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22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 15:21

Un médecin explique pourquoi la politique de vaccination des enfants représente un « crime flagrant »

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"

Témoignage devant le Corps Législatif de l’état du Maine, U.S.A., 18 août 2015

 

« Les milliers de pages que j’ai consultées, les centaines d’heures de travail que j’ai consacrées à la recherche m’ont permis de découvrir l’horrible vérité par rapport à ce qui est fait aux gens, comme aux animaux partout dans le monde sous le faux prétexte de « santé publique ». Dr Suzanne HUMPHRIES, néphrologue

 

Je suis le Dr Suzanne Humphries M.D., spécialiste en néphrologie, formée en médecine interne. Je possède des licences actives (sans restrictions) pour la Virginie et pour le Maine. Après 10 années de travail comme néphrologue au Centre Médical du Maine (Est), j’ai démissionné de mon poste, vendu mes parts suite aux problèmes auxquels j’avais été confrontée avec mes patients au sujet de la vaccination.

 

Pour moi, les problèmes ont commencé suite à la politique de l’hôpital qui, en 2008, a voulu vacciner un maximum de patients dès leur entrée à l’hôpital, même quand ces personnes souffraient d’insuffisance rénale aiguë, d’insuffisance cardiaque, de septicémie ou de cancer (sous chimiothérapie).

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"

La vaccination : «  un traumatisme d’une intensité considérable »

200 enfants de plus de 5 ans

Stress des surrénales

Diminution des réserves alcalines

Augmentation des marqueurs inflammatoires

Facteurs de coagulation

Chute puis augmentation des lipides

Fonction cardiaque

Del Campo, 1967 PMID : 5379945

 

Un pharmacien rentrait dans la chambre du malade, lui montrait un document émanant du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) avec une information limitée et biaisée, puis lui proposait un ou plusieurs vaccins. Si le patient marquait son consentement, ce que faisaient la plupart d’entre eux, une ordonnance était imprimée par ordinateur avec le nom du médecin traitant avant qu’un médecin ait pu voir le patient ou avant qu’un diagnostic ait été établi. Ensuite l’infirmière venait vacciner le patient.

 

Parfois, je retrouvais mon propre nom sur l’ordonnance bien que je n’avais jamais donné l’ordre de faire tel ou tel vaccin.

 

Comme la chose ne me plaisait pas, je décidai de parler à la direction de l’hôpital de ce que j’avais pu observer. – Je mis finalement mes préoccupations par écrit. Des réunions furent mises sur pied pour discuter de la question, mais je ne fus pas invitée à y assister. Le résultat ? On m’a fait savoir que l’on continuerait à proposer des vaccins aux patients malades qui rentraient à l’hôpital. Je me suis alors posé la question : «  mais en fait, où se trouve la science qui dit que ces vaccins sont sans danger pour ces gens malades ? »

 

Je supposais qu’il devait y avoir des études sur le sujet, des articles dans la littérature médicale pour rassurer les médecins de la justesse de leur politique. Après tout, n’est-ce pas de science dont nous parlons ? Et la science était supposée avoir dit son dernier mot sur la sécurité et l’efficacité des vaccins !

 

Comme la politique hospitalière était principalement centrée sur les vaccinations contre la grippe et la pneumonie, c’est sur ces deux vaccinations que commencèrent mes recherches.

 

J’ai, dans la suite, soumis un rapport écrit à l’administration que l’on peut trouver sur le site drsuzanne.net ICI.

 

Ce document décrit les nombreuses questions soulevées par les vaccins des adultes et des insuffisants rénaux.

 

J’ai donc, pendant un an, discuté de toutes ces preuves avec le personnel administratif, comme avec de nombreux collègues. D’autres médecins ont commencé à changer d’avis, de même qu’un nombre important d’infirmières. Et comme l’administration de l’hôpital ne pouvait pas réfuter mes arguments, elle a fait appel à un expert pour me faire « rentrer dans l’ordre ».

 

Cet expert ne s’est jamais intéressé aux questions que je me posais par rapport aux insuffisants rénaux aigus ou par rapport aux nouvelles admissions à l’hôpital de personnes gravement malades. Cet expert s’est contenté de me donner la liste des études montrant que certains vaccins élevaient les taux d’anticorps chez les personnes les plus immunodéprimées atteintes du VIH ou d’insuffisance rénale. Il prétendait ipso facto que pour les patients gravement malades des reins, atteints de septicémie, de crises cardiaques, de Guillain Barré, de cancer, d’obstruction des voies urinaires, de néphropathie et ainsi de suite, les vaccins étaient sans danger.

 

Comme sa lettre était assez bizarre, je n’ai cessé de penser: « Et serait-ce là un expert ? Pourquoi cet expert ne peut-il pas répondre à mes préoccupations spécifiques ? Où se trouvent les preuves que des effets secondaires ne se produisent pas chez mes patients ? Je n’ai pu trouver nulle part des études qui auraient porté sur la vaccination de patients atteints de graves maladies observées par les néphrologues.

 

Même mes collègues pro-vaccins ont reconnu qu’il n’existait aucune base scientifique pour administrer des vaccins dès l’entrée à l’hôpital. Ces mêmes collègues ont soutenu ma proposition de changement de politique vaccinale.

 

C’est à cette époque que l’hôpital a fait monter la pression sur moi. Mes notes de progression hospitalière ont été revues. C’était là une chose tout à fait nouvelle pour moi. Personne n’avait jamais mis en cause mon intégrité ou les soins que j’administrais aux patients.

 

Le consultant a tenu cette position parce qu’il n’existait pas de données montrant que les vaccins contre la grippe pourraient provoquer des troubles rénaux et donc que ma suggestion de faire preuve de prudence en vaccinant des gens malades était injustifiée.

 

Pourtant ce consultant ne m’a jamais montré de données démontrant qu’il était sans danger de vacciner des personnes atteintes de troubles cardiaques, de septicémie ou d’inflammation des reins .

 

Le comité exécutif de l’hôpital m’a également fait savoir qu’il ne convenait pas que je m’oppose aux vaccinations de mes patients et qu’en outre je perturbais le personnel infirmier […]

 

Après avoir pris conscience des problèmes de vaccination avec les adultes, j’ai commencé à m’intéresser aux problèmes liés aux vaccins de l’enfance. Le résultat de ces recherches a abouti à la publication d’un livre : Dissoudre les illusions: la maladie, les vaccins et l’histoire oubliée.

 

Même si les vaccins peuvent protéger pour un certain temps de certaines maladies (ce qui est le mieux que certains vaccins peuvent prétendre réaliser), les assurances données aux personnes malades ou bien portantes concernant l’efficacité et la sûreté des vaccins ne sont pas confirmées par la science, l’histoire, ou même par une grande partie de la littérature médicale.

 

Nous disposons de documents revus par les pairs qui expliquent en détails les tragédies historiques qu’ont présentées certaines campagnes de vaccination. Nous sommes en possession de rapports détaillant des cas de dommages vaccinaux inattendus, et nous connaissons certains de leurs mécanismes.

 

Nous possédons une liste de lanceurs d’alerte hautement qualifiés qui ont été harcelés et réduits au silence par des agences gouvernementales. Ces personnes essayaient de protéger le public des médicaments et des vaccins qu’ils savaient dangereux.

 

Nous connaissons d’éminents vaccinologues pro-vaccins qui font savoir que la coqueluche, la grippe et les vaccins contre la rougeole manquent d’efficacité et que le problème n’est pas seulement le refus du vaccin, mais ces gens sont ignorés.

 

En ce qui me concerne, je ne crois pas qu’il soit garanti que les vaccins soient sûrs. Nous savons qu’Il existe des problèmes de production, qu’il y a de l’ADN animal et des produits chimiques dans les vaccins qui ne protègent pas de manière fiable. On donne au public un faux sentiment de sécurité quant à l’efficacité et la sûreté des vaccins. Il n’existe aucune littérature qui traiterait de la vaccination des différents types de personnes malades que je m’efforce de protéger.

 

Il existe des preuves que dans les années 1950 des virus ont été introduits dans la population via les vaccinations. Ces virus  peuvent provoquer le cancer et d’ailleurs le provoquent, mais les problèmes qui surviennent sont mis en relation avec d’autres causes médicales. Les tentatives de différents scientifiques d’examiner ces questions en profondeur ont été sabotées et découragées. Aujourd’hui, nous continuons d’avoir des vaccins contaminés par des virus d’origine animale comme le circovirus porcin des vaccins contre le rotavirus, et qui ont été découverts par des tiers et non par les fabricants de vaccins.

 

Le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) est en fait un canard boiteux. Ses arguments n’ont pas de poids pour assurer la sécurité attendue pour les enfants. Quand, en tant que médecin, j’ai fait parvenir des rapports au VAERS, j’ai été  harcelée par des appels téléphoniques répétés du CDC me disant que cela devait être d’autres personnes qui avaient appelé. Ce petit jeu a duré pendant des mois jusqu’à ce que j’aie une discussion claire et nette avec un médecin du CDC qui m’a demandé ce que me prenait !

 

Tous ces problèmes m’ont poussée à quitter ma carrière, à abandonner ma stabilité financière, mon confort familial pour me lancer dans une recherche ininterrompue sur tous les aspects des vaccins, leur utilité, leur fabrication, leur sécurité, ainsi que tous les autres aspects liés au problème des vaccins.

 

J’avais prévu qu’un jour viendrait où les parents pourraient perdre le droit de refuser les 69 doses de 16 vaccins prévues pour être administrées avant l’âge de 18 ans. Le tout premier vaccin qui contient de l’aluminium étant déjà administré le jour même de la naissance !

 

Je me suis exprimée publiquement sur de nombreux aspects de l’immunité du nourrisson, sur les fonctions rénales, la toxicité de l’aluminium et individuellement sur la plupart des vaccins. Des vidéos sont disponibles gratuitement sur YouTube.

 

Aucun médecin n’abandonnerait une carrière réussie et lucrative, comme je l’ai fait, s’il n’existait pas une raison de grande importance.

 

Je supplie tous ceux qui votent les lois d’effectuer une recherche approfondie sur l’histoire des vaccins, leur sûreté et  leur efficacité, indépendamment du large éventail de documents que fournissent l’OMS et le CDC.

 

Je voudrais également vous prier de regarder la vidéo d’une heure que j’ai réalisée et baptisée « Honesty vs Policy » disponible ICI. Dans cette vidéo, je fournis toutes les références médicales et journalistiques de tous les éléments que j’ai évoqués dans cet article, y compris celles qui concernent les conflits d’intérêts connus des membres de l’ACIP, du CDC et de l’OMS.

 

La vaccination est un acte médical administré à des enfants sains et dont les conséquences ne sont pas complètement connues. Nous savons que la vaccination constitue un traumatisme d’une intensité considérable qui a depuis longtemps été mesurée par le Dr Del Campo en 1967. Il a étudié le cas de 200 enfants de plus de 5 ans après que ces derniers aient été vaccinés. Ci-dessous, un bref résumé de ce qu’il a découvert.

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"

Fait intéressant, il est presque impossible de trouver d’autres études portant sur l’impact métabolique des vaccins qui sont administrés aujourd’hui.

 

Mais il y a d’autres études qui montrent comment les gènes du cancer, les gènes ayant trait à l’auto-immunité, les gènes des allergies, ainsi que de nombreux autres gènes pathogènes se retrouvent à la hausse après les vaccinations. Je vais également inclure les études d’Orntoft et de Lahndenpera, ainsi que les diapositives adéquates.

 

En 2013, le Dr Orntoft a publié une recherche détaillant les changements survenus au niveau génétique dans les globules blancs avant et six semaines après la vaccination de rappel DTC chez 8 jeunes-filles. Ci-dessous la liste des principaux réseaux du corps qui furent modifiés après le vaccin selon les conclusions d'Orntoft:

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"
Quels sont ces effets ?

