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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 22:58

Voici le formulaire ONE de consentement parental pour la vaccination de leurs enfants par le médecin des milieux d'accueil concernés. En un mot surréaliste: pas la moindre information sur les risques, effets secondaires et échecs possibles des vaccins (alors que ce n'est pourtant pas cela qui manque au niveau de la littérature médico-scientifique internationale).

 

Mais malgré cela, les parents doivent signer et mentionner "lu et approuvé" à la suite d'affirmations trompeuses comme celles-ci:    

 

« Déclare(ons) avoir reçu l’information sur les vaccinations et sollicite(ons) la vaccination de notre enfant par le médecin de la consultation pour enfants ou du milieu d’accueil selon le schéma préconisé par l’ONE et la Communauté française de Belgique »

 

Le fait que l'ONE ne peut décemment ignorer l'existence de ces risques et échecs relayés dans la littérature médicale mondiale, qu'elle ne les mentionne pas du tout au public tout en lui faisant tout de même signer une affirmation selon laquelle ils déclarent "avoir reçu l'information sur les vaccinations", sont des faits constitutifs d'un "DOL" en droit belge, le dol étant une tromperie volontaire ou faite en conscience dans un but déterminé (ici la vaccination à tout prix).

 

En outre, ce formulaire scandaleux constitue en lui-même une violation flagrante de l'article 8 de la loi d'août 2002 sur les droits du patient qui stipule pourtant explicitement en son alinéa 2 que:  

 

« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »

 

L’ONE pense donc pouvoir ainsi se maintenir encore longtemps au-dessus des lois.

Nul doute que plusieurs parents ne resteront pas sans réagir face à pareille situation et que de futurs autres procès ne pourront qu’éclore face à pareil scandale à la fois sanitaire et démocratique.

 



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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 22:10

Ca se sent: l'ONE est de plus en plus sur la défensive. Car l'Office tente en effet de "colmater" les fuites après le camouflet infligé par la Ville de Bruxelles, cette dernière semblant s'être quelque peu distancée de sa tyrannie irrationnelle et illogique (la Ville de Bruxelles comptant à la fois sur son sol des crèches flamandes de Kind & Gezin non soumises à toutes ces obligations et dans lesquelles il n'y a pas plus d'épidémies et des crèches ONE)

 

C'est ainsi que l'ONE a relayé via Belga une pseudo-clarification qui n'est en réalité rien d'autre qu'une dérobade de plus, celle-ci pouvant en fait se résumer en une phrase "C'est pas moi, c'est les autres !"

 

Car en quoi consiste donc cette prétendue "clarification" de l'ONE?

 

Extraits et commentaires d'Initiative Citoyenne à chaque fois:

 

"L'obligation vaccinale dans les milieux d'accueil est fixée par le Gouvernement de la Fédération Wallonie Bruxelles, et non par l'ONE, mais en revanche la liste des vaccins obligatoires pour les enfants de moins de trois ans fréquentant un milieu d'accueil est elle fixée par le Collège des Conseillers pédiatres de l'ONE."

 

Commentaires: Ne jouons pas sur les mots en donnant l'illusion d'une indépendance qui n'existe en réalité pas entre l'ONE et la Fédération Wallonie Bruxelles, cette dernière ayant en fait la tutelle sur la première.

 

En outre, il convient aussi de rappeler que l'intransigeance vaccinale de l'ONE est antérieure à l'arrêté de la Communauté Française de février 2003 portant règlementation des milieux d'accueil (sorte de "package législatif" fourre-tout dans lequel une disposition avalise la tyrannie vaccinale de l'Office et lui offre ainsi une sorte de cadre juridique). C'était d'ailleurs en raison d'une telle intransigeance que plusieurs parents avaient, avant cette date, intenté des poursuites contre l'ONE, dénonçant notamment cette "absence de base légale". De là, la "nécessité juridique" qu'il y avait pour l'ONE a "être couvert" par ce genre d'arrêté.  

 

Mais pour être complets, il faut aussi souligner le côté profondément arbitraire de cadres législatifs "extensibles" comme celui de l'Arrêté de février 2003 puisque ce genre de cadres assez vagues (sans liste arrêtée des vaccins exactement obligatoires) offre ainsi le luxe à l'ONE et aux industriels en embuscade d'élargir potentiellement à l'infini la liste des vaccins obligatoires au gré des "progrès de la médecine", de l'aveu même de l'ONE!

Un cadre juridique suffisamment flou qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler celui de la fameuse loi d'exception de 2009 -soi-disant destinée à mieux gérer la fausse pandémie de grippe A, alors suffisante pour instaurer une vaccination obligatoire, par le biais de simples arrêtés ministériels d'exécution (seule l'action d'Initiative Citoyenne ayant d'ailleurs poussé in extremis l'adoption par les parlementaires d'un amendement empêchant cette éventualité)

 

"Pour fixer cette liste, le Collège se base sur un calendrier vaccinal recommandé par le Conseil supérieur de la santé ainsi que par la Cellule PROVAC du ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, explique l'ONE."

 

Commentaires: Une fois encore l'ONE "refile la patate chaude" à d'autres et brandit divers paravents qui sont censés impressionner ou rassurer le grand public.

C'est sans compter toutefois les informations rigoureuses déjà diffusées sur ce site quant aux conflits d'intérêts avérés des membres du Conseil Supérieur de la Santé (CSS) et de Provac (sa responsable étant en conflits d'intérêts avérés avec les fabricants de vaccins) et par conséquent, sur le peu de fiabilité et d'objectivité qu'on peut en attendre.

 

"Ces vaccinations constituent une mesure de prévention collective, indispensable en des lieux où plusieurs enfants parfois très jeunes, susceptibles de transmettre ou de contracter une maladie, sont accueillis ensemble. La responsabilité du milieu d'accueil comme de celle l'ONE serait lourdement engagée si, par malheur, un enfant devait contracter l'une des maladies visées par ces vaccins, en développer des effets secondaires graves, voire même en décéder et s'il s'avérait que les mesures de protection recommandées n'avaient pas été correctement suivies."

 

Commentaires: Ces affirmations sont tout bonnement absurdes car elles reviennent implicitement à affirmer que l'équivalent flamand de l'ONE, qui n'a pas les mêmes exigences prétendument "indispensables" (Kind & Gezin), n'aurait qu'une piètre notion de la "protection collective". La Flandre appréciera...

