Le vaccin contre la grippe provoque 5,5 fois plus
d’infections respiratoires
L’étude à laquelle nous faisons allusion révèle l’absurdité de la « science » vaccinale. Cette étude sur le vaccin antigrippe revendique une réduction des risques parce que le vaccin permet le développement d’anticorps et ce, en dépit du fait que le vaccin ne réduit pas la possibilité de contracter la maladie, et a comme autre résultat de provoquer, 5,5 fois plus de cas de la maladie.
Vaccine Vials, by Sanofi Pasteur
Par Heidi Stevenson
Seriez-vous intéressé de recevoir un vaccin qui vous ferait courir un risque 5,5 fois plus élevé de faire la maladie ? Si vous prenez le vaccin contre la grippe saisonnière, c’est exactement ce que vous faites. Le vaccin trivalent contre la grippe a comme conséquence de provoquer 5,5 fois plus de troubles respiratoires, comme le confirme une étude publiée dans Clinical Infectious Diseases.
L’étude est particulièrement remarquable car elle a été réalisée en double aveugle avec contrôle placebo. En outre, les chercheurs ont utilisé une solution saline comme placebo, donc un placebo véritablement inactif pour ce vaccin trivalent contre la grippe. La plupart des études sur les vaccins utilisent des placebos actifs qui contiennent des substances utilisées dans d’autres vaccins, faisant ainsi perdre tout sens réel à ces études. Ce fait n’est pratiquement jamais révélé.
Les sujets de l’étude ont été suivis pendant une moyenne de 272 jours. Le vaccin actif contre la grippe administré était le Vaxigrip de Sanofi Pasteur. L’étude a porté sur des enfants âgés de 6 à 15 ans. 69 enfants ont reçu le Vaxigrip et 46 autres ont reçu le placebo sous forme de solution saline…
En ce qui concerne l’efficacité du vaccin contre la grippe, les auteurs ont écrit :
« Il n’y a pas eu de différence statistiquement significative par rapport au risque d’infection confirmée de la grippe saisonnière entre les sujets qui ont reçu le vaccin TIV [trivalent influenza inactivated vaccine] et le placebo. »
Le vaccin contre la grippe n’a donc présenté aucun bénéfice !
Les auteurs on essayé de camoufler la chose en ajoutant :
« Les sujets qui ont reçu le vaccin TIV ont présenté un risque significativement plus faible d’infection de la grippe saisonnière sur base de preuve sérologique. »
En d’autres mots, les auteurs tentent de suggérer que, en dépit du fait que les sujets vaccinés ont autant souffert de la grippe que ceux qui avaient reçu un placebo, ils ont malgré tout profité de la vaccination, comme le montrait une « preuve sérologique ». Cette « preuve sérologique » a trait à la production d’anticorps suite à l’administration du vaccin. Il s’agit ici de la méthode habituelle (standard) pour déterminer l’ « efficacité » d’un vaccin.
En d’autres mots, l’efficacité d’un vaccin n’est pas déterminée par le fait qu’il empêche réellement de faire la maladie, mais plutôt par le fait qu’il puisse faire produire des anticorps à l’organisme !
Mais il y a pire. L’étude a également démontré que le vaccin a eu comme conséquence que les personnes vaccinées ont présenté 5,5 fois plus de maladies respiratoires. Ci-dessous une ventilation partielle de leurs résultats :
Vaccinés Placebo
(sol.saline)
N’importe quelle grippe saisonnière 58 88
H1N1 (Grippe porcine « pandémique ») 58 0
Total des cas de grippe 116 88
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Virus non influenza
Rhinovirus (rhume commun) 230 59
Coxackie/ Echovirus 160 0
Autres virus respiratoires 97 29
Total des autres virus 487 88
Comme vous pouvez le voir, même si les auteurs affirment qu’il n’y avait pas de distinction dans les cas de grippe entre les sujets ayant reçu un vaccin et ceux qui avaient reçu un placebo, la réalité semble tout à fait différente : il y a eu un total de 116 cas de grippe dans le groupe vacciné et 88 dans le groupe placebo. Dans cette étude, les auteurs jouent avec les statistiques. Ils utilisent des hypothèses, s’interrogeant pour savoir si les gens avaient fait des maladies, vu qu’il y avait beaucoup de cas rapportés qui n’avaient pu être vérifiés. Ils ont parlé d’un risque relatif de 4.4. De toute manière, le risque relatif est dans ce cas statistiquement non significatif parce qu’il supposerait que l’agent causal soit connu ; ce qui n’est clairement pas le cas dans cette étude.