 

Altérations épigénétiques qui engendrent :

Des troubles génétiques

La mort cellulaire

Troubles gastro intestinaux

Troubles du développement

Problèmes de métabolisme(médicament, nourriture)

Signalisation cellulaire

Maladies cardiovasculaires

Troubles immunologiques

Troubles du tissu conjonctif

Problèmes de production énergétique

Ornthoft 2013 PMID 23668887

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"

« L’explication immunologique des effets non spécifiques des vaccins n’est pas actuellement connue » - Orntoft 2013 PMID:23668887

Dr Suzanne Humphries: "La politique vaccinale des enfants est criminelle"

Nourrissons de 3 à 5 mois après DTCa – Polio – Hib

 

PBMC stimulée par la toxine coquelucheuse 12 heures plus tard

33 cas d’activation de gènes en rapport avec des allergies

66 cas d’asthme liés à l’activation de gènes

67 cas de gènes de cancer sur-régulés

25 cas de maladies immunologiques avec gènes sur-régulés

Lahdenpera 2008 – PMID 18336961

 

Les auteurs suédois Landenpera et al. ont prouvé que ce qu’Orntoft a trouvé s’avère également vrai pour le DTCa, ainsi que pour le DTC. Ces auteurs pensent également que les suites potentielles des vaccinations pourraient être très graves.

 

Pour moi, du fait qu’il n’existe  aucune autre étude qui a examiné de tels problèmes dans les délais appropriés, il ne peut exister aucune garantie de sécurité.

 

Un coup d’œil à ces résumés devrait alerter tout lecteur qu’il n’est pas possible de garantir aux parents que leur enfant se portera mieux après s’être fait vacciner. Forcer pareilles politiques vaccinales et rendre obligatoires ces injections aux enfants du Maine constitue à mon avis un crime flagrant.

 

Nous ne disposons d’aucune étude portant sur les effets à long terme de ce programme sans cesse croissant de vaccination par rapport au cancer, aux maladies neurologiques, aux maladies auto-immunes, aux allergies et autres maladies chroniques qui sont maintenant devenues épidémiques chez les enfants parallèlement à l’extension des programmes de vaccination dans les années 1980 et 1990.

 

Si vous pensez utile de voter pour éliminer les exemptions philosophiques et religieuses des parents du Maine pour pouvoir créer une immunité collective en vue de protéger toute la population, c’est que vous ne disposez pas de toute l’information nécessaire.

 

Et pire, si vous votez pour éliminer les exemptions, vous faites preuve de naïveté par rapport au fait que vous serez concerné par un "barrage de vaccins" en tant qu’adulte. Si cette loi est adoptée, alors vous collaborez à ouvrir la voie, non seulement à la politique vaccinale agressive d’aujourd’hui, mais aussi à une politique future qui ne vous permettra plus de faire marche-arrière.

 

Source : Naturalblaze

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10 juin 2015 3 10 /06 /juin /2015 15:46

La nourriture de bébé est bio… mais les vaccins ne le sont pas 

 

A travers toute l’Amérique, les mamans lisent soigneusement toutes les étiquettes, elles évitent les ingrédients non alimentaires, les aliments contaminés par des pesticides, ainsi que les aliments génétiquement modifiés. Elles en reviennent aux biberons en verre pour éviter le plastic. Elles apprennent à éviter les articles qui contiennent des retardeurs de flamme toxiques. Cependant beaucoup de mamans doivent encore beaucoup apprendre au sujet des dangers que représentent les quelques 70 doses de vaccins que beaucoup de parents autorisent toujours à laisser injecter dans le corps de leurs enfants. Les vaccins seront encore plus nombreux si les mamans autorisent qu’on les vaccine quand elles sont enceintes (En fait, elles autorisent que l’on commence déjà à vacciner leur enfant in utero !)

 

Les mères doivent être averties, et on doit leur déconseiller les ingrédients vaccinaux qui sont susceptibles, d’endommager la santé et d’entraver le bon développement de leurs enfants. Il appartient à ceux d’entre nous qui connaissent bien les faits troublants et révoltants au sujet des vaccins de continuer  à dévoiler la vérité pour que s’arrête enfin l’empoisonnement des enfants.

 

Quelle maman empoisonnerait volontairement son propre enfant ?

 

Seules celles à qui on a menti. Quand une mère permet à un médecin, à une infirmière ou à un pharmacien de vacciner son enfant, elle permet en fait que cette personne empoisonne son enfant. Vous pensez peut-être que c’est trop fort, que j’exagère ?

 

Quelle est la maman qui permettrait que l’on injecte du plomb à son enfant ?

 

Réponse : aucune. Elles savent toutes que cette injection entraînerait des dommages cérébraux. Et cependant des millions de mères aux Etats-Unis permettent aux médecins d’injecter du mercure et de l’aluminium à leurs enfants. Ces deux produits sont particulièrement neurotoxiques (le mercure est plusieurs fois plus toxique que le plomb… et oui, le mercure se trouve toujours  dans les vaccins que l’on administre aux nourrissons et aux enfants, en plus de ceux qui sont administrés aux femmes enceintes). Pour aggraver encore les choses, le mercure et l’aluminium entrent en synergie neurotoxique. Ce qui signifie que quand on les administre ensemble, comme cela se fait souvent lors de la vaccination, leur toxicité individuelle est multipliée plusieurs fois, rendant la situation bien pire. Dans notre pays, nous avons un record de lésions cérébrales chez des enfants. S’agit-il d’une coïncidence ?

 

Quelle est la maman qui accepterait que l’on injecte une substance cancérogène à son enfant, comme par exemple de l’amiante ?

 

Réponse : aucune. Elles savent toutes que le cancer est souvent apparenté à une condamnation à mort, si pas dans les premiers temps, du moins à plus long terme. Cependant des millions de mamans aux Etats-Unis permettent aux médecins d’injecter du formaldéhyde, du phénol et du MSG à leurs enfants… Tous ces produits sont des cancérigènes connus. Il n’est donc pas étonnant que les compagnies pharmaceutiques ne font pas de tests pour voir si les produits qui se trouvent dans leurs vaccins ne causent pas le cancer. Mais ils connaissent déjà la réponse. Au lieu de donner cette réponse, ils écrivent tout simplement sur leurs notices : « n’a pas été testé pour la cancérogénicité », et nos autorités de règlementation sanitaire, apparemment pas tellement au fait de l’éthique, laissent faire toutes ces choses. Nous atteignons dans notre pays un nombre record d’enfants atteints de leucémies et autres cancers. S’agit-il encore de coïncidences ?

 

Quelle est la maman qui accepterait que l’on injecte à son enfant des substances comme l’aluminium, substances susceptibles de provoquer des maladies auto-immunes, et qui pourraient s’avérer mortelles ?

 

Réponse : aucune. Ils savent que les maladies auto-immunes sont progressives et peuvent conduire à la mort. Cependant des millions de mamans aux Etats-Unis permettent aux médecins d’injecter non seulement de l’aluminium, mais aussi du mercure, du polysorbate 80, des rétrovirus de porcs, de souris, de singes et autres animaux, de l’ADN de tissus humains, plus spécialement de fœtus humains avortés, de différents animaux, de virus et retrovirus vivants ou tués d’animaux ou d’humains. Ils sont pratiquement tous susceptibles de provoquer des maladies auto-immunes. Nous voyons actuellement un nombre record d’enfants souffrant de diabète de type 1, d’asthme, maladie de Crohn, arthrite rhumatoïde juvénile,  démyélinisation, colite ulcéreuse, et de bien d’autres maladies auto-immunes. Coïncidence ?

 

Quelle est la maman  qui accepterait que l’on injecte à son bébé des produits qui pourraient modifier son comportement, lui provoquer des crises d’asthme potentiellement mortelles, ainsi que des allergies ?

 

Réponse : aucune. Les mamans savent que l’asthme, ainsi que les allergies  peuvent, à bien des égards, fortement limiter les possibilités de vie d’un enfant et même parfois  entraîner la mort. Cependant des millions de mamans dans toute l’Amérique permettent aux médecins d’injecter des protéines (que le sang est incapable de dégrader en acides aminés, ce qui entraîne de l’inflammation), des antibiotiques tels que la néomycine, la streptomycine, des produits chimiques toxiques, ainsi que des adjuvants (par exemple l’aluminium) qui sont conçus pour stimuler artificiellement le système immunitaire.  Ceci entraîne des maladies qui peuvent être parfois mortelles, comme l’asthme et les allergies. Nous avons maintenant un nombre record d’enfants souffrant d’asthme et d’allergies potentiellement mortelles, de nombreux types d’allergies ou intolérances alimentaires et environnementales. Coïncidence ?

 

Quelle est la maman qui autoriserait que l’on injecte à son enfant des produits qui pourraient entraîner la stérilité ?

 

Réponse : aucune. Elles savent, qu’à aucun prix, elles ne voudraient détruire les possibilités de reproduction future de leurs enfants. Cependant, des millions de mamans à travers l’Amérique permettent aux médecins d’injecter à leurs enfants du polysorbate 80, produit connu pour affecter négativement la fertilité. Et qui sait l’effet que peuvent avoir sur la fertilité des produits comme l’éthylène glycol (antigel), le triton X100 (détergent) l’aluminium, le mercure, des fragments d’ADN étrangers, ainsi que la myriade d’autres ingrédients des vaccins ? Il n’est pas étonnant que les compagnies pharmaceutiques ne réalisent pas de tests pour vérifier si oui ou non leurs produits pourraient conduire à la stérilité. Mais ils connaissent déjà la réponse. Sur leurs notices, ils écrivent : « pas de tests sur l’altération de la fertilité », et nos autorités de santé, apparemment guère au fait de l’éthique, laissent faire. Il est intéressant de noter que nous assistons à un record du nombre de couples aux prises avec des problèmes de stérilité. Coïncidence ?

 

Quelle est la maman qui permettrait que l’on injecte dans le corps de son enfant en parfaite santé un produit qui pourrait le tuer ?

 

Réponse : aucune. Les mères donneraient leur vie pour leurs enfants. Jamais, elles ne voudraient délibérément les mettre en danger. Cependant des millions de mamans à travers l’Amérique permettent aux médecins d’injecter de plus en plus de vaccins à leurs enfants, ne sachant pas que chaque vaccin porte un risque de décès d’autant plus important qu’il s’agit de vaccins combinés. C’est là une pratique de plus en plus répandue.- Il est intéressant de noter que nous assistons actuellement à un nombre record de bébés qui meurent aux Etats-Unis avant leur premier anniversaire, dont de nombreux cas de mort subite du nourrisson « MSN » ou « SIDS » (il s’agit du nom que des médecins guère au fait de l’éthique utilisent pour les décès induits par les vaccins au lieu de les appeler par leur vrai nom… des décès dus aux vaccins). Coïncidence ?

 

Alors, quelle mère voudrait encore volontairement empoisonner, son enfant avec les vaccins recommandés par le CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies), vaccins qui sont ensuite rendus obligatoires par l’état dans lequel elles vivent ?

 

Seules les mères qui ne sont pas informées, celles qui ne savent pas encore que des gens en qui elles mettaient toute leur confiance leur ont menti : la FDA, le CDC, l’AMA, l’AAP, les fabricants de vaccins, leurs médecins et les grands médias.

 

S’il vous plaît, veuillez contribuer à aider  ces mamans qui n’ont pas la moindre idée qu’elles permettent l’empoisonnement de leurs propres enfants.

 

S’il vous plaît, veuillez contribuer à informer les législateurs qui exigent que les mères autorisent leurs enfants à être empoisonnés pour que ceux-ci puissent fréquenter l’école. Il se fait que ces enfants sont dans les mains de ceux qui ont fait le serment d’Hippocrate qui décrète : « En tout premier lieu ne pas nuire »

 

S’il vous plaît, contribuez à arrêter cette folie vaccinale, cet holocauste vaccinal dirigé contre nos enfants (La définition du mot holocauste : destruction à grande échelle, c’est exactement l’effet du programme national de vaccination)

 

S’il vous plaît, veuillez contribuer à restaurer la santé des enfants de notre pays. Ce sont nos enfants qui en sont le futur.

