Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 juillet 2016 1 04 /07 /juillet /2016 15:46

On l'avait déjà dit mais il convient plus que jamais de le répéter: les vaccins anti-HPV Gardasil 9 et Cervarix sont inefficaces, inutiles et surtout particulièrement dangereux (taux d'effets GRAVES pouvant atteindre environ les 10%!!). Le grand public a été honteusement enfumé sur les prétendus "bienfaits" de ces vaccins qui n'existent en réalité que dans l'esprit confus et agité des idéologues de la vaccination.  Les chiffres américains depuis la mise sur le marché de ces vaccins et actualisés au mois de mai dernier (en sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont officiellement recensés, selon les aveux relayés dans plusieurs publications médicales officielles) parlent d'eux-mêmes:

 

 

Sur le terrain, ce qui est donc observé très concrètement ce sont les effets secondaires graves, nombreux et variés (qu'ils soient mis au compte très commode des "coïncidences" ou pas!) qui font basculer des jeunes femmes pleines de vie et jusque là en parfaite santé dans des maladies graves et désespérantes (scléroses en plaques, névrites, lupus, etc etc.) dévastant de façon dramatique tant leur vie sociale que professionnelle.

 

 

On constate également que des jeunes femmes vaccinées développent des dysplasies et aussi des cancers du col après avoir eu plusieurs frottis anormaux qui ont succédé à leur vaccination. Les jeunes femmes vaccinées qui étaient infectées sans le savoir par l'une ou l'autre souche incluse dans le vaccin ont 44,6% de risque supplémentaire de développer une pathologie du col (cf. p. 13/30). Mais même pour celles vaccinées avant les premiers rapports sexuels, il faut savoir qu'elles seront elles aussi victimes d'un phénomène bien connu des épidémiologistes et qui constitue un effet pervers notoire de nombreux programmes de vaccination: une réceptivité majorée aux autres souches à haut risque non incluses dans le vaccin en raison d'une sorte d'effet "boomerang" de la Nature et d'une pression de sélection sur les germes (la Nature ayant horreur du vide, il y a un équilibre microbien où les souches virales et bactériennes en général prennent la place de celles qu'on tente de limiter ou de supprimer or il existe environ 80 souches différentes de HPV dont une quinzaine à haut risque de dysplasie du col...). Par conséquent, se faire vacciner, c'est s'exposer davantage aux souches non incluses dans le vaccin (= un type de risque) PLUS AUSSI ENCOURIR TOUS LES RISQUES GRAVES DU VACCIN QUE L'ON N'ENCOURERAIT PAS NON PLUS EN L'ABSENCE DE CETTE FAUSSE PREVENTION ARTIFICIELLE... est-ce vraiment raisonnable et conforme au bon sens d'aller multiplier les risques par rapport à ce qu'on risquerait naturellement en l'absence de vaccination?

 

La bonne question dès lors à se poser est: comment prévenir alors mieux, plus efficacement, plus intelligemment et avec plus de sécurité les complications problématiques des infections à papillomavirus??

 

Et là, la réponse est double selon qu'il s'agisse de prévention primaire ou de prévention secondaire. Dans les deux cas, il y a en effet des outils et il n'y a dès lors aucune place pour la moindre vaccination à ce niveau (sauf bien sûr dans l'esprit avide du secteur pharmaceutique et de ses dociles relais médicaux sans le moindre esprit critique).

