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2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 20:39

Un médecin prend l’engagement de « NE PLUS VACCINER » après avoir assisté au Symposium sur l’autisme à Chicago

Un médecin prend l'engagement de ne plus vacciner après avoir assisté à un symposium sur l'autisme à Chicago

Quand, rarement, la réalité se heurte à des croyances de longue date, il arrive que seuls quelques rares individus  soient épargnés d’un apprentissage très douloureux. Ces réveils ne sont nulle part plus dramatiques que quand ils se produisent au sein d’une communauté médicale contrainte de modifier ses croyances invétérées. Les Etats-Unis et le reste du monde sont en train de vivre une évolution rapide qui les éveille à la dure réalité que les produits pharmaceutiques peuvent mettre la santé en péril, et à la prise de conscience que les vaccins ne sont pas efficaces, ni sans danger. Le mouvement qui entend traiter les causes de la maladie par un régime alimentaire et des méthodes naturelles, ainsi que par une profonde compréhension du fonctionnement du corps ne cesse de se développer. Ce mouvement n’en est pas moins combattu par certains. Cependant, comme c’est le cas pour le Dr Travis Stork (dans « Les médecins ») – et d’innombrables autres qui ne veulent pas faire face à la réalité – leur raisonnement égoïste, leurs éclats de crises de colère  ne servent qu’à illustrer l’absurdité du système conventionnel de santé dont le temps est révolu. Un appui de taille, mais aussi de pardon a été donné au coprésentateur du Dr Stork, le Dr Rachel Ross quand elle a eu le courage de déclarer publiquement ce qui suit à un public de Chicago dont les familles avaient des enfants handicapés par les vaccins :

 

« Regardant maintenant les choses de l’extérieur, j’ai maintenant l’impression de me sentir presque comme un âne…C’est un peu aussi comme si, un jour, vous vous réveilliez en vous imaginant être Dieu ! Je me suis évertuée à suivre aveuglément comme un robot tout ce qui concerne la vaccination sans chercher à disposer de nouvelles informations, de nouvelles données, sans même savoir ce que ces vaccins contenaient…Tout ceci fait partie des raisons qui font que les médecins sont tellement résistants à cette information parce qu’il s’agit en fait de réapprendre et digérer tout ce qu’ils avaient jadis appris, comme aussi de se réconcilier avec les dégâts qu’ils auraient possiblement causés au cours de leur carrière. »

 

Il n’y a pas si longtemps que la quatorzième conférence annuelle sur l’autisme (AutismOne) à Chicago s’est terminée. La marque laissée par les messages d’espoir et les échos révolutionnaires continue à résonner dans toutes les parties de la société, comme dans la communauté médicale. Au carrefour d’une épidémie d’autisme, l’élan grand public commence à mettre en lumière ce qu’ont annoncé les lanceurs d’alerte quant à la corruption et aux dommages causés par les vaccins. Toutes les personnes présentes à la conférence de Chicago ont pu sentir que quelque chose d’énorme était en train de se passer. Au fil de la conférence de cinq jours, des rapports racontant l’histoire de nombreux professionnels de santé qui avaient commencé à circuler, ont fait comprendre au public qu’on lui avait menti.

 

Il est possible que ce soit le succès grand public du film VAXXED qui ait attiré ces médecins, ces infirmières et ces chercheurs désireux de démystifier, une fois pour toutes, les dommages causés par les vaccins, dénoncés par tant de lanceurs d’alerte. C’est ainsi que la plupart des personnes qui assistaient à cette conférence ont, à leur corps défendant, fait l’expérience d’un douloureux et rapide apprentissage.

 

Il est possible que l’éveil du public se soit principalement produit quand le Dr Kalb a assisté à la conférence : Dissecting Whistleblower Documents : A Story of Corruption, (la dissection des documents des lanceurs d’alerte : une histoire de corruption) au cours de laquelle, le Dr Brian Hooker, le Dr Judy Mikovitz et Michael Hugo ont présenté des preuves accablantes et quantités de documents à une salle pratiquement debout qui n’a pas cessé  d’applaudir pendant une heure et demi. Il est aussi possible que quantités de personnes se soient réveillées au cours de la session « questions-réponses » qui a suivi la projection du  film documentaire VAXXED. Peu importe. Ce qui est certain, c’est que le Dr Kalb ne sera plus jamais le même médecin de famille. La preuve de sa transformation est le document qui a été rendu public et qui dit : « Plus jamais de vaccins à la Médecine Familiale de Cool Springs »

 

Dans le document, « Cool Springs Family Medicine » présente huit raisons pour lesquelles  les soignants ne feront plus vacciner leurs patients.

