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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 18:20

Dans un document des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg destiné à conseiller les voyageurs, et cosigné par trois médecins dont un professeur, chef de service en maladies infectieuses au CHU de Strasbourg, on retrouve un exemple tout à fait typique d'IMPRUDENCE CONSTERNANTE, sans le moindre fondement scientifique, comme en regorge la médecine académique arrogante et bien souvent trop sûre d'elle-même...

 

Jugez plutôt ce qu'osent co-signer ces médecins (et s'ils osent, c'est UNIQUEMENT parce qu'ils n'ont hélas jamais eu à assumer les conséquences juridiques de leurs "bons conseils"!)- en page 6/224:

  

Exemple-de-folie-en-medecine-du-voyage.JPGOù sont donc les PREUVES SCIENTIFIQUES qu'un tel protocole vaccinal aussi chargé soit sans danger ou, à tout le moins, qu'il s'avère moins risqué que les maladies encourues par le voyageur??

 

4 injections vaccinales différentes la même jour (à J0) puis encore 2 autres seulement une semaine plus tard puis encore 2 autres une semaine après et deux semaines plus tard, à la quasi-veille du départ encore 3 autres injections?!

 

Le fait de recommander un tel schéma indique que ces médecins ont donc déjà procédé à pas moins de 11 vaccinations en seulement 28 jours sur un même voyageur!! Y a-t-il encore un sens après cela, à leur souhaiter "BON VOYAGE"?!

 

Ou devrait-on plutôt leur dire "Bonne maladie"?!

 

CAR, il faut en effet savoir QUE:

 

- L'injection rapprochée de plusieurs antigènes favorise le développement de maladies auto-immunes (que dire alors si on ajoute encore des adjuvants comme l'aluminium, qui favorise lui aussi les maladies auto-immunes et qu'on retrouve dans plusieurs de ces vaccins?)

 

- L'injection rapprochée de plusieurs vaccins est associée à un risque accru de cancers liés à divers polluants chimiques (comme démontré dans l'armée italienne notamment)

 

Les agences de voyage et tours operators eux-mêmes reconnaissent les effets secondaires de vaccins comme motif valable pour faire jouer l'assurance annulation... c'est dire!

 

Assurance-voyage.JPG

 

 

A la suite de ce petit "exemple de schéma vaccinal", on retrouve, au niveau du document strasbourgeois, la précision suivante (un tantinet hypocrite, dès lors, comme on l'a vu supra, qu'il n'existe aucune base scientifique attestant de la sécurité satisfaisante d'un tel schéma et aussi, que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement comptabilisés, tout simplement parce qu'une majorité de médecins soit ne sait pas détecter les effets secondaires de vaccins soit ne souhaitent tout simplement pas relier ces effets aux vaccins qu'ils ont eux-mêmes administrés, pour des raisons de responsabilité juridique):

 

Pharmacovigilance

 

Tout médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme ou pharmacien ayant constaté un effet indésirable grave ou inattendu susceptible d’être dû à un médicament ou à un produit mentionné à l’article R.5121-150 du Code de la santé publique, dont les vaccins, qu’il l’ait ou non prescrit ou délivre, doit en faire la déclaration immédiate au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont il dépend. Voir la fiche de déclaration des effets indésirables médicamenteux:

https://www.formulaires.modernisation.gouv.fr/gf/cerfa_10011.do  et la liste des CRPV: http://www.ansm.sante.fr/htm/3/indvigil.htm

  

On le voit, les cliniques des voyageurs (aussi appelées "Travel Clinics") peuvent être des lieux dangereux, parfois bien plus que les zones de voyage prévues! Il n'empêche que c'est aux voyageurs de garder leur élémentaire bon sens et surtout de bien connaître leurs droits, y compris le droit à une juste information ainsi que la jurisprudence.

 

Récemment en France en effet, un médecin a été condamné à verser 3000 euros à un patient pour ne pas l'avoir informé de la totalité des risques associés au vaccin anti-hépatite B, y compris le risque de sclérose en plaques. Ce défaut d'information a été considéré par le tribunal comme une faute du praticien, constitutive d'un dommage moral dans le chef du patient, et nécessitant donc une indemnisation. Des patients bien informés sont donc en mesure de faire valoir leurs droits et aussi demander réparation des préjudices subis. De la sorte, cela créera une pression positive au niveau du corps médical qui deviendra ainsi de plus en plus hésitant à répéter à la manière d'un automate les injonctions vaccinales venues d'en haut ("experts" de l'OMS, de l'ECDC, etc) et simplement destinées à écouler un maximum de vaccins à un maximum de monde.