La nourriture de bébé est bio… mais les vaccins ne le sont pas

 

Comment ?

 

En luttant pour éliminer les obligations vaccinales.

 

En luttant pour que soit abrogée la loi qui protège les compagnies pharmaceutiques (National Childhood Vaccine Injury Act, 1986) et tous ceux qui administrent les vaccins de toute responsabilité pour les dommages et les décès que les vaccins peuvent causer.

 

Informez toutes les personnes que vous connaissez sur les dangers, l’inefficacité, l’inutilité des vaccins. Enseignez-leur les moyens naturels et sans risques de se protéger, de se maintenir, et d’améliorer leur santé et celle de leurs enfants.

 

MERCI.

 

Laura Hayes

La nourriture de bébé est bio… mais les vaccins ne le sont pas

Laura Hayes est la maman d’un enfant de 21 ans gravement et définitivement handicapé à cause de ses vaccins de « routine ». On lui a administré ces vaccins sans le consentement éclairé de ses parents. « Notre fils est maintenant dépendant pour le restant de ses jours. Les vaccins ont détruit sa jeunesse, sa vie d’adulte, son indépendance, ainsi que toutes les possibilités qu’il aurait pu rencontrer au cours de sa vie. Quand il est né, il était en parfaite santé. Les vaccins ont détruit sa santé, son développement et la possibilité qu’il aurait eue d’avoir une vie bien remplie et indépendante.

 

Source : Age of autism

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 09:37

« Je vous en supplie, ne permettez pas que les horribles crimes du passé se répètent ! » Laura Hayes

 

Les législateurs californiens, ainsi que le personnel scolaire vont- ils signer un formulaire de responsabilité ?

 

Par Laura Hayes, Mai 2015

 

Cher Membre de l’Assemblée Californienne,

 

Cette lettre concerne la législation qui inspire toutes les conversations du pays, tant au niveau de l’état qu’au niveau fédéral. Cette législation vise à restreindre et/ou à éliminer les exemptions aux vaccins et ainsi qu’à contraindre et forcer les parents et autres personnes à se conformer aux multiples procédures médicales qui, chacune, comporte de graves risques, incluant des handicaps permanents, des maladies chroniques et de possibles décès.

 

Il n’y a absolument aucune justification à pareille législation…/aucune. Cette législation viole toutes les valeurs qui nous sont chères, comme tout ce qui est moral et juste. En outre, les élus outrepassent grandement leur autorité, pour ne pas dire qu’ils violent les codes internationaux d’éthique, ces codes qui ont été établis pour éviter que les crimes perpétrés contre l’humanité se répètent.

 

Je vous en supplie, ne permettez pas que les horribles crimes du passé  se répètent. Votre histoire personnelle, ainsi que l’histoire de notre nation diront si vous étiez du bon ou du mauvais côté de l’histoire en ces temps troublés et difficiles.

 

Il est impératif, essentiel qu’en tant que législateur vous puissiez vous poser les questions suivantes :

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoires des mesures susceptibles de tuer les citoyens que vous servez (en dehors du domaine de la justice pénale), y compris des enfants en bonne santé ?

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoire ce qui nuit aux citoyens que vous servez, y compris les enfants en bonne santé ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’imposer une seule de ces procédures vaccinales avec la compréhension que pas un seul de ces vaccins n’a été testé dans une étude en double aveugle et contrôlée par placebo, ou administrés avec d’autres vaccins (vaccins combinés), ou sur l’éventail particulier des personnes auxquelles ils ont été administrés, ou dans une étude comparative à long terme avec les personnes qui n’ont pas reçu le/les vaccins ?

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoire ce qui est en contradiction totale avec le droit des parents contribuables de donner une éducation publique à leurs enfants ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’exiger que des parents renoncent à leur droit de donner un enseignement privé à leurs enfants ?

 

* Avez-vous le droit d’exiger que des parents renoncent à avoir recours à une garderie pour leurs enfants ?

 

* Avez-vous le droit d’obliger les parents à faire l’école à domicile pour leurs enfants s’ils refusent de se conformer  aux risques de procédures médicales prouvées dangereuses, inefficaces et non nécessaires ?

 

* Avez-vous le droit de rendre obligatoire des pratiques qui violent les croyances religieuses de beaucoup ?

 

* Avez-vous le droit de rendre obligatoire ce qui prive les gens de leur droit inaliénable de décider de ce qui peut ou pas rentrer dans leur corps ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’imposer des dommages certains, y compris des décès pour de nombreux enfants, y compris des enfants en bonne santé pour la protection supposée et non démontrée des autres ?

 

*Avez-vous le droit d’édicter que la vie d’une personne a plus de valeur que celle d’une autre ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’exiger que le gouvernement agisse en lieu et place des parents alors que ces derniers n’auraient rien à se reprocher ?

 

* Avez-vous le droit d’interdire l’école aux enfants en bonne santé, tout en permettant à des enfants malades de suivre les cours ?

 

* Avez-vous le droit de promulguer les pouvoirs d’une Etat policier en l’absence d’une situation d’urgence, et avec l’option de mise en quarantaine si la chose s’avérait nécessaire ?

 

Si vous avez répondu NON à une seule de ces questions, et je soupçonne que vous avez répondu NON à plusieurs d’entre elles, si pas à toutes, alors vous devez voter NON au projet de loi SB277.

 

J’inclus ci-dessous un formulaire de responsabilité ayant trait à l’administration du vaccin. Puis-je vous prier de lire et de vous demander si vous seriez prêt à signer personnellement, ainsi qu’à accepter la pleine responsabilité de ce projet de loi. Si vous n’êtes pas disposé à signer ce formulaire de responsabilité par rapport à l’administration du vaccin, il ne vous reste plus qu’à dire NON au projet de loi SB277.

 

Cordialement,

Laura Hayes

Granite Bay, CA

Tyrannie vaccinale en Californie: des parents proposent un "formulaire de responsabilité"

Pourquoi devrais-je être obligée d’assumer la seule et entière responsabilité d’une chose que j’ai choisi de refuser ? Après vous, Messieurs les Législateurs, Directeurs du CDC, PDG des entreprises pharmaceutiques, Médecins … !

 

Les dommages vaccinaux sont bien réels et ils ne sont très certainement pas rares. Les décès qui font suite aux vaccins constituent également une réalité tragique.

 

A la suite de la suppression de mes droits fondamentaux et constitutionnels, et avant que je ne sois forcée de me conformer, contre ma volonté, par des fonctionnaires armés chargés de faire appliquer la loi, il est absolument indispensable que ceux qui ont enlevé mes droits et ceux qui ont participé à leur retrait, acceptent la pleine responsabilité de toute séquelle liée aux vaccins. La chose est absolument nécessaire parce que je ne suis pas capable de subvenir aux besoins d’un enfant handicapé parce que les coûts peuvent s’élever jusqu’à plusieurs millions de dollars. Si mon enfant devait être handicapé à la suite des vaccinations, je ne serais pas non  plus en mesure de lui assurer des soins et une surveillance 24 heures sur 24, et pourtant c’est ce qui peut arriver après une vaccination.

 

En signant le document ci-dessous et avant d’imposer votre volonté pour que mon enfant soit vacciné sans mon consentement, vous vous engagez à couvrir tous les frais associés aux dommages que pourrait subir mon enfant à court, moyen et long terme à la suite d’une procédure médicale indésirable et non autorisée de vaccination.

 

Ces séquelles qui peuvent être liées au vaccin comprennent, mais ne sont pas limitées aux troubles suivants : autisme, asthme, allergies (à la fois alimentaires et environnementales), troubles épileptiques, tics, encéphalite, encéphalopathie, diabète de type 1, toxicité des métaux lourds, leucémie, retards de langage, de l’apprentissage, problèmes de comportement, maladies auto-immunes, cécité, surdité, arthrite rhumatoÏde juvénile, syndrome de tachycardie orthostatique posturale, cancer, purpura, narcolepsie, paralysie, myélite transverse, syndrome de Guillain-Barré, retard mental, troubles obsessionnels compulsifs, démyélinisation, maladie de Crohn, colite ulcéreuse, invagination, et la maladie elle-même visée par les vaccins : la mort subite du nourrisson.- Vous acceptez également  de me dédommager, chaque année, moi et mon enfant, à raison de 1.000.000 de dollars par an pour la perte de moyens de subsistance et tous les problèmes qui peuvent découler des dommages produits par les vaccins. Si le malheur voulait que mon enfant soit tué par les vaccins, vous acceptez de me dédommager pour un montant de 100.000.000 de dollars (Il n’existe pas de dédommagement acceptable pour la mort d’un enfant provoquée par les obligations gouvernementales, mais il est pourtant nécessaire de fixer un montant.)

 

Signatures des personnes qui acceptent de prendre personnellement leur pleine responsabilité :

 

  1. Sénateur/ Membre de l’Assemblée______________________Date :
  2. Gouverneur________________________________________Date :
  3. Directeur du CDC___________________________________Date :
  4. Compagnie pharmaceutique___________________________Date :
  5. Médecin___________________________________________Date :
  6. Surintendant________________________________________Date :
  7. Voisin intervenant____________________________________Date :

 

Si ces partisans de la vaccination forcée ne sont pas disposés à signer et à assumer la pleine responsabilité, en plus des dommages-intérêts compensatoires, alors, moi aussi, je suis disposée à assumer PLEINEMENT mes responsabilités. En conséquence, je ne me conformerai pas aux obligations vaccinales, car il n’y aura pas de fonds ou de personnes désignées pour prendre soin de mon enfant si sa santé devait se trouver endommagée ou s’il devait être tué par les vaccins. Je ne veux absolument pas me mettre moi et mon enfant dans pareille situation.

 

En outre, et surtout, le fait de mettre délibérément mon enfant dans des conditions où il pourrait être lésé ou tué, viole mes croyances religieuses et ma conscience.

 

Source: Age of Autism

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 08:01

Faut-il pleurer du discours de la Ministre Touraine en perdition ou au contraire s'en réjouir en ce qu'il pourrait constituer une chance supplémentaire de compréhension pour les futures victimes de vaccins de l'ampleur du problème et du tabou qui y est associé? (Voir approximativement entre le temps 0'55 et 059' pour la célébrissime phrase de la Ministre "La vaccination, ça ne se discute pas!").

Attention toutefois à certaines imprécisions ou petites erreurs du Pr Joyeux: ce n'est pas QUE la valence hépatite B du vaccin hexavalent qui pose problème!!

 

En réalité, c'est tout le mix, comme le confirme un rapport officiel de l'ONE/PROVAC de 2009 (rapport OFFICIEL belge) qui stipule, nous citons:

 

"5% des enfants ont dû consulter un médecin pour effets indésirables endéans les 48h après une vaccination. Vu la simultanéité des vaccins, il est impossible de dire quels sont les vaccins incriminés." (p.43/54)

 

Ce passage appelle évidemment d'autres questions sans fin:

 

* Si 5% (1 enfant sur 20) doivent reconsulter pour effets secondaires endéans les 48H qui suivent la vaccination, combien doivent reconsulter endéans la semaine, la quinzaine, le mois, les six mois et avec quels diagnostics exacts? Car là est toute la question, on parle bien de consultations et de symptômes qui ne se seraient pas produits sans l'acte vaccinal...

 

* Quid du vaccin anti haemophilius influenza (Hib- -qui est inclus dans les vaccins penta et hexavalents et qui induit un sur-risque très net de diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant: voir ici et ici.

