Des officiels confirment :
la rougeole peut être transmise par des vaccinés
Sayer Ji, Green Med Info - Waking Times, 11 janvier 2016
Une étude remarquable révèle qu’une personne vaccinée peut, non seulement être infectée par la rougeole, mais peut aussi propager la maladie à d’autres personnes déjà vaccinées - Ceci réfute doublement le fait que deux doses du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) soient « efficaces à 99%, comme on le fait croire au public.
Une des erreurs fondamentales au sujet de l’efficacité du vaccin contre la rougeole, est que le fait de recevoir le vaccin ROR équivaudrait à une immunité contre ces agents pathogènes. En effet, il est communément affirmé que recevoir deux doses du vaccin ROR est « efficace à 99% dans la prévention de la rougeole », et ce, malgré un volumineux dossier de témoignages, de preuves du contraire provenant de l’épidémiologie et de l’expérience clinique.
Cette manière erronée de penser a conduit le public, les médias et le gouvernement à attribuer l’origine des épidémies, comme celle qui s’est récemment produite à DisneyLand, à des personnes non-vaccinées, bien que 18% des cas de rougeole se soient produits chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la rougeole – nous sommes loin d’une vaccination « efficace à 99% » ! Le manque évident de fiabilité du vaccin est aussi corroboré par le fait que le CDC exige maintenant deux doses.
Mais les problèmes concernant le manque de fiabilité du vaccin ROR vont beaucoup plus loin. En tout premier lieu, le vaccin comporte de sérieux risques de santé (Nous en avons relevé 25 dans la rubrique: Dangers du vaccin ROR), comprenant également un risque augmenté d’autisme. Un scientifique du CDC a avoué que son Agence l’avait camouflé. En second lieu, non seulement le vaccin ROR ne confère pas toujours l’immunité, mais ceux qui ont été « vaccinés » avec deux doses du vaccin ROR peuvent toujours transmettre l’infection à d’autres – un phénomène que bizarrement personne ne commente, tant l’obsession est grande, en temps d’épidémie, de rejeter la faute sur les non-vaccinés ou ceux qui n’ont pas été suffisamment vaccinés.
Les personnes qui ont reçu le vaccin ROR peuvent malgré tout transmettre la rougeole
L’année dernière, une étude révolutionnaire publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases, dont la paternité comprend des scientifiques travaillant pour le Bureau d’Immunisation du Département de la Santé et de l’Hygiène Mentale de New-York City, le Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires, les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC, Atlanta GA) qui après avoir examiné les documents liés à l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York a pu mettre à jour les preuves que les personnes précédemment vaccinées contre la rougeole, celles qui étaient immunisées par la vaccination, étaient toutes deux capables d’être infectées par la rougeole et de contaminer d’autres personnes (transmission secondaire).
Cette constatation a suscité l’attention des principaux médias, comme en témoigne cet article de Sciencemag.org d’avril 2014 intitulé : « Flambée de rougeole chez des patients complètement vaccinés pour la première fois ».
Et comme ce titre : « Epidémie de rougeole chez des personnes dont l’immunité avait été prouvée, Cité de New-York, 2011 » Cette étude novatrice reconnaissait que: « La rougeole peut survenir chez des personnes vaccinées, mais la transmission secondaire de ces personnes n’a pas été documentée.»
Afin de savoir si les personnes qui acceptent de se faire vacciner contre la rougeole sont susceptibles d’être infectées et de transmettre l’infection à d’autres, les cas suspects et les contacts exposés furent étudiés pendant l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York. Les chercheurs se sont focalisés sur un patient qui avait reçu deux doses du vaccin contre la rougeole et ont constaté ce qui suit :
« Parmi les 88 contacts, on a relevé quatre cas secondaires qui avaient soit reçu deux doses du vaccin contre la rougeole ou qui présentaient des anticorps IgG positifs pour la rougeole. Les recherches de laboratoire, les symptômes cliniques de la rougeole, ainsi que le taux élevé d’anticorps IgG caractéristique d’une réponse immunitaire secondaire ont confirmé l’infection par la rougeole.
La conclusion de ces chercheurs est remarquable :
« Il s’agit du premier rapport de transmission de la rougeole chez un individu vacciné deux fois. Les données cliniques, ainsi que les examens de laboratoire ont montré qu’il s’agissait de caractéristiques typiques de la rougeole chez un individu. Les cas secondaires ont présenté des taux d’anticorps élevés. Aucun cas tertiaire ne s’est produit malgré le nombre élevé de contacts. Cette flambée de rougeole souligne la nécessité d’enquêtes épidémiologiques et de laboratoire approfondies des cas de rougeole soupçonnés, et ce, indépendamment de leur statut vaccinal. »
Avez-vous bien réalisé cela ? Un individu vacciné deux fois au cours d’une épidémie de rougeole à New-York a transmis la rougeole à quatre de ses contacts, dont deux avaient reçu deux doses du vaccin ROR et avaient vraisemblablement des taux IgG d’anticorps protecteurs.
Ce phénomène - le fait que des personnes ayant reçu le vaccin ROR, et qui infectent d’autres personnes ayant aussi reçu le vaccin ROR – a été ignoré par les agences de santé, comme aussi par les médias. Ces données corroborent la possibilité, qu’au cours de l’épidémie de rougeole de Disneyland, les personnes qui avaient précédemment été vaccinées (dont 18% avaient été infectées) ont pu être infectées ou ont pu répandre le virus de la rougeole à partir d’une vaccination, tout en transmettaient la rougeole aussi bien aux non vaccinés qu’aux vaccinés.
Suite au manque d’efficacité du vaccin, Il faut arrêter de jeter le blâme sur les non vaccinés
La morale de cette histoire, c’est qu’il n’est pas correct de blâmer les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants et de leur imputer une responsabilité par rapport à la morbidité ou à la mortalité dues à des maladies infectieuses, alors que la vaccination ne confère pas nécessairement l’immunité et n’empêche pas les vaccinés d’infecter d’autres personnes. En fait, des épidémies se sont produites depuis des dizaines d’années suite à l’échec du vaccin, comme aussi à l’excrétion du virus dans des populations vaccinées à 99%. Il est possible de lire plus de détails sur cette question en consultant l’article : L’épidémie de DisneyLand : un piège pour les ignorants.
[…] Quand une épidémie de rougeole survient, les médias et les Agences de santé se comportent comme s’il avait été démontré, et sans que les preuves en soient apportées, que les personnes touchées par la rougeole étaient insuffisamment vaccinées ou pas vaccinées du tout. Cela semble être le réflexe habituel.
Il devient évident que, dans le débat vacciné/non vacciné, les parties prenantes se doivent d’examiner chaque situation sur base de preuves solides et non en fonction d’une science proclamée ou de plaidoyers d’autorité.
Source : Waking Times