Les ravages du Gardasil ne relèvent PAS de coïncidences
Par Vicky Austin, 14 juillet 2016
Caitlin Grace est ma super vedette ; elle a quinze ans. Elle a obtenu la ceinture verte en karate ; elle marchait 15 Km par jour et… maintenant, depuis qu’elle a fait ce vaccin qui était censé la protéger du cancer du col de l’utérus, elle est physiquement très affaiblie. Voici son histoire.
Caitlin a reçu la série complète du vaccin Gardasil entre septembre 2012 et juillet 2013. Avec le recul, je me rends compte que j’aurais dû faire confiance à l’intuition de ma mère et ne pas autoriser ces vaccins pour Caitlin. Quand j’ai demandé au pédiatre qui la suivait depuis dix ans, s’il administrerait ce vaccin à sa propre fille, il m’a répondu qu’il l’aurait fait sans le moindre doute. Je lui ai alors fait confiance, et c’est comme cela que Caitlin a reçu toute la série des vaccins. Depuis, je n’ai cessé de me sentir coupable.
C’est en février 2013 que ma fille, jusque-là en parfaite santé, active et réussissant parfaitement ses études, a reçu la seconde des 3 doses du Gardasil HPV 4. Endéans la semaine, elle a développé les symptômes d’un rhume avec des symptômes respiratoires (toux rauque). Je n’ai pas pensé que ces symptômes puissent avoir un rapport avec les vaccins. Comment, me disais-je, un vaccin pourrait-il engendrer un rhume ? Mais Caitlin a continué à développer des spasmes bronchiques répétés.
Après la troisième injection, elle a été prise de vertiges, de pertes d’équilibre, de faiblesse, d’anxiété, de douleurs à l’oreille, de douleurs abdominales et de nausées. Je n’ai jamais été anti-vaccins (si je l’avais été, je n’aurais pas autorisé que l’on administre ce vaccin à Caitlin) Malgré tout, je n’ai jamais associé ses nouveaux symptômes avec le Gardasil.
Caitlin a commencé sa première année d’université comme n’importe quelle jeune-fille. Elle suivait les cours dans la même Faculté où j’enseignais. Alors qu’elle n’avait suivi les cours que pendant deux mois, en décembre 2014, notre vie a implosé.
Après que l’on ait diagnostiqué une simple infection du sinus, on lui prescrivit du « Z-pack » qu’elle avait déjà pris auparavant à plusieurs reprises sans le moindre problème. Cette fois-ci, dans les 15 minutes qui ont suivi la prise de sa première dose, j’ai tenté l’impossible pour la garder en vie jusqu’à ce que l’ambulance arrive. On a diagnostiqué une hypokaliémie grave (taux très bas et dangereux de potassium) inexpliquée, ainsi qu’un problème cardiaque. Elle a été traitée avec une perfusion de potassium et de magnésium. Ensuite, elle a pu rentrer à la maison.
Depuis lors, elle n’a jamais plus été la même.
Pouvez-vous imaginer vivre chaque jour sans savoir si, à n’importe quel moment, vous pourriez devenir paralysé avec d’atroces douleurs ?
Voici l’histoire de Caitlin depuis le 12 décembre 2014.
Elle va perler, rire, marcher, quand tout à coup, elle perd le contrôle de son cou, du haut du corps et de ses jambes. Si, à ce moment, elle n’est pas dans un endroit sûr, elle va tomber avec des difficultés respiratoires. On a fini par diagnostiquer une paralysie hypokaliémique, mais certains autres de ses symptômes n’ont pas encore pu être expliqués par les médecins.
Ces symptômes comprennent :
- Hashimoto
- Troubles auto-immuns
- Perte de cheveux
- Lésions nerveuses
- Faiblesse
- Tremblements
- Intolérance à l’exercice
- Intolérance au froid et à la chaleur
- Besoin d’air
- Douleurs thoraciques
- Douleurs abdominales
- Nausées et vomissements
- Cerveau dans une espèce de brouillard
- Allodynie
- Nystagmus (Mouvements involontaires et rapides des yeux)
- Crises non épileptiques
C’est seulement quand une autre maman m’a contactée pour me demander si ma fille avait par hasard reçu le Gardasil que j’ai commencé à mettre en place les différentes pièces du puzzle. Pour être honnête, j’ai d’abord pensé que cette mère était folle. J’ai cependant poursuivi mes recherches, lu beaucoup d’histoires de ce genre chez des jeunes dont la santé avait été endommagée par le Gardasil. Leurs histoires ressemblaient à celle de Caitlin. Maintenant, c’est la même intuition maternelle qui m’avait fait interroger le pédiatre avant d’accepter que l’on vaccine ma fille ; c’est la même intuition qui me dit que la santé de ma fille a été sérieusement endommagée par le vaccin. Gardasil.
Aujourd’hui, ma fille qui avait toujours été si brillante, souffrait d’une espèce de brouillard au cerveau qui ne lui permettait plus de mettre de l’ordre dans ses pensées.
Ma fille « ceinture verte » porte maintenant une ceinture autour de la taille pour me permettre de la transférer dans son fauteuil roulant. Ma merveilleuse fille adore les quelques amis qui sont restés à ses côtés à travers ce cauchemar. Ma fille qui avait été si indépendante ne peut s’empêcher de pleurer quand elle doit demander à sa mère de lui laver les cheveux ou l’aider à sortir de sa douche qu’elle prend assise sur une chaise de plastic. Ma fille que je sentais vraiment invincible, me demande parfois si elle ne va pas mourir.
Pendant longtemps, je me suis tue sur la connexion entre le Gardasil et les dommages de santé infligés à ma fille. Je ne vais pas garder le silence plus longtemps. Cela m’est égal si l’on me considère comme une folle anti-vaccins. C’est moi qui suis la maman de cette fille, et je sais que la plus vile des injustices a été commise à son égard.
Nous voulons continuer d’espérer qu’un nouveau traitement va permettre de rétablir la fille brillante, active et en bonne santé qu’elle avait toujours été.
Malgré tout, je suis reconnaissante de pouvoir toujours me battre pour elle, alors que tant d’autres mamans ont perdu leur enfant dans cette tragédie. Je continuerai à raconter l’histoire de Caitlin.
Source: Sanevax
Les ravages du Gardasil s'arrêtent-ils là? Non bien sûr (hélas!)... chez les jeunes filles comme chez les jeunes garçons (nouveaux pigeons de cette triste vaccination!), les dégâts sont incommensurables.... ouvrons les yeux si nous tenons à nos jeunes!!
Et chez les garçons, le vaccin HPV donne aussi ceci: paralysie et incapacité à respirer sans l'aide d'un ventilateur, ce jeune aurait pu mourir si sa mère ne l'avait pas surveillé de près. Bien qu'il fasse cependant certains progrès, il porte un collier cervical car son cou est toujours paralysé et une attelle parce que son bras droit est paralysé. S'il vous plaît, informez-vous correctement avant d'accepter des vaccins!!