Het Nieuwsblad du 8 juin 2012 qui porte comme titre "L'enfant d'un an et demi meurt d'une attaque cardiaque quelques jours après la vaccination " signale qu'une autopsie a été pratiquée et que le médecin aurait conclu à une mort naturelle !
Bien sûr.... c'était prévisible, nous l'avions déjà annoncé avant la réalisation de cette autopsie: JAMAIS les officiels n'admettront.
Ce n'est JAMAIS la faute du vaccin.
Souvenez-vous, avec les 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin H1N1 Pandemrix, ce n'était non plus jamais la faute du vaccin.
Dans un essai clinique du vaccin anti-rotavirus Rotateq, il y a eu 44 décès d'enfants dans les deux groupes (groupe vacciné et faux groupe placebo) et là aussi les auteurs sont arrivés à conclure que le vaccin n'était lié à AUCUN de tous ces décès (alors que ça fait tout de même, dans les deux groupes confondus, un taux de mortalité inquiétant de 0,2% soit un décès sur 500 enfants!)
Combien de temps encore le public va-t-il gober ces salades, sans voir qu'il s'agit en réalité TOUJOURS d'innocenter le vaccin et de protéger ainsi le juteux business que cela sous-tend, sans parler des sacrosaintes couvertures vaccinales?
Le scénario est en réalité le plus souvent le même: donner l'illusion d'une enquête soigneuse et sans parti-pris. Dans certains cas toutefois (pour varier un peu), l'autopsie est carrément refusée comme ce fut le cas pour les parents de la petite Stacy de Charleroi. Dans le cas de Xandro, le refus de l'autopsie aurait été trop risqué car cela aurait alors vraiment commencé à mettre la puce à l'oreille du public et donc, après avoir déjà refusé l'autopsie pour la petite Stacy, il n'était tout simplement plus possible d'opter pour cette même attitude dans cet autre cas de décès post-vaccinal embarrassant.
Kind & Gezin a dit partager la peine des parents. Toutefois, lorsqu'on sait l'attitude inqualifiable du médecin vaccinateur de cette institution qui pestait violemment sur Xandro déplorant que c'était "un enfant embêtant qui ne savait même pas rester assis et se tenir tranquille" alors qu'il pleurait avec force après le vaccin ROR qu'il venait de recevoir, on ne peut que mieux se rendre compte du toc de cette fausse compassion de Kind & Gezin, qui porte assurément une responsabilité dans l'engagement des praticiens qui travaillent sous sa bannière et qui bénéficient donc de son assurance professionnelle.
Déni & fausse compassion sont donc véritablement les maîtres mots des idéologues qui continuent de faire marcher à plein leur rouleau compresseur vaccinal, aveugle et agressif.
Plus le temps passe et plus l'assemblage des différentes pièces du puzzle apparaît net: un peu partout, la protection des vaccins s'organise (mais pas celle des enfants, à ne surtout pas confondre!). Aux USA, où la Cour Suprême a accordé l'impunité juridique totale pour éviter la faillite (sous le poids des poursuites) à ces fabricants de "produits inévitablement dangereux", en Europe avec les contrats d'achat de vaccins H1N1 qui accordaient eux aussi l'impunité concrète aux fabricants puisque seul "un défaut de fabrication", dans les faits totalement impossible à prouver pour les victimes, leur était imputable.
A présent et de façon plus pérenne, il importe de se pencher sur le sens et le rôle d'institutions comme Kind & Gezin ou comme l'ONE dans la protection du système vaccinaliste tel qu'il perdure depuis déjà des années. Car sous les étiquettes et bannières extérieures prétendant "favoriser la protection de l'enfance", il semble surtout que tant l'ONE que Kind & Gezin apparaissent juridiquement très pratiques pour couvrir les vaccinateurs d'une majorité d'enfants belges en bas-âge, numériquement les plus vulnérables au risque de décès post-vaccinal en raison de leur immaturité immunitaire (comparativement aux adultes).
Par conséquent, l'assurance professionnelle qu'offre Kind & Gezin ou l'ONE à ses vaccinateurs en cas de décès dus aux vaccins eux-mêmes (et non aux médecins eux-mêmes), constitue donc une véritable aubaine, surtout destinée à éviter la peur et le dégoût de tous les autres professionnels de devoir finalement, tel une épée de Damoclès, faire intervenir leur propre assurance personnelle en cas de pareil évènement.