 

Prévention primaire: il s'agit ici de renforcer le système immunitaire chargé d'éliminer le plus vite possible le ou les papillomavirus infectants. Il existe de très nombreux moyens non spécifiques de renforcer l'efficience du système immunitaire en général, dont le bon fonctionnement requiert la réunion de nombreux facteurs, à commencer par les piliers d'une vie saine. En effet, si vous ne mangez pas sainement (consommation élevée de sucres, de mauvaises graisses, de produits préparés, contaminés en additifs, pesticides, colorants, édulcorants, de sodas etc.), si vous ne dormez pas suffisamment, si vous respirez un air pollué et/ou que vous fumez, que vous êtes fort exposé aux ondes électromagnétiques, si vous vivez dans le stress et la tension, si vous consommez divers médicaments chimiques et/ou avez reçu de nombreux vaccins, il est fort peu probable que votre système immunitaire fonctionne de façon optimale, ce qui signifie en d'autres termes que vous tomberez statistiquement plus souvent malade (en traînant les infections souvent plus longtemps aussi) que quelqu'un qui ne part pas d'emblée avec tous ces "boulets". Dans le monde archi-pollué que nous venons de décrire, il est bien évident que les carences en nutriments essentiels sont archi fréquentes, même pour ceux qui mangent équilibré et même bio. Parmi les carences ultra fréquentes, on retrouve notamment la carence en vitamine D (mais on pourrait bien sûr aussi parler de la vitamine C, du zinc et d'autres anti-oxydants par exemple). La vitamine D est une vitamine qui a un rôle très important dans la défense contre les infections, dans la prévention du cancer, et pour de nombreuses autres fonctionsUn taux optimal de vitamine D (noté 25 hydroxy-OH sur les feuilles d'analyses) se situe dans la fourchette des 40-70 ng/ml. Une supplémentation douce quotidienne est préférable aux doses massives (qui fatiguent le foie): préférez ainsi des doses de 1000 à 2000 UI/jour (et couplées à de la vitamine K!) plutôt qu'à de fortes doses par ampoules de 10 000 UI!

 

Rares sont les médecins qui font systématiquement doser le taux de vitamine D chez les adolescentes à qui ils injectent de façon automatique et robotisante le vaccin HPV au simple motif qu'il est inscrit au sacrosaint calendrier vaccinal! Pourtant, cela serait une attitude éminemment plus responsable et permettrait à ces praticiens de proposer une prévention sûre et non limitée aux seuls HPV à ces patientes, mais il est hélas vraisemblable que ces médecins qui s'abreuvent aux revues médicales standardisées qui regorgent de publicités pharmaceutiques ne soient même pas au courant des données scientifiques les plus récentes établissant un lien direct entre un faible taux de vitamine D et le risque de pathologies du col liées aux virus HPV. A cet égard, il semble une fois encore que ce sera aux jeunes femmes qui lisent ces lignes et ces informations d'être pro-actives et d'aller elles-mêmes réclamer à leur médecin de faire doser leur taux de vitamine D en lieu et place de servir de cobayes avec des vaccins qui pourraient tellement facilement réduire leurs rêves d'avenir en poussière....

 

Prévention secondaire: ce type de prévention consiste, une fois un problème détecté à pouvoir éviter qu'il ne dégénère. Dans le cas des infections à HPV liées au cancer du col mais jamais à elles seules suffisantes pour déclencher un cancer (qui est fonction du terrain individuel et des facteurs de risques particuliers), cette prévention secondaire consiste à effectuer périodiquement tous les 2 à 3 ans dès après les premiers rapports sexuels, un frottis du col de l'utérus par un gynécologue ou un généraliste. Le frottis du col de l'utérus a, à lui seul, permis une réduction de 80% de la mortalité par ce type de cancer car il permet la détection et donc le traitement précoce des lésions avant qu'elles ne puissent se transformer en cancer véritable.

 

 

Ces traitements que les propagandistes de la vaccination tentent de faire passer comme évitables par la vaccination s'avèrent en réalité incomparablement légers (traitements en ambulatoire ou en hospitalisation de jour sans effets secondaires notoires ou particulièrement relevants, par une chirurgie légère ou en cabinet par le recours au laser par exemple) par rapport aux effets indésirables désespérants, diffus et incontrôlables des vaccins qui peuvent affecter autant le système nerveux, cutané, immunitaire, digestif, reproductif etc., et contre lesquels la médecine officielle n'a absolument RIEN à proposer si ce n'est bien entendu son insoutenable déni et sa traditionnelle lâcheté...

