Une ado hospitalisée et mise sous sédation chaque fois qu'elle a ses règles après le vaccin Gardasil
Une adolescente hospitalisée et mise sous sédation CHAQUE FOIS qu’elle a ses règles après avoir reçu le vaccin HPV. Depuis le vaccin, elle vomit 10 fois par jour.
Par Kate Pickles, 4 juillet 2016, Mailonline
- Holly Oakley, 15 ans était très active, sportive et en pleine forme avant de recevoir le vaccin HPV.
- Au cours du mois qui a suivi sa vaccination, elle a commencé à vomir régulièrement.
- Quand elle avait ses règles, elle se sentait si mal qu’elle devait chaque fois être hospitalisée pendant 2 jours.
- Maintenant, la famille cherche des remèdes homéopathiques vu que rien d’autre n’a pu marcher.
- La maman exhorte les parents à s’informer davantage avant de faire vacciner leurs filles.
Une maman raconte que sa fille vomit si sévèrement chaque fois qu’elle a ses règles qu’elle doit régulièrement être hospitalisée. – Les médecins n’ont aucune idée du pourquoi.
Vicky Oakley, 44 ans, explique qu’il est déchirant de voir sa fille de 15 ans souffrir à ce point de nausées et de fatigue chronique au point de ne pas pouvoir lever sa tête de l’oreiller.
Bien que les médecins n’aient pas encore fait le lien avec le vaccin, Madame Oakley de Bedlington dans le Northumberland, croit que le déclencheur des troubles de sa fille est le vaccin contre le HPV qu’elle a reçu à l’école.
Holly était infatigable, pleine d’énergie, elle avait des résultats sportifs excellents, puis elle a reçu le vaccin. Maintenant, c’est un peu comme si nous avions perdu notre fille, dit la maman.
Holly Oakley se retrouve régulièrement à l’hôpital après avoir souffert de douloureux épisodes de vomissements. La situation était devenue si terrible qu’elle devait passer les deux premiers jours de ses règles sous sédation.
Elle a ensuite manifesté d’autres symptômes en dehors de ses règles. Les médecins ont fini par diagnostiquer un « Syndrome de vomissements cycliques ».
« Chaque fois que je dis que ses symptômes ont un rapport avec le vaccin, on me traite d’extrémiste anti-vaccins, alors que ce n’est pas le cas. Mes enfants ont reçu tous leurs vaccins.
Je ne dis pas qu’aucun enfant ne devrait recevoir le vaccin contre le HPV, mais je veux simplement que les gens s’informent de tous les faits.
Dans toute cette histoire, tout ce que je puis dire c’est que je suis convaincue que les problèmes de santé de Holly sont une réaction au vaccin. »
Avant la destruction spectaculaire de sa santé, Holly était en pleine santé et en pleine forme. Elle jouait football, rugby, netball, rounders.
Elle réussissait bien dans ses études et rêvait de devenir médecin.
Mais tout s’est brusquement arrêté en mai 2014 quand elle a reçu son dernier vaccin Gardasil qui devait la protéger contre le HPV, dans le cadre du programme national de dépistage du cancer du col de l’utérus.
Un mois plus tard, elle a commencé à vomir sans raison, dit sa maman. La première fois que ça lui est arrivé c’est quand elle a rejoint son club de football local. Elle a vomi sur le terrain et a continué à jouer, déclare Madame Oakley qui a dû quitter son emploi de directrice financière pour s’occuper à temps plein de sa fille.
Au fur et à mesure que les mois passaient, le problème de ses vomissements n’a cessé de s’aggraver.
Sa famille dit qu’elle était très sportive et en excellente santé avant de recevoir le vaccin HPV en 2014.
Holly photographiée avec sa sœur Danielle avant le vaccin. Alors qu’elle était en bonne santé et en pleine forme, elle s’est retrouvée clouée au lit sans énergie.
Sa mère Vicky (au milieu) dit qu’elle n’est pas contre les vaccins, mais estime que la vaccination contre le HPV, conçue pour éviter le cancer du col de l’utérus, a contribué à affaiblir le système immunitaire de sa fille (à droite).
