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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 15:36

 Colloque international sur les risques des vaccins Gardasil & Cervarix 

 

« Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical. » - Norma Erickson

  

Japon colloque 2 seringues

 

 

Par Norma Erickson, Présidente de SaneVax Inc., 24 février 2014

 

Le 25 février, 2 heures 30, heure de Tokyo marquera le début d’un Symposium international sur les effets indésirables qui ont affecté des jeunes-filles  vaccinées contre le papillomavirus humain. Ce Symposium  a été organisé par un groupe de chercheurs qui ont voulu émettre une mise en garde au sujet des effets indésirables induits par les vaccins contre le papillomavirus humain, avec la collaboration du Dr Harumi Sakai, ancien professeur à la Faculté de Médecine de l’université de Tokai, du Dr Shohei Matsuzaki, professeur émérite de la Faculté de Médecine  de l’université de Tokai, de Mutsuo Fukushima  de Kyoto News International, et de SaneVax Inc.

 

Cet événement servira en quelque sorte de porte-parole à des milliers de jeunes-femmes et leurs familles qui dans le monde entier ont souffert des effets secondaires débilitants et parfois mortels de la vaccination contre le HPV. On a expliqué à beaucoup de ces familles que ces problèmes étaient psychosomatiques ou dus à des coïncidences.

 

En effet, le 20 janvier 2014, le conseil consultatif du gouvernement japonais a publié un rapport officiel tout à fait typique de ceux qui ont été publiés dans d’autres pays et qui rejetait tous les symptômes qui s’étaient manifestés dans le corps des jeunes-filles vaccinées comme étant les conséquences de « réactions psychosomatiques », de réactions mentales de filles qui, comme le suggérait le conseil consultatif de manière sophistiquée, auraient pu être influencées par des mères qui ne savaient pas comment discipliner leurs filles. Selon Mutsuo Fukushima, reporter à Kyoto News, le promoteur de cette théorie est le Dr Yutaka Ohno de l’université de Keio qui a déclaré publiquement :

 

« Il est impossible de trouver des causes physiques pour les effets indésirables allégués et  présumés de ces jeunes-filles vaccinées. Dès lors, on ne peut s’empêcher de conclure que leurs soi-disant réactions indésirables sont les simples conséquences de réactions psychosomatiques. Le gouvernement devrait prodiguer des conseils à ces filles afin qu’elles puissent être libérées de leurs réactions psychosomatiques.»

 

Les organisateurs de ce Symposium, ainsi que d’innombrables autres personnes trouvent que ce manque cynique de préoccupation pour les victimes de ces réactions indésirables des vaccinations HPV est franchement épouvantable. Ils veulent que le monde sache qu’il existe plusieurs mécanismes d’action biologiquement plausibles par lesquels le Gardasil et le Cervarix pourraient précipiter ces événements. Ils veulent que le monde sache ce que leur recherche a pu montrer dans l’espoir de mettre un terme aux campagnes de vaccination contre le HPV jusqu’à ce que ces mécanismes d’action soient identifiés et quantifiés pour que les personnes les plus à risque puissent être écartées de tous les programmes de vaccination contre le HPV. Ils veulent par-dessus tout que le monde sache que nombreux sont ceux qui sont décidés à ne jamais abandonner jusqu’à ce que prenne fin le désastre lié aux suites de la vaccination HPV de masse.

 

Symposium Building

Tokyo, Symposium building

 

 

Participants au Symposium:

 

- Organisateur: Harumi Sakai, MD, former Professor, Tokai University School of Medicine

- Co-organisateur: Shohei Matsuzaki, MD, Professor Emeritus, Tokai University School of Medicine

- Interprête: Mutsuo Fukushima, Reporter, Kyodo News, International Department

- Sin Hang Lee, MD, former Yale University Associate Professor, Pathologist at Milford Hospital, Director of Milford Medical Laboratory, Inc.

- Franҫois-Jerome Authier, MD, Universite Paris XII, Systeme Hospital Henri Mondor de Paris

- Lucija Tomljenovic, PhD, Research Associate, British Columbia University, Canada

- Mirna Hajjar, MD, Department of Neurology, Hartford Hospital, Hartford Connecticut

- Masayuki Sasaki, MD, National Center of Neurology and Psychiatry, Director of Child Neurology

- Shunichi Shiozawa, MD, Professor, Kyushu University Hospital

- Uhide Kiyoshi, MD, Assistant Professor, Kanazawa University

- Rokuro Hama, MD, Director, Japan Institute of Pharmacovigilance (non-profit organization) 

 

Matsuo Fukushima, journaliste au Kyoto News a informé le groupe Sanevax que, selon certaines rumeurs, une délégation du ministère de la santé japonaise avait l’intention de se rendre à Londres en octobre pour entamer des discussions sur les vaccins HPV avec des fonctionnaires du ministère britannique de la santé et de l’Agence de régulation des produits de santé (MHRA). Certains ont pensé que cette délégation pourrait être disposée à échanger avec des experts scientifiques et médicaux indépendants de l’industrie pharmaceutique.