 

Quant à l'argument de la responsabilité du milieu d'accueil, là encore il ne tient pas car jamais les crèches néérlandophones n'accepteraient de prendre un tel risque.

En outre, il faut surtout rappeler que la responsabilité de l'ONE en cas d'effets secondaires de vaccins exigés pour entrer dans ses crèches, ne tardera très logiquement pas à être invoquée par des parents concernés.

 

Une fois encore, on ne peut pas tout exiger et ne rien assumer.

N'assumer aucune responsabilité en cas d'effets secondaires, ne pas daigner répondre aux questions précises d'Initiative Citoyenne sur la sécurité vaccinale, distiller sur son site et dans la presse des inexactitudes flagrantes pour ne pas dire des mensonges,... et dans le même temps, exiger malgré tout l'administration de produits qu'ils connaissent visiblement si mal!

 

L'ONE se réfugie une fois encore derrière des pseudo-cadres légaux et invoque fièrement le rejet de la plainte au civil d'un groupe de parents contre cette même obligation vaccinale.

Mais elle semble oublier qu'il y a d'autres plaintes et que ces parents déboutés en première instance feront sûrement appel...

 

En lieu et place de la moindre « clarification » c’est un festival de « poupées russes » que nous offre l’ONE, de façon à pouvoir à la fois se déresponsabiliser mais aussi tenter de légitimer et de crédibiliser son intransigeance vaccinale.

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 11:41

Oui, ça date de 1993. Mais ça rappelle qu'à l'époque, la presse était sans doute plus libre, la justice plus équitable et que l'ONE n'avait pas encore autant d'exigences vaccinales (bien qu'ils se permettaient déjà d'exiger d'autres vaccins que la vaccination polio, même en l'absence de la moindre base légale!) Déjà à l'époque, ils chicanaient sur les certificats médicaux de contre-indication. La justice avait alors donné raison aux parents contre la crèche et l'ONE mais également décidé qu'ils devaient indemniser les parents du préjudice subi.

 

Une décision qui rappelle donc aussi une fois encore qu'on a rien sans rien et que les parents qui veulent la liberté vaccinale devront se battre bec et ongles pour faire respecter leurs droits. Idem pour toutes les victimes et parents d'enfants victimes de vaccins qui méritent bien sûr aussi d'être indemnisés du préjudice physique, moral et financier subi!

 

Rappel des faits.

 

  

BEBE ANTOINE OBTIENT GAIN DE CAUSE
VACCINATION:UNE CRECHE NE FAIT PAS LA LOI

VANDEMEULEBROUCKE, MARTINE - LESOIR - Page 17 - Mardi 5 octobre 1993  

Il y a trois ans et demi, le petit Antoine Roblain était interdit d'accès à la crèche. Une expulsion définitive, décidée par la directrice et concrétisée par une ordonnance du tribunal des référés. Les parents du bébé avaient refusé de le faire vacciner contre la diphtérie et le tétanos, l'enfant ayant très mal supporté la première injection.

 

Le tribunal de première instance de Bruxelles vient de se prononcer dans ce litige: la crèche est condamnée et les parents d'Antoine, qui a maintenant cinq ans, sont indemnisés pour le préjudice subi.

 

Tout a commencé en novembre 1989. Le médecin traitant des Roblain rédige un certificat médical à l'attention de la crèche du Nid à Ixelles, où séjourne le petit Antoine. Il demande de ne pas administrer de rappel de la vaccination diphtérie-tétanos, le bébé ayant très mal réagi au premier vaccin. La directrice refuse et affirme que la vaccination est obligatoire. Les médecins de l'ONE appuient la crèche dans cette démarche. Le 9 mars 1990, la crèche fait signifier aux parents qu'elle n'acceptera plus Antoine le mois prochain. Quelques jours plus tard, le 21 mars, les Roblain sont avertis qu'un cas de rougeole s'est déclaré dans la crèche et qu'ils doivent faire vacciner l'enfant contre la rougeole le lendemain ou lui administrer une dose de gamma globulines. Ce que les parents font le soir même.

 

Le même jour, la crèche présente au tribunal des référés une ordonnance visant à interdire la présence «des» enfants Roblain (ils n'en ont qu'un) sous prétexte qu'ils mettent en danger la santé des autres enfants. L'ordonnance est signifiée le 22 mars aux parents et le 23 mars, les policiers d'Ixelles interdisent l'accès du petit Antoine à la crèche.

 

Le tribunal constate que, contrairement à ce que soutenait la crèche, seule la vaccination anti-polio est légalement obligatoire. La vaccination contre la diphtérie et le tétanos ne l'est que pour les établissements publics de protection de la jeunesse. Et même dans ce cas, la loi prévoit de ne pas l'appliquer s'il y a contre-indication médicale. La crèche n'a par ailleurs jamais présenté de règlement d'ordre intérieur obligeant les parents à procéder à cette vaccination.

 

Pour le tribunal, la crèche est donc fautive et la faute est d'autant plus apparente que le refus des parents était fondé sur l'avis du médecin traitant et que rien ne démontre qu'il y aurait lieu de rejeter cet avis au bénéfice des avis contraires des médecins attachés à l'ONE. Le juge constate en outre que la crèche n'a pu obtenir l'ordonnance du tribunal des référés que sur base de renseignements faux (les parents avaient bien administré des gamma globulines contre la rougeole).

 

La crèche est donc condamnée et le tribunal estime que les parents ont subi un préjudice matériel et moral (obligation de trouver une nouvelle crèche alors qu'il est de notoriété publique que le nombre de places disponibles est nettement inférieur à la demande); présence de policiers à la crèche et du service de protection de la jeunesse au domicile des parents.

 

Si dans le cas du petit Antoine, le tribunal reconnaît l'absence de base légale pour obliger des parents à vacciner leur enfant, il ne se prononce pas sur la validité de règlements internes qui rendraient certains actes médicaux obligatoires. L'ONE depuis lors impose également la vaccination contre la rougeole et certaines crèches vont plus loin encore en obligeant les parents à faire subir à leurs enfants des tests préventifs contre le syndrome de la mort subite.

