Un enfant endommagé par les vaccins a été médicalement kidnappé parce que ses parents refusaient les produits chimiques toxiques de l’hôpital et avaient choisi une nourriture bio
Par Christina England, Health Impact News, 29 mai 2017
Chase Walker-Stevens
Le 19 mai 2017, Chase Walker-Stevens dont la santé avait été endommagée par les vaccins (Paralysie grave et épilepsie) a été arraché de force à ses parents parce que ces derniers avaient choisi de sevrer leur fils de tous les produits pharmaceutiques et de traiter ses problèmes de manière holistique.
Dans la vidéo qui a été prise quelques minutes après que Chase lui fut arraché, son papa, Marc Stevens était en pleurs quand il racontait à ses amis et supporters comment la police s’était engouffrée dans l’hôpital, l’avait enfermé dans la salle de bains et avait arraché Chase des bras de sa maman, avant de l’arrêter elle aussi.
Nous avons pu être les témoins de la manière dont la famille et les supporters ont été aspergés au poivre par la police alors qu’ils assistaient à la scène d’enlèvement de Cini, la maman qui se débattait en hurlant.
Selon les rapports, la naissance de Chase avait été tout à fait normale. On lui injecta de la vitamine K dans les minutes qui suivirent. Endéans les deux heures, Chase commença à faire des crises d’épilepsie. Le médecin qui l’examina posa le diagnostic de choc anaphylactique, une réaction allergique grave pouvant s’avérer mortelle suite à l’injection de vitamine K. Quelques jours plus tard, Chase reçut une ou deux doses du vaccin contre l’hépatite B.
Meryl Dorey, représentante de l’Australian Vaccine Network (AVN), précise que les crises se sont aggravées après que les vaccinations aient été administrées.
Madame Dorey explique à Health Impact News :
Chase qui fut vacciné selon le programme officiel a vu ses crises s’aggraver et se faire hospitaliser après chaque série de vaccins. A ce jour, il a reçu 27 vaccins des 31 prévus par le programme officiel.
Après avoir reçu ses vaccins, les médecins diagnostiquèrent chez Chase une paralysie cérébrale et des troubles épileptiques. Selon les rapports publiés dans la presse, et jusqu’à tout récemment, Chase faisait approximativement jusqu’à 100 crises d’épilepsie par jour. Ce nombre de crises a évidemment provoqué des dégâts au cerveau.
La maman croit que l’hôpital est à 100% responsable des dommages de santé dont son fils a été affecté.
Depuis qu’il a reçu ses vaccins Chase fait des crises d’épilepsie incontrôlables et souffre de paralysie cérébrale.
Dans un document de 1997 intitulé : L’histoire biaisée du DTC, son auteur, le Dr Harold Stearley a écrit :
Il n’est pas question de nier que le vaccin DTC sauve des vies ; les décès annuels par coqueluche sont tombés de 1.000 par an à moins de 10.
Malheureusement, comme il fut rapporté par le National Vaccine Information Center (NVIC), le type de vaccin utilisé et autorisé par le CDC tue lui aussi quelque 900 enfants par an et provoque des dégâts cérébraux permanent chez un enfant sur 62.000. Ces risques sont-ils vraiment acceptables ?
Le Dr Stearly poursuit :
En 1977, le chercheur britannique, le Dr Gordon T.Stewart de l’Université de Glasgow a étudié les effets secondaires du vaccin DTC et a évalué le rapport bénéfices/risques pour les enfants du Royaume-Uni. Sa recherche a montré que d’autres symptômes pouvaient aussi se produire : accès de hurlements, état de choc, absence de réactions, vomissements, paralysies et convulsions.
Parmi les 160 cas de complications qu’il eût à examiner, 40% avaient trait à de l’hyperkinésie (état d’hyperactivité en relation avec un dysfonctionnement cérébral), à des spasmes infantiles, des cas de paralysie flasque, des cas de graves retards mentaux.