 

Avant la confirmation officielle de cette réunion, Norma Erickson, présidente de Sanevax et Freda Birrell, la secrétaire avaient pris l’initiative de fournir à leurs futurs contacts quantité d’informations relatives à de nombreux cas de jeunes-filles dont la santé avait été endommagée à la suite de la vaccination contre le HPV (Gardasil et Cervarix) dans d’autres parties du monde. Les effets secondaires rapportés au Japon étaient pratiquement identiques à ceux qui avaient été rapportés dans les pays où ces vaccins avaient été administrés. Ce simple fait semble bien indiquer que les effets indésirables ne doivent pas être considérés comme des coïncidences. Toute l’équipe de SaneVax  a pensé qu’il était essentiel de démontrer qu’il s’agissait d’un problème mondial. Les jeunes femmes japonaises n’étaient en fait pas les seules à souffrir après avoir reçu le vaccin contre le HPV. Au plus les contacts japonais ont reçu de l’information,  au plus tous se sont mis d’accord sur la nécessité d’entendre des experts indépendants.

 

Après de nombreuses discussions, SaneVax obtint confirmation de M. Tetsuya Miyamoto, directeur du bureau sur la politique vaccinale au Ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être, ainsi que d’un médecin expert pour une mission concernant les vaccins HPV. M. Tetsuya, que lui et son équipe seraient prêts à rencontrer des scientifiques indépendants, ainsi qu’un médecin de Londres le 7 octobre 2013 au « Double Tree » près de l’hôtel Hilton à Londres.

 

La réunion devait commencer à 14 heures et durer deux heures. L’équipe japonaise comprenait des médecins de premier plan et provenant de deux des six hôpitaux universitaires japonais qui avaient reçu la mission de faire la lumière sur la relation possible de cause à effet entre les vaccins HPV et les effets secondaires subis par des jeunes-filles au Japon.

 

Les participants du groupe SaneVax à cette réunion importante étaient : le Dr Sin Hang Lee, MD, pathologiste de l’hôpital Milford, directeur du laboratoire Milford , ancien professeur agrégé de pathologie à l’université de Yale, le professeur François Jerome Authier, MD, PhD, Centre de référence pour les troubles neuromusculaires, Hôpital Henri Mondor à Paris et le Dr Damien Downing, MB, BS, MIBiol de Londres et pionnier en médecine écologique. Assistaient également à cette réunion Madame Freda Birrell, secrétaire de SaneVax Inc. et son mari David Birrell, analyste et chercheur dans les données du VAERS.

 

Notre équipe à Londres a été traitée avec le plus grand respect par M. Miyamoto et ses collègues médecins. Ils ont écouté attentivement tout ce qui a été dit, et suivi avec grande attention l’excellente présentation power-point qu’il a fallu arrêter à plusieurs reprises pour permettre de répondre à des questions très importantes. Un interprète japonais était également présent.

 

A cette époque, nous avons réalisé qu’une autre réunion serait envisageable à Washington DC quand la délégation japonaise se rendrait à la FDA et au CDC. Cette réunion à Washington n’a malheureusement pas pu avoir lieu en raison de différents facteurs.

 

De ce fait, la réunion de Londres a pris une importance toute particulière, car elle s’est avérée être le catalyseur  d’événements historiques qui auront lieu au Japon les 25 et 26 février 2014.

 

Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical.

 

A tout le moins, ces réunions serviront en quelque sorte de porte-paroles pour les milliers de jeunes et leurs familles qui ont à faire face aux effets parfois débilitants de la vaccination contre le HPV.

 

L’équipe de SaneVax  tient à exprimer ses sincères remerciements aux personnes qui ont organisé ce colloque. Ce fut un grand honneur pour nous de faire partie d’un tel événement historique. Cela pourrait être le commencement de la fin pour les troubles dévastateurs que certaines familles ont dû subir après les vaccinations contre le HPV.

 

Source: SaneVax

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