Holly aimait le sport et avait participé aux compétitions de Newcastle United avant qu’elle ne commence à être malade et vomisse jusqu’à 10 fois par jour.
Inquiète, la maman a conduit sa fille chez son médecin de famille. Mais les médecins consultés ont tout d’abord pensé qu’il s’agissait d’un parasite de l’estomac.
Finalement, Madame Oakley a remarqué que la santé de sa fille se détériorait à l’époque de ses règles ; ce qui l’a amenée à croire qu’il s’agissait d’un problème hormonal.
Après en avoir parlé avec le médecin, Holly fut mise sous pilule contraceptive. Elle recevait également des médicaments anti-nausées que l’on administre aux patients cancéreux soumis à une chimiothérapie.
Comme il y avait très peu de signes d’amélioration, les médecins ont décidé de bloquer ses règles en lui injectant des contraceptifs toutes les 12 semaines, mais Madame Oakley souligne que ce traitement a eu des effets catastrophiques.
QU’EST-CE QUE LE SYNDROME DE VOMISSEMENTS CYCLIQUES ?
Ce syndrome représente une maladie rare que l’on voit surtout chez les enfants, bien qu’elle puisse aussi affecter les adultes.
Les personnes atteintes par cette maladie se sentent souvent très malades et peuvent vomir pendant des heures ou même plusieurs jours. Elles pourront pendant un certain temps se sentir bien pour retomber par après dans les mêmes crises un mois plus tard. Ces crises ne peuvent être expliquées par une infection ou une autre maladie. Ces troubles peuvent affecter une personne pendant des mois, des années ou même des dizaines d’années. Les symptômes de cette maladie peuvent être si graves que les personnes concernées doivent être alitées ou traitées en hôpital.
Cela peut être une maladie effrayante qui affecte la vie de tous les jours, mais les cycles de la maladie peuvent être modifiés par un nouveau style de vie et par des médicaments.
« Ces trois mois furent probablement les pires que j’aie eu à supporter, raconte Holly. Nous rentrions, sortions puis rentrions de nouveau à l’hôpital, tellement la situation était pénible.
« Elle avait constamment la nausée et ne pouvait plus quitter le lit tant elle était épuisée. Il arrivait que certains jours elle ne savait même plus parler.
Elle a dû subir quantité de tests. On nous a même dit qu’elle devait être boulimique, mais je savais que ce n’était pas le cas. Pour moi les problèmes devaient être hormonaux.»
A son plus bas niveau, elle vomissait jusqu’à 10 fois par jour et sa fatigue était si grande qu’elle ne pouvait même plus parler.
Les médecins ont décidé qu’elle devait être hospitalisée pendant deux jours au début de ses règles afin qu’elle puisse être mise en état de sédation et qu’elle puisse prendre plusieurs médicaments.
Au bout de deux jours, elle se réveillait et elle se sentait de nouveau bien.
Holly a ainsi été régulièrement hospitalisée pendant 6 mois au début de ses règles. Puis ses symptômes réapparaissaient progressivement à d’autres moments du mois.
C’est alors qu’un simple dérangement comme un rhume, un mal de gorge la vidaient complètement de son énergie.
C’est en septembre 2014 que les médecins lui ont dit qu’elle souffrait du syndrome de vomissements cycliques.
Bien que les médecins aient été incapables d’expliquer le pourquoi de tous ces problèmes, sa maman était persuadée que ce sont les vaccins contre le HPV qui sont en cause.
A Noël 2015, elle a été forcée d’abandonner le sport qu’elle aimait tellement.
La famille de Holly, y compris son père Trevor et sa sœur Danielle font tout ce qu’ils peuvent pour lui permettre de sortir un peu, mais elle doit pratiquement toujours garder le lit.
Son système immunitaire a été à ce point affaibli que la moindre petite maladie l’oblige à rejoindre l’hôpital.
Malgré toutes les batteries de tests qu’elle a eus à la « Royal Victoria Infirmary à Newcastle, les médecins ne savent toujours pas exactement ce qui provoque ses symptômes dévastateurs.