 

Diaboliser toutes les infections à papillomavirus pour écouler une vaccination comme cela est fait depuis des années est non seulement ridicule mais tout à fait contre-productif car dans 90% des cas, le corps est en mesure d'éliminer tout seul ces virus HPV endéans les deux ans qui suivent l'infection. Ces infections sont très fréquentes au cours de la vie des femmes (ce qui veut dire que leur incidence est assez élevée, 60% à 80% des femmes rentreront en contact avec ces virus au cours de leur vie sexuelle) mais lorsqu'on regarde leur prévalence (donc qu'on fait en quelque sorte une "photo" du nombre de femmes qui en sont porteuses à un moment donné), on se rend compte qu'elle est assez faible, preuve que le corps a une grande capacité d'élimination de ce genre de virus. En plus, des enquêtes de prévalence ont montré que les souches incluses dans ces vaccins n'étaient statistiquement pas les plus responsables des infections rencontrées chez les jeunes femmes, contrairement aux mensonges publicitaires ayant réaffirmé à tour de bras que ces vaccins permettaient soi-disant de protéger contre 70% des cancers du col de l'utérus!

 

Seuls 60% des femmes se font dépister périodiquement par frottis et par conséquent, il est bien évident qu'il serait beaucoup plus intelligent (sauf du point de vue des pharmas une fois encore) d'instaurer une gratuité totale pour cet examen que de dilapider des millions d'euros dans des vaccins-poisons au développement bâclé qui occasionneront encore, par effet domino, des frais secondaires à la Sécurité sociale et aux familles en consultations et traitements "caches-symptômes" de leurs effets indésirables.

Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

Face à ces évidences scientifiques et alors que ces vaccins anti-HPV désastreux sont dénoncés partout dans le monde, on retrouve toute une série de pseudos experts- qui continuent de promouvoir ceux-ci en ignorant le fameux principe "D'abord ne pas nuire". Ces "experts" ne doivent plus vous duper, d'une part parce qu'ils sont pour la plupart englués dans des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins, comme c'est par exemple le cas de l'affigeante Dr Hélène Borne qui continue de réciter au fil des années, tel un robot, son petit discours culpabilisant. Ecoutez-là qui disait souhaiter qu'une telle vaccination devienne obligatoire dans une émission télé au début de la commercialisation du Gardasil (cf. à partir du temps 1'24'' dans la première vidéo) puis tout récemment, après la sortie du Gardasil 9, nouvelle version du vaccin censée améliorer un vaccin qui était déjà jadis présenté comme parfait et prodigieux. Et le moins que l'on puisse dire est que son discours, tout comme le personnage d'ailleurs, vieillit plutôt mal:

Hélène Borne veut-elle sauver des vies ou plutôt l'image d'un vaccin en déclin? On peut se le demander...

Mais aussi parce que ces "experts" usent et abusent du simple argument d'autorité sans valeur scientifique propre, se bornant à affirmer des dogmes et des postulats tout en exhibant des références plus que douteuses. C'est par exemple le cas de Noni Mc Donald, une professeur de pédiatrie canadienne qui est aussi dans les bonnes grâces de l'OMS (comment s'en étonner?) et qui se vantait de ne pas avoir de conflits d'intérêts mais qui n'était pas pour autant gênée d'oser affirmer sans rire -malgré les données chiffrées ci-dessus- le 18 mai dernier, à Bruxelles, à l'Assemblée du Conseil Supérieur de la Santé (CSS) qu' "il n'y a pas de plus sûr vaccin que le vaccin HPV !", en terminant sa présentation par son ultime référence qui n'est autre que... Hillary Clinton, championne professionnelle du mensonge comme le détaille cette vidéo qui a déjà visiblement intéressé plusieurs millions d'Américains

 

Pr Noni Mc Donald pour qui Hillary Clinton est donc une fameuse référence... bravo!