 

* Quid aussi de la valence coqueluche, peu efficace (voir iciici, ici et ici notam.) mais qui est toujours associée à des risques neurologiques malgré le passage à la version dite "acellulaire"

 

Etc. etc. 

 

En 2009, Mme Touraine appartenait au Club Avenir de la Santé, un groupe de pression financé par GlaxoSmithKline, fabricant du vaccin Infanrix hexa.... (source: Wikipedia, reprenant une information précédemment diffusée dans le Canard Echaîné du mercredi 8 août 2012)

Marisol Touraine est irresponsable et devrait voir sa responsabilité PENALE engagée au plus vite pour ce type de propos. Les risques sont évidents. Plus de 800 effets secondaires possibles listés par le fabricant de GSK en lien avec l'Infanrix hexa.

 

3 FOIS PLUS DE RISQUES NEUROLOGIQUES EN ADMINISTRANT INFANRIX HEXA ET PREVENAR EN MÊME TEMPS comme ça reste pourtant officiellement recommandé dans le calendrier vaccinal officiel. Ce sont des documents confidentiels du fabricant lui-même qui ont été dûment publiés et communiqués à la presse par nos soins. 

 

Les cas graves inutiles mais désastreux se multiplient avec cette combinaison vaccinale dangereuse. Des enfants tombent dans le coma, d'autres attrapent des hématomes sous-duraux qui font accuser à tort les parents de maltraitance... lisez, voyez les liens suivants, ce sont des cas extrêmement concrets qui pourraient concerner VOS enfants, VOS familles, VOS amis...

 

http://www.initiativecitoyenne.be/2015/05/ayana-dans-le-coma-le-lendemain-de-sa-vaccination.html

 

https://www.youtube.com/watch?v=mPpWX1_R_vk

 

http://www.parismatch.com/Actu/Sante/Cinq-familles-devant-la-justice-547305

 

http://unmaxpoureux.org/notre-histoire/le-jour-ou-tout-bascule/

http://unmaxpoureux.org/hematome-sous-dural-2/mes-recherches/

 

Nous avons TOUS le devoir d'agir et de parler, dans l'intérêt des fragiles et innocents enfants qui n'ont jamais leur mot à dire sur ces actes de robots qui peuvent saper toute leur qualité de vie future. Nous invitons aussi très largement TOUTES les victimes, tous les parents d'enfants dont la vie a basculé suite à ces empoisonnements à ouvrir des blogs, des sites, à faire des vidéos pour mettre tout cela au grand jour car, bien sûr, si toutes les victimes agissaient de la sorte, cela ferait déjà bien longtemps que plus personne ne se risquerait aux vaccins, sauf peut-être les seuls plus crédules qui croient au discours trompeur des autorités dites "publiques"... chaque témoignage de victime a donc une valeur altruiste évidente et une efficacité indéniable.

Paru dans le Canard Enchaîné, en août 2012. http://sante-secu-social.npa2009.org/spip.php?article3209

Paru dans le Canard Enchaîné, en août 2012. http://sante-secu-social.npa2009.org/spip.php?article3209

Sent: Saturday, May 30, 2015 1:35 PM
Subject: Merci de transmettre ceci à Mme la Ministre Touraine svp
 
Madame la Ministre,
 
Nous ne pourrions assez insister pour que vous preniez connaissance du contenu suivant, tout simplement parce que:
 
1. Cela renvoie à des documents confidentiels mais officiels des fabricants de vaccins que notre collectif a divulgués et qui ont été répercutés dans la presse belge. > Par conséquent, ces documents peuvent être utilisés en justice et ils sont censés être connus des agences sanitaires nationales ( y compris celle dont celle vous avez la tutelle) et européenne.
 
2. Vous pourriez être tenue pénalement responsable pour vos propos faussement rassurants sur une controverse scientifique dont vous ne maîtrisez pas les tenants et aboutissants bien que vous ayez tout de même une responsabilité dans les conséquences sanitaires des politiques vaccinales que vous chapeautez.
 
 

En espérant que vous aurez à la fois la prudence et l'intelligence de tenir compte de ces informations factuelles dont vous ne pouvez pas affirmer qu'elles "ne se discutent pas" dès lors que, dans le même temps, vous n'assumez aucunement les conséquences de vos injonctions sociales à se faire vacciner.

 

Pour le collectif citoyen belge indépendant Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans et Muriel Desclée.

 

PS: Nous transmettons copie de ces informations aux médias qui vous ont donné la parole...

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 09:29

Une immunologiste diplômée de Harvard démolit les arguments des législateurs californiens qui veulent mettre fin aux exemptions de vaccinations.

Une immunologiste diplômée de Harvard descend en flammes le projet de loi californien liberticide sur les vaccinations

State of the Nation, 23 avril, 2015.

 

Note de l’éditeur

 

La lettre qui suit démolit complètement les arguments des législateurs californiens qui veulent supprimer les exemptions à la vaccination. Que l’on puisse envisager pareille loi est aussi cynique que draconien, mais la chose était prévisible. Après tout, les textes ont été mystérieusement rédigés et soumis au vote peu de temps après l’ « épidémie » de Disneyland fabriquée de toutes pièces.

 

Chaque législateur californien favorable au vote du projet de loi SB277 se devrait de prendre connaissance de la science incontestable à laquelle s’en réfère Tetyana Obukhanych, PhD.

 

Le Dr Obukhanych déconstruit habilement les faux arguments avancés par Big Pharma et par le gouvernement des Etats-Unis, alors qu’ils tentent de mettre en œuvre un Super programme de Vaccination à l’échelle nationale.

 

Quelque chose ne tourne vraiment pas rond quand le Sénat californien refuse de prendre en compte les preuves scientifiques évidentes qui montrent de manière catégorique l’existence de dangereux effets secondaires sur la santé des enfants. Pareille attitude criminelle met en danger la vie et le bien-être des enfants. Ce comportement des officiels doit être reconnu pour ce qu’il est – CRIMINEL – et poursuivi dans toute la mesure où la loi le permet.

 

Lettre ouverte aux législateurs qui envisagent de modifier la loi sur les vaccinations

 

Par Tetyana Obukhanich, Titulaire d'un doctorat (Ph.D.) en immunologie.

 

Cher Législateur,

 

Je m’appelle Tetyana Obukhanich, je détiens un doctorat en immunologie. Je vous écris cette lettre dans l’espoir de pouvoir corriger quelques fausses idées au sujet des vaccins, comme pour vous aider à formuler une compréhension juste et équilibrée basée sur les toutes dernières connaissances scientifiques.

 

Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus importante pour le public que les enfants vaccinés ?

 

On affirme souvent que les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants pour des raisons de conscience mettent en danger le reste de la population. C’est la raison pour laquelle le législateur veut mettre fin aux exemptions vaccinales. Ces questions sont actuellement examinées au niveau fédéral et national. Il importe beaucoup que vous soyez conscients que la nature de la protection offerte par de nombreux vaccins modernes - et cela inclut la plupart des vaccins recommandés par le CDC pour les enfants – ne sont pas compatibles avec pareille affirmation. J’ai repris plus bas les vaccins recommandés qui ne peuvent pas prévenir la transmission de la maladie, soit parce qu’ils n’ont pas été conçus pour empêcher la transmission de l’infection (car ils sont plutôt destinés à prévenir les symptômes de la maladie), ou parce qu’ils protègent contre des maladies non transmissibles. Les gens qui n’ont pas reçu les vaccins mentionnés ci-dessous ne représentent pas de risque plus important pour le public que ceux qui ont reçu ces vaccins. Ceci implique bien entendu une discrimination à l’encontre des enfants non-vaccinés.

 

L’IPV ou vaccin antipoliomyélitique inactivé ne peut pas empêcher la transmission du virus de la polio ( #1). Il y a au moins deux décennies que le virus sauvage de la polio n’existe plus aux Etats-Unis. Même si des virus sauvages de la polio étaient importés par des voyageurs, le fait de vacciner la population avec l’IPV (Vaccin polio injectable inactivé) ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Veuillez, s’il vous plaît, prendre en compte que l’éradication du poliovirus sauvage a été attribuée à l’utilisation d’un autre vaccin, le vaccin polio oral (OPV). Bien que ce vaccin soit capable de prévenir la transmission du virus sauvage de la polio, son utilisation a, depuis longtemps été supprimée aux Etats-Unis et remplacée par le vaccin atténué injectable (IPV) en raison de problèmes de sécurité.

 

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse. Cette maladie est due à des spores de C.Tetani qui contaminent des plaies profondesVacciner contre le tétanos (avec le vaccin combiné DTCa ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Ce vaccin est seulement destiné à assurer une protection individuelle.

 

Bien que destiné à prévenir les effets pathogènes de la toxine diphtérique, le vaccin contre la diphtérie (aussi contenu dans le vaccin DTCa) n’a pas été conçu pour empêcher la colonisation et la transmission du C.Diphteriae. Vacciner contre la diphtérie ne peut en aucun cas modifier la sécurité des espaces publics. Il est, lui aussi, destiné à assurer une protection personnelle.

 

Le vaccin acellulaire contre la coqueluche (aP) (le dernier élément du vaccin combiné DTCa), actuellement en usage aux Etats-Unis, a remplacé le vaccin anticoquelucheux cellulaire à la fin des années 1990 parce que ce dernier avait été suivi d’une recrudescence sans précédent de la coqueluche. Une expérience avec des primates infectés par la coqueluche a révélé que le vaccin acellulaire n’était pas capable d’empêcher la colonisation et la transmission  de B. Pertussis (Voir annexe pour l’étude scientifique, article # 2.) La FDA a émis un avertissement au sujet  de cette découverte cruciale.

 

En outre, la réunion (2013) des conseillers scientifiques du CDC a révélé des données alarmantes supplémentaires qui montrent que des variantes de pertussis (Souches PRN négatives) qui circulent aujourd’hui aux Etats-Unis ont acquis l’avantage sélectif de pouvoir infecter ceux qui ont reçu leurs rappels de DTCa (Voir annexe pour le CDC ; document #3), ce qui signifie que les gens qui ont reçu leurs rappels ont plus de chances d’être infectés et donc de devenir contagieux que les personnes qui ne sont pas vaccinées.

 

Parmi les nombreux types de H. Influenzae, le vaccin Hib ne couvre que le type b. En dépit de l’intention qui était de réduire les aspects symptomatiques et asymptomatiques du Hib, l’introduction du vaccin Hib a, par inadvertance, déplacé la souche dominante vers d’autres types de H. Influenzae (types a jusqu’à f.) Ces types ont été à l’origine d’une grave maladie invasive et ont présenté une incidence croissante chez les adultes au cours de la période de vaccination des enfants contre le Hib. (Voir annexe pour l’étude scientifique, point #4.)

 

La population en général est plus vulnérable à la maladie invasive qu’elle n’était avant le début de la campagne de vaccination contre le Hib. La discrimination vis-à-vis des enfants qui ne sont pas vaccinés contre le Hib n’a guère de sens sur le plan scientifique.

 

L’hépatite B est un virus transmissible par le sang. Il ne se propage pas dans un cadre communautaire, surtout chez les enfants qui sont peu susceptibles d’adopter des comportements à haut risque, tels que le partage de seringues ou le sexe. La vaccination des enfants contre l’hépatite B ne peut pas modifier de manière significative la sécurité des espaces publics. En outre, l’école n’est pas interdite aux enfants qui sont porteurs de l’hépatite B chronique. Interdire l’accès à l’école aux non-vaccinés constituerait une discrimination déraisonnable et illogique.

 

En résumé, une personne qui n’a pas été vaccinée avec le VPI, DTCa, Hépatite B et Hib pour des raisons de conscience, ne pose pas plus de dangers pour le public qu’une personne qui est vaccinée. Aucune discrimination n’est justifiée.

 

Les effets secondaires des vaccins se produisent-ils souvent ?