 

Le document rendu public conclut par ces mots :

 

« …Comme je l’ai toujours fait, et comme c’est ma responsabilité en tant que médecin de famille, je serai, le mieux que je pourrai, le défenseur de chacun de mes patients. Je continuerai toujours à respecter les choix éclairés de mes patients. »

 

 

Nous avons tous, au cours de notre vie vécu des événements si puissants qu’ils laissent une impression permanente. Dans ces cas, il y a toujours un avant et un après. Une fois que pareil événement est gravé dans notre âme, il nous devient impossible de comprendre pourquoi nous n’avons pas pu voir clair plus tôt. La communauté médicale, et toutes les personnes touchées par son influence, sont en train de connaitre un réveil rapide vers une conscience plus élevée et la véritable guérison. Il appartient à la masse critique de l’opinion publique de soutenir avec pardon et amour ceux qui se trouvent encore au sein de ce système médical étroitement contrôlé et qui veulent se lever pour sortir de ce sombre âge médical et prendre distance de toutes ces forces qui en sont responsables.

Un médecin prend l'engagement de ne plus vacciner après avoir assisté à un symposium sur l'autisme à Chicago

Source: Jeffereyjaxen

 

 

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commentaires

U
soyez prêt....ca a commencé......<br /> <br /> <br /> <br /> http://laveritenevouplairapa.my-free.website/book
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B
Oui on dit aussi qu'il y avait des groupes qui n'étaient jamais vaccinés pendant que d'autres l'étaient de façon répétée. Il est exact que c'est écrit comme il est aussi écrit :<br /> <br /> <br />  "Observations au cours des prospections spéciales au Rajasthan ( Dr Mahendra Singh)"  <br /> « Nous avons trouvé une transmission active avec une couverture vaccinale certifiée de 97% »<br /> <br /> Ce texte se trouve dans [1] en bas de la page 16 alors qu'il avait aussi été affirmé et écrit qu'une couverture vaccinale à 80% permettrait de stopper la transmission.<br /> Cet auteur ajoute :<br /> <br /> « Comme il est difficile de contacter et de vacciner chaque personne pour obtenir une couverture vaccinale complète à 100%, l'importance de la surveillance, les notifications précoces et la prompte mise en place des mesures de confinement est le SEUL moyen pour arrêter la transmission de la maladie »<br /> <br /> Il reconnaît donc explicitement que pour arrêter la transmission il fallut recourir aux mesures de confinement et que sans cela on n'aurait pas pu vaincre la variole.<br /> <br /> Il admet aussi sans aucune preuve que si on avait pu vacciner à 100% on aurait aussi stopper la propagation. Même en admettant a priori que ça aurait marché, ce ne fut pas ainsi sur le terrain.<br /> <br /> Ceci dit, si vous voulez ''prouvez'' que la variole a été vaincue par la seule vaccination, c'est très simple : allez sur la page d'accueil variole du site de l'OMS [2]. Trois très petits paragraphes à lire, c'est tout et vous aurez, au troisième :<br /> <br /> « Suite à une campagne de vaccination mondiale menée par l’OMS, la variole a été déclarée éradiquée en 1980. » <br /> <br /> C'est simple, rapide, percutant et vous pourrez brandir cela à plaisir sans avoir à vous fatiguer beaucoup mais c'est totalement faux. Par exemple, parmi bien d'autres il y a ceci dans le rapport de 1980 par la commission de certification, page 22 [3]:<br /> <br /> «Dès lors que les varioleux étaient isolés dans une enceinte où ils n’avaient de contacts qu’avec des personnes correctement vaccinées ou précédemment infectées, la chaîne de transmission était rompue. En identifiant et en isolant immédiatement les contacts qui tombaient malades, on dressait un obstacle à la poursuite de la transmission.» <br /> <br /> Cette citation devrait être suffisante pour démontrer qu'il n'y a pas eu que de la vaccination contrairement à ce que laisse croire la citation de la page d'accueil de l'OMS. La première citation rapportée ici montre que ces actions furent lancées après avoir constaté l'échec des campagnes généralisées de vaccination, même avec 97% de vaccinés authentifiés. <br /> <br /> Cela montre qu'il faut étudier l'ensemble des documents disponibles, les comparer, constater les contradictions et les incohérences entre les documents ou au sein du même document. Ce travail n'a rien à voir avec le jeu formel simpliste auquel vous vous livrez et que vous voudriez présenter comme le sommet de la réflexion alors qu'il n'en est que la caricature. <br /> Une vraie réflexion sur l'éradication de la variole ne peut se ramener à une bataille de citations, ce devrait être clair. L'admettrez-vous enfin ?