 

De la même façon que la Ministre Touraine affirmait que "la vaccination, ça ne se discute pas", l'ex première dame avait déclaré en février 2015 que "la science est claire: la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins fonctionnent. Protégeons tous nos enfants.

Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

Ce genre de phrases qui ne font pas avancer la santé publique d'un iota constituent en réalité les "joyaux argumentatifs" des tenants de la fausse science qu'est la vaccinologie, une coquille vide en manque de slogans simples et accrocheurs à défaut de données scientifiques consistantes et sérieuses (les essais cliniques de vaccins étant tout bonnement biaisés).  

 

Ne comptant plus les parents et les jeunes filles qui ont amèrement regretté d'avoir subi cette vaccination (sans compter les jeunes femmes qui en sont hélas décédées), nous ne pouvons que vous encourager à vous poser désormais les bonnes questions et surtout à continuer d'informer le plus largement possible autour de vous sur les choix de santé les plus sûrs, les plus efficaces et donc aussi les plus intelligents, au bénéfice de vos enfants, proches, amis, élèves, patients ou clients et autres personnes de votre entourage. Oui, hésiter à se faire vacciner peut vous sauver la vie. Et oui, la vraie prévention n'est pas toujours celle que l'on croit et que l'on a enfoncée dans les cerveaux à force d'un conditionnement séculaire ne consistant qu'à associer constamment les mots "vaccination" et "prévention". Il faut le crier haut et fort: pour prévenir le cancer du col, il n'y a tout simplement aucune place pour la vaccination!!

Gardasil ou Cervarix, le même danger, la même inefficacité, la même inutilité...en milieu scolaire comme en cabinet privé!

Gardasil ou Cervarix, le même danger, la même inefficacité, la même inutilité...en milieu scolaire comme en cabinet privé!

Voir aussi:

 

Notre rubrique spéciale consacrée à ces vaccins HPV (+ d'une centaine d'articles... pour les lire, une fois arrivé au lien ci-avant déroulez les pages, ils sont classés du plus récent au plus ancien dont le présent article ci-dessus)