 

On affirme souvent que les vaccinations ne produisent que très rarement de graves effets indésirables. Malheureusement pareille déclaration n’est pas confirmée par la science. Une étude récente réalisée en Ontario, Canada a établi qu’au cours de leur visite de 12 mois chez le médecin, la vaccination entraînait une visite aux urgences pour 1 enfant sur 168 et pour 1 enfant sur 730 après leur rendez-vous vaccinal de 18 mois (Voir annexe pour une étude scientifique. L’article # 5)

 

Quand le risque d’un effet indésirable est à ce point élevé qu’il nécessite un recours aux urgences après les vaccinations, ces dernières doivent être soumises au choix des parents qui, on le comprendra facilement, ne veulent pas assumer ce risque immédiat pour protéger leurs enfants de ces maladies qui sont généralement considérées comme légères et auxquelles ils ne seront peut-être jamais exposés.

 

La discrimination contre les familles qui s’opposent aux vaccins pour des raisons de conscience peut-elle empêcher de futures épidémies de maladies virales transmissibles comme, par exemple, la rougeole ?

 

Pendant longtemps, les chercheurs ont été conscients du « paradoxe de la rougeole » Je cite un article de Poland & Jacobson (1994) : «  Echec par rapport à l’objectif de l’élimination de la rougeole : paradoxe apparent des infections rougeoleuses chez des personnes immunisées. »

 

Arch. Intern. Med, 154 :1815-1820 :

 

« Le paradoxe veut que quand, dans une population, l’immunisation contre la rougeole atteint des niveaux élevés, la rougeole devienne une maladie de personnes immunisées. » [2]

 

D’autres recherches ont déterminé que derrière « le paradoxe de la rougeole », il existe une fraction de la population qu’on appelle des NON REPONDEURS ou des MAUVAIS REPONDEURS. Les mauvais répondeurs sont ceux qui ne répondent pas comme il le faudrait à la première dose du vaccin contre la rougeole. Ces personnes  présentent une réponse faible à une re-vaccination qui  ne peut pas corriger la faible réactivité. Ces personnes se retrouvent donc dans la catégorie des « susceptibles » (sensibles) endéans les 2 à 5 ans, malgré le fait qu’elles aient été complètement vaccinées. [3]

 

La re-vaccination ne peut pas corriger la faible réactivité. Il semble que le problème relève d’une particularité immuno-génétique [4] Parmi les enfants, la proportion des  faibles répondeurs est estimée à 4,7% aux USA. [5]

 

Des études réalisées sur les flambées de rougeole au Québec, au Canada et en Chine attestent que les flambées de rougeole se produisent encore, même lorsque les taux de vaccination sont au plus haut (entre 95 et 97% ou même 99 ; voir l’annexe pour les études scientifiques, les articles # 6 et 7). Ceci se produit même parmi les bons répondeurs parce que les anticorps induits par le vaccin décroissent au fil du temps. L’immunité vaccinale ne correspond pas à une immunité de longue durée acquise par une exposition naturelle.

 

Il a été démontré que les personnes vaccinées qui font des percées de rougeole sont contagieuses. En fait, deux grandes épidémies de rougeole en 2011 (au Québec, au Canada et à New York, NY) furent réimportées par des personnes déjà vaccinées. [6, 7]

 

Avec l’ensemble de ces données, il est évident que la suppression  des exemptions vaccinales, actuellement réclamées par un faible pourcentage des familles ne pourra, de toute manière ni résoudre le problème de la résurgence de la maladie, ni empêcher la réimportation ou les flambées de maladies qui avaient auparavant été éliminées.

 

La discrimination à l’encontre des objecteurs de conscience serait-elle la seule solution pratique ?

 

La majorité des cas récents de rougeole au cours des flambées qui se sont produites aux Etats-Unis ( y compris l’épidémie de Disneyland) concerne des adultes et de jeunes bébés. Tandis qu’au cours de la période pré-vaccination, la rougeole apparaissait principalement entre 1 et 15 ans. L’exposition naturelle à la rougeole a conféré une immunité à vie, alors que l’immunité produite par le vaccin diminue au fil du temps laissant les adultes non protégés par les vaccins qu’ils avaient reçu dans l’enfance. La rougeole est plus dangereuse pour les nourrissons et pour les adultes que pour les enfants en âge scolaire. Malgré les fortes chances d’exposition au cours de la période pré-vaccination, la rougeole n’apparaissait pratiquement jamais chez les bébés de moins d’un an, et ce, à la suite du mécanisme robuste de transfert de l’immunité maternelle. Aujourd’hui, la vulnérabilité des très jeunes bébés à la rougeole est le résultat direct des campagnes de vaccination de masse du passé, au cours desquelles, les mères elles-mêmes vaccinées dans l’enfance, ne pouvaient plus faire la rougeole à un âge scolaire plus sécuritaire et ainsi bénéficier d’une immunité à vie. Il s’ensuit qu’elles ne pouvaient plus transmettre cette immunité à leurs bébés pour les protéger de la rougeole, au moins au cours de leur première année de vie.- Il existe heureusement une sauvegarde thérapeutique qui imite l’immunité naturelle maintenant disparue. Les nourrissons, ainsi que d’autres personnes vulnérables ou immunodéprimées peuvent maintenant recevoir des immunoglobulines, une mesure susceptible de sauver des vies en fournissant des anticorps contre le virus pour soit prévenir, soit atténuer la maladie lors d’une exposition (Voir annexe, article # 8)

 

En résumé :1) en raison des propriétés des vaccins modernes, les individus non vaccinés ne posent pas plus de risques de transmission de la polio, de la diphtérie, de la coqueluche, et de nombreuses souches de H. Influenzae que les vaccinés. Les non vaccinés ne posent vi-rtuellement aucun danger de transmission de l’hépatite B à l’école et le tétanos n’est pas du tout transmissible. 2) Il existe un risque significativement élevé de recours aux centres d’urgences après des vaccinations infantiles qui démontrent que les vaccinations ne sont pas sans risques. 3) Les épidémies de rougeole ne peuvent pas être totalement évitées même si les taux de vaccination étaient presque parfaits. 4) Une méthode efficace de prévention de la rougeole et d’autres maladies virales chez les nourrissons et les personnes immunodéprimées sont les immunoglobulines qui sont toujours disponibles pour tous ceux qui pourraient être exposés à ces maladies.

 

Dans l’ensemble, ces quatre éléments font apparaitre clairement que la discrimination vis-à-vis des enfants qui fréquentent l’école et qui ne sont pas vaccinés pour des raisons de conscience est complètement injustifiée. Le statut  vaccinal des objecteurs de conscience ne pose pas de risque indu pour le public.

 

Cordialement,

 

Tetyana Obukhanych, PhD

 

Source : Alethonews

 

Pour les différentes annexes et notes (trop nombreux) consulter le lien source.

Voici une conférence au Canada du Dr Tetyana Obukhanych en 2013

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21 mai 2015 4 21 /05 /mai /2015 08:43
"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

Version anglaise du documentaire allemand « Wir Impfen Nicht ! » « Nous ne vaccinons pas »  (extraits du film)

 

Permettriez-vous à quiconque de vous injecter ou d’injecter à vos enfants l’un des produits suivants :

 

- De l’aluminium toxique pour les cellules et le système nerveux ?

 

- Du formaldéhyde, neurotoxique et cancérogène ?

 

- Du thiomersal, un composé mercuriel ?

 

- Des micro-organismes génétiquement modifiés cultivés sur des cellules de fœtus humains ou sur des insectes ?

 

Si c’est le cas, alors je vous suggère de demander à votre médecin de vous montrer les notices des vaccins, de sorte que vous puissiez poser des questions sur les ingrédients des vaccins.

 

VOUS ALLEZ ETRE RENVERSE !

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

Les enfants ont-ils vraiment besoin de 30 vaccins au cours de leur première année de vie ?

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

L’HISTOIRE D’ANDREAS

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

Andréas, 33 ans, gravement handicapé depuis 31 ans. - Initialement, Andréas était un enfant parfaitement normal et en parfaite santé. Il se développait harmonieusement. C’est après qu’il fut vacciné contre la rougeole et les oreillons que sa santé commença à se dégrader rapidement.

 

Quelques semaines après la vaccination, Andrés s’est senti très fatigué et ne savait plus marcher normalement. Il était très agité la nuit, souffrait de crises de panique et de crises d’épilepsie. J’ai même pensé, dit la maman que mon enfant allait mourir dans mes bras.- A l’âge de 5 ans, on lui prescrivit 4 médicaments contre l’épilepsie à des doses normalement réservées à des adultes.- La maman s’est battue devant plusieurs tribunaux pour le handicap vaccinal d’Andréas. Le rapport de 2 pages d’un officiel qui déclarait que, selon lui, il y avait la plus grande probabilité que le cas d’Andréas était le résultat d’un empoisonnement vaccinal. Cet officiel fut empêché de témoigner devant le tribunal. – La maman a l’impression que l’on veut systématiquement taire les complications vaccinales. Le procès d’Andréas dure maintenant depuis 22 ans !

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

LE VACCIN BCG CONTRE LA TUBERCULOSE

 

Le Dr Rolf Kron s’est tout spécialement penché sur le vaccin BCG et les problèmes qu’il pouvait entraîner. Il explique que ? Depuis les années 1970, on savait que le BCG (vaccin contre la tuberculose) non seulement ne protégeait pas contre la maladie, mais les vaccinés devenaient plus souvent malades que ceux qui ne l’étaient pas.

 

C’est en 1972 que le célèbre journal médical The Lancet  a publié un article sur la question du BCG. Il a fallu 25 ans pour que l’Institut R.Koch en Allemagne fasse retirer le BCG du programme national de vaccinations. Ce seul exemple montre clairement de quel côté se situent les véritables intérêts !

 

Un patient du Dr Kron, victime du vaccin BCG

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants
"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants
"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

Christian est Victime du vaccin BCG.- Ce vaccin inefficace et aux effets secondaires redoutables aurait dû être retiré du calendrier vaccinal 11 ans avant la naissance de l’enfant qui est maintenant handicapé à vie ! (Note d’Initiative Citoyenne : la France a maintenu ce vaccin obligatoire pour tous les enfants entre 1950 et… 2007 !!)

 

La maman de Christian nous dit : « Ça vous met dans une telle colère ! C’est tout simplement affreux et terrible de faire pareilles choses à des êtres humains, surtout à des gens qui, avant la vaccination, étaient en parfaite santé. C’est un scandale, c’est une honte ! »

 

LE CAS DE NANCY

 

Nancy a vécu une histoire similaire. Initialement en bonne santé, elle tomba malade après ses vaccinations. Son état de santé s’aggrava après chaque vaccin, son développement s’arrêta, puis elle finit pas régresser. Les médecins ont, avec arrogance, voulu écarter les inquiétudes de la maman et ont continué à vacciner de manière forcenée. Aujourd’hui, la maman regrette de n’avoir pas immédiatement mis un terme à ce programme de vaccinations. D’habitude, explique-t-elle, on croit pouvoir s’en remettre totalement au pédiatre, en imaginant que c’est la meilleure chose à faire. Pourtant j’avais l’intuition  que la chose n’était pas bonne pour mon enfant.

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants
"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

« Pourtant j’avais l’intuition que la chose n’était pas bonne pour mon enfant ! »

 

https://vimeo.com/126792405

Pour plus amples informations : Michael_Leitner@gmx.de

www.we-dont-vaccinate.com­

 

Michael Leitner

(Bei Anrufen aus dem jew. Ausland die "0" der Ortsvorwahl weglassen!)