Les médecins de l'ONE et de Kind & Gezin vaccinant à tour de bras, il est évident qu'ils sont ceux qui sont, en termes de probabilités, les plus susceptibles d'être confrontés à des décès d'enfants fraîchement vaccinés.
Il serait par conséquent bon que ces médecins aient à répondre de leurs actes et notamment quant au fait d'avoir manqué de prudence et de vigilance (par rapport à l'attitude normalement prudente et diligente d'un autre professionnel normalement prudent et vigilant), en vaccinant un enfant déjà fragilisé, mais aussi quant au fait qu'ils ont violé la loi d'août 2002 sur les droits du patient en n'informant pas les parents des risques graves de vaccins comme le ROR.
Que ces médecins apportent la preuve, s'ils le peuvent, qu'ils ont réellement respecté leurs obligations d'information! Ont-ils par exemple expliqué aux parents comment se déroulent les tests de sécurité de vaccins à virus vivants, comme le ROR? A moins qu'ils ne le sachent même pas eux-mêmes ce qui est aussi très possible mais ne les excuse pas.
C'est là des éléments fondamentaux pour la constitution d'un consentement véritablement libre et éclairé. Car les exigences européennes en la matière sont plus que laxistes.
Voici à ce sujet, de quoi il retourne car chaque lecteur gagne à bien comprendre l'aberration de ces exigences fantoches et absolument non fiables et non protectrices pour les patients:
- Tout d'abord, si des singes vaccinés meurent en-déans les 48 premières heures après la vaccination, leur mort est considérée comme étant de "cause non spécifique" et ils peuvent être ainsi simplement "remplacés", ce test restant valable pour autant que la mortalité n'atteint pas 20%. Cela signifie, en d'autres mots, que si 10 ou même 19% des singes vaccinés enrolés décèdent précocément après leur vaccination, tout continue comme si le vaccin n'était pas incriminable. On imagine l'énorme faiblesse que ce genre de règle induit en matière de sécurité et on se rappellera aussi, à cet égard, la légèreté de l'Agence Européenne qui a fait comme s'il n'y avait pas eu de problèmes avec le vaccin H1N1 Pandemrix au cours des essais cliniques alors qu'il y avait cependant eu 7 décès sur 2000 patients (ce qui est énorme).
- Ensuite, autre biais: les vaccins injectés aux animaux ne sont pas des vaccins combinés (or le ROR, comportant 3 valences, rougeole, oreillons, rubéole, est un vaccin combiné!). Pourtant, on sait très bien, vu la complexité des organismes vivants, que les effets synergiques possibles des produits administrés sont un élément très important à prendre en compte! Et donc, en terme de sécurité également bien entendu!
[Source: Methods of Analysis 2.6.18 – Test for neurovirulence of live virus vaccines. EUROPEAN PHARMACOPOEIA, 5th Edition.]
Certes, le petit Xandro était déjà souffreteux au moment de cette vaccination de trop mais qui peut, sur base de cette simple autopsie (dont les résultats ne peuvent qu'être conformes au cadre idéologique du médecin légiste qui ne peut pourtant scientifiquement exclure une origine vaccinale sur base de sa seule grille de lecture de "substances toxiques retrouvées ou pas"!!), nier le probable travail de sappe immunitaire entamé par ses précédentes vaccinations, celles-là même qui ont vraisemblablement endommagé son immunité au point de le rendre éminemment plus susceptible à une infection opportuniste au virus respiratoire syncytial (RSV), qu'il n'était même plus en mesure de juguler par lui-même?
Qui peut aussi affirmer qu'il serait bel et bien mort en l'absence de cette vaccination ROR?
Bien au contraire, en l'absence de toute autre cause solide et patente, il apparaît plutôt vraisemblable que la vaccination soit la cause du décès JUSQU'A PREUVE DU CONTRAIRE, un enfant de cet âge ne mourrant pas si facilement comme ça d'"un arrêt cardiaque" et son infection traînante à RSV pouvant difficilement constituer, à elle seule, une raison suffisante.