<br /> <br /> <br /> [1] http://whqlibdoc.who.int/smallpox/SE_WP_70.12.pdf <br /> <br /> [2] http://who.int/topics/smallpox/fr/ <br /> <br /> [3] http://whqlibdoc.who.int/publications/a41464_fre.pdf
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I
@bernard, malgré votre propension à converser en dehors des clous, je continuerai à répondre sous le message original afin qu'il soit plus facile au lecteur de suivre la conversation.<br /> <br /> Ma réponse se trouve donc sous le message que vous adressez à Guidez pour lui expliquer les défauts de la couverture vaccinale en vous appuyant sur un texte qui ne parle pas de la couverture vaccinale.
B
@ Guidez<br /> <br /> Voici ce qu'écrivait le directeur du programme d'éradication de la variole à l'OMS Donald Henderson en 1976 quand il tirait les enseignements de l'expérience de l'éradication [1] page 10. Vous noterez qu'il n'applique pas son propos uniquement à la variole :<br />  <br />  «Le plus important est de reconnaître que les progrès réalisés dans un programme de lutte contre une maladie peuvent être appréciés en terme d'incidence de cette maladie.  Nous avons constaté, jusqu'à une date très récente, que les autorités sanitaires, la presse et le public dans leur ensemble ont cherché à évaluer les progrès réalisés en premier lieu d'après le nombre de vaccinations effectuées. Lorsqu'une épidémie se produisait, … l'attention était surtout dirigée vers les chiffres de la vaccination. Si ceux-ci étaient élevés on en concluait que le programme se déroulait bien.<br />  <br />  La mesure des progrès réalisés d'après le nombre de vaccinations effectuées semble être un échec trop fréquent des programmes de vaccination aujourd'hui aussi bien dans les pays développés qu'en voie de développement. »<br /> <br /> On pourrait dire que l'obsession de la couverture vaccinale, en détournant l'attention et les efforts des autres moyens de lutte, fut à l'origine de l'échec du programme d'éradication de la variole dans sa première phase. Après l'échec, la recherche active des malades et des contacts ainsi que leur isolement a permis le succès. Il n'y a plus guère de doute à ce sujet. Les tentatives pour continuer à soutenir que ce serait la vaccination seule qui aurait permis l'éradication sont des tentatives d'arrière garde que l'histoire ne pourra retenir.<br /> <br /> Avec des différences dans le détail, on a un problème analogue avec la tuberculose et le BCG. Pour lutter efficacement contre cette maladie il faut rechercher activement les malades, les soigner (ce qui n'était pas possible avec la variole), isoler les cas les plus contagieux ou à bacilles multirésistants et rechercher les contacts pour les surveiller. Il est reconnu que le BCG n'a aucune action sur la propagation de la maladie.<br /> <br /> La couverture vaccinale c'est un peu la ligne Maginot.<br /> [1 ] Les enseignements de l'éradication par Henderson<br /> http://whqlibdoc.who.int/smallpox/WHO_SE_75.76_fre.pdf
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I