Partager cet article
Repost0

commentaires

I
"les vaccins anti-HPV Gardasil 9 et Cervarix sont inefficaces, inutiles et surtout particulièrement dangereux (taux d'effets GRAVES pouvant atteindre environ les 10%!!)"<br /> <br /> Cette information est fausse.<br /> <br /> L'étude que vous citez est pourtant on ne peut plus claire: les effets secondaires graves sont de 9.0% pour les gens vaccinés, et 8.9% pour les gens du GROUPE CONTRÔLE.<br /> <br /> Le fait que même les gens SANS VACCINATION HPV développent ces effets secondaires aurait du vous mettre la puce à l'oreille: Les effets rapportés n'ont pas de rapport avec le vaccin anti-HPV.<br /> <br /> Ce qui aurait également du vous mettre la puce à l'oreille, c'est que c'est écrit noir sur blanc littéralement dès la phrase suivante: "only ten events (0.1%) and five events (0.1%), respectively, were considered to be related to vaccination"<br /> <br /> Les effets secondaires graves liés à la vaccination anti-HPV sont de 0.1%.<br /> <br /> <br /> Vous avez fait une erreur, c'est humain, cela arrive à tout le monde. Une correction rapide de votre part est l'attitude rationnelle à adopter. Une absence de correction est ce qui fera la différence entre une erreur et un mensonge.
Répondre
I
Merci pour cette précision sur ce que VOUS pensez, mais ce n'est pas ce que dit cette étude, que VOUS citez.<br /> <br /> Vous faites une affirmation et vous soutenez cette affirmation en citant une étude qui vous contredit.<br /> <br /> C'est une trahison des sources.
I
Vos conclusions sont parfaitement erronées car divers vaccins peuvent donner lieu au même groupe d'effets secondaires graves, expliquant des taux d'effets graves assez similaires (8,9% et 9%....); de là comme ça arrange bien le fabricant à décréter que seuls 0,1¨% de ces effets sont imputables à ses deux vaccins, il y a un pas que vous franchissez si facilement car vous ne savez visiblement pas ce qu'est la rigueur ni la nature exacte des critères utilisés pour oser relier les effets aux vaccins (dont les effets précisément sont insuffisamment étudiés d'où qu'on tourne en rond et cela ne fait que montrer le scandale dans le volet "safety" de comparer des vaccinés à d'autres vaccinés, finalement votre discours est un aveu explicite magistral du bienfondé de cette revendication. Osons comparer donc les vaccinés aux HPV à des groupes n'ayant reçu qu'une solution saline, pas seulement pour le volet "immunogénicité/anticorps" mais aussi pour le volet "safety" mais visiblement, ça vous fait aussi peur qu'à eux..
I
"la Nature ayant horreur du vide, il y a un équilibre microbien où les souches virales et bactériennes en général prennent la place de celles qu'on tente de limiter ou de supprimer [...] Par conséquent, se faire vacciner, c'est s'exposer davantage aux souches non incluses dans le vaccin"<br /> <br /> Cette information est fausse.<br /> <br /> Vous nous décrivez là le principe de la résistance des bactéries aux antibiotiques. Cela ne s'applique pas aux virus. Le principe est que l'antibiotique va faciliter la multiplication d'une bactérie qui se trouve DÉJÀ dans le corps. Vous nous dites qu'une personne vaccinée va attirer plus facilement les souches virales non incluses.<br /> <br /> Un antibiotique va détruire 99% des bactéries visées laissant au 1% ayant développé une résistance le champ libre pour se multiplier. Les bactéries résistances ne sont plus en compétition avec les bactéries qui ont été éliminées, c'est là leur avantage.<br /> <br /> Être infecté par un virus, c'est être infecté par une souche unique.<br /> <br /> Il est possible d'être infecté par plus d'un virus à la fois, voire par plusieurs souches d'un même virus à la fois, mais ce sont des événements statistiquement indépendants. Le virus ne se dit pas "tiens, la place est déjà prise, j'attends mon tour pour infecter cette personne". Au contraire, si la personne est vaccinée cela permet de s'assurer que le système immunitaire n'aura pas été auparavant affaibli par une souche reconnue.<br /> <br /> C'est comme si vous disiez: La nature ayant horreur du vide, se faire vacciner contre le HPV c'est s'exposer davantage aux maladies non incluses dans le vaccin, comme la rougeole par exemple.
