Dans le journal Vers l'Avenir du 7 mars dernier, on pouvait voir en Une le titre "Maltraitances à Ciney: horreur ou erreur?"
Dans cet article, on peut lire que se tient actuellement à Dinant le procès en correctionnelle d'une gardienne d'enfants, accusée d'avoir violenté plusieurs enfants dont elle avait la charge (8 enfants sur une vingtaine selon les dires du parquet et des parties civiles) dont un décès et un cas avec séquelles irréversibles. Le parquet requiert 10 ans de prison ferme et les parties civiles réclament son renvoi en assises.
L'avocat de Gwenaëlle (la gardienne) dit avoir "la conviction absolue de son innocence."
Sans préjuger de ce qui s'est réellement passé ni du verdict qui sera rendu, plusieurs éléments relatés dans l'article méritent évidemment qu'on s'y attarde:
- Le parquet déclare qu'ils ont "exploré toutes les possibilités"
- Selon la défense en revanche, "toutes les hypothèses n'ont pas été explorées" et notamment, les effets secondaires de vaccins, dont on connaît le caractère éminemment tabou!
- Selon la défense, il y aurait des contradictions dans les expertises médicales; d'autres médecins auraient fourni un autre son de cloche quant à l'interprétation possible des signes constatés chez les enfants.
- L'article évoque la présence de pétéchies et de fractures qui seraient pour la défense un signe certain de maltraitance.
Considérations importantes:
a) Certains parents et gardiennes se sont déjà retrouvés condamnés à tort parce qu'il y avait une similitude entre les constatations autopsiques des enfants victimes de vaccins et ceux qui auraient été mécaniquement violentés (avec également présence de pétéchies et signes de fractures)
b) Aux USA, le cas d'Alan Yurko est, à cet égard, exemplaire. A peine son enfant de 10 semaines avait-il été vacciné, qu'il mourrut peu après. L'enfant présentait aussi des pétéchies caractéristiques et des signes de fractures. Alan Yurko fut condamné à la prison à vie puis finit par être libéré après 6 années de détention grâce à une réouverture de son cas et à une analyse plus approfondie par des médecins indépendants. Il s'est avéré que son enfant avait été victime d'effets retardés des vaccins.
c) Les pétéchies traduisent un phénomène hémorragique or des vaccins hexavalents (comme Infanrix hexa par exemple), ont déjà été associés par des médecins légistes, à des phénomènes d'oedèmes cérébraux mortels du nourrisson. Dans un tel phénomène, le sang "sort de son lit" au niveau des vaisseaux sanguins cérébraux. Les commandes neurovégétatives de base (respiration, rythme cardiaque etc) finissent par ne plus être assurées et la mort par asphyxie peut donc tout à fait se produire et tout aussi bien donner lieu à une telle observation de pétéchies. Les vaccins sont aussi associés à des thrombocytopénies, c'est à dire à une chute brutale et importante du taux de plaquettes sanguines suite à la réaction immunitaire. Or en cas de chute brutale des plaquettes, des pétéchies aussi, peuvent apparaître. La thrombocytopénie figure dans les notices de plusieurs vaccins.
d) La vaccination des enfants amoindrit leur taux de vitamine C. A la fin des années 50', des scientifiques ont montré que les rats vaccinés avec un vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, développement brutalement un scorbut pendant au moins 24 heures. Or ce qu'il faut savoir, c'est que contrairement à d'autres mammifères qui sont capables de synthétiser eux-mêmes une partie au moins de leurs apports en vitamine C, l'être humain est entièrement dépendant d'apports extérieurs. Le scorbut peut être associé à des fractures. Avec la multiplication des vaccins aux nombreux composants toxiques, comment s'étonner que cela puisse alors vider les maigres stocks de vitamine C des bébés d'aujourd'hui avec de funestes conséquences possibles? Bien sûr, les labos n'ont jamais été pressés d'analyser de tels évènements. Il faut savoir que la vitamine C fait partie de la catégorie des anti-oxydants. Or en cas de phénomènes inflammatoires, les anti-oxydants sont consommés par le corps en plus grande quantité. A cet égard, il faut savoir que l'étude Pourcyrous, publiée dans la revue médicale Pediatrics en 2007, a clairement montré que les vaccins les plus combinés (Infanrix + Prevenar) engendrent une élévation accrue des marqueurs inflammatoires comme la protéine C réactive, par rapport aux vaccins séparés (monovalents), preuve donc que ces vaccins n'ont pas la même réactogénicité que les vaccins séparés, contrairement à tout le baratin de l'ONE et consorts.