 

M. Vdm


 

Source : Le Soir

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15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 17:08

Crèches et obligation de vaccination: la Ville de Bruxelles réfléchit

 

14 avril 2012

 

Cela fait suite à l'affaire qui concerne l'expulsion d'un enfant d'une crèche publique  

 

BRUXELLES La Ville de Bruxelles a accepté, vendredi, un moratoire de 15 jours dans l'affaire qui concerne l'expulsion d'un enfant d'une crèche publique, a-t-on appris auprès de la famille de ce dernier. Le petit garçon de 8 mois devait normalement être renvoyé le 16 avril prochain parce qu'il n'avait pas été vacciné conformément au règlement de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance). Les parents avaient été avertis que leur petit garçon ne pourrait plus être, au-delà du 16 avril 2012, admis dans l'une des crèches de la Ville de Bruxelles. L'enfant était inscrit dans cet établissement depuis janvier dernier et n'avait pas pu être complètement vacciné parce qu'il avait mal réagi aux premières doses injectées.

Or, l'ONE impose aux crèches de n'admettre que des enfants vaccinés contre 9 maladies bien précises, dont la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.

 

Les parents de l'enfant concerné avaient prévu un recours devant le conseil d'état, avant que la ville n'accepte, vendredi, un moratoire de 15 jours.


"L'ONE ne respecte même pas son propre règlement puisqu'il est prévu qu'en cas d'avis contraire du médecin de famille, cet organisme n'a rien à imposer", a commenté le père de l'enfant.

Les parents contestent également les mesures imposées par l'ONE sur base du fait que la plupart des vaccins demandés ne sont plus obligatoires en Belgique.


D'autres parents dans le même cas avaient entamé une action contre la Communauté française devant le tribunal civil de Bruxelles. La procédure est toujours en cours.
 

Source: la Dernière Heure

 

Difficile de ne pas considérer ce moratoire accepté par la Ville de Bruxelles comme un sérieux camouflet pour l’ONE

 

 Le fait que la Ville de Bruxelles semble ainsi se désolidariser ou se distancer quelque peu de cette hystérie vaccinale, devrait faire réfléchir la Direction médicale de l’ONE sur le caractère tout bonnement intenable de son intransigeance vaccinale et l’appeler immédiatement à une plus grande souplesse et une plus grande liberté.

 

 Car au plus l’ONE tardera à s’assouplir, au plus elle se décrédibilisera puisqu’elle va en effet même jusqu’à bafouer son propre règlement, en octroyant ainsi le pouvoir insensé à ses « conseillers pédiatres » de juger à distance du bienfondé des contre-indications médicales décrétées par les médecins traitants, qui sont pourtant les seuls à avoir véritablement examiné personnellement les enfants !

 

La décence voudrait donc en outre aussi que l’ONE présente au plus vite ses excuses à tous les parents d’enfants qui ont ainsi été inutilement mis en danger par sa folle témérité.

 

Nul doute que ces informations apporteront un formidable espoir à tous ces parents qui luttaient et qui pestaient, jusqu'à présent chacun dans leur coin, contre cette infâme tyrannie vaccinale (car il faut appeler un chat, un chat !)

 

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 10:46

Vous connaissez sans doute l'expression "laver plus blanc que blanc" n'est-ce pas?

 

Seulement voilà, quand cela concerne les vaccins et que cela consiste à nier des contre-indications que même les fabricants de vaccins admettent dans leurs notices, cela fait froid dans le dos et doit inévitablement appeler un sursaut citoyen.

 

Voici donc un exemple tout à fait concret et qui concerne certainement des dizaines d'enfants chaque année dans notre pays et sans doute même plus:

 

Dans un document de l'ONE sur la santé dans les milieux d'accueil (p.44), on peut clairement lire à la rubrique des FAUSSES CONTRE-INDICATIONS à la vaccination:

 

"Une diminution de l'état de conscience et/ou du tonus musculaire, consécutive à la première vaccination anti-coquelucheuse."

 

ALORS QUE dans la notice du fabricant de l'Infanrix (tétra, penta et hexa)**, on peut notamment lire à la rubrique "Mises en garde et précautions":

 

« Si la survenue de l’un des événements suivants est chronologiquement liée à l’administration d’une vaccination DTP (= diphtérie, tétanos, Pertussis càd Coqueluche, précision d'Initiative Citoyenne), l’administration d’autres doses contenant des composants de la coqueluche devra être soigneusement évaluée:

 

température ≥40,0 °C, dans les 48 heures, ne pouvant être attribuée à une autre cause;

 

collapsus ou pseudo-état de choc (épisode d’hypotonie-hyporéactivité) dans les 48 heures;

 

pleurs persistants, inconsolables, d’une durée supérieure à 3 heures, survenant dans les 48 heures après la vaccination;

 

convulsions avec ou sans fièvre, survenant dans les 3 jours. »

 

Il nous revient également du terrain de la part de plusieurs médecins scandalisés que l'ONE n'hésite pas, par l'intermédiaire de "ses conseillers pédiatres" à recommander, en cas d'effets secondaires dus aux précédents vaccins, la poursuite de la vaccination mais "en milieu hospitalier", pour ainsi mieux contester des certificats logiques et prudents de contre-indication aux autres doses!

 

L'ONE commet donc des actes d'imprudence (que beaucoup qualifieraient, à juste titre selon nous, de criminelle) dont vos enfants pourraient faire les frais avec des risques de graves séquelles pour lesquelles l'ONE n'assumera en contrepartie aucune responsabilité, prétextant sans doute qu'elle se base sur dieu sait quel "consensus international d'experts"!

 

Il est donc CAPITAL pour la santé et le bien-être de ces enfants que les parents dans ces situations sachent s'arrêter à temps et soient complètement conscients de la dangereuse témérité de l'ONE, que visiblement plus rien n'arrête, pas même les restrictions et mises en garde, pourtant déjà trop limitées selon nous, des fabricants.

 

** Vous pouvez consulter  la notice professionnelle des vaccins Infanrix (issue du Compendium suisse des Médicaments) ici: Infanrix Hexa, Penta et Tetra.

