énoncés prospectifs

 

Ce communiqué contient des énoncés de nature prospective qui reflètent les attentes actuelles de Medicago, assujettis à certains risques et incertitudes découlant des affaires de Medicago et de l'environnement dans lequel la Compagnie évolue. Les énoncés contenus dans les présentes qui ne constituent pas des faits historiques peuvent être interprétés comme étant des énoncés prospectifs. Ces énoncés s'accompagnent fréquemment de termes tels que : « anticiper », « croire », « planifier », « estimer », « prédire », « projeter » et autres termes ou expressions analogues, dans la mesure où ceux-ci sont liés à Medicago ou à sa direction. Les énoncés prospectifs ne sont pas des faits historiques, mais reflètent les attentes actuelles de Medicago relativement à certains évènements ou résultats futurs. Ces énoncés prospectifs sont assujettis à certains risques et incertitudes qui pourraient entraîner des résultats réels différant considérablement de ceux prévus, incluant les éléments discutés dans la section «Facteurs de risques et incertitudes » de la Notice annuelle déposée le 24 mars 2010. Medicago décline toute obligation de mettre à jour ces énoncés prospectifs ou de mettre à jour les raisons pour lesquelles les résultats réels pourraient différer de ceux reflétés par les énoncés prospectifs.

 

Source: CNW.ca 

 

                                        SACHEZ DECODER L'INFORMATION!

TOUBIB

 

 

 Les éléments-clés à retenir sont donc les suivants:

 

 

- Un vaccin contre la grippe aviaire (décidément, ils y tiennent à celle-là!)

 

- Un vaccin dévéloppé toujours plus vite (risque de développement bâclé)

 

- Un vaccin efficace? La course au plus haut taux d'anticorps n'est PAS un gage de protection!

 

- Un vaccin sûr? La firme n'est pas crédible en l'affirmant CAR le nombre de personnes dans les essais cliniques et très insuffisant ET le suivi des effets secondaires, sur seulement 6 mois, est bien trop court (cela aura pour effet de faire passer le vaccin comme plus sûr qu'il ne l'est en réalité)

 

- Un vaccin recombinant, c'est à dire élaboré par génie génétique (technologie OGM), une technologie rejetée, en matière alimentaire, par plus de 90% des citoyens européens en raison de ses dangers.

 

- Un vaccin pour vacciner un maximum de gens avant la prochaine vague pandémique tant attendue avec grosses capacités mondiales de production (prétexte et moyens idéaux pour vacciner les gens de façon contraignante?)

 

- Que vous aimiez ou non la cigarette, le cigarettier Philippe Moris est actionnaire à raison de 33% de Medicago Inc. Ce qui signifie que ce marchand de cigarettes va s'enrichir sur le dos d'un soit-disant "produit de santé"? Allons bon.... il y a une règle assez courante qui dit que les pollueurs se tiennent souvent entre eux et une autre qui dit qu'on ne fait pas un tissu neuf avec de vieux morceaux...

 

 

 

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 01:25

Mais qu'est-ce que c'est encore ce truc? C'est la question que bon nombre de Belges ont dû se poser, il y a peu, en voyant ce reportage aux JT de 13 et 19H de RTL:

 

 

 
 
Remarquez bien que ces ornithologues disent que ce n'est pas à eux de décider quoi faire "en terme de santé publique"...
 
Inutile de dire que si ce sont à des agences comme l'OMS et consorts de se prononcer, on est  pas sortis de l'auberge!
 
Surtout que, hasard du calendrier (?), un tout nouveau vaccin contre le H5N1 vient d'être approuvé outre-Atlantique pour une distribution à large échelle: un vaccin avec un nouvel adjuvant (encore un!) et administré au moyen d'un système de microaiguilles.
 
 
Un seul mot: sérénité MAIS VIGILANCE !
 
Les officiels ont déjà bien assez abusé de la crédulité publique et apporté toutes les preuves qu'on ne pouvait nullement leur faire confiance.

 

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 00:30

MEDICAGO INC.

 

Medicago a été sélectionnée pour collaborer avec l'IDRI dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par le département de la Défense des États-Unis

-Mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire -

-Approuvé pour distribution publique illimitée-

 

QUÉBEC, le 11 janv. /CNW/ - Medicago Inc. ("Medicago") (TSX : MDG), société de biotechnologie spécialisée dans la mise au point de vaccins hautement efficaces à coûts abordables, fondés sur des technologies de fabrication exclusive à base de particules pseudo-virales (PPVs), a annoncé aujourd'hui qu'elle avait été sélectionnée pour collaborer avec l'Infectious Disease Research Institute (IDRI) dans le cadre d'une subvention de plusieurs millions de dollars accordée à l'IDRI par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du département de la Défense des États-Unis, pour la mise au point d'un vaccin à dose unique contre la grippe H5N1 pouvant être administré rapidement et à grande échelle en cas de pandémie de grippe aviaire.