"Oui on dit aussi qu'il y avait des groupes qui n'étaient jamais vaccinés pendant que d'autres l'étaient de façon répétée. Il est exact que c'est écrit comme il est aussi écrit : ... [ad libitum]"<br /> <br /> Auparavant vous aviez répondu à Guidez en vous appuyant sur un extrait qui parlait des principes qui pourraient être applicables aux programmes de surveillance de toutes les maladies infectieuses. Cet extrait, n'était pas spécifique à la variole. Cependant, il a été constaté que vous aviez utilisé ce texte pour tirer une conclusion qui n'est pas dans le texte (C'est un non sequitur).<br /> <br /> En réponse à cette constatation, votre dernière diatribe porte spécifiquement et exclusivement sur la variole et n'a aucun rapport avec le commentaire de Guidez ou la réfutation de votre propre commentaire, qui reste avérée. Si vous voulez parler variole, souvenez-vous qu'il reste de nombreux points en suspens dans une conversation qui lui est entièrement dédiée:<br /> <br /> http://initiativecitoyenne.be/article-variole-le-mythe-de-la-vaccination-eradicatrice-s-informer-avant-que-cela-ne-recommence-120061508.html<br /> <br /> Vous y affirmez que l'OMS aurait réécrit l'histoire à posteriori et en secret, nous décrivant donc un complot. Si vous le souhaitez, vous pourrez y coller votre dernier message, auquel je suis impatient de répondre, et nous reprendrons le fil de ces affirmations qui n'ont rien à voir avec la présente conversation.<br /> <br /> L'objection de votre part faite à Guidez reste, quant à elle, invalide.
I
"On pourrait dire que l'obsession de la couverture vaccinale, en détournant l'attention et les efforts des autres moyens de lutte, fut à l'origine de l'échec du programme"<br /> <br /> Vous faites erreur dans la mesure ou ce n'est pas ce que dit l'extrait que vous avez recopié.<br /> <br /> L'extrait dit que c'est une mauvaise idée de se baser sur le nombre de vaccinations. Votre conclusion concerne la couverture vaccinale. Ce n'est pas la même chose.<br /> <br /> Le nombre de vaccinations est un CHIFFRE BRUT. On ajoute 1 pour chaque vaccin utilisé. La couverture vaccinale est le POURCENTAGE de personnes vaccinées. Vous auriez pu constater cette différence par vous-même, malheureusement vous avez omis de recopier la partie qui note qu'il peut y avoir un grand nombre de personnes qui ont été vaccinées de façon répétées et beaucoup d'autres pas du tout. C'est un commentaire qui ne peut s'appliquer à la couverture vaccinale.<br /> <br /> En clair: Ce que dit cet extrait ne s'applique pas au commentaire de Guidez, et votre propre commentaire n'est pas soutenu par cet extrait.
G
Ne pas être vacciné au milieu d'une population vaccinée, c'est profiter des autres qui font barrière à l'extension de la maladie. Etendre la "non-vaccination" c'est la porte ouverte à de nouvelles pandémies.
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I
"Et vous, allez donc expliquer aux survivants en quoi la baisse de la mortalité est mauvaise pour eux."<br /> <br /> C'est très exactement les remarques de ce genre qui vous décrédibilisent totalement.<br /> <br /> On vous dit que "la mortalité est un mauvais indicateur", vous en déduisez que j'affirme que "la baisse de la mortalité est mauvaise".<br /> <br /> On vous dit que "prendre la température des pieds est un mauvais indicateur de fièvre", vous en déduisez que j'affirme que "faire baisser la fièvre est mauvais".<br /> <br /> <br /> "Concernant la figure 5, il va falloir m'expliquer [...] Se pourrait-il que le vaccin les ait tués"<br /> <br /> Vous prenez donc un graphique qui ne peut logiquement être influencé par la vaccination et dans un nouvel argument par ignorance vous postulez que peut être quand même on sait jamais.<br /> <br /> Avec la même logique, vous pouvez également vous pencher sur le pic des années 30 qui ne peut logiquement être influencé par la vaccination. Mais bon, peut-être quand même on sait jamais.<br /> <br /> <br /> Suit une anecdote personnelle qui n'a d'autre fonction que de nous dire que vous n'aimez pas qu'on montre de façon méprisante à quel point vous avez tort, et que l'on ne pourra que comparer, dernier message inclus, à votre façon méprisante d'avoir tort.
D