 

Pour vous informer sur l'éthique de l'ONE et ses méthodes en matière de vaccination, vous pouvez consulter divers articles déjà publiés à ce sujet:

 

-  Notre lettre de questions à l’ONE envoyée par recommandé (en déc. 2011) 

 

-  La pseudo réponse (« dérobade ») de l’ONE

  

-  Notre communiqué de presse du 22 déc. 2011 sur cette dérobade de l’ONE

 

-  Vaccins : l’ONE tente de se justifier auprès des parents

 

-  Notre courrier à la Ministre Laanan au sujet de la direction médicale de l'ONE

 

-  Vaccins : aveux & mensonges de l’ONE

 

Les relations entre l'ONE et la presse: levons un coin du voile

 

-  Vaccins : peur, panique et hypocrisie se poursuivent à l’ONE 

 

Vaccins: plainte pénale contre l'ONE et autres plaintes en vue

 

Vaccins: piètres justifications de l'ONE dans la presse

 

Vaccins en crèches: le moratoire de la ville de Bruxelles, un sérieux camouflet pour l'ONE?

 

- Publicité déguisée de l'ONE dans le Journal du Patient ?

  

-  Et voir bien sûr aussi: l’émission interpellante de RTL-TVI (20 février 2012) 

 

 

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8 avril 2012 7 08 /04 /avril /2012 18:47

A peine l’Office de la Naissance et de l’Enfance a-t-il repris la parole dans la presse à l’occasion des plaintes récemment introduites à son encontre, qu’il s’embourbe de plus belle. Entre aveux, mensonges et contradictions, nouvelle analyse détaillée du discours officiel qui ne peut désormais plus laisser aucun doute à ceux qui y sont soumis…

 

A la rubrique des aveux, que retrouve-t-on ?

 

- « Ce calendrier vaccinal est réfléchi chaque année en fonction des infections, des épidémies et des progrès de la médecine » [Dr M-C Mauroy, La Meuse du 6/4/2012]

 

Traduction : Ce calendrier ne peut vraisemblablement être revu qu’à la hausse parce qu’il y a un impératif commercial sous-jacent, hypocritement confondu avec la notion de « progrès scientifique ». Ceci signifie donc en d’autres mots que les enfants servent de tremplins commerciaux malgré eux à des vaccins superflus qui auraient sans cela fait un bide commercial total.

 

- « Je peux comprendre la peur de certains parents quand on entend parler des effets secondaires des médicaments ou de ce sentiment de lobbying pharmaceutique. » [Dr M-C Mauroy, La Meuse du 6/4/2012]

 

On remarquera le soin pour évoquer « les effets secondaires des médicaments » plutôt que de parler de suite des « effets secondaires de vaccins ». Mais oui… c’est vrai, selon l’ONE, se réfugiant derrière « la quasi-totalité du monde médical à l’échelle de la planète », il n’y a tout simplement PAS d’effets secondaires graves des vaccins, on l’eût presque oublié ! Il faut donc arriver à s’y retrouver dans tous les mensonges et essayer de ne surtout pas trop se contredire, en se cantonnant ainsi à des affirmations très générales. Pourtant, Marie-Christine Mauroy comme sa collègue de Provac, le Dr Swennen, ne peuvent ignorer ce qui est admis noir sur blanc dans une enquête conjointe de l’ONE & Provac en 2009 à savoir que  "5% des enfants ont dû consulter un médecin pour effets indésirables endéans les 48h après une vaccination. Vu la simultanéité des vaccins, il est impossible de dire quels sont les vaccins incriminés." [cfr p.43/54] Cet aveu du Dr Mauroy est donc sincère : il y a d’autant plus de quoi avoir peur des effets secondaires que, ne sachant pas identifier les vaccins incriminés à cause de leur présentation en cocktails multiples, l’enfant risque des dommages d'autant plus irréversibles au fur et à mesure des rappels ainsi pratiqués à l’aveugle. On épinglera aussi ce demi-aveu sur ce « sentiment de lobbying pharmaceutique » car c’est en effet bien plus qu’un sentiment mais le dire serait là aussi trop dangereux en exposant l’Office à des questions de plus en plus embarrassantes sur ses liens réels avec l’industrie pharmaceutique, que ce soit de façon directe ou indirecte, via les autorités dont on connaît de façon assez traditionnelle la proximité avec le monde de l’industrie.

 

- « S’il n’y a pas la même obligation en Flandre, c’est parce qu’ils atteignent 99,5% de taux de vaccination. Nous sommes légèrement en-dessous : selon les vaccins, on va de 98,5 à 99%. Et pour le rougeole-rubéole-oreillons, on peine à atteindre les 90% en Communauté Wallonie-Bruxelles. » [Dr Marie-Christine Maroy, Vers l’Avenir du 7/4/2012]

 

Avouer cela, c’est avouer les mensonges précédents qu’on a seriné pendant des années aux gens en leur prétendant que c’était « scientifique » à savoir qu’un taux de vaccination de 75% était suffisant pour protéger la collectivité, avant de devenir 80% puis 85% puis 90% puis 95% puis 99% puis 99,5% puis sans doute à terme 100% parce qu’avec ces chiffres à la soviétique, il reste évidemment très peu de place au libre arbitre de chacun et à la liberté individuelle ! Mais dire cela, c’est aussi avouer de façon accablante que même à des taux de 95 ou 98%, des épidémies peuvent encore survenir, révélant ainsi le caractère formidablement boiteux de la théorie (non démontrée à ce stade) de l’ « immunité de groupe ». Et c'est du reste ce qui est aussi confirmé par plusieurs rapports hebdomadaires officiels de morbidité et mortalité américains (MMWR, Morabidity & Mortality Weekly reports):

 

Epidémie de rougeole dans les hautes écoles à Hobbs, New Mexico. Peu avant, 98% des étudiants avaient été vaccinés (MMWR 1 février 1985);

 

Gustafson et al. (1987) décrivent une épidémie de rougeole dans une école secondaire. 99% des élèves possédaient les preuves de leur vaccination avec le vaccin vivant. (MMWR 2 sept. 1988.).

 

Il s’avère au contraire très salutaire que le virus de la rougeole naturel puisse encore circuler dans notre pays de façon à entretenir l’immunité naturelle mais surtout l’immunité artificielle vaccinale, sans cela hyper éphémère. C’est visiblement ce qu’estiment aussi plusieurs médecins, homéopathes ou non, ce qui explique ce plafonnage de la couverture vaccinale à moins de 90%. La suppression pure et simple de maladies est une ambition simpliste qui laisse hélas aussi présager que les maladies disparues pourraient être remplacées par des maladies bien pires (la Nature ayant horreur du vide).