 

Cette importante subvention accordée par la DARPA couvre l'étude clinique de phase I d'un vaccin H5 intradermique contenant l'adjuvant à base d'AGL de l'IDRI. Le projet d'une durée d'un (1) an met en commun la technologie de fabrication de vaccin H5 à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago et la technologie d'adjuvant pour vaccin de l'IDRI, ainsi qu'un dispositif d'administration intradermique à micro-aiguilles. Ces trois technologies de pointe pourraient renforcer l'immunité, réduire la quantité de produit requise et simplifier la distribution et l'administration du vaccin.

 

« Notre collaboration avec l'IDRI et la DARPA témoigne de la qualité et de l'efficacité de notre vaccin antigrippal à particules pseudo-virales », a déclaré Andy Sheldon, président et chef de la direction de Medicago. « Cette collaboration de recherche pourrait contribuer à fournir des solutions uniques permettant d'accélérer la vaccination en cas de pandémie de grippe, tout en utilisant de plus faibles doses de vaccins et un mode d'administration plus simple. Nous continuons de faire progresser le développement clinique de notre vaccin H5 contre la grippe aviaire, pour lequel nous prévoyons obtenir les résultats intermédiaires de la phase II dans les semaines qui suivent.»

 

« La technologie de fabrication de vaccins à particules pseudo-virales à base de plantes de Medicago est l'une des nouvelles technologies les plus prometteuses pour la fabrication des vaccins de prochaine génération. Leur technologie à base de plantes a déjà démontré qu'elle permet de produire des souches émergentes plus rapidement que les technologies traditionnelles utilisant les œufs ou la culture cellulaire », a souligné le DSteve Reed, fondateur et directeur de la recherche et du développement de l'IDRI. « Nous sommes ravis de collaborer avec Medicago, car nous pensons que nos technologies complémentaires pourraient mener à la mise au point de vaccins plus efficaces contre une pandémie de grippe et ainsi contribuer à prévenir les maladies infectieuses dans le monde entier. »

 

Institut de recherche sur les maladies infectieuses (IDRI)

 

L'IDRI est un organisme à but non lucratif établi à Seattle, aux États-Unis, qui vise à mettre en application les innovations de la science au profit de la recherche et au développement de produits visant à prévenir, détecter et traiter les maladies infectieuses dans les pays pauvres. En intégrant les nouvelles technologies, l'IDRI s'efforce de trouver un moyen efficace de mettre en application les innovations scientifiques obtenues en laboratoire pour en faire bénéficier les personnes qui en ont le plus besoin. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez www.idri.org.

 

À propos de Medicago inc.

 

Medicago s'est donnée pour mandat de fournir des vaccins très efficaces et abordables reposant sur ses technologies de fabrication exclusives à base de particules pseudo-virales. Medicago met au point des vaccins à particules pseudo-virales visant une protection contre une pandémie de grippe H5N1; pour ce faire, elle fait appel à un système d'expression transitoire qui produit des antigènes de vaccins recombinants dans les cellules de plantes non transgéniques. Cette technologie a le potentiel d'offrir des avantages en matière de vitesse et de coûts par rapport aux technologies concurrentes. Elle pourrait permettre de produire un vaccin prêt pour les essais environ un mois après l'identification et la réception des séquences génétiques d'une souche pandémique. Cette rapidité de production permettrait de vacciner la population avant que la première vague d'une pandémie ne frappe, et de fournir de grandes quantités de vaccins sur le marché mondial. Pour obtenir de plus amples renseignements sur Medicago, veuillez consulter le site www.medicago.com.

 

Énoncés prospectifs

 

Ce communiqué contient des énoncés de nature prospective qui reflètent les attentes actuelles de Medicago, assujettis à certains risques et incertitudes découlant des affaires de Medicago et de l'environnement dans lequel la Compagnie évolue. Les énoncés contenus dans les présentes qui ne constituent pas des faits historiques peuvent être interprétés comme étant des énoncés prospectifs. Ces énoncés s'accompagnent fréquemment de termes tels que : « anticiper », « croire », « planifier », « estimer », « prédire », « projeter » et autres termes ou expressions analogues, dans la mesure où ceux-ci sont liés à Medicago ou à sa direction. Les énoncés prospectifs ne sont pas des faits historiques, mais reflètent les attentes actuelles de Medicago relativement à certains évènements ou résultats futurs. Ces énoncés prospectifs sont assujettis à certains risques et incertitudes qui pourraient entraîner des résultats réels différant considérablement de ceux prévus, incluant les éléments discutés dans la section «Facteurs de risques et incertitudes » de la Notice annuelle déposée le 24 mars 2010. Medicago décline toute obligation de mettre à jour ces énoncés prospectifs ou de mettre à jour les raisons pour lesquelles les résultats réels pourraient différer de ceux reflétés par les énoncés prospectifs.

 

Renseignements:

 

Contact :

Medicago inc.
Andrew J. Sheldon
Président et chef de la direction
(418) 658-9393

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Medicago inc.
Christina Cameron
Responsable des relations avec les investisseurs
(418) 658-9393 x156

 

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