"une intervention qui explique pourquoi la mortalité est un mauvais indicateur "<br /> Et vous, allez donc expliquer aux survivants en quoi la baisse de la mortalité est mauvaise pour eux.<br /> La morbidite, ils s'en foutent, s'ils survivent.<br /> Pour eux, ce qui compte c'est de vivre et qu'un maximum s'en sortent.<br /> Et de vos ratiocinations, ils se moquent éperdument.<br /> Concernant la figure 5, il va falloir m'expliquer pourquoi les malades meurent deux fois plus sur huit ans après l'introduction du vaccin, tandis que la morbidité diminuait. Se pourrait-il que le vaccin les ait tués d'une façon ou d'une autre? Bref, ceux-là n'ont rien eu à attendre du vaccin, et cette hausse est parfaitement inexplicable.<br /> Vous savez, il y a 50 ans, j'ai commencé à fréquenter le milieu médical, et les grands patrons, selon le cursus. Je les ai retrouvés en tant que correspondants dans les cliniques et les hopitaux, et parmi les spécialistes avec qui j'ai travaillé. <br /> La chose s'est toujours trouvée vérifiée depuis: plus ils étaient pédants, suffisants, traitant avec mépris tout ce qui tournait autour d'eux, et plus ils étaient mauvais, selon une droite parfaitement ascendante.<br /> Je dis ça parque votre ton supérieur, votre mépris affiché de tout ce qui n'est pas vous, donne véritablement envie de vous filer des baffes, à moi comme à l'ensemble des lecteurs, tachez d'en prendre conscience avec rationalité.<br /> Et je crois que je peux rapprocher vos manières de celles de ces patrons, et parmi eux des plus mauvais.<br /> Contentez-vous d'être un assassin, et cessez d'être un assassin mal élevé.
I
"L'interprétation sous vos deux graphiques est d'une spéciosité à toute épreuve."<br /> <br /> Regardez vous vous essayer à l'analyse critique. Je suis très fier de vous, vous répétez les expressions des grandes personnes, comme "Notez que j'utilise VOS graphes", c'est tout à fait attendrissant.<br /> <br /> Je vais relever quelques unes des 2 ou 30 petites approximations de votre part, afin que vous puissiez progresser, mais surtout ne vous en voulez pas trop s'il ne reste rien de concret dans votre intervention. C'est un début.<br /> <br /> <br /> <br /> La grande majorité de votre intervention se résume en substance à dire: "Ah ben le vaccin y sert à rien, vu que la mortalité avait déjà super trop baissé avant".<br /> <br /> Vous répondez à une intervention qui explique pourquoi la mortalité est un mauvais indicateur par un argument qui parle des chiffres de la mortalité. C'est tout à fait irrationnel.<br /> <br /> C'est comme si on vous disait que vous n'avez plus du tout d'argent à la banque, et que vous répondiez "Ah ben si je suis si pauvre, comment que ça se fait que je dépense autant d'argent !?"<br /> <br /> TOUS les arguments ou vous entendez démontrer qu'en fait la courbe des décès est la preuve que les vaccins ne sont pas efficaces sont invalides, puisque JUSTEMENT, cet article explique pourquoi ce n'est pas une valeur fiable. Si vous entendez réfuter cet argument, vous DEVEZ dire en quoi ce serait au contraire une valeur fiable et en quoi les arguments qui montrent que ce n'est pas le cas sont faux.<br /> <br /> Dans tout votre message, il n'y a rien de la sorte.<br /> <br /> <br /> <br /> "Cette figure 5 est d'ailleurs en parfaite contradiction avec la figure 2, vraiment trop belle pour être vraie."<br /> <br /> Les graphes ne sont pas contradictoires, ils sont différents.<br /> <br /> L'un des graphes présente le taux de mortalité de la population, l'autre présente le taux de mortalité des personnes infectées. Ces valeurs ne sont pas corrélées (ce sont des pourcentages, souvenez vous).<br /> <br /> C'est comme si vous disiez "Ah ben regardez le pourcentage des ventes de voitures électriques et le pourcentage des ventes de voitures électriques qui tombent en panne. Les chiffres y sont trop contradictoires !"<br /> <br /> <br /> <br /> "On trouve même sur la figure 5 que la mortalité a augmenté de 63 à 72, comme si les vaccins avaient cassé la courbe descendante de mortalité, ce que je crois volontiers."<br /> <br /> Le graphe 5 montre le taux de décès des personnes INFECTÉES. C'est une valeur qui, par construction, ne peut être influencée par les vaccins. C'est là tout son intérêt, comme l'explique l'article que vous n'avez visiblement pas lu.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> "C'est introuvable. Parce que si, comme je le crois [...] alors [...]"<br /> <br /> Un bel exemple d'argument par ignorance: Vous n'en savez rien, donc vous avez raison.