 

Par ailleurs, les propos du Dr Mauroy sur la pseudo nécessité d'une obligation vaccinale en francophonie comparativement aux pourcentages de couverture vaccinale obtenus en Flandre sans obligation, se trouvent également sévèrement démentis par les arguments de l'Agisdes (Association du groupement d'intérêt scientifique en droit européen de la santé) en faveur de la levée des obligations vaccinales, tels que développés dans un rapport commandé par le Ministère français de la santé. Car parmi ces arguments, il est notamment dit que:

 

« L’analyse de littérature scientifique montre qu’il n’y a pas de lien direct entre le fait qu’une vaccination soit obligatoire et un meilleur niveau de couverture vaccinale. »

 

A la rubrique des mensonges, que retrouve-t-on? 

 

Evidemment plus fournie que celle des aveux, il y aurait presque matière à en faire un livre ! Commençons donc dans l’ordre…

 

- « Ces vaccins obligatoires sont inscrits dans le règlement d’ordre intérieur de chaque maison d’accueil. Un règlement signé par les parents avant l’admission de l’enfant. » [Dr M-C Mauroy, La Meuse du 6/04/2012]

 

Ce que Mme Mauroy oublie cependant de rappeler c’est que ce même règlement signé par les parents inclut AUSSI la possibilité de dispense vaccinale moyennant certificat médical de contre-indication, rédigé par le médecin traitant. Or dans le cas de la famille Labrique de Bruxelles par exemple, l’enfant avait déjà été précédemment vacciné et y avait mal réagi. Mais il est vrai que l’ONE est passé maître dans l’art de contester la moindre contre-indication logique à la vaccination, n’hésitant ainsi même pas, dans la folle imprudence qui est la leur, à classer dans la rubrique des « fausses contre-indications » : « une diminution de l’état de conscience et/ou du tonus musculaire, consécutive à la première vaccination anti-coquelucheuse. » (p44). Ou encore d’oser affirmer qu’ « il n’existe pas de contre-indication à la vaccination aux vaccins conjugués (Hib, pneumocoques, méningite C). (p 43)

Les parents signent-ils donc aussi de facto pour une telle imprudence de la part de l’ONE ?

 

- « Des scientifiques indépendants vérifient et analysent tous ces vaccins sur demande du Conseil Supérieur de la Santé. » [Dr M-C Mauroy, La Meuse 6/04/2012]

 

Indépendants, vraiment ? Nous demandons vraiment à voir. Parce que le Centre fédéral d’Expertises des Soins de Santé, Provac (responsable: Mme Swennen) et le Conseil Supérieur de la Santé aussi se prétendent « indépendants » alors qu’il n’en est rien et qu’il existe à tout le moins, de sérieux indices du contraire !

 

Mme Mauroy a d’ailleurs évoqué aussi « un collège de pédiatres » qui décide des vaccins à rendre obligatoires pour les milieux d’accueil mais n’oublions tout de même pas que la Société belge de Pédiatrie dont ils sont membres comptent les fabricants de vaccins Pfizer et GSK parmi ses "partenaires".

 

Les règles de la psychologie sociale apprennent que des médecins n’étant pas en conflits d’intérêts peuvent très bien se faire influencer par les quelques autres qui en ont avec le genre de décision finale que l’on devine.

 

Mais il est vrai que l’ONE, qui travaille en étroite collaboration avec Provac, doit sans doute avoir la même notion aussi confuse d’indépendance, Provac ayant pour mission assez contradictoire d’à la fois « promouvoir et expertiser les programmes de vaccinations » en Communauté française !

 

- « Pour l’ONE, l’obligation de vaccination a pour but de veiller au bien-être de tous les enfants. Ce n’est pas une obstination aveugle. » [Dr M- C Mauroy, La Meuse du 6/4/2012]

 

Rien ne saurait sonner PLUS FAUX que ça! Car le Dr Healy, ancienne directrice du très célèbre organisme officiel américain « National Institute of Health », a très clairement expliqué que la vaccination aveugle des enfants telle que pratiquée actuellement, c'est-à-dire avec des contre-indications quasi inexistantes comme préconisé par l’ONE, va au contraire toujours donner lieu à un nombre d’enfants victimes dont elle explique très bien qu’ils seront ainsi « sacrifiés inutilement » car selon elle, les données scientifiques actuelles permettraient d’identifier ces enfants plus vulnérables plutôt que de les envoyer au casse-pipe en prétendant hypocritement veiller à leur bien-être !!

 

Il apparaît du reste assez difficile de prétendre « veiller au bien-être de tous les enfants » quand on prône leur revaccination après réaction secondaire préalable au motif qu’avec les vaccins combinés, on ne sait pas identifier les vaccins en cause !

 

Tout comme il est plus que difficile de prétendre « veiller au bien-être de tous les enfants » lorsqu’on sait que les inéluctables victimes seront systématiquement niées en tant que telles, rangées à la rubrique des coïncidences et sans espoir de la moindre indemnisation de la part de ces autorités irresponsables dont les bons conseils auront ainsi été si lourds de conséquences.

 

C’est parce que l’ONE est bien dans l’obstination aveugle (et c’est un euphémisme) que sa représentante se croit obligée de le nier, c’est une réaction typique démontrant que ces gens-là sont sur la défensive, sentant leurs méthodes et leurs stratégies de plus en plus mises à nu. Le témoignage dans la presse des parents de la région namuroise est d’ailleurs assez révélateur de cette obstination et des pressions inouïes que l’Office a exercées sur la crèche en question, comme si c’était une raison d’état qu’une petite non vaccinée puisse y rester un jour de plus !

 

- « On tient compte de la spécificité de l’enfant. » [Dr M-C Mauroy, La Meuse du 6/4/2012]

 

Ah bon ? On voit assez mal comment ils peuvent en tenir compte dès lors que, de l’aveu même de l’ONE (et tel qu'aussi repris dans son Guide de Médecine Préventive)  : « Chaque vaccination constitue un acte médical préventif au cours duquel une dose standard d’un vaccin est administrée à un individu en bonne santé de manière pré-établie et à un moment défini. » (p.43)

 

On voit donc là très clairement l’ampleur de cette contradiction supplémentaire puisque qui dit traitement standard dit forcément non prise en compte de la spécificité de l’enfant, tous les enfants étant immunologiquement différents.