 

Voir aussi:

 

Travel Clinics: la survaccination des voyageurs est une (triste) réalité

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 15:20

De moins en moins de gens souhaitent se faire vacciner (et on les comprend): documents confidentiels (voir ici et ici), désinformation des gens et des médecins, publicité vaccinale trompeuse des autorités dites "publiques"...il faudrait donc vraiment être aveugle pour ne se poser aucune question sur la vaccination tous azimuts telle que prônée sans le moindre discernement par les idéologues officiels.

 

Mais évidemment, en contrepartie, les pouvoirs dits "publics" qui obéissent en réalité au doigt et à l'oeil aux pharmas et qu' ils considèrent sans le moindre complexe comme "leurs partenaires naturels" avec lesquels il faut pactiser pour leur bien-être financier, comptent bien mettre la gomme pour continuer à VACCINER A TOUT PRIX, un maximum de gens: les Roms, les gens peu lettrés, des jeunes filles de plus en plus jeunes contre le HPV, bref tout le monde doit y passer et selon ces idéologues, la première des urgences et des priorités est de débattre des meilleures ficelles, trucs et astuces pour mieux embrigader les gens, sans aucun respect pour leur libre arbitre et leur décision initiale!!

 

C'est dans ce cadre que vont se tenir les "Journées de la Prévention" à l'INPES en juin 2013 prochain avec une journée entière sur le thème "La vaccination: des clés pour convaincre."

 

INPES, Journées de la Prévention-Désinformation

 

 

Plusieurs "chercheurs" se précipiteront à cette journée de robotisation mentale, y compris des gens de Provac (qui ont étudié des outils d' "information- manipulation des gens peu lettrés).  Plusieurs de ces "chercheurs" reçoivent sans surprise le soutien des pharmas concernées, au besoin avec apposition du logo de ces firmes sur leurs présentations.

 

Voir ICI ce "programme" de forcing vaccinal affligeant!

 

On épinglera notamment l'implication de chercheurs de... l'INRA (= Institut National de la Recherche Agronomique?!!) sur le thème "La vaccination en situation controversée durable" (H1N1, Hépatite B, rougeole). On peut d'ailleurs se demander bien évidemment ce que l'INRA vient faire là-dedans, tout comme la Cour des Comptes qui se mêlait aussi récemment du sujet, preuve que ça tourne plutôt mal pour les obsédés des vaccins qui se croient obligés de rameuter tout le monde à présent pour faire du racolage!

 

Le document sur la "co-construction avec un public peu lettré d'un outil de gestion des RDV pour la vaccination des nourrissons" est présenté par Marie-Christine Miermans, une psychologue liégoise, visiblement pas gênée de collaborer avec Provac et sa présidente, Mme le Dr Béatrice Swennen qu'elle remercie vivement en fin de présentation, et qui a pourtant un triste florilège de conflits d'intérêts à son actif, avec l'industrie du vaccin (voir p. 4/126). Dans cette présentation lénifiante, on pourra tout de même s'indigner des aberrations qu'elle contient, comme par exemple:

 

« Pas de demande exprimée

􀀁 Sur la sécurité et/ou l’efficacité vaccinale

􀀁 Sur l’aspect collectif de la protection Vaccinale. »

 

Utiliser des pictogrammes (pour les maladies) et images (mode d'administration du vaccin)

« Considérer toute réponse erronée comme porteuse de sens.

Ex : abeille = « jour du vaccin » et aussi « vecteur de transmission de maladie »

 

Voilà à quoi travaillent donc ces gens-là... avec les deniers publics qui plus est!

Et alors que des gens peu lettrés n'ont que peu de moyens d'exprimer leur souhait d'avoir une information suffisamment claire et complète sur le rapport bénéfices/risques des vaccins, conformément à l'alinéa 2 de l'article 8 de la loi belge du 22 août 2002 que l'ONE et Provac ignorent lamentablement, ces gens-là en déduisent de façon SCANDALEUSE que ces publics fragilisés n'en ont pas fait la demande!

 

Mais c'est du reste dans la droite ligne de ce que ces gens imposent à tous les autres parents, lettrés ou non, des étiquettes qui ne parlent tout au plus que des SEULS effets secondaires locaux, alors que des documents confidentiels accablants font état de décès, de maladies neurologiques graves et de séquelles potentiellement irreversibles!