NEU: Handy D: (+49) 0151 - 67 00 97 15

IP-Tel ("Festnetz"): (+49) 0231 - 570 2 333

Skype: mikaelo-laptop

 

Nous vous invitons à compléter ces informations ci-dessus par la vidéo touchante et aussi révoltante du cas d'Eric, lui aussi détruit à jamais par les vaccins.... (sur les images vidéos en 2009, Eric a 17 ans...):

Et ci-dessous aussi, une vidéo plus souriante, celle de Rose Vanbell, une maman canadienne qui a bien compris que tous nos enfants sont potentiellement des Eric. N'oublions pas que c'est parce que des familles comme celles d'Eric souffrent et témoignent que des petites comme Cassia (fille de Rose Vanbell) ont la chance d'être aujourd'hui souriantes plutôt qu'estropiées... La chance que les jeunes parents d'enfants non encore vaccinés ont aujourd'hui de SAVOIR A TEMPS a coûté beaucoup de sang et de larmes, en amont. Ayons-en conscience, par respect pour la vie des innombrables victimes détruites à jamais...

 

« Ce que nous nous sommes fait l’un à l’autre avec les vaccins a produit les dommages les plus graves que l’humanité se soit jamais infligés à elle-même au cours de toute son histoire »

 

Dr Andrew Moulden, M.D, PhD 

 

http://www.initiativecitoyenne.be/article-chaque-vaccin-sans-exception-provoque-des-dommages-125357819.html 

"Nous ne vaccinons pas!" : le documentaire sur le bon sens des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants

Jardin des Frères Tremante. Marco et Andrea, décédés suite à une vaccination obligatoire. Plaque commémorative à Vérone en l'hommage des deux fils décédés (et un troisième fils, Alberto, handicapé à vie) de Giorgio Tremante suite à la vaccination polio. 

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 21:49

Respecter, promouvoir et protéger le consentement libre et éclairé en matière de vaccination en Europe

 

 

La Charte des Droits fondamentaux de l’Union Européenne stipule clairement: “Le consentement libre et éclairé doit être respecté dans le champ de la médecine et de la biologie”[1]. Approximativement 40% des citoyens européens [2] ne jouissent pourtant pas de ce droit élémentaire en ce qui concerne l’acte médical qu’est la vaccination. Ceci constitue une violation de nos Droits de l’Homme universels. En 2011, la Cour suprême des États-Unis a considéré que les vaccins sont “inévitablement dangereux” [3] et par conséquent, la vaccination obligatoire telle qu’elle est imposée à ces citoyens n’est pas médicalement ni éthiquement acceptable et ceci encore plus spécifiquement dans les états où les exemptions (médicales, religieuses et philosophiques) ne sont pas permises.

 

Le EFVV (http://www.efvv.eu), un groupe représentant une vingtaine de pays européens (à la fois des États membres de l’UE et des non membres) réclame par conséquent:

 

1. Que la vaccination obligatoire soit abolie partout en Europe dès lors qu’elle constitue une violation de nos Droits de l’Homme universels.

 

2. Que le principe de précaution soit appliqué en ce qui concerne la vaccination en Europe.

 

3. Que les citoyens européens bénéficient d’un consentement libre et pleinement éclairé en matière de vaccination.

 

4. Qu’un système européen efficace et indépendant d’enregistrement des effets secondaires vaccinaux (comme il en existe un aux États-Unis) soit établi pour monitorer la sécurité vaccinale.

 

Un million de signatures d’au moins sept pays de l’Union européenne sont nécessaires pour garantir un débat à Bruxelles. Quelle que soit la politique en vigueur dans votre pays, s’il vous plaît, saisissez-vous de cet enjeu en signant et en diffusant largement cette pétition.

 

En 2015, on estime qu’environ 400 millions d’Européens dans les différents pays membres de l’UE bénéficient de la liberté vaccinale et du droit à un consentement libre et éclairé mais approximativement 258 autres millions de citoyens européens en sont privés.[4] Il y a des vaccinations obligatoires en Belgique, en Bulgarie, en Croatie, en République Tchèque, en France, en Grèce, en Hongrie, en Italie, en Lettonie, à Malte, en Pologne, au Portugal, en Roumanie, en Slovaquie et en Slovénie [5] et potentiellement dans d’autres pays si d’autres Etats membres comme l’Albanie, la Macédoine, le Monténégro et la Serbie venaient à rejoindre l’Union Européenne. Nous appelons par conséquent tous les Européens à s’unir en faveur d’une politique vaccinale commune basée sur la liberté et le consentement éclairé. Nous réclamons aussi l’instauration d’une unité de pharmacovigilance vaccinale efficace, indépendante dont les résultats seront accessibles au public. Les raisons qui nous amènent à penser que la vaccination obligatoire doit être abolie et qu’un système indépendant de pharmacovigilance vaccinale doit être mis sur pied sont les suivantes:

 

- Tout traitement médical forcé ou non volontaire constitue une violation de:

- La Déclaration des Droits de l’Homme des Nations Unies

- La Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne

- La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) des Nations Unies

- La Convention du Conseil de l’Europe pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine: Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine (= Convention d’Oviedo)

- La Charte Européenne sur les Droits du patient. 

-  Le Pacte Intenational des Nations Unies relatif aux Droits civils et politiques

- Et même le Code de Nuremberg (un ensemble de principes éthiques en matière de recherches médicales et d’expérimentations sur les humains qui ont fait suite au Procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre Mondiale)

 

La Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne stipule clairement: “Chacun a le droit au respect de son intégrité physique et mentale” [6] Ce texte mentionne aussi: “Le consentement libre et éclairé doit être respecté dans le champ de la médecine et de la biologie” [7] et enfin: “L’interdiction des pratiques eugéniques et celle consistant à faire du corps humains et de ses parties une source de profit doivent être respectées”.[8]

 

La Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Oviedo) mentionne en son article 2 que: “L'intérêt et le bien de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science”[9]. L’article 5 de cette Convention précise également: « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu'après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l'intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. » [10]

 

La Charte Européenne sur les Droits des Patients stipule clairement en son article 4: “Chaque personne a le droit d'accéder à toute information qui pourrait lui permettre de participer activement aux décisions concernant sa santé; cette information est un préalable à n'importe quels procédure et traitement, y compris la participation à la recherche scientifique.[11]’. L’article 5 établit que: “Chaque personne a le droit de choisir librement parmi les différentes procédures de traitement et les différents soignants, sur la base d'informations proportionnées.» [12] L’article 9 de cette Charte précise en outre:  “Chaque personne a le droit de ne pas souffrir du mauvais fonctionnement des services de santé, des méfaits ou des erreurs médicales, et a droit à des services et des traitements de santé qui répondent à des normes élevées de sécurité. » [13]

 

La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) stipule quant à elle clairement: “La responsabilité d’élever l’enfant et d’assurer son développement incombe au premier chef aux parents ou, le cas échéant, à ses représentants légaux. Ceux-ci doivent être guidés avant tout par l’intérêt supérieur de l’enfant » [14]
 

Le Pacte International relatif aux Droits civils et politiques stipule clairement en son article  18: “Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté d’avoir ou d’adopter une religion ou une conviction de son choix, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, individuellement ou en commun, tant en public qu’en privé, par le culte et l’accomplissement des rites, les pratiques et l’enseignement. » [15]

 

Le Code de Nuremberg mentionne clairement pour sa part: “Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel”. [16]

 

Les effets indésirables (EI) des médicaments , qui incluent les effets secondaires de vaccin, sont estimés être la cinquième cause majeure de décès au sein de l’Union Européenne [17] mais ces chiffres pourraient même s’avérer supérieurs compte tenu de l’importante sous-notification de ces évènements, tel que l’a reconnu le Dr David Kessler, ancien directeur de l’agence américaine des Médicaments (FDA) durant les années 90’ [18] et dans le cas des vaccins, le défaut de reconnaissance de tout lien de causalité constitue un problème supplémentaire.


La Cour Suprême des États-Unis a considéré que les vaccins sont des produits “inévitablement dangereux” [19]

 

La vaccination constitue un acte médical invasif causant un dommage corporel et en tant que tel, selon le Code criminel allemand [20], il exige un consentement éclairé. Il a cependant été officiellement reconnu qu’il existe encore toujours d’énormes lacunes dans la compréhension scientifique actuelle en ce qui concerne la vaccination et par conséquent, l’exigence de fournir une information complète et compréhensible au préalable n’est tout simplement pas possible. Les notices de vaccins [21] énumèrent beaucoup d’effets secondaires possibles, incluant parfois le décès. Aussi longtemps qu’une procédure médicale entraîne un risque, si la sécurité ne peut être garantie et si une information compréhensible ne peut pas être fournie au préalable, le principe d’application doit être appliqué.

Il a été démontré que les régions qui permettent le libre choix en matière de vaccination atteignent des taux de couverture vaccinale élevés tels que les recommandent l’OMS sans recourir à l’obligation vaccinale. [22]


Chaque pays européen envisage de façon différente la responsabilité légale en cas de dommages causés par les vaccins mais d’une façon générale, les autorités politiques et médicales de même que les fabricants de vaccins ne sont pas complètement responsables, laissant les victimes sans soutien ni indemnisation.

Aucune recherche significative n’a encore officiellement été menée dans le but de comparer clairement la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés bien qu’il existe un nombre croissant d’études suggérant que les enfants non vaccinés jouissent d’une bien meilleure santé que les enfants vaccinés [23]. Ceci constitue donc un secteur où de plus amples recherches sont absolument nécessaires.

Compte tenu de ce qui a été exposé ci-dessus, nous réclamons:

 

1. Que toute obligation vaccinale soit abolie dans tous les pays européens.

2. Que le principe de précaution soit d’application en Europe en matière vaccinale          

3 Que les citoyens européens bénéficient de la liberté vaccinale et du droit à un consentement pleinement éclairé en matière vaccinale, ce qui est un droit humain universel.

4. Et qu’une unité indépendante de vaccinovigilance soit créée, où pourront y être rapportés les effets secondaires de vaccins et leur nombre ainsi que leur gravité connus du public et facilement accessibles.

 

Signez la pétition!

 

Notes de bas de page:

 

[1] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_en.pdf, Article 3, page 9

[2] Calculated using http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_European_countries_by_population and http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg

[3] Bruesewitz v. Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L.Ed.2d 1 (2011), http://www.supremecourt.gov/opinions/10pdf/09-152.pdf
[4] Calculated using http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_European_countries_by_population and http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg
[5] http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg
[6] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_en.pdf, Article 3, page 9
[7] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_en.pdf, Article 3, page 9
[8] http://www.europarl.europa.eu/charter/pdf/text_en.pdf, Article 3, page 9.
[9] http://conventions.coe.int/Treaty/en/Treaties/Html/164.htm, Article 2 – Primacy of the Human Being
[10] http://conventions.coe.int/Treaty/en/Treaties/Html/164.htm, Article 5 – General Rule
[11]http://ec.europa.eu/health/archive/ph_overview/co_operation/mobility/docs/health_services_co108_en.pdf, page 5
[12]http://ec.europa.eu/health/archive/ph_overview/co_operation/mobility/docs/health_services_co108_en.pdf, page 5
[13]http://ec.europa.eu/health/archive/ph_overview/co_operation/mobility/docs/health_services_co108_en.pdf, page 6
[14] http://www.ohchr.org/EN/ProfessionalInterest/Pages/CRC.aspx, Article 18
[15] https://treaties.un.org/doc/Publication/UNTS/Volume%20999/volume-999-I-14668-English.pdf, Article 18, page 8.
[16] http://history.nih.gov/research/downloads/nuremberg.pdf, Item 1, page 1
[17] Arlett, Dr. Peter, Setting the Scene: New European Union Pharmacovigilance Legislation, November 2012, slide 6 - (http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/Presentation/2013/01/WC500137839.pdf) and also http://who-umc.org/DynPage.aspx?id=105196&mn1=7347&mn2=7489&mn3=7248&newsid=11241
[18] http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16689555
[19] Bruesewitz v. Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L.Ed.2d 1 (2011), http://www.supremecourt.gov/opinions/10pdf/09-152.pdf
[20] http://dejure.org/gesetze/StGB.html, §§20 and 223 - 231
[21] http://www.vaccinesafety.edu/package_inserts.htm
[22] For example, uptake is at 97% in Scotland: http://www.isdscotland.org/Health-Topics/Child-Health/publications/index.asp
[23] http://www.vaxchoicevt.com/science/studies-comparing-vaccinated-to-unvaccinated-populations/, http://www.efi-online.de/wp-content/uploads/2014/10/VaccineFreeChildrenHealthier.pdf and http://www.vaccinationcouncil.org/quick-compare-2/

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6 avril 2015 1 06 /04 /avril /2015 17:21

USA

19 enfants touchés par la coqueluche : tous vaccinés !