 

Que l’enfant soit allergique, qu’il ait un diabète ou de l’eczéma ? Peu importe, ces spécificités-là étant classées à l’ONE dans la rubrique des « fausses contre-indications ». Il n’y a donc bel et bien pas de véritable prise en compte des spécificités des enfants car il faut maintenir à tout prix les taux de couverture vaccinale, et ce même si le rapport bénéfices/risques des vaccins n’a jamais été évalué à l’échelon de la collectivité, leurs effets secondaires ayant toujours été largement sous-estimés !

 

- « Quand on descend sous la barre des 95%, avec des nuances selon les types de virus, il y a le risque de voir une maladie réapparaître. » [Dr M- C Mauroy, Vers l'Avenir du 7/4/2012]

 

On a vu ce qu’il en était avec plusieurs exemples d’épidémies survenues dans des populations pourtant vaccinées à 98 ou même 99%...

 

- « Oui à la liberté mais après, il faut assumer. » [Dr M-C Mauroy, Vers l'Avenir du 7/4/2012]

 

La paille et la poutre, une fois encore  car à l’inverse,  si l’ONE est en faveur de l’obligation, elle doit aussi pouvoir en assumer les conséquences, ce qui signifie concrètement :

 

-  Etre capable de répondre à nos questions élémentaires (envoyées par recommandé!) 

- Faire la preuve de leur connaissance de la littérature médicale internationale au lieu d’affirmer sottement et en dépit de celle-ci, qu’il « n’existe pas d’effets secondaires graves des vaccins » !

- Mettre en œuvre un système d’indemnisation des victimes qui se seront pliées aux diktats et à l’obstination aveugle de l’Office.

 

- « On ne refuse jamais l’information à personne. […] On va encore améliorer cette communication très prochainement avec, dans le détail, les effets secondaires. Nous n'avons rien à cacher. » [Dr M-C Mauroy, Vers l'Avenir du 7/4/2012]

 

Comment ne pas qualifier cela d’énorme mensonge de plus ? Parce que franchement, après avoir dit qu’il n’existait pas d’effets secondaires graves de vaccins (ce qui est déjà, en soi, une façon de refuser clairement l’information aux gens en plus d’être une marque indélébile d’incompétence), donner l’illusion qu’il y aura le descriptif des effets secondaires, dans le détail en plus, ça laisse plus que sceptique.

 

Que rajoutera en effet l’ONE comme « détails » en plus du baratin limitatif de ses étiquettes pseudo-informatives à savoir « fièvre, douleur, rougeur au point d’injection»? L’ONE parlera-t-elle de l’asthme ou du diabète post-vaccinal ? Des risques d’encéphalite ou d’autisme ? Du sur-risque de sclérose en plaques chez l’enfant après administration du vaccin hépatite B de GSK qui a valu au neuropédiatre français qui l’a mis en évidence d’être « interdit de conférence de presse » ? Evoqueront-ils le lien existant dans de nombreux cas entre syndrome du bébé secoué et vaccins ? Entre mort subite du nourrisson et vaccins ?

 

Le suspense est assez mince, il faut bien l’avouer.

Avant la publication de l'infâme contrat secret d'achat de vaccins H1N1, Mme Onkelinx, elle aussi, prétendait "n'avoir rien à cacher"... 

  

 

Nous vous rappelons que vous pouvez retrouver ci-dessous différents articles déjà rédigés sur l’ONE et sa politique vaccinale :

 

-  Notre lettre de questions à l’ONE envoyée par recommandé (en déc. 2011) 

 

-  La pseudo réponse (« dérobade ») de l’ONE

  

-  Notre communiqué de presse du 22 déc. 2011 sur cette dérobade de l’ONE

 

-  Vaccins : l’ONE tente de se justifier auprès des parents

 

-  Notre courrier à la Ministre Laanan au sujet de la direction médicale de l'ONE

 

-  Vaccins : aveux & mensonges de l’ONE

 

-  Vaccins : peur, panique et hypocrisie se poursuivent à l’ONE 

 

Les relations entre l'ONE et la presse: levons un coin du voile

 

Vaccins: plainte pénale contre l'ONE et autres plaintes en vue

 

-  Vaccins : la folle témérité de l’ONE peut mettre la vie de vos enfants en danger

 

- Vaccins en crèches: le moratoire de la ville de Bruxelles, un sérieux camouflet pour l'ONE? 

 

- Publicité déguisée de l'ONE dans le Journal du Patient ?

  

-  Et voir bien sûr aussi: l’émission interpellante de RTL-TVI (20 février 2012)  

 

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 21:00

Nous avions déjà évoqué sommairement ce cas dans un article, le 5 avril dernier.

 

Suite à la médiatisation importante de ces dossiers, nous sommes à présent en mesure de vous en faire part avec de nombreux supports médiatiques à l'appui:

 

Grand article (annoncé en première page) dans le Soir du  6 avril 2012: ICI

  

Pleine page dans la Meuse (édition namuroise) du 6 avril 2012: ICI

 

Le communiqué Belga relayé sur plusieurs sites (7sur7, Le Vif, la DH,...)

 

+ "l'interview compensatrice" du Dr Oriane Stevart [commentée par IC]

 

JT de RTL & de RTBF du 6 avril 2012 (13H00, 19H00 & 19H30), cfr ci-dessous: 

 

 
 

 

Pleine page dans Vers l'Avenir du 7 avril 2012: ICI
 

 

Cette plainte pénale déposée à Namur est une première : c’est en effet la première utilisation judiciaire qui est faite du nouvel article 442 quater du Code pénal sur l’abus de faiblesse, depuis l’entrée en vigueur de la loi en février 2012. Car il s’agit bien, selon nous, d’un abus de la faiblesse socio-professionnelle des parents de la part de l’ONE, qui recourt ainsi à un moyen de pression tout à fait déloyal et malhonnête (un chantage inadmissible en fait).

 

Il est ESSENTIEL de comprendre que ce grignotage des libertés fondamentales n’est que le début du rabotage des droits parentaux en la matière puisque d’autres pays du monde comme l’Irlande ou la Nouvelle-Zélande nous donnent déjà un aperçu de ce qui nous attend pour maintenir artificiellement hauts les taux de couverture vaccinale lorsque le public aura boudé les vaccins au-delà de ce que le chantage des crèches aura permis de « colmater »: conditionner par exemple le paiement des allocations familiales à l’administration d’une liste arbitrairement longue de vaccins donnés ou même vacciner les enfants à l’insu des parents ou en dépit de leur consentement ! Et cela aussi bien sûr constitue un abus de faiblesse.