 

Finalement, comme expliqué sur le site de l'INPES et dans ces diverses présentations, ce que les officiels et les pharmas veulent c'est une "PROMOTION PERMANENTE" de la vaccination. L'argent public est donc gaspillé car vu le harcèlement des gens pour les vaccins, plus personne ne peut ignorer qu'il a LA POSSIBILITE de se faire vacciner. Il serait donc bon que les idéologues soient maintenus dans les limites qu'il convient et qu'ils soient tenus de RESPECTER le principe du CHOIX SANS PRESSION des gens, sans essayer de les convaincre ou de les influencer à tout bout de champ sous prétexte de "vouloir leur Bien"!

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 23:00

perle.gif

Heureusement que certains médecins qui reçoivent la newsletter de Vax Info ont encore une conscience et UN BON SENS suffisant pour s'indigner de ce qu'ils y lisent et nous en tenir informés!!

 

Voici ainsi deux grosses perles parmi bien d'autres... en deux mots: vaccinons, vaccinons, même en cas d'allergies, même chez les femmes enceintes et même quand les fabricants eux-mêmes indiquent dans leurs notices qu'il s'agit d'une "contre-indication formelle"!!!

 

Voici ainsi un premier extrait d'un question-réponse qu'on peut trouver dans ce Vax Info N°64 de décembre 2012:

 

« Une femme enceinte peut-elle être vaccinée avec le dT ?

 

Le vaccin monovalent contre le tétanos (Tevax) n’est plus disponible en Belgique. La notice de ce vaccin autorisait, si indication médicale, l’administration de ce vaccin pendant la grossesse. Ceci n’est pas le cas dans la version actuelle de la notice du vaccin combiné dT (Tedivax pro adultoTM). La grossesse y est mentionnée comme contre-indication absolue. Que faire dès lors pour une femme enceinte qu’il serait indispensable de vacciner ? Le vaccin dT est constitué de composants inactivés ; en vertu des règles générales de recommandations, il n’y a aucune contre-indication absolue à l’usage de tels vaccins pendant la grossesse. Les recommandations de l’American College of Obstetricians and Gynecologists sont très claires à ce sujet (1) : lorsqu’une femme enceinte répond à une indication de vaccination contre le tétanos (p.e. une plaie à risque), on fera usage d’un vaccin combiné dT. Ceci correspond également aux recommandations de la WVVH et à la mise au point déjà présentée dans Vax Info (2).


Pourquoi cette information n’est-elle pas reprise dans la notice ? Ce sont sans doute des raisons médico-légales qui ont motivé l’industrie pharmaceutique. Une nouvelle version de la notice serait en cours d’élaboration.

 
Pour conclure, n’oublions pas que la non administration d’une vaccination contre le tétanos, en présence d’un risque de contamination, peut également comporter des conséquences médicolégales.»

 

Prof. P. Van Damme – UA

 

Références :


1. American College of Obstetricians and Gynecologists. Immunization During Pregnancy. ACOG Committee Opinion N° 282. Obstet Gynecol 2003 ; 101 : 207-12.

 
2. L. Schouteten, P. Van Damme, F. Van Gompel. Tétanos. Stratégie de prévention à améliorer. Vax Info 2002 ; 33 : 2-4

 

N'est-ce pas merveilleux? Le fabricant qui indique une contre-indication ABSOLUE mais les grands experts qui en décident autrement et ce alors qu'on sait déjà le manque de prudence des fabricants en général? Et les fabriquants qui modifieront la notice (sans que le risque de départ ne soit, lui, modifié!) sans doute sous la pression des officiels, désireux d'éviter toute dissonance entre leurs folles recommandations et les mentions des fabricants!!

Au Royaume-Uni, où on vaccine déjà les femmes enceintes avec le vaccin trivalent Boostrix (comprenant non seulement ces deux valences là, diphtérie, et tétanos de ce même fabricant + la coqueluche), des accidents ont déjà eu lieu, comment s'en étonner?!

 

Autre belle perle qui démontre la dangereuse idéologie de ces gens-là...

 

« Des parents demandent s’ils doivent maintenant vacciner contre les oreillons leur fils très allergique, âgé de 5 ans. Il n’a encore jamais reçu une dose de vaccin RRO