Nous attendons et sommes désespérés de ne pouvoir recevoir de réponses.
L’hôpital a vraiment bien pris soin d’elle, mais en définitive, nous nous sommes heurtés à un véritable mur, dit Madame Oakley.
Photo de Holly prise à l’hôpital au mois de mai. Elle est hospitalisée chaque mois avant ses règles depuis qu’elle a développé le syndrome cyclique de vomissements.
Les traitements sédatifs à l’hôpital ont été efficaces pendant un moment mais ses symptômes sont réapparus à différents moments du mois. Ses niveaux d’énergie étaient très bas. Elle a beaucoup manqué l’école et devra vraisemblablement doubler sa 10ème année. Récemment, nous avons été à la recherche de médicaments homéopathiques. Holly commence une cure de détoxification, et nous espérons bien avoir de bons résultats.
Holly a quitté l’école depuis janvier. Elle ne parvient à étudier à la maison que quelques heures par semaine, tant le travail intellectuel épuise toutes ses forces.
Madame Oakley a trouvé du réconfort auprès de l’Association Britannique des filles dont la santé a été endommagée par le HPV – Il s’agit d’un groupe de parents qui pensent que leurs enfants ont fait de graves réactions après avoir reçu le vaccin HPV.
La maman veut partager son histoire dans l’espoir qu’elle va réveiller les consciences et favoriser une meilleure compréhension des effets secondaires potentiels du vaccin.
« Je veux qu’une discussion appropriée soit organisée au niveau du gouvernement pour que l’on sache finalement si ce vaccin est sans danger. Il faut absolument que quelqu’un se lève et n’aie pas peur de s’exprimer. », a dit la maman.
« Il faut que l’on fasse des études sérieuses et beaucoup plus de recherches. Le monde est en train de se réveiller et j’espère qu’il ne faudra pas trop de temps avant que le monde réalise les dangers possibles de ces pratiques. »
L’histoire de Holly vient à la suite de celle de Chantele Nielsen, 13 ans, de Hessle East Yorkshire dont la maman prétend que sa fille atteinte de narcolepsie est maintenant dans un fauteuil roulant, après avoir reçu les vaccins contre le HPV.
Un porte-parole de Sanofi-Pasteur, MSD qui fournit le vaccin Gardasil a déclaré : « la sécurité des patients est la plus haute priorité de Sanofi Pasteur MSD. Nous encourageons les gens à nous transmettre des rapports de leur cas ou des cas d’autres personnes, de rapporter toute modification apportée à leur santé qui aurait pu être médicalement ou non constatée.
« Ces rapports sont pris très au sérieux et sont utilisés pour surveiller la sécurité à long terme.
« Toutefois, ces rapports ne prouvent pas nécessairement une relation causale avec le vaccin, mais fournissent aux autorités sanitaires une ligne d’enquête pour complément d’information quand la chose est nécessaire. »
Source : Dailymail
Commentaire d'Initiative Citoyenne: Mais à part ça, pour la professeur de pédiatrie canadienne Dr Noni Mc Donald (aussi dans les bonnes grâces de l'OMS) et tel qu'elle osait le déclarer le 18 mai dernier à l'assemblée générale du Conseil Supérieur belge de la Santé "Il n'y a pas de plus sûr vaccin que le vaccin HPV!" Et dire que cette médecin terminait sa présentation sur l'hésitation vaccinale par une référence à .... Hillary Clinton, championne professionnelle du mensonge! Tous ces menteurs seront-ils un jour condamnés pour leurs mensonges qui coûtent hélas tant de souffrances aux jeunes et à leurs familles?? C'est vraiment à espérer si les mots "justice" et "science" ont encore un sens dans notre langue!!!
Pr Noni Mc Donald pour qui Hillary Clinton est donc une fameuse référence... bravo!
Voir aussi:
Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!
Toute notre rubrique sur ce scandale sans fin des vaccins HPV Gardasil & Cervarix
Chiffres actualisés des effets secondaires liés aux vaccins HPV aux Etats-Unis jusqu'au mois de mai 2016 (NB: seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES sont officiellement comptabilisés)
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