 

A la lecture des commentaires sur divers forums, on devine que beaucoup de citoyens s’expriment sans jamais avoir lu de façon approfondie sur le sujet, en réagissant de façon épidermique et selon leurs croyances. Ils craignent que les enfants non vaccinés infectent leur progéniture. C’est important qu’ils se rendent cependant compte que :

 

- Même vaccinés, des enfants peuvent encore contracter et être vecteurs de maladies.

 

- Les enfants non vaccinés ont la plupart du temps un système immunitaire beaucoup plus sain et robuste alors que les enfants polyvaccinés sont beaucoup plus sensibles aux infections en tous genres.

 

- Si les vaccins sont si efficaces qu’on leur a toujours prétendu, ils ne devraient absolument pas craindre le moindre enfant non vacciné.

 

- Etant donné que les effets secondaires des vaccins (et ceci est officiellement admis !) sont très largement sous-estimés, que leur sécurité n’a jamais été évaluée de façon scientifique depuis + de 200 ans (faux placebos, comparaisons biaisées, absence d’analyse pharmacocinétique,..), que la plupart des soignants sont même incapables de reconnaître des effets secondaires, la vaccination demeure une loterie qui se répète à chaque dose de vaccin et ce potentiellement pour chaque enfant.

 

- Tout parent peut ainsi potentiellement se retrouver avec un enfant handicapé ou un décès suite aux « bons vaccins » exigés par l’ONE alors que dans le même temps, ni l’ONE ni la moindre autorité officielle ici en Belgique n’a prévu le moindre système d’indemnisation !

 

- Les effets secondaires des vaccins peuvent être très graves et parfois très coûteux pour les parents et la famille : dans le cas où un enfant se retrouve par exemple autiste ou paralysé à vie après une vaccination, les frais seront très élevés et l’avenir de l’enfant à jamais compromis.

 

- En cas d’effets secondaires graves, les parents peuvent parfois éprouver des difficultés financières et socio-professionnelles en raison de  revenus insuffisants ou d’un manque de temps pour s’occuper d’enfants ayant perdu toute autonomie et pour lesquels des milliers d’euros mensuels sont parfois nécessaires (comme pour les enfants autistes).

 

- Initiative Citoyenne a posé une liste de questions très précises dans un courrier recommandé à l’ONE, début décembre dernier. Un courrier auquel l’ONE n’a jamais daigné répondre en prétextant qu’une action en justice était en cours. Si l’ONE n’est même pas capable de répondre à ces questions élémentaires en évoquant toutes sortes de prétextes, c’est que ses obligations vaccinales ne sont tout simplement pas légitimes et qu’on peut douter de la priorité qu’elle accorde à la véritable sécurité des enfants. Surtout que l’ONE affirme par exemple dans son Guide de Médecine préventive (version 2011) que les vaccins sont très sûrs et qu’il n’y a pas de preuves que l’aluminium des vaccins pose le moindre problème pour la santé des enfants. Un discours assez absurde et déconnecté de la réalité puisque le Groupe d’études parlementaire de l’Assemblée Nationale sur la vaccination vient lui, de recommander un moratoire sur tous les vaccins à base d’aluminium et qu’un site officiel canadien explique les différentes indemnisations prévues en cas d’effets secondaires vaccinaux (avec des vaccins de même composition qu’en Belgique) dont notamment les « indemnités de décès, y compris les … frais funéraires ! »

 

Tout ceci démontre donc que les citoyens qui réagissent parfois à fleur de peau, devraient se montrer un peu plus humbles et surtout plus curieux et plus exigeants par rapport aux informations simplistes dont les officiels les gavent. Des officiels qui, faut-il le rappeler, ont tout de même été sévèrement désapprouvés pour « publicité trompeuse » par le Jury d’Ethique Publicitaire en novembre dernier, justement parce que leur publicité sur « les Vaccins à tout âge » taisait notamment complètement les risques graves possibles des vaccins, ce qui est « de nature à induire le consommateur en erreur » selon le J.E.P et contraire aux exigences de loyauté et de véracité !!

 

Il est bien évident que pour maintenir leur politique sacrificielle (qui induit donc forcément dans les faits un certain nombre d’enfants amochés à vie parce que piqués aveuglément et sur base d’une idéologie intransigeante), ne surtout pas avoir à se remettre en question et éviter un flot de poursuites de la part de familles dont les enfants ont été détruits à vie par les vaccins, les autorités comptent sur la discorde publique et les disputes entre parents sur le sujet…. DIVISER POUR MIEUX REGNER dit-on ! Initiative Citoyenne appelle tous les parents à éviter ce piège stérile parce qu’il y a tout simplement moyen de trouver des solutions à tous selon les différents choix des parents. En effet, la solution parfaite est si simple : permettre un système de crèches alternatives sans toutes ces exigences vaccinales, avec commun accord  des parents dès l’entrée sur ces règles-là et ceci de façon à répondre à une véritable demande. Vu la controverse médicale et scientifique vieille de plus de 200 ans sur le sujet, il n’est tout simplement démocratiquement plus tenable de maintenir non seulement une telle obligation mais en plus un monopole qui empêcherait la mise sur pied d’alternatives qui n’embêteraient personne ni ne s’imposeraient à quiconque !

 

La liberté de tous, dans le respect de l’intégrité de chacun. Un objectif possible et souhaitable en somme.

 

Une analyse également publiée dans Votre Santé de Mai 2012.

 

 

 
Voir aussi la suite de l'affaire bruxelloise (du petit Raoul Labrique): ICI
 
[articles DH, Le Soir, avec Belga du 14/04/2012]
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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 09:00

Un enfant exclu de la crèche parce qu'il n'est pas vacciné

 

Un couple de jeunes parents de Gesves dans le Namurois viennent de voir leur fille exclue de la crèche qu'elle fréquentait. Motif : elle n'est pas vaccinée. Il s'agit en fait d'un choix délibéré des parents. Mais pour l'ONE, les règles sont les règles. Les parents ne sont pas d'accord et ont décidé de porter l'affaire en justice.