<br /> <br /> Encore une fois, rappelons que vous répondez à une intervention qui explique pourquoi la mortalité est un mauvais indicateur par un argument qui parle des chiffres de la mortalité. C'est tout à fait irrationnel.<br /> <br /> <br /> <br /> "Notez que j'utilise VOS graphes"<br /> <br /> Je sens mon cœur s'emplir de joie en vous voyant vous identifier à moi. Notez que c'est un argument qui n'a d'utilité que lorsqu'on entend démontrer qu'il y a une différence entre une affirmation et la source qui soutient cette affirmation, ou lorsque l'interlocuteur voudrait émettre un doute sur la fiabilité de cette source. Vous n'utilisez pas cet argument comme il faut, mais c'est tellement mignon.<br /> <br /> <br /> "Sinon, je conseille cette lecture [...] qui montre clairement [...]"<br /> <br /> Ce qu'on voit clairement, c'est que des preuves sont censées être apportées par des graphiques qui n'existent pas. Le passage sur la "transmission épigénétique transgénérationnelle d’information" est hilarant. N'hésitez pas à insister sur le sujet, ça me donnera l'occasion de détailler.<br /> <br /> <br /> <br /> Aucun de vos arguments ne mentionne ce que je dis dans mon commentaire: Le nombre d'infections d'une population est un indicateur plus fiable que la mortalité.<br /> <br /> Notons que c'est également la conclusion du lien que VOUS avez donné et que je vous invite à lire à l'occasion:<br /> <br /> "L’incidence est le meilleur indicateur : Les vaccins sont faits pour prévenir la contraction de la maladie, ainsi leur efficacité est directement représentée par le taux de maladie (morbidité). Si les vaccins étaient destinés à soigner les maladies, alors on verrait leur efficacité transparaître à travers le nombre de cas mortels de la maladie en question. Mesurer l’efficacité d’un vaccin en regardant une courbe de mortalité revient à mesurer l’efficacité d’un moyen contraceptif en regardant un taux d’avortement ; cela ne reflète qu’une petite part de ce qu’on cherche, noyée au milieu d’autres paramètres influents."<br /> <br /> <br /> <br /> Dans votre analyse critique vous n'avez rien relevé de concret, mais ce n'est pas grave. Mon cœur est empli de fierté. Ils grandissent si vite.
D
L'interprétation sous vos deux graphiques est d'une spéciosité à toute épreuve.<br /> Ainsi, entre 1915 et 1963, on est passé naturellement de 12 morts pour 100.000 à 0,2, soit une diminution de 98,5%.<br /> Ensuite, après le vaccin en 1963, on est passé de 0,2 à près de zéro, et il faudrait applaudir le vaccin?<br /> Ah, si le vaccin avait été introduit en 1915, vous auriez pu applaudir et produire votre graphe avec fierté.<br /> Mais là, on peut parler des carabiniers, qui arrivent quand la bataille est finie.<br /> Et ce ne sont pas les élucubrations sur ordre du reste de votre article qui vont convaincre qui que ce soit.<br /> On trouve même sur la figure 5 que la mortalité a augmenté de 63 à 72, comme si les vaccins avaient cassé la courbe descendante de mortalité, ce que je crois volontiers. Cette figure 5 est d'ailleurs en parfaite contradiction avec la figure 2, vraiment trop belle pour être vraie. Notez que j'utilise VOS graphes.<br /> On manque de données sur la généralisation du vaccin antirougeoleux à partir de 1963. Quelle proportion de la population a été vaccinée dans les premières années? C'est introuvable. <br /> Parce que si, comme je le crois la montée du taux de vaccination a été très progressive, alors la chute brutale de la mortalité résiduelle ne s'explique pas par le vaccin. D'ailleurs il ne s'est rien passé entre 1963 et 1965, dernier pic relevé.<br /> https://theierecosmique.com/2015/09/28/trad-les-courbes-qui-revelent-tout-sur-lefficacite-des-vaccins/<br /> Le MMR est arrivé en 1971 quand la courbe était tout en bas, et n'a rien changé.<br /> Mais notre spécialiste IR va bien nous trouver cette donnée manquante dans les archives de son labo.<br /> Sinon, je conseille cette lecture:<br /> http://www.neosante.eu/vaccin-de-la-rougeole-chronique-dune-catastrophe-annoncee/<br /> qui montre clairement que la vaccination recule l'âge de la rougeole après l'age adulte où elle est deux fois plus mortelle, qu'elle empêche l'immunité des mères, qui ne peuvent la transmettre à leur bébé, lesquels attrapent la rougeole avant un an où elle est quatre fois plus mortelle.<br /> Beau résultat des apprentis-sorciers, nous serons bientôt une population extrêmement faible face aux maladies, si on n'arrête pas le massacre, et si on nous empêche de nous immuniser naturellement.
