Incapable de répondre à ses propres exigences, l'Etat préfère exclure Luna de l'école...
Depuis 2008, le vaccin obligatoire DTP n'est plus en vente en France. L’État a peur de libérer les Français de l'obligation vaccinale. De plus, l’État s'est dégagé de toute responsabilité en cas d'accident vaccinal si vous avez accepté d'utiliser un vaccin avec une valence non obligatoire, comme celle contre la coqueluche par exemple. Donc, comme pour les enfants Guéret en Isère, l'académie de Nantes, en bon petit soldat, exclut les enfants qui ne sont pas dans la possibilité de satisfaire à une obligation vaccinale rendue impossible. À quand l'ouverture des centres de détention pour les non vaccinés? Il faut savoir que seuls les enfants scolarisés sont soumis à une telle obligation; les enseignants, les personnels travaillant dans les établissements scolaires n'ont aucune obligation vaccinale.
Il est évident qu'en France, les virus atteignent uniquement les élèves, ils ont trop peur des adultes.
L' U.N.A.C.S a décidé de soutenir ces parents qui ont choisis de ne pas faire de faux certificat de vaccination, comme cela se fait de plus en plus dans notre Pays. Les parents de LUNA n'ont pas d'autres choix que d'aller en justice pour faire respecter le droit de liberté thérapeutique voté par des politiques qui refusent encore de modifier les textes d'obligation vaccinale, par peur, par lâcheté où par intérêt personnel... à vous de voir...
Alors aidez LUNA à retrouver le chemin de l'école. Vous pouvez écrire à M. le RECTEUR, Rectorat de Nantes 4, rue de la Houssinière - BP 72616 - 44326 Nantes CEDEX 03.
Envoyez vos dons : U.N.A.C.S, soutient LUNA , 4 rue des haut pavés 44000 Nantes
Source: Info Santé Pays d'Auge
En France, en effet, l’ancien vaccin DTP (diphtérie-tétanos-polio) sans aluminium a été retiré du commerce en 2008 sous de fallacieux prétextes d’allergies, de façon à forcer la main aux parents pour qu’ils acceptent des vaccins plus chers et donc plus intéressants pour les pharmas mais aussi plus combinés, c'est-à-dire avec plus de valences. Comme le vaccin DTP Revaxis est riche en aluminium et qu’il n’a pas d’autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans, les parents de jeunes enfants se retrouvent donc obligés d’accepter au minimum le vaccin tétravalent (avec la coqueluche) s’ils veulent satisfaire à l’obligation « légale ». On se retrouve donc face à un énorme chantage et un énorme abus de droit auquel les politiques ne font rien et qui ferait de facto tomber sur le champ le moindre gouvernement s’il s’agissait de n’importe quel autre domaine !!