 

Pour pouvoir fréquenter une crèche, les enfants doivent obligatoirement présenter un carnet de vaccination en ordre. C'est la règle à l'ONE, précise Marie Christine Mauroy, directrice médicale : "Cette obligation est bien stipulée dans le contrat que signent les parents lorsque l’enfant est inscrit dans le milieu d’accueil et donc, à partir du moment où le contrat n’est pas rempli, le milieu d’accueil prend les dispositions qui s’imposent. Pour des parents qui sont opposés aux vaccinations, c’est effectivement un problème".

 

Ce problème, des parents du Namurois viennent de le rencontrer. Depuis le début du mois, leur fille d'un an ne peut plus se présenter à la crèche. "Mon enfant n’a reçu aucun vaccin et il n’en recevra pas". Pas de vaccins cela signifie donc plus de crèche. Difficile à gérer sur le plan pratique et inacceptable point de vue éthique, les parents ont déposé plainte. "Le vaccin ne peut jamais être imposé de quelque manière que ce soit. La liberté est la règle et c’est à tout un chacun de décider s’il accepte ou s’il refuse tel ou tel traitement", argumente leur avocat, Philippe Vanlangendonck.

 

Les plaignants préféreraient que l'ONE s'en tienne à des recommandations et non plus à des obligations en matière de vaccination. La justice devra trancher.

 

Colette Jaspers avec Sébastien Remacle

 

Source: RTBF Info 

 

Ecouter aussi l'extrait du JT audio de Vivacité du 4 avril 2012 à ce sujet: ICI

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 15:01

Un travailleur (TMS) de l'ONE nous a communiqué le récent courrier de l'Office du 26 mars dernier, à tous les travailleurs et aux milieux d'accueil.

 

Celui-ci témoigne d'une vague de panique sans précédent à l'Office, au sujet des vaccins, et commence par ces mots qui nous arracheraient presque quelques larmes si nous n'avions pas la ludicité qu'impose la connaissance de certaines autres informations en la matière:

 

"Des affirmations, non étayées scientifiquement, mais relayées par certains médias, tendent à remettre en cause le bienfondé des recommandations vaccinales et contribuent à jeter le trouble chez les parents et les profesionnels de première ligne."

 

Remarquons tout d'abord le flou volontaire de l'Office au sujet des médias auxquels il fait allusion... serait-ce par manque de courage? S'agit-il du récent documentaire accablant de France 5 sur l'aluminium vaccinal? Ou d'un autre récent reportage de France 3 sur la demande du groupe parlementaire français d'un moratoire sur les vaccins à base d'aluminium? A moins qu'il ne s'agisse du récent article de Bio Info de Mars 2012 sur le silence assourdissant des médias en matière de vaccinations? Ou bien de notre récent droit de réponse à la Lettre du Médecin qui a pu faire réfléchir plus d'un praticien de première ligne?

 

Dans tous les cas, on remarquera les phrases très générales de l'Office qui ose se présenter en gardien de la scientificité des informations diffusées sur les vaccins mais qui masque toutefois assez mal qu'il est particulièrement sur la défensive.

 

Et ce n'est pas ses références à des instances chaque fois liées de près ou de loin aux industriels des vaccins, qui l'aideront à crédibiliser son discours:

 

- Provac ( dont la responsable, Mme Swennen, est en situation de conflits d'intérêts avérés)

- le Conseil Supérieur de la Santé (dont plusieurs membres sont notoirement en conflits d'intérêts, bien que cette instance les accepte pour la rédaction de ses avis officiels)

- l'Agence européenne du Médicament (EMEA), financée majoritairement par les firmes

- l'OMS (dont la collusion avec les pharmas a littéralement explosé à la tête des citoyens, à l'occasion du scandale du H1N1)

 

L'Office prétend aussi "participer au recueil d'information" sur les effets secondaires de vaccins mais le reportage diffusé le 20 février dernier sur RTL, dans lequel une travailleuse de l'Office témoignait du tabou des effets secondaires de vaccins au sein de cette institution, plaide là en faveur d'une nouvelle incohérence: comment les travailleurs de l'Office, visiblement désinformés en la matière pourraient-ils participer à ce genre de recueil alors qu'ils sont précisément entraînés, de par leur fameux Guide de Médecine préventive notamment, à ne surtout jamais faire le lien entre le moindre effet secondaire grave et les vaccins et à croire aveuglément que "les vaccins sont très sûrs" et font l'objet de l'attention de tous les comités ad hoc?  Il apparaît aussi des témoignages que nous avons reçus, dont celui assez accablant il faut bien le dire, des parents de la petite Stacy décédée dans la région de Charleroi, que l'ONE minimise véritablement les effets secondaires graves des vaccins de sorte qu'il semble vraiment peu crédible qu'ils soient dans ce cas réellement rapportés à la pharmacovigilance. Ainsi, lorsque les parents ont expliqué aux travailleurs TMS de l'ONE s'étant rendus chez eux pour qu'ils continuent à faire vacciner la petite jumelle survivante, que la petite Lesly souffrait de crises d'apnée depuis ses 3 premiers vaccins, les travailleurs ne s'en sont guère émus, insistant dans le harcèlement qui était le leur, pour que Lesly continue à recevoir les futures doses de vaccins qui auraient bel et bien pu finir par l'emporter elle aussi.

 

Enfin, comment ne pas souligner aussi l'hypocrisie sans nom de l'ONE lorsqu'ils concluent: "Les Conseillers médicaux pédiatres et la Direction médicale restent comme d'habitude disponibles pour répondre à toute autre question dont vous ne trouveriez pas réponse dans des documents repris ci-dessus." alors que cette même Direction médicale n'a jamais daigné répondre concrètement aux questions précises que nous lui avions envoyées par recommandé et qui, est-il besoin de le spécifier, ne trouvent évidemment pas réponse dans leurs documents simplistes destinés au grand public ainsi qu'à leur personnel médical. Des questions concrètes dont le contenu aurait pourtant pu être posé à l'Office par n'importe quel parent ou travailleur un peu curieux, tout à fait indépendamment du procès en cours des parents contre l'obligation vaccinale en crèches...

 

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 11:52
Voir ce pdf sur les résultats de l'étude KIGGS de l'Institut Robert Koch: ICI
 
 
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