Répondre
I
"seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont officiellement recensés"<br /> <br /> Par votre insistance à propager cette erreur, faut-il en conclure que vous préférez propager des information que vous savez être fausses mais qui vont dans votre sens, plutôt que de réellement informer le public ?<br /> <br /> https://initiativerationnelle.wordpress.com/2016/04/17/seuls-1-a-10-des-effets-secondaires-graves-sont-officiellement-comptabilises-par-les-services-de-pharmacovigilance/<br /> <br /> Vous prenez régulièrement une posture de victime outragée quand on vous taxe d'idéologie partisane, mais un exemple aussi flagrant ne montre-t-il pas que vous ne faites rien d'autre ? L'absence de réponse argumentée est un autre indicateur fiable.
Répondre
L
"la Nature ayant horreur du vide, il y a un équilibre microbien où les souches virales et bactériennes en général prennent la place de celles qu'on tente de limiter ou de supprimer"<br /> <br /> Oui, je pense qu'il y a un équilibre qui s'instaure entre les virus, bactéries, etc... et l'organisme. Tenter d'assainir le terrain de ces micro-organismes perturbe cet équilibre et peut déboucher sur des manifestations désagréables voire graves.<br /> <br /> J'en ai fait l'amère mais enrichissante expérience il y a quelque temps. J'ai des dents dévitalisées et des bactéries se sont mises dans leurs racines (c'est courant). Mon dentiste m'a prescrit un nettoyage de racine pour détruire ces bactéries et éviter une infection ou un problème dans les mois ou années à venir. C'est logique et rationnel, n'est-ce pas ?! Il y a des bactéries donc on les détruit pour éviter toute infection.<br /> <br /> Je l'ai fait pour plusieurs dents mais pour la dernière, il y a eu un soucis : cela a débouché sur... un abcès dentaire !!! Magnifique, n'est-ce pas ?! Le dentiste consulté en urgence le jour de congé du mien puis mon dentiste m'ont confirmé qu'il s'agissait d'un effet secondaire pouvant parfois se produire. Le premier m'a prescrit un antibiotique et de la cortisone. Le second, m'a prescrit un antibiotique seulement. Tous deux m'ont dit que je ne pourrai pas faire autrement et tous deux se sont trompés ! J'ai géré la douleur sans médicament d'une part et mon abcès s'est résorbé sans antibiotique et sans cortisone d'autre part, mais je vous prie de croire que j'ai eu chaud !<br /> <br /> Bien sûr, un abcès n'a pas la gravité des effets secondaires du Gardasil ou du Cervarix mais cela montre bien que détruire les micro-organismes n'est pas anodin. <br /> <br /> Bref, être rationnelle ne me réussit pas, je préfère être irrationnelle, c'est meilleur pour ma santé !
Répondre
I
"Je ne suis pas sure de bien comprendre."<br /> <br /> Au contraire, je pense que vous avez bien résumé mon propos.<br /> <br /> "Et les bactéries, de quoi se nourrissent-elles"<br /> <br /> De vous.<br /> <br /> Le trou dans la dent est ce qui reste après que les bactéries se soient nourries. Certaines parties sont plus difficiles à entamer, comme l'émail, et le brossage permet de faire un ménage régulier. En revanche, les endroits plus tendres et très difficiles à nettoyer, comme l'intérieur de la dent permettent une prolifération maximum. La dévitalisation consiste donc à retirer la partie tendre et à sceller hermétiquement.<br /> <br /> "cela veut dire qu'elles peuvent vivre très longtemps sans nourriture alors ? Cela peut aller jusqu'à deux décennies"<br /> <br /> Dans la dent dévitalisée ne reste que l'enveloppe extérieure qui est beaucoup plus dure que ce qui a été retiré. Les bactéries s'en nourrissent également, mais beaucoup moins rapidement.<br /> <br /> <br /> D'un point de vue plus général, je pense qu'il est plus clair maintenant que "l'équilibre microbien" ne peut pas vraiment être considéré comme un lieu apaisé ou chacun vit en bonne intelligence. C'est un champ de bataille perpétuel ou l'équilibre des forces en présence permet de limiter la généralisation du conflit.<br /> <br /> Votre conclusion était "détruire les micro-organismes n'est pas anodin". J'attire votre attention sur le fait que chaque jour vous détruisez vos propres bactéries de manière constante, systématique et complètement naturelle, et que c'est leur non destruction qui a été la cause de vos souffrances.