Il put déterminer que les effets secondaires des vaccins étaient gravement sous rapportés ou même complètement négligés, que la protection contre la maladie était du domaine du possible chez les bébés, que l’affirmation des officiels précisant que les risques de la coqueluche étaient plus importants que ceux de la vaccination était très discutable. Il a pu estimer que le risque transitoire de dommage cérébral ou de troubles mentaux apparaissait chez 1 enfant sur 10.000 vaccinés, et que le risque de dommage cérébral irréversible s’observait chez un enfant sur 20.000 à 60.000 enfants vaccinés.
Les médecins ont conseillé aux parents de Chase de rentrer à la maison et de s’occuper des préparatifs pour les funérailles !
Cette information fut reprise dans un excellent article publié dans l’Australian National Review. L’article précisait :
A peine 2 mois après sa dernière série de vaccins, les médecins diagnostiquèrent chez Chase une infection pulmonaire. Il fut à nouveau admis à l’hôpital où il passa une semaine aux soins intensifs. Selon Cini, c’est à ce moment que les médecins lui expliquèrent, ainsi qu’à Marc, son mari qu’ils devaient rentrer chez eux et s’occuper des préparatifs pour les funérailles. Mais, heureusement, Chase parvint à s’en sortir. C’est à ce moment que Cini et son mari ont commencé à se méfier des conseils que leur donnaient leurs médecins et qu’ils décidèrent que Chase ne serait plus jamais vacciné.
Jusqu’alors, bien que Chase ait reçu toute l’attention des experts médicaux que son état réclamait, les parents ne purent accepter la sentence de mort prononcée par les médecins, et décidèrent de changer complètement le type d’alimentation (qui comportait pas mal de toxines) que l’hôpital administrait par sonde gastrique à leur fils, au profit d’une nourriture biologique réduite en purée.
Le traitement du Dr Katelaris
Le traitement du Dr Katelaris s’est révélé être un succès étant donné qu’il parvint à réduire les 100 crises journalières à 4 crises par semaine. Les parents de Chase ont raconté aux journalistes que le petit recommençait à rire, à parler, à saisir des objets pour la première fois depuis qu’il avait reçu sa série de 18 vaccins.
Ce fait a été rapporté dans The Australian National Review.
A l’époque où Chase faisait encore 100 crises par jour alors qu’il était sous médicaments contre ses crises d’épilepsie, ses parents ayant eu vent des succès que le cannabis médicinal opérait, se décidèrent à adopter cette forme de traitement. En quelques jours, les crises diminuèrent singulièrement. Alors que Chase ne prenait plus aucun des médicaments qui avaient été prévus pour son état, les crises d’épilepsie finirent par disparaitre complètement.
Alors qu’une personne saine d’esprit aurait pu imaginer que le personnel de l’hôpital n’aurait pu que se réjouir de la remarquable amélioration de l’état de santé de Chase, ses parents durent se battre pour la garde de leur enfant vis-à-vis de plusieurs organismes de protection de l’enfance. Le staff de l’hôpital avait prétendu que Chase risquait un arrêt cardiaque parce qu’il avait perdu du poids et ne recevait plus son cocktail de toxines médicamenteuses via sa sonde gastrique […].
L’hôpital voulait absolument remettre Chase sous médicaments en le nourrissant comme précédemment, tout en supprimant la médication à base d’huile médicale de cannabis. Comme tout un chacun pourra aisément le comprendre, Marc et Cini refusèrent la proposition de l’hôpital. Les conséquences de ce refus ne se firent pas attendre : 9 tentatives de kidnapping médical et deux recours devant les tribunaux. En fin de compte tout finit par s’arranger en faveur de la position des parents.
Les parents, Marc et Cini ont adopté une nourriture biologique à base de fruits et de légumes biologiques, ainsi qu’un traitement à base d’huile médicale de cannabis. Ce traitement mit fin aux 100 crises que l’enfant vivait chaque jour de la semaine.
Les photos qui suivent montrent les changements qui se sont produits dans la santé de Chase. Mais, en dépit des soins extraordinaires que ces parents courageux ont pu donner à leur enfant, et malgré toutes les améliorations qui se sont manifestées, ces merveilleux parents aimants ont été traités comme des criminels.
Source: Health Impact News