 

Kiersten Nunez, 27 mars 2015

19 enfants américains atteints de coqueluche: tous étaient vaccinés!

PARK CITY, Utah – Une épidémie de coqueluche est source de préoccupation dans le Comté de Summit où 19 enfants ont reçu le diagnostic de coqueluche. C’est la première fois depuis des années que des cas de coqueluche se produisent dans les  les écoles de Park City.

 

Les officiels de santé ont déclaré que tous les enfants qui ont été diagnostiqués avaient été vaccinés contre la maladie.

 

« Cela a été une semaine très, très chargée, beaucoup de personnes sont venues pour un diagnostic », a déclaré le Dr Alison Delgado de « Summit Pediatrics ».

 

Au cours de la dernière semaine, le Dr Delgado a testé des dizaines d’enfants pour la coqueluche. Selon le Ministère de la Santé du Comté, 19 cas ont été confirmés comme étant porteurs de cette maladie très contagieuse à Park City, et tous les enfants infectés étaient pourtant à jour quant à leurs vaccinations.

19 enfants américains atteints de coqueluche: tous étaient vaccinés!

« Beaucoup de gens veulent savoir pourquoi leur enfant a attrapé la maladie alors qu’ils étaient vaccinés et que la maladie est à mettre en rapport au vaccin administré. Carolyn Rose, infirmière en chef pour le Ministère du Comté a déclaré que la vaccination n’était pas efficace à 100%, mais seulement à 90 à 95% ».

 

Ce qui commence avec des symptômes de rhume dégénère rapidement en une toux sévère. Rose a déclaré que, comme les enfants avaient été vaccinés, la maladie ne les frapperait pas aussi durement et ils ne seraient pas aussi contagieux(que s’ils n’avaient pas été vaccinés)

 

«Leur cas serait bien pire et ils émettraient davantage ce son typique de la coqueluche ; la maladie serait aussi plus grave surtout chez les nourrissons qui ne supportent pas aussi bien la maladie. Les immunodéprimés seraient aussi plus gravement atteints », déclare Rose.

 

Les médecins disent qu’il s’agit ici d’un bon rappel pour que les parents restent à jour par rapport aux vaccinations.

 

Le Dr Delgado a précisé : « cette semaine fut très chargée et stressante pour tout le monde dans la communauté. J’espère que tout pourra bien vite s’apaiser. » 

 

Source: Fox13now.com

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 18:03

 

Cette information est extrêmement intéressante quant aux stratégies utilisées par les firmes pharmaceutiques productrices de vaccins. Reprenons succintement les épisodes de cette saga anglaise que nous avions déjà commentés il y a plusieurs mois:

 

* Les firmes pharmaceutiques qui misent de plus en plus sur les vaccins (+ de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline) avec l'arrivée à échéance de nombreux brevets de leurs molécules-phares, investissent des centaines de millions d'euros et de dollars dans toutes sortes de vaccins, y compris bien sûr dans des vaccins qui visent soit des maladies graves mais qui sont vraiment très rares soit des maladies anodines mais très répandues

 

* Parmi ces firmes, la firme suisse Novartis avait donc investi certaines sommes conséquentes dans le développement d'un vaccin contre le méningocoque B (donc une autre souche que celle incluse dans les vaccins antérieurs contre le méningocoque, principalement le méningocoque de type C chez les enfants). C'est alors que le vaccin Bexsero est arrivé sur le marché après avoir reçu l'aval de l'Agence européenne des Médicaments en novembre 2012.

 

* Quand un vaccin arrive sur le marché, il est impensable et inenvisageable pour les firmes de ne pas obtenir de retour sur investissement, c'est-à-dire de ne pas trouver de marché (et donc de personnes cibles à vacciner) or le public n'est en général pas très enthousiaste  pour aller payer des vaccins aux effets secondaires de plus en plus médiatisés. Comment dans ce cas créer malgré tout un marché? C'est simple, il FAUT mêler les autorités, il FAUT la complicité essentielle des autorités sanitaires dans la manoeuvre marketing: c'est alors que celles-ci usent de leur pouvoir d'influence en recommandant cette vaccination voire en l'ajoutant au calendrier vaccinal. Ce type de recommandation aura un effet sur les personnes les plus crédules mais ne sera pas forcément suffisant. C'est alors que les autorités envisagent dans un second temps un financement plus étendu du vaccin voire un achat total (présentant alors aux patients-pigeons le cadeau empoisonné comme "gratuit"). Dans certains pays, une mesure plus radicale encore est prise: l'obligation vaccinale qui assure des marchés certains et sécurisés, pas pour les patients bien sûr mais pour les fabricants.

 

* Dans notre monde globalisé, un des arguments indispensables des fabricants vis-à-vis des gouvernements des différentes pays est de pouvoir faire part de statistiques prétendument favorables issues de différents pays qui auraient déjà généralisé la vaccination à tout un groupe cible. Il est donc essentiel pour les fabricants de focaliser, au moins au début, avec un lobbying qui est bien plus que du harcèlement, sur certains pays européens ou occidentaux influents qui leur serviront en quelque sorte de "carte de visite" vis-à-vis des futurs clients. C'est ainsi que Novartis avait été frapper en 2013 à la porte du gouvernement britannique pour essayer d'y implanter une campagne nationale sur les enfants-cobayes de ce pays mais le comité britannique des vaccinations avait alors refusé à l'époque déclarant notamment: "Le JCVI a conclu, sur la base des données disponibles, qu'il est hautement improbable que l'immunisation de routine des nourrissons et jeunes enfants utilisant Bexsero soit efficace en termes de coûts". 

 

La firme pharmaceutique s'était alors dite déçue de cette décision qui n'était alors guère surprenante si on veut bien être rationnel et tenir compte du nombre infime d'enfants qui feront une méningite B naturelle....

 

* Au printemps 2014, la presse révélait que GSK avait racheté la section vaccins du groupe Novartis avec le vaccin Bexsero dans le portefeuille du groupe du coup... Andrew Witty, le PDG de GSK ne cachait alors pas son enthousiasme à l'époque: "L'acquisition de l'activité vaccins de Novartis va renforcer significativement l'ampleur de notre portefeuille de vaccins et de produits en développement, en particulier en ce qui concerne la méningite avec l'apport du Bexsero, un nouveau vaccin préventif contre la méningite B enthousiasmant". 

 

Les lobbyistes de GSK se sont donc mis à l'oeuvre pour tâcher de faire changer d'avis les autorités sanitaires britanniques. Et moins d'un an plus tard, les autorités sanitaires britanniques n'étaient pas gênées d'annoncer leur volte-face! Ainsi, malgré que ce type de méningite avait spontanément, sans vaccin, baissé de 50% au cours de la dernière décennie et que la maladie ne touche tout au plus que 25 nourrissons sur 100 000; malgré aussi que les données sur le rapport coût/bénéfices n'étaient alors pas disponibles de même que pour le portage de la bactérie, quelques mois plus tard, on voudrait nous faire croire que ce vaccin serait finalement quand même devenu une bonne idée... de qui se moque-t-on? Malheureusement d'enfants sans défense qui pourraient bien payer dans leur chair et de façon dramatiquement irréversible le prix de cette insoutenable cupidité. Car outre que ce vaccin n'a une efficacité que contre 60 à 80% des souches de méningocoque B, son "efficacité" ne dépasse pas 18 mois après une primovaccination et 3 ans après un rappel et de plus, elle n'entrave le portage de la bactérie (chez des porteurs pouvant donc être sains mais transmetteurs de la maladie) que dans ... 30% des cas!

 

Le vaccin Bexsero a donc été ajouté au calendrier vaccinal pour être administré avec les autres vaccins dès l'âge de 2 mois...

 

 

* Maintenant, qu'apprend-t-on encore en plus? Que GSK a conclu un partenariat avec le Royaume-Uni pour vacciner gratuitement tous les nourrissons... ben voyons, pourquoi se priver? Les gens n'y verront sans doute que du feu, certains prendront cela pour un "cadeau" ou une fausse preuve que c'est vraiment un vaccin essentiel car ils ne comprendront pas le sens de la manoeuvre: un peu comme quand on distribue des échantillons gratuits au début, pour simplement créer de toutes pièces une demande, un besoin et puis ensuite, il faudra que les contribuables passent à la caisse car il y aura eu entretemps de belles statistiques bien proprettes qui auront montré bien entendu que ce vaccin apporte vraiment une "plus-value"!!

 

Voici ci-dessous ce qu'il en est de l'épisode britannique actuel mais avant, ayez surtout bien à l'esprit 4 éléments-clefs en tête pour votre bonne compréhension de ce sujet:

 

1) La campagne de vaccination universelle contre l'hépatite B a brisé des dizaines de milliers de vies -et d'ailleurs pas qu'en France- avec les scléroses en plaques qui ne sont que la triste partie émergée de l'iceberg (voir ici et ici notamment).

 

2) On est dans un contexte où on en arrive à envisager de payer les gens pour leur faire accepter des vaccins...

 

3) On a des données claires sur les vaccins contre le méningocoque C qui montrent qu'en Belgique, comme en France, les risques graves de ces vaccins sont statistiquement des dizaines de fois supérieurs aux risques  de contracter la maladie naturelle.

 

4) Le vaccin MenBVac, vaccin expérimental contre le méningocoque B (NB: les vaccins sont de toute façon toujours tous expérimentaux, sachez-le!) a laissé un champ de ruines avec des adolescents et des enfants gravement touchés dans les pays qui l'ont implémentée (Norvège, Nouvelle-ZélandeFrance sûrement aussi même si la presse a été moins loquace mais les mêmes causes produisant les mêmes effets...)

 

Soyez lucides, et décryptez les infos que vous trouverez "brutes" dans la presse!!!

 

Méningite B : les anglais lancent la première campagne nationale de vaccination

 

Par Léa Drouelle Publié le 29 Mars 2015

 

Le Royaume-Uni a développé un partenariat avec GSK pour administrer gratuitement un vaccin contre la méningite B à tous les nourrissons du pays. Ce programme national est une première mondiale. 

 

Alors qu’un petit garçon lyonnais de 5 ans a été hospitalisé samedi après-midi à l'hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron pour une suspicion de méningite bactérienne à méningocoque de type B (la forme la plus grave), le Royaume-Uni a annoncé dans le même temps le lancement d’un programme de vaccination gratuite contre cette méningite pour tous les bébés du pays.

 

Un programme lancé avec de longues négociations avec Novartis


« Nous sommes le premier pays au monde à lancer cette campagne », se réjouit le ministre de la Santé britannique Jimmy Hunt. Le gouvernement a développé un partenariat avec la firme anglaise GlaxoSmithKline (GSK), numéro 7 de l’industrie pharmaceutique mondiale, qui a racheté le vaccin Bextero crée par le géant suisse Novartis. 


L’association du gouvernement avec GSK survient 7 mois après de longues négociations vaines avec Novartis autour du prix du vaccin, avant son rachat par GSK. Un retard que les organismes britanniques de lutte contre la méningite déplorent, même s’ils saluent le lancement du programme. 


