Un nombre croissant de parents s'interrogent sur le bienfondé de ces vaccinations recommandées de façon standard et uniforme à tous les enfants, à âges fixes. Et ils ont raison, car cette façon de procéder ne tient hélas aucun compte des particularités biologiques de leurs enfants, les forçant ainsi à s'adapter aux vaccins plutôt que l'inverse!
Parmi les parents qui s'interrogent, certains finiront certes par accepter tout le schéma vaccinal habituel, mais nombreux sont les parents qui opteront in fine pour un schéma vaccinal alternatif qui comportera:
- un moins grand nombre de vaccins différents et/ou;
- le fait de vacciner plus tard et/ou
- l'administration d'un nombre réduit de doses et/ou
- avec des intervalles de temps plus longs entre les doses
En Belgique, comme en France et dans beaucoup d'autres pays, les officiels préconisent et font pression pour que la vaccination commence dès l'âge de 2 mois (8 semaines), prétendant qu'il est absolument vital de protéger dès que possible les fragiles nourrissons.
En réalité, plus on vaccine tôt, et plus on accroît les risques de mort subite, mais aussi d'asthme et d'allergies consécutifs aux vaccinations!
Le schéma officiel belge implique la répétition des doses de vaccin hexavalent (ou à défaut tétravalent) à l'âge de 2,3, 4 mois puis encore une quatrième fois à l'âge de 15 mois. Dans plusieurs pays nordiques, ce schéma comporte une dose en moins en bas âge. La France vient de supprimer la dose effectuée à 3 mois. Ce qui est certain, c'est que plus le nombre de doses est élevé et la répétition fréquente, plus grand est le risque d'effets secondaires, y compris les effets secondaires graves. Ce n'est ainsi pas pour rien si le pic des cas de mort subite du nourrisson se situe entre 2 et 4 mois, moment où l'enfant reçoit le plus de rappels vaccinaux agressifs et rapprochés! La suppression de cette 3° dose dans le calendrier vaccinal français répond donc peut-être à la nécessité stratégique de réduire un certain nombre d'effets secondaires dans un climat où les vaccins inspirent à juste titre de plus en plus la méfiance.
En Belgique, pays abritant le siège mondial des vaccins de GSK, tout continue comme si de rien n'était selon le schéma suivant:
Ce que beaucoup de parents ne savent pas (encore), c'est qu'en vaccinant plus tard, on peut aussi réduire le nombre de doses et de rappel. Voilà donc pourquoi les autorités, qui considèrent les fabricants de vaccins comme "leurs partenaires naturels" et comme une source d'emplois à préserver, insistent tellement pour vacciner le plus tôt possible: pour écouler donc aussi le plus grand nombre de doses de vaccins. Pour les fabricants, c'est X centaines de millions d'euros en plus si ces schémas à 4 doses sont privilégiés dans de nombreux pays en lieu et place des schémas à 3 doses!
Dans les notices professionnelles toutefois, qui ne sont, comme par hasard, PAS disponibles et accessibles aux parents sur internet, on peut clairement lire et voir selon les différents vaccins, qu'en commençant plus tard, on peut réduire le nombre de doses et allonger le temps entre les différents rappels. Tout cela contribue, sans les annuler, à réduire les risques et les apports de produits chimiques toxiques contenus dans les vaccins.
Si on prend par exemple le cas du vaccin contre l'haemophilius influenzae (aussi contenu dans le vaccin pentavalent et hexavalent), la notice professionnelle indique très exactement ceci:
Préconiser la vaccination dès l'âge de 2 mois, cela fait donc 4 doses à vendre pour Big Pharma par enfant alors qu'après 1 an, cela ne fait plus qu'une dose: 4 fois moins à gagner par enfant!
Pour un vaccin comme celui contre le tétanos, la diphtérie, la polio et la coqueluche (vaccin tétravalent), vacciner au-delà de 4 mois permet de n'administrer que 2 doses (au lieu de 3) pour le schéma de primovaccination, avec un espacement plus grand entre les doses:
(Notice professionnelle du vaccin Tetravac)
Prenez toutefois bien conscience que chaque dose de vaccin et chaque rappel peut constituer pour tel ou tel enfant (peut-être le vôtre?) "la dose de trop" sans laquelle tel ou tel effet secondaire fâcheux aurait pu ne jamais apparaître cliniquement....
La vaccination consituant une roulette russe à chaque dose, il est bien compréhensible qu'un nombre croissant de parents souhaitent réduire la fréquence à laquelle chacun de ces tours de roulette russe s'effectuent, et ce d'autant plus que les sacrosaintes vérités du calendrier vaccinal d'hier ne sont plus forcément celles d'aujourd'hui, comme le montrent les récents changements dans le calendrier vaccinal français. Ainsi, certaines doses qui étaient considérées comme incontournables et pourtant génératrices elles aussi d'effets secondaires chez X milliers d'enfants chaque année, ont fini par disparaître. Et tant pis finalement pour les enfants des parents qui avaient cru naïvement qu'il fallait vraiment suivre l'avis des "experts" à la lettre.
Voir aussi: Vacciner plus tard permet d'administrer moins de doses