e) La question des autopsies. Vu le côté tabou des effets secondaires vaccinaux, il arrive en cas de décès que l'autopsie soit refusée. Parfois, elle est réalisée mais jamais, on ne conclut à son terme que les vaccins sont en cause ou ont pu jouer un quelconque rôle. Serait-ce parce que les vaccins ne sont réellement et miraculeusement (vu le nombre de doses et de décès) jamais en cause? Non bien sûr, c'est tout simplement parce qu'il n'y a aucun consensus ni recherche qui a permis de définir les critères autopsiques permettant de lier un décès à un ou des vaccins. En d'autres mots, à chaque autopsie qui sera réalisée, on affirmera (sauf éventuel cas d'anaphylaxie et encore) que le décès n'est pas lié à la vaccination. Il serait dès lors peut-être temps alors de retourner la question et de demander aux médecins légistes et aux autorités dites "compétentes" quels sont les critères nécessaires à réunir pour qu'une autopsie puisse conclure à l'implication des vaccins dans la ou les causes d'un décès?
f) Des documents confidentiels rédigés par les fabricants de vaccins eux-mêmes (GSK, Pfizer) avouent des accidents neurologiques et même le syndrome de l'enfant maltraité, qui est donc clairement repris dans la liste d'effets secondaires!
En effet, en page 19 du volumineux document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l'Infanrix hexa que nous avons publié en décembre dernier, il est indiqué en toutes lettres dans la liste des 825 effets secondaires listés par le fabricant:
" Child maltreatment syndrome" (syndrome de l'enfant maltraité).
Ainsi donc, 2 cas de syndrome de l'enfant maltraité ont été notifiés à GSK entre le 23 octobre 2009 et le 22octobre 2011. Ces cas ont été classés par GSK comme "non sérieux", ce qui est pour le moins étrange quand on sait les signes impressionnants et les conséquences souvent irréversibles d'un tel syndrome. Quand on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont recensés (et même parfois encore moins selon ce récent article écrit par un médecin français qui rappelait que seul 1effet secondaire grave de médicament sur 500 serait rapporté par les médecins!
Si donc deux professionnels de santé ont pensé à rapporter cet effet au fabricant, combien de cas ont pu réellement survenir? Et combien de décès et de séquelles non recensés?
Dans un autre document confidentiel (de Pfizer cette fois), on peut lire que la co-administration du vaccin Infanrix hexa et du vaccin Prevenar est associée à une multiplication par 3 du risque d'effet secondaire neurologique, alors que cela est pourtant officiellement recommandé dans le calendrier vaccinal que beaucoup de parents et de médecins crédules croient qu'il est bon de suivre à la lettre!
Pour toutes ces raisons, nous espérons que les carnets de vaccination de tous les enfants victimes ont été analysés en détail dans le cadre de la procédure (délai entre les doses de vaccins et les faits? associations de vaccins administrés?), mais il est hélas probable que non. Et c'est en tout cas dommage, pour l'objectivité du traitement de ce genre d'affaires dans laquelle les parents ont tout particulièrement besoin d'avoir un maximum de réponses, aussi précises et fiables que possible.
Il est bien clair qu'une majorité de parents ignorent tout à fait que les vaccins sont susceptibles dans certains cas de donner lieu à des lésions neurologiques si graves qu'elles peuvent prendre la forme à l'autopsie du syndrome du bébé secoué. Est-il vraiment dans l'intérêt des autorités qui recommandent toutes ces batteries de vaccins et de l'ONE dont les travailleurs les administrent à la chaîne, que ce genre d'informations arrivent aux oreilles des parents, par le biais éventuellement d'investigations judiciaires pointues et médiatisées???
Voici plusieurs articles extrêmement importants qui font état d'un lien possible entre vaccination et syndrome du bébé secoué:
Article du Dr Viera Scheibner, Docteur en sciences (PhD.) cfr à partir de la page 5.
Syndrome du bébé secoué (synthèse)
Syndrome du bébé secoué (Dr J. Mercola)
Syndrome du bébé secoué, un diagnostic abusif? (Dr A. Kalokerinos)
Bébés secoués & vaccins (Sylvie Simon)
Bébé Secoué & vaccins (Françoise Joët)
De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué
Affaires en justice où le syndrome du bébé secoué a été évoqué (mais pas les vaccins!)
"Petit progrès" à souligner du côté de la presse... ils ont osé évoquer le mot "vaccins" en lien avec cette triste affaire...