« Savoir que les bébés seront protégés contre la méningite de type B est fantastique. C’est un autre grand pas en avant dans notre lutte contre cette maladie », a déclaré Sue Davie, directeur général de l’association Meningitis Now. Le vaccin Bexsero serait, selon Novartis, « le premier vaccin à large spectre » contre la méningite B. Il couvre 70 à 90 % des souches de méningocoques B dans les pays d’Europe.

 

Un vaccin remboursé à 65 % en France


La méningite B est la plus fréquente des méningites en Europe et touche plus particulièrement les enfants et les adolescents. Elle est responsable de nombreuses séquelles neurologiques et entraîne le décès de près d'un patient sur dix. En France, on comptait 290 cas en 2011. Depuis décembre 2014, le vaccin Bexsero est remboursé par la Sécurité sociale à 65 %, pour les patients qui n’ont plus de rate ou souffrent d’un dysfonctionnement de cet organe, ainsi que pour ceux ayant subi une greffe de cellules souches. En revanche, le vaccin n'est pas pris en charge pour les autres personnes, y compris les enfants à partir de l'âge de 2 mois.

 

Source : Pourquoi Docteur

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 20:19
Deux bébés morts, le vaccin contre la gastro-entérite mis en cause

 

 

Un rapport transmis à la Direction générale de la Santé pointe le nombre "préoccupant" d'effets indésirables survenant après la vaccination contre la gastro-entérite. Mardi soir, l'ANSM a confirmé la mort de deux nouveau-nés après un vaccin de ce type.

 

L'Agence du médicament (ANSM) l'a confirmé mardi soir: deux bébés sont morts en 2012 et 2014 après une vaccination contre la gastro-entérite, comme le révélait plus tôt dans la soirée Le Canard Enchaîné. Les nouveau-nés sont morts à la suite d'une "invagination intestinale", soit le retournement de l'intestin sur lui-même, selon l'ANSM. Cette conclusion provient d'un rapport du Comité technique de pharmacovigilance, daté de février dernier et transmis à la Direction générale de la Santé.

 

Selon ce rapport, les vaccins Rotarix et RotaTeq pour prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés entraînent un nombre "préoccupant" d'effets indésirables graves, dont les deux décès. Le Comité, qui a analysé les données de suivi national et international concernant ces vaccins oraux, "s'interroge sur le bien-fondé de recommander la généralisation de cette vaccination en France".

 

http://ansm.sante.fr/content/download/75433/958819/version/2/file/CR-CT-Pharmacovigilance-012015023+rotavirus.pdf  

 

2.1-Rotarix® (page 7/10 du rapport ci-dessus)

Un total de 422 cas, dont 161 graves (38%), a été rapporté pour Rotarix® sur le marché national depuis mai 2006. Les EI recueillis sont principalement digestifs (74,6%) avec 35 cas d’invaginations intestinales aigues (IIA) survenus dans le mois suivant la vaccination. Vingt et un de ces 35 cas sont survenus dans les 7 jours suivant la vaccination, dont trois particulièrement graves : 2 hospitalisations en réanimation (5,7%) et 1 décès (2,8%). 

 

2.2-Rotateq® (page 8/10 du rapport ci-dessus)

 

Un total de 86 cas, dont 40 graves (47%), a été rapporté pour Rotateq® sur le marché national depuis janvier 2007. Les EI recueillis sont principalement digestifs (74,4%) avec 12 cas d’invaginations intestinales aiguës (IIA) survenus moins d’un mois après la vaccination. Six de ces 12 cas sont survenus dans les 7 jours suivant la vaccination, dont 1 après la 3ème dose et ayant évolué vers le décès (8,3%). 

 

5. Conclusion et perspectives   (page 10/10 du rapport ci-dessus)

Compte-tenu des données issues du suivi national de pharmacovigilance et des données internationales analysées dans les rapports de synthèse périodiques de pharmacovigilance, les membres du Comité Technique de Pharmacovigilance ont adopté à l'unanimité́ les conclusions suivantes :

 

Ce suivi national de pharmacovigilance confirme la survenue d'effets indésirables graves au décours de la vaccination anti-rotavirus en France, dont le taux de notification est préoccupant si on le compare aux taux de notification observés   avec   d’autres   vaccins   pédiatriques. Il souligne en particulier la gravité des invaginations intestinales aigües attribuables à la vaccination. […]  

"508 notifications d'effets indésirables"

 

Alain Ducardonnet, consultant santé pour BFMTV, tempère néanmoins le climat d'inquiétude. "Il n'y a eu que deux décès en sept ans, donc cette interrogation est plus une mesure de prévention. Par ailleurs, la France n'est pas la seule à vacciner contre la gastro-entérite: 47 pays dans le monde font ce vaccin. La décision de vacciner ou non un enfant doit se faire au cas par cas, en discutant avec le pédiatre".

 

Les deux vaccins oraux prescrits à partir de l'âge de six semaines, Rotarix et RotaTeq, sont autorisés en Europe depuis février et juin 2006 respectivement, et commercialisés en France depuis mai 2006 et janvier 2007. "Depuis le début de la commercialisation en France de ces deux vaccins et jusqu'au 31 octobre 2014, plus de 1 million de doses ont été distribuées. 508 notifications d'effets indésirables médicalement confirmées, dont 201 graves", ont été recueillies et analysées, souligne l'agence.

 

Une prise en charge immédiate nécessaire

 

Parmi les observations graves, 47 cas d'invaginations intestinales aiguës, survenues dans le mois suivant la vaccination, ont été rapportés, dont les deux fatals. L'invagination intestinale aiguë est un effet indésirable qui, bien que considéré comme très rare (moins de 1 cas sur 10.000 vaccinés), nécessite, en raison de sa gravité, une prise en charge immédiate dès les premiers signes: douleurs abdominales, pleurs répétés et inhabituels de l'enfant, vomissement, présence de sang dans les selles, ballonnements abdominaux et-ou fièvre élevée, détaille l'agence sanitaire.

 

Un courrier a été envoyé mardi à 160.000 professionnels de santé afin qu'ils sensibilisent les familles sur ces signes survenant dans le mois suivant la vaccination, pour consulter sans délai, car la prise en charge précoce permet de soigner le bébé, selon l'ANSM.

 

"Conseillée, déconseillée, reconseillée, cette potion (ces vaccins contre la gastro, ndlr) va finalement être mise au rencart", écrit Le Canard Enchaîné, qui révèle dans son édition de mercredi la mort des deux bébés qui "empoisonne les autorités sanitaires". La décision de remboursement doit tomber dans les prochains jours, et ce sera non", avance un connaisseur du dossier auprès du journal satirique qui note que l'obtention du remboursement aurait été un "jackpot assuré" pour les laboratoires. 

 

Par A. G. avec AFP

 

Source : BFM TV

 

Marisol Touraine a décidément choisi son camp, celui des labos, quelle lâcheté... quand c'est pour défendre bec et ongles la dangereuse (et inutile) vaccination Gardasil, elle se montre nettement moins timide... les Français devront juger!

 

C'est aux médecins de décider «au cas par cas». Telle est la recommandation de la ministre de la Santé Marisol Touraine concernant le vaccin pour bébés contre des gastros, qui a causé la mort de deux nourrissons en 2012 et 2014

 

Deux vaccins, le Rotarix (laboratoires GlaxoSmithKline/GSK) et le RotaTeq (Sanofi Pasteur MSD), destinés à prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés, entraînent un nombre «préoccupant» d'effets indésirables graves, selon l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

 

Au total, 508 incidents ont été signalés par les médecins à l'ANSM, dont 201 graves, depuis 2006. Parmi ceux-ci figurent notamment 47 cas de complications intestinales aiguës.

 

Même si ce nombre d'effets secondaires est préoccupant, l'ANSM le relativise toutefois en le mettant en parallèle avec le million de doses injectées en France depuis neuf ans. 

 

C'est ce que fait aussi la ministre de la Santé ce mercredi, au lendemain de ces révélations. Injecté à «plus d'un million d'enfants» depuis sa mise sur le marché, le vaccin «fait l'objet d'attention très spéciales, comme tous les vaccins, de la part des agences sanitaires», a-t-elle rappelé sur Radio Classique/LCI. Par ailleurs, «c'est un vaccin qui existe au niveau européen, il y a donc des échanges entre les agences sanitaires européennes». Enfin, Marisol Touraine souligne que «des enquêtes sont en cours» et que «des études approfondies vont être menées».


«Ce vaccin n'est pas considéré comme un vaccin inscrit au calendrier obligatoire ou même recommandé, et donc c'est aux médecins, à qui l'Agence du médicament a envoyé de nouvelles recommandations, de voir au cas par cas si le vaccin est utile», a également déclaré Marisol Touraine, qui veut rassurer les parents : «Il faut être vigilant, extrêmement vigilant, (mais) ne pas inquiéter outre mesure les parents aujourd'hui.». Selon elle, les parents «peuvent parler avec leur médecin et évidemment les médecins ont un rôle essentiel à jouer pour rassurer et évaluer l'intérêt du vaccin dans le cas de leurs petits patients».

 

Source : Le Parisien

 

Marisol Touraine montre une nouvelle fois qu’elle ne connaît rien au sujet car ces vaccins ne sont pas injectés mais ingérés, ce sont deux vaccins oraux ! Voici d'ailleurs ci-dessous un petit pictogramme qui permettra peut-être d'instruire Mme Touraine pour qui ce sujet des vaccins semble décidément bien difficile:

 

 

Touraine n’a pas grand-chose d’autre à dire que de « tirer le parapluie » en évoquant le fait que ces vaccins sont utilisés ailleurs en Europe, c’est exactement ce que faisait la ministre Onkelinx acculée par nos questions dérangeantes lors de la mascarade du H1N1 ! En outre, il faut savoir qu'un de ces vaccins anti-rotavirus (le Rotateq) est fabriqué par génie génétique (> risques de malignité comme reconnus par l’OMS dans un rapport sur l’acceptabilité des substrats cellulaires de 1987) et que ces vaccins sont contaminés de longue date par des circovirus porcins…autant de risques constamment et donc quotidiennement passés sous silence par les médecins malgré leurs obligations d’information inscrites dans la loi sur les droits du patient de 2002. Mais il faut dire que même le Pr Goldman, immunologiste à l’ULB, qui donnait une conférence le 29 janvier dernier à Wavre sur le thème « Faut-il craindre les vaccins ? » et à laquelle certains membres d’Initiative Citoyenne ont assisté, y a déclaré de façon tout à fait péremptoire que les actuels vaccins contre le rotavirus étaient, eux, exempts de tout risque d’invagination intestinale (contrairement à l’ancienne version retirée du marché aux USA, le Rotashield, à laquelle il se référait sans la citer), ce qui est bien entendu faux, le Rotarix et le Rotateq entraînant un risque au moins 6 à 7 fois supérieur d’invagination intestinale endéans le mois qui suit la vaccination…

 

En Belgique, où ces vaccins sont remboursés depuis des années, combien de petites victimes inutiles ont déjà été créées de toutes pièces par l’administration de ces vaccins inutiles (car la complication la plus grave des infections à rotavirus, la déshydratation, peut être aisément évitée par l’administration de solutés de réhydratation orale, bien meilleurs marché et surtout parfaitement sécuritaires comparativement aux vaccins transgéniques !!!). La France s’apprête à dire non au remboursement de ces vaccins ? Mais que va faire l’opinion publique belge ? Continuer d’accepter ce gaspillage des deniers publics au détriment de la santé des enfants ou réagir, exiger des comptes ? Nous invitons pour notre part vraiment tous les parents d’enfants victimes à réagir, que ce soit en Belgique, en France ou ailleurs, portez plainte et pas uniquement contre les labos mais aussi contre les autorités complices et pleinement responsables de ces situations de mise en danger de la vie des enfants ainsi que les médecins ayant contribué à se faire les instruments d’une idéologie délétère… c’est une des seules façons de faire avancer ces dossiers urgents !

 

Voir aussi

 

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