I
"Pour de nombreuses maladies, et dans plusieurs pays, la mortalité diminuait déjà fortement bien avant que les vaccinations de masse ne commencent"<br /> <br /> Le nombre de décès est un indicateur trompeur et les spécialistes leurs préfèrent le nombre d'infections. Notons que c'est également ce que dit le document de l'OMS que Bernard a recopié un peu plus haut: "Le plus important est de reconnaître que les progrès réalisés dans un programme de lutte contre une maladie peuvent être appréciés en terme d'incidence de cette maladie."<br /> <br /> https://thelogicofscience.files.wordpress.com/2015/07/infection-rate1.jpg<br /> <br /> On constate que le nombre d'infections ne baisse pas avant l'introduction de la vaccination, ce qui infirme les hypothèses alternatives généralement avancées comme par exemple l'amélioration des mesures d'hygyène. Avant la vaccination, il n'y a pas de moins en moins de gens malades mais il y a de moins en moins de gens qui meurent, comme on peut s'y attendre compte tenu de l'amélioration des pratiques médicales.<br /> <br /> Si vous voulez savoir plus en détail, François, pourquoi ce que vous dites est vrai ET ne dit rien de pertinent sur l'efficacité des vacins, je vous conseille le lien suivant:<br /> <br /> https://thelogicofscience.com/2015/07/05/yes-vaccines-did-save-us-from-disease-a-graphic-analysis/
B
@ Eglise Rationnelle<br /> <br /> Vous croyez sérieusement ce que vous dites quand vous voulez me faire dire ou penser : « c'est vrai quand le gouvernement dit que c'est faux". Vous vous fichez de qui ? De moi, des lecteurs ? Peu importe.<br /> <br /> Quand vous dites qu'il serait donc rationnel de dire qu'après avoir annoncé qu'il ne vaccinerait plus, ce médecin se ravise parce qu'il a supprimé l'article où il l'avait déclaré, si j'ai bien compris l'histoire. Mais il se ravise de quoi ? D'avoir décidé de ne plus vacciner ou de l'avoir publiquement déclaré ? Dans le premier cas il aurait sans doute écrit un article pour dire explicitement qu'il continuerait de vacciner. Le plus vraisemblable semble donc être qu'il s'est seulement ravisé de l'avoir annoncé. Que vous ne précisiez pas de quoi il s'est ravisé n'est pas très rationnel, c'est le moins qu'on puisse dire et c'est exactement ce que j'avais dit et voulu dire, tout le monde le comprendrait instantanément sauf vous.<br /> <br /> J'ai raconté ici-même la confidence que m'avait faite un médecin aujourd'hui à la retraite. Il n'a jamais vacciné par le BCG alors qu'il était obligatoire. Une maman tenait absolument à ce que son enfant reçoive ce vaccin. Il a multiplié les explications, en vain. Alors, devant la maman, il va vacciner l'enfant avec le Monovax (bague multipuncture et non intradermique comme maintenant). Il interpose un coton et essuiera bien au cas où du produit serait passé à travers.<br /> <br /> A l'époque de la vaccination antivariolique, certains disaient attendre que le vaccin soit périmé afin qu'il soit moins actif.<br /> <br /> Vous voyez qu'on peut faire manifester plus ou moins semblant de vacciner. Certains mettent quart de dose.
Répondre
I
@bernard, malgré votre propension à converser en dehors des clous, je continuerai à répondre sous le message original afin qu'il soit plus facile au lecteur de suivre la conversation.<br /> <br /> Ma réponse se trouve donc sous le message ou j'explique que le médecin qui avait pris l’engagement de ne plus vacciner avait supprimé son engagement avant même que le présent article ne soit écrit, ce qui justifie de modifier le titre:<br /> <br /> Un médecin prend l’engagement de « NE PLUS VACCINER », puis « SE RAVISE ET SUPPRIME SON MESSAGE »

                    

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