Je préfère l’approche plus simple et plus directe – et, je crois plus honnête – qui consisterait à simplement comparer le nombre de cas de la maladie. Ce faisant, nous obtenons les chiffres suivants : 487 (chez les vaccinés) versus 88 (chez les non vaccinés) . Ces chiffres nous montrent que ceux qui ont été vaccinés ont 5,5 fois plus de chances de contracter une maladie respiratoire (confirmée) que les non vaccinés !
Maintenant, jetons un coup d’œil aux autres maladies respiratoires que les personnes étaient susceptibles de contracter après avoir été vaccinées contre la grippe. Le rhinovirus, c’est le rhume ; donc ce n’est pas bien grave. Cependant, les virus Coxsackie et Echo sont tout à fait différents. Deux d’entre eux sont connus pour provoquer des méningites, des paralysies, des hépatites et des troubles cardiaques. Bien que la chose ne soit pas courante, on peut pratiquement dire la même chose du virus de la polio. Ce dernier peut aussi provoquer une maladie respiratoire généralement mineure, bien que dans de rares cas, le virus puisse provoquer les mêmes dommages que peuvent provoquer les virus Coxsackie et Echo.
Il est donc raisonnable de penser que le taux de maladies invalidantes graves peut aussi être augmenté à la suite du vaccin contre la grippe, et potentiellement par n’importe quel vaccin contre une maladie respiratoire.
Implications
Les implications de cette étude sont tout à fait sérieuses. Les auteurs suggèrent :
« La vaccination avec le vaccin TIV pourrait augmenter l’immunité contre la grippe au détriment d’une immunité réduite aux virus respiratoires qui ne font pas partie des virus de la grippe et ce, par un mécanisme biologique inconnu. Par ailleurs, nos résultats pourraient être expliqués par une immunité non spécifique temporaire après infection par le virus de la grippe grâce à la réponse à médiation cellulaire ou, plus probablement la réponse immunitaire innée à l’infection. »
En d’autres mots, le fait d’injecter des antigènes endommage probablement la réponse immunitaire à médiation cellulaire innée, cette partie du système immunitaire qui protège sans avoir besoin de recourir à la production d’anticorps. Ils poursuivent en déclarant :
« Le phénomène d’interférence virale est bien connu en virologie depuis plus de 60 ans. »
L’interférence des vaccinations avec la réponse immunitaire à médiation cellulaire innée est donc elle aussi bien connue ! Les auteurs poursuivent en citant plusieurs sources à l’appui de ce fait.
En résumé, cette étude démontre que :
*Les vaccins contre la grippe ne présentent aucun avantage
*Les vaccins contre la grippe provoquent un nombre important de maladies respiratoires
*Les vaccins contre la grippe – et très probablement les autres vaccins – nuisent à la réponse immunitaire à médiation cellulaire innée. Ceci se traduit par une augmentation significative du risque lié à d’autres maladies infectieuses.
Néanmoins, les agences de destruction de la santé telles que la FDA, le CDC, le NIH, le NHS et le MHRA et le DOH au Royaume-Uni, Health Canada en plus des grandes Fondations internationales comme l’OMS, la Fondation Gates et le GAVI – toutes ces organisations de même que beaucoup d’autres mentent sur la réalité des vaccinations. Ces gens se servent de la peur et du mensonge comme tactique pour promouvoir le mercantilisme de Big Pharma et de Big Médecine au détriment de la population et, pire encore de la santé de nos enfants.
Bien que ces agences aient officiellement été créées pour promouvoir la santé, elles ont fini par être impliquées avec Big Pharma et Big Médecine pour finalement servir leurs seuls intérêts. Le résultat est qu’aujourd’hui, ces organismes travaillent à promouvoir activement, et même à imposer l’utilisation de produits et de méthodes dont le premier but est le profit. Si cela veut dire plus de souffrances pour les populations, c’est apparemment un petit prix à payer tant que cela n’affecte pas leurs bénéfices financiers.
Etude originale: Increased Risk of Noninfluenza Respiratory Virus Infections Associated With Receipt of Inactivated Influenza Vaccine; Clinical Infectious Diseases; Benjamin J. Cowling, Vicky J. Fang, Hiroshi Nishiura, Kwok-Hung Chan, Sophia Ng, Dennis K. M.lp, Susan S. Chiu, Gabriel M. Leung} and J. S. Malik Peir; DOI: 10.1093/cid/cis307
Source: Gaia Health