L
"Difficile de dire si votre dentiste a pris quelques libertés ou si vous n'avez pas parfaitement retenu l'explication, mais une bactérie ne se "réveille" pas pour proliférer par dépit quand elle est dérangée."<br /> <br /> Si, c'était bien ce mot-là (réveiller), je l'avais effectivement compris comme une liberté de vocabulaire du fait qu'il s'adressait à quelqu'un qui n'est pas du métier. <br /> <br /> "La dévitalisation d'une dent, qui soit dit en passant est une intervention tout à fait "pas naturelle", a pour but de stopper une infection. Si les dents ne se sont pas infectées, ce n'est pas parce que vous n'avez rien fait, c'est au contraire parce que vous avez activement fait quelque chose. Vous avez passé la zone au lance-flammes et vous avez laissé les quelques survivants sans nourriture pour se reproduire."<br /> <br /> Je ne suis pas sure de bien comprendre. Le lance-flammes, c'est la dévitalisation ? Les survivants, ce sont les bactéries isolées dans la racine et privées de nourriture ? Et, donc, le nettoyage aurait laissé passer quelques bactéries dans la gencive qui est un milieu favorable à leur reproduction car elles y trouveraient de la nourriture ? C'est bien cela ? En tout cas, cela me paraît cohérent effectivement. C'est peut-être ça l'explication. Et les bactéries, de quoi se nourrissent-elles ? Je veux dire : qu'y a-t-il dans la gencive qui les nourrisse ? Et puis, cela veut dire qu'elles peuvent vivre très longtemps sans nourriture alors ? Cela peut aller jusqu'à deux décennies ?
I
"Ils m'ont expliqué que c'était le fait d'aller gratter dans la racine qui avait réveillé les bactéries qui se sont mises alors à proliférer [...] Pourquoi se sont-elles réveillées cette fois-ci et pas les autres fois ? Mystère"<br /> <br /> Difficile de dire si votre dentiste a pris quelques libertés ou si vous n'avez pas parfaitement retenu l'explication, mais une bactérie ne se "réveille" pas pour proliférer par dépit quand elle est dérangée.<br /> <br /> La bactérie prolifère si le milieu est propice.<br /> <br /> La technique de la terre brûlée avec des frontières étanches qu'est la dévitalisation de la dent est ce qui a empêché que les bactéries ne se propagent. La propagation est ralentie, mais il y a propagation tout de même. Si un jour les bactéries trouvent leur chemin à l'extérieur de la dent, il y a abcès, comme vous le disait votre dentiste.<br /> <br /> En allant gratter dans la racine, il est possible que certaines bactéries se soient déposés par ailleurs au moment de l'aspiration, se retrouvant à nouveau dans ce milieu extrêmement propice a leur prolifération. Ce même milieu qui vous aura obligé à dévitaliser la dent pour arrêter leur progression par le passé.<br /> <br /> <br /> "La présence de bactéries n'implique pas une prolifération automatique sinon il y a longtemps que ces dents se seraient infectées."<br /> <br /> Notez la contradiction quand vous dites "Je ne faisais rien et pourtant les bactéries n'en ont pas profité pour se répandre". La dévitalisation d'une dent, qui soit dit en passant est une intervention tout à fait "pas naturelle", a pour but de stopper une infection. Si les dents ne se sont pas infectées, ce n'est pas parce que vous n'avez rien fait, c'est au contraire parce que vous avez activement fait quelque chose. Vous avez passé la zone au lance-flammes et vous avez laissé les quelques survivants sans nourriture pour se reproduire.
L
"Vous semblez nous dire que les médecins vous ont déclaré que c'était un effet secondaire du traitement, alors que vous nous décrivez là la conclusion logique d'une absence de traitement."<br /> <br /> Effet secondaire du traitement : ce sont exactement les mots qu'ont utilisés les dentistes. Mais vous avez raison quand vous écrivez que "mais il semble bien que c'est ne pas les avoir détruit complètement qui vous a infligé toutes ces souffrances". Ils m'ont expliqué que c'était le fait d'aller gratter dans la racine qui avait réveillé les bactéries qui se sont mises alors à proliférer car, et ça je ne le savais pas avant, il n'est pas possible de les détruire toutes, il en reste forcément. Pourquoi se sont-elles réveillées cette fois-ci et pas les autres fois ? Mystère.<br /> <br /> "Maintenant, imaginez votre souffrance pour chacune de vos dents dévitalisées si vous n'aviez pas tué toutes ces bactéries avant qu'elles ne prolifèrent de la même façon."<br /> <br /> Pas forcément. La présence de bactéries n'implique pas une prolifération automatique sinon il y a longtemps que ces dents se seraient infectées. J'ai eu les dents abimées très jeune. (Ce serait peut-être dû à la grosse quantité d'antibiotiques que j'ai prise d'après les dentistes à qui j'avais posé la question.) Cela fait des années que ces bactéries étaient là (ça se voit sur le panoramique que mon dentiste m'avait fait il y a quelques années). Je ne me faisais traiter qu'une ou deux dents par an du fait du coût assez élevé et non remboursé du traitement. Je ne veux pas dire qu'aucune de mes dents ne se serait jamais infectée bien sûr, mais ce n'est pas une obligation non plus. En plus, le traitement retarde statistiquement les risques d'un certain nombre d'années certes, mais il ne garantit pas que des bactéries ne reviendront pas un jour ou l'autre, et quelles bactéries ? Les mêmes ou de plus virulentes ? Est-ce reculer pour mieux sauter ? Mystère. <br /> <br /> Enfin, ce n'est pas très grave, il y a des choses plus graves qu'une infection dentaire. Et puis, après tout, j'ai accepté le traitement, je n'y ai pas été obligée. C'était surtout pour dire qu'on est loin de maîtriser les conséquences des traitements à court, moyen et long terme.
I
"J'ai des dents dévitalisées et des bactéries se sont mises dans leurs racines (c'est courant). Mon dentiste m'a prescrit un nettoyage de racine pour détruire ces bactéries et éviter une infection [...] cela a débouché sur... un abcès dentaire !!! Magnifique, n'est-ce pas ?! Le dentiste consulté en urgence le jour de congé du mien puis mon dentiste m'ont confirmé qu'il s'agissait d'un effet secondaire pouvant parfois se produire"<br /> <br /> <br /> Un abcès dentaire EST une infection. Vous semblez nous dire que les médecins vous ont déclaré que c'était un effet secondaire du traitement, alors que vous nous décrivez là la conclusion logique d'une absence de traitement. Ne peut-on pas supposer que le médecin a prescrit un nettoyage pour éviter une infection et pour une raison quelconque (intervention tardive, malchance, désalignement harmonique) vous avez quand même eu cette infection ?<br /> <br /> Votre conclusion était "détruire les micro-organismes n'est pas anodin", mais il semble bien que c'est ne pas les avoir détruit complètement qui vous a infligé toutes ces souffrances. Magnifique, n'est-ce pas ?!<br /> <br /> Maintenant, imaginez votre souffrance pour chacune de vos dents dévitalisées si vous n'aviez pas tué toutes ces bactéries avant qu'elles ne prolifèrent de la même façon.
C
La France a espacé les frottis remboursés il y a 10 ou 15 ans ( en passant de un remboursement tous les 2 ans à un tous les 3 ans), avec l'argument que le rapport bénéfice-risque était trop faible, et finalement, elle a remboursé le vaccin contre le cancer du col un peu plus tard, avec quel argument et quel coût ???
Répondre
I
"il faut continuer à faire des frottis [...] Le vaccin est donc de facto complètement inutile"<br /> <br /> Si vous nous parlez d'un vaccin anti-frottis, vous avez tout à fait raison. Si vous nous parlez d'un vaccin anti-HPV vous avez tout à fait tort. (D'autre part, ne confondez pas 70% des souches virales et 70% des cancers)<br /> <br /> Si un jour quelqu'un développe une quasi-panacée qui soigne 70% de toutes les maladies connues, je vous vois bien affirmer: "Il y a quand même 30% de toutes les maladies qui ne sont pas soignées par ce médicament, ce qui veut dire que je dois quand même me rendre régulièrement chez le médecin. Ce médicament qui soigne 70% de toutes les maladies connues est donc de facto complètement inutile."
A
D'autant que malgré la vaccination, il faut continuer à faire des frottis puisque le vaccin protège contre 70% des souches virales seulement. Le vaccin est donc de facto complètement inutile, sauf pour le portefeuille de Sanofi Pasteur.

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA