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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 23:11

En dépit des propos alarmistes qui ont en quelque sorte préparé le terrain à la campagne massive de vaccination, il convient de rappeler que la grippe A reste une maladie statistiquement bénigne.

En Nouvelle Zélande, alors que l'hiver est à présent terminé dans cette partie de l'hémisphère Sud, on a constaté un taux de mortalité très faible estimé à 1/20 000 à 1/30 000 ( soit de 0, 003% à 0,005%).




Dans ce pays, la Nouvelle Zélande, « la grippe saisonnière fait 400 décès annuels chaque année et, cette année, il n’y a eu que 17 décès ce qui peut faire dire que la pandémie a (dans ce pays) contribué à sauver 383 vies, rendant ce virus (et le fait qu’il prenne ainsi la place du virus saisonnier) plus efficace que tous les vaccins antigrippaux possibles » 

Lettre parue dans le British Medical Journal le 29 septembre 2009-10-26


 

Comme l'a rappelé l'hôpital canadien Sainte Justine dans un très récent communiqué de presse il faut "redonner l'heure juste en ce qui concerne la gravité de cette grippe A" et rappeler que celle-ci est majoritairement bénigne, notamment chez les enfants.

 

 



Aussi, il est légitime de se demander dans quelle mesure les innombrables conflits d'intérêts entre l'industrie et les "experts" et ceci, jusqu'au plus haut niveau (regardez à ce sujet l'éclairant documentaire "Grippe A, un virus qui fait débat" par exemple) n'entrent pas en ligne de compte au détriment de l'objectivité scientifique et de la santé des citoyens.....

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 15:29

Depuis que la grippe A (H1N1) a été déclarée pandémie mondiale par l'OMS, les gouvernements du monde entier se sont lancés dans des achats massifs de médicaments et de vaccins. Prévention ou hystérie ?


(Allemagne, 2009, 52mn)
NDR, Réalisateurs : Jutta Pinzler, Stefanie Schwalfenberg



Sur les 6,2 milliards d'individus que compte la planète, le virus de la grippe A (H1N1) en a tué jusqu'ici moins de 2 000 ; bien peu au regard des 100 000 personnes qui meurent de faim chaque jour dans le monde. Pourtant, avant même que les vaccins ne soient au point et que l'on soit certain de leur efficacité, des millions de doses ont été commandées par la plupart des pays. La dépense est-elle en rapport avec la menace réelle ?

Et comment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) établit-elle ses seuils d'alerte ? Le 29 avril dernier, elle a en effet décidé de passer au niveau 5 d'alerte pandémique, stade qui permet de débloquer des crédits pour développer des vaccins. Puis, en juin, elle a déclenché le niveau 6, en déclarant la grippe A (H1N1) pandémie mondiale. Quelle est l'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces décisions ? Rejoignant la position de Jean Ziegler, membre du Conseil des droits de l'homme à l'ONU, Wolfgang Becker-Brüser, l'ancien directeur du service chargé de la circulation des médicaments à l'Office pour la santé de la République fédérale d'Allemagne, soulève la question des intérêts commerciaux en jeu. D'autres critiques s'inquiètent de l'efficacité du Tamiflu et des vaccins. Certains s'interrogent même sur leur nocivité. D'autres se demandent enfin si, sur fond de crise financière et économique, le phénomène de la grippe A ne viendrait pas à point nommé pour les hommes politiques de tous les continents.




 
 
 
 
 
 

 
 
 

 

 
 













 
















 













 








 
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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 21:47

Publié le 20 octobre, 2009
par
Eric Vendin  

   

La Belgique a entamé lundi une campagne de vaccination contre le virus de la grippe H1N1 qui, bien que se déroulant sur une base volontaire et visant essentiellement le personnel médical et les groupes prioritaires, a entraîné le dépôt d’une plainte de citoyens inquiets.


Le personnel des hôpitaux (médecins, infirmiers, étudiants, techniciens…) peut depuis ce lundi être vaccin
é, gratuitement et s’il le souhaite, sur son lieu de travail.


A partir du 1er novembre, le reste de la population « prioritaire » pourra se rendre chez son médecin généraliste pour décider avec lui, après discussion des éventuelles contre-indications, s’il y a lieu de se faire vacciner.


Ces groupes prioritaires sont les personnes « à risque » atteinte de pathologie telle que, notamment, l’asthme, les femmes enceintes, les parents d' enfants
 de moins de six mois ou encore le personnel des crèches et des écoles. Les autres n’ont pas accès aux vaccins. « Il n’a jamais été question d’une vaccination obligatoire », a affirmé jeudi dernier devant le Parlement belge la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx.


Plusieurs aspects de la campagne de vaccination contre une maladie
 qui a touché quelque 20 000 personnes et fait 5 morts en Belgique, ont toutefois été critiqués ces dernières semaines.


L’Absym, le principal syndicat de médecins, a protesté contre « l’enregistrement » dans un fichier centralisé des coordonnées de toutes les personnes vaccinées, estimant qu’il y avait un risque « d’affaiblissement des droits des citoyens ».


Au Parlement, l’opposition écologiste a critiqué l’adoption vendredi d’une loi permettant au gouvernement d’user de « pouvoirs spéciaux » –par exemple la réquisition de personnel autre que du secteur de la santé– en cas de multiplication massive des cas.


Dénonçant le « caractère expérimental » des vaccins proposés, un collectif baptisé « Initiative citoyenne » a par ailleurs introduit un recours en référé devant la justice afin que la campagne de vaccination soit « suspendue ». « Nous demandons à un tribunal d’arrêter cette campagne aussi longtemps que la population n’aura pas été informée sur les effets de ce vaccin », a expliqué l’avocat de l’association, Georges-Henri Beauthier.


Bruxelles, 19 oct 2009 (AFP)


Source: Romandie

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 00:34

Mis en ligne le 19/10/2009


La grippe H1N1 n'est pas plus grave que celles qui l'ont précédée. Pourtant, de plus en plus nombreux sont les patients inquiets. Une opinion du Dr Michel Hallez, médecin de famille.


A ce jour, nous, médecins de famille, sommes confrontés à de nombreuses questions angoissantes d’une grande majorité de nos patients. Chaque jour, nous passons un peu plus de temps lors de nos consultations pour informer nos patients et surtout les rassurer. Jamais, en plus de trente ans de pratique et autant d’années à traiter des grippes, je n’ai eu à subir à un tel déferlement de questions. Alors que cette grippe-ci n’est pas plus grave que celles qui l’ont précédée. Pourquoi, faut-il se demander ? Parce que jamais auparavant des pouvoirs publics, relayés par les médias, n’ont insufflé autant d’angoisses dans la population, par leurs prises de position et leurs déclarations. Quand, il y a quelques années, le risque qu’un mutant viral de la grippe aviaire s’est présenté, les pouvoirs publics ont concocté des plans catastrophes sur base de simples hypothèses scientifiques.


En avril 2009, un nouveau virus grippal est apparu quelque part entre le Mexique et les Etats-Unis. L’impression d’un nombre élevé de décès a rapidement attiré l’attention des grands organismes internationaux. Mais on n’avait pas pris en compte le nombre très élevé de malades non recensés. Encore plus rapidement les pouvoirs publics se sont alarmés et en quelques semaines ont ressorti de leurs tiroirs les plans catastrophes élaborés quelques années plus tôt. Ces plans, notamment dans notre pays, ont tout de suite engendré de nombreuses réactions de la part des médecins et de leurs sociétés scientifiques.


S’il est plausible d’imaginer que cette épidémie à venir risque de provoquer un dépassement des structures habituelles de première ligne médicale, fallait-il mettre sur pied de guerre communes et corps médical, et, par ce biais, angoisser la population (notamment par l’énumération des décès, alors qu’on sait que chaque année meurent d’infections hivernales des centaines de personnes dans notre pays, dans l’anonymat le plus complet) ?


Bref, les médecins ont tellement réagi face à l’impraticabilité de ces mesures que ce plan catastrophe a subi depuis sa présentation en juillet des modifications quasi hebdomadaires, au point de donner le tournis dans un premier temps aux structures médicales et communales, et ensuite de provoquer un sentiment de rejet face à ce qui apparaissait comme un réel amateurisme ! Logique, tous ces plans ont été élaborés dans des cénacles d’experts complètement déconnectés de la réalité quotidienne des soins de première ligne habituellement concernés par cette maladie. Il serait impossible en quelques lignes de décrire ici tous les retournements en matière de prise en charge du patient par les médecins de famille, par les communes, par des centres régionaux de dispensation de soins, etc. Heureusement, aujourd’hui, on a reconnu, après beaucoup de vicissitudes, l’importance et l’expérience de la première ligne de soins dans la prise en charge de ce type de pathologie, même en cas d’épidémie importante. L’existence récente es cercles de médecins généralistes a grandement facilité la prise de décisions pour unifier, par région, les stratégies à appliquer. Deux exemples.


Le premier, tout à fait édifiant, est celui des médicaments antiviraux. Ils furent présentés, dès la menace de grippe aviaire il y a quelques années et dès la menace d’une nouvelle pandémie H1N1, comme la solution face aux virus influenza de grippe. Ces médicaments existent depuis plusieurs années. Ils n’ont jamais été remboursés chez nous. Et ont rarement été prescrits. Parce qu’on rembourse habituellement des médicaments qui ont fait preuve d’efficacité. Ces antiviraux ont un seul effet positif prouvé : donnés dans les 48 premières heures de la maladie, ils en raccourcissent la durée d’une journée; aucune étude de bonne qualité n’a prouvé qu’ils pouvaient réduire le nombre et la gravité des complications de la grippe ni la mortalité. Par contre, ils ont de nombreux effets secondaires, particulièrement chez les enfants (20-30% ). Mais il est vrai que les stocks effectués pour la grippe aviaire sont là et qu’il faut les utiliser . Tout médecin qui s’est un tant soit peu renseigné sur ces médicaments hésite à les prescrire aujourd’hui.


L’autre exemple est celui du vaccin. Promis à grand renfort de publicité depuis juillet, il arrivera fin octobre, plus vraisemblablement de novembre à janvier. C’est-à-dire peut-être après que l’épidémie se soit déclarée. Logique, on ne peut pas expérimenter un médicament (c’en est un !) et le produire en quelques mois. Première conséquence : nous sommes devant un vaccin dont l’innocuité sera inconnue. Logiquement, les effets secondaires ne seront pas plus nombreux que pour le vaccin antigrippal saisonnier, puisqu’il est produit de la même façon. Cependant, nous, médecins, devrons être très vigilants. Ensuite, ce vaccin arrivera dans les pharmacies par petites quantités progressives. Le ministère de la santé veut qu’il soit gratuit. Il est donc obligé de déterminer des groupes de patients prioritaires pour le recevoir. De source scientifique, nous savons que les populations les plus à risque de faire la grippe H1N1 et ses complications ne sont pas les mêmes que pour la grippe H2N3 habituelle. Il faudra donc convaincre de nouveaux groupes à se faire vacciner et résister à la pression de ceux qui étaient habituellement vaccinés avec remboursement auparavant. Cette situation ne sera pas facile à gérer.


Finalement, nous retiendrons un effet positif de cette campagne d’information, c’est la nécessité, en cas de maladie contagieuse (toutes les infections respiratoires courantes et toutes les infections intestinales), de réaliser les gestes qui respectent et protègent l’autre : éviter les bisous et les embrassades quand on est malade, éviter de disséminer ses virus lors d’éternuements et de toux, se laver souvent les mains au savon et à l’eau courante sous le robinet ! Simple, mais pas évident !


Il nous paraissait que toutes ces réflexions puissent être diffusées à un public le plus large possible pour rétablir une certaine vérité, pour regretter que les autorités n’aient pas utilisé, dès le départ, un langage clair et apaisant auprès de la population. Il n’est pas encore trop tard, pour nos autorités, politiques et scientifiques, d’organiser une véritable information, par exemple lors d’un débat télévisé diffusé simultanément sur nos grandes chaînes : relativiser la gravité de cette maladie, la valeur des médicaments antiviraux proposés et bien expliquer sa stratégie en matière de prévention (vaccination).


Source: La Libre

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 00:20

Bruxelles Correspondant

 

Le dossier de la grippe A(H1 N1) est désormais, en Belgique, entre les mains des juges. Une mobilisation contre la vaccination a, en effet, débouché sur une action en référé de centaines de personnes contre la ministre de la santé, Laurette Onkelinx (PS), il y a quelques jours. Un mouvement baptisé "Initiative citoyenne", qui affirme qu'il n'est pas opposé par principe aux vaccinations, soutient que les produits mis sur le marché n'ont pas été suffisamment expérimentés et que le grand public se voit refuser les informations "loyales, claires et équilibrées" indispensables.

 

Initiative citoyenne s'appuie sur une abondante littérature pour évoquer le danger des adjuvants aux vaccins, dont le squalène, inclus dans le vaccin commandé par les pouvoirs publics, le Pandemrix. Celui-ci contiendrait aussi, souligne leur avocat, Me Georges-Henri Beauthier, un composé foetotoxique - le thimérosal - et un produit potentiellement stérilisant, le polysorbate 80. Des craintes similaires ont été exprimées ces derniers jours aux Etats-Unis, où des personnels de santé de la ville de New York ont annoncé leur intention d'agir en justice contre une vaccination obligatoire.

 

"Vaccination ne signifie pas protection", estime le mouvement de citoyens, qui évoque le droit des patients, ainsi que des recommandations de l'Organisation mondiale de la santé et de la Cour européenne des droits de l'homme pour réclamer la suspension de la campagne de vaccination.

 

Le tribunal de Bruxelles doit se prononcer dans quelques jours.


Cinq décès liés au virus A(H1N1) ont été recensés jusqu'ici en Belgique. Le dernier en date a été celui d'un homme de 43 ans, jeudi 15 octobre.

La campagne de vaccination gratuite devait, en principe, débuter lundi 19 octobre dans le pays. Elle était censée commencer par les médecins et le personnel infirmier, et viser ensuite les publics jugés à risques : femmes enceintes, personnes qui gardent des enfants, enseignants, patients asthmatiques, cardiaques, diabétiques, etc.


Le refus des généralistes


Jeudi 15 octobre, le gouvernement a obtenu du Parlement les pouvoirs spéciaux qu'il réclamait et qui lui permettraient notamment de mobiliser le personnel nécessaire sans passer par la Chambre des députés en cas de crise grave liée à une épidémie de grippe. Une disposition, approuvée par la majorité et par l'opposition, a toutefois été introduite in extremis dans la loi. Elle prévoit que la vaccination ne sera obligatoire pour personne.


Initiative citoyenne estime que c'est une première victoire, mais n'entend pas s'arrêter là. Le mouvement est désormais appuyé par des médecins généralistes. Ces derniers, qui seront chargés de procéder à la vaccination, refusent d'enregistrer dans une base informatique officielle les données relatives à leurs patients, comme les y invite le ministère de la santé. Ils estiment que la confidentialité des données n'est pas garantie, ce que dément le cabinet de la ministre. Les pouvoirs publics affirment vouloir recenser rapidement les défauts éventuels de lots de vaccins et l'évolution du taux de vaccination de la population. Une rencontre entre les syndicats de médecins généralistes et Laurette Onkelinx doit avoir lieu prochainement.


Jean-Pierre Stroobants

Source: Le Monde du 20/10/09.
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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:19

Les médecins font de la résistance

 

RICARDO GUTIERREZ

mardi 13 octobre 2009, 09:15

 

Le mot d'ordre aux médecins est « formel » : ne pas procéder à l'enregistrement des vaccinations contre la grippe A/H1N1. L'Association belge des syndicats médicaux (Absym) est prête à défendre les médecins qui subiraient « des menaces ou des sanctions ». Plus mesuré, le Groupement belge des omnipraticiens (GBO) regrette les conditions imposées aux généralistes, « dans une précipitation manifeste ».

 

Au moment même, lundi, où le collectif Initiative citoyenne annonçait son intention d'introduire toutes les actions judiciaires qui s'imposent, face à la campagne de vaccination, les syndicats médicaux appelaient leurs membres à faire de la résistance, en s'abstenant de procéder à l'enregistrement centralisé des vaccinations.

 

Le 29 septembre, la ministre fédérale de la Santé, Laurette Onkelinx (PS) annonçait une vaccination « sur base volontaire et gratuite ». D'abord à destination du personnel des hôpitaux, puis des groupes « prioritaires » : dispensateurs de soins, personnel de santé, patients à risque (diabétiques, asthmatiques, insuffisants rénaux…), femmes enceintes, parents d'enfants de moins de 6 mois, personnel des crèches et des écoles.


La ministre demandait que chaque personne vaccinée soit enregistrée par le biais de la plateforme électronique e-health, qui trouve là son premier usage de masse. C'était sans compter sur les syndicats médicaux. Ils appellent leurs membres à opérer les vaccinations qu'ils jugent nécessaires, mais à ne pas les encoder via e-health. Aux yeux du Dr Roland Lemye (Absym), le gouvernement, par cette procédure, « viole la confiance des patients et la confidentialité des données médicales ». Au GBO, le Dr Philippe Vandermeeren suggère à ses confrères de procéder à l'enregistrement dans le dossier médical du patient, « afin que le médecin reste dépositaire de l'information, faute d'obtenir les garanties nécessaires sur la confidentialité du traitement des données via e-health ».


Jeudi, le dossier sera à l'ordre du jour de la Chambre, appelée à voter la loi de pouvoirs spéciaux qui légaliserait a posteriori une série de mesures engagées par le gouvernement… Ecolo annonce un amendement afin d'éviter le risque de passer de la politique actuelle de volontariat à une vaccination obligatoire, alors même que l'efficacité du vaccin et son innocuité restent controversées…


Le 30 septembre, le Dr Reynders, coordinateur de la cellule influenza, révélait que les autorités sanitaires avaient initialement prévu une vaccination obligatoire de l'ensemble de la population, en réquisitionnant les bureaux de vote… « Nous n'en sommes plus là, commente Georges-Henri Beauthier, l'avocat d'Initiative citoyenne. Mais il y a pire, l'Europe estimant que les Etats membres peuvent exempter de toute responsabilité civile les fabricants et les médecins qui administreront ce vaccin expérimental. Inquiétante dilution des responsabilités ! »

Source: Le Soir

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:10

grippe A (H1N1)

 

Les médecins craignent un vaccin anti-grippe mal testé

 

BELGA

Mis en ligne le 09/10/2009


Les médecins craignent de devoir endosser eux-mêmes la responsabilité des éventuelles complications qui pourraient subvenir après l'administration d'un vaccin anti-grippe H1N1, apprend-on vendredi à la lecture de De Morgen.
 
Ce vaccin a été mis au point très rapidement et, de ce fait, la procédure de test a été raccourcie.
 
"Certains médecins sont sceptiques par rapport à ce vaccin", explique Rufy Baeke, du syndicat des médecins flamands. "Il a été testé à la va-vite et les éventuels effets secondaires n'ont pas été bien cernés".

 

Marc Van Ranst, du Commissariat Influenza, estime cette critique non-fondée. "Les directives ont été clairement communiquées et on va continuer à le faire. Celui qui craint des suites judiciaires pourra toujours se référer au fait que le vaccin a été autorisé par les autorités compétentes, en Belgique et en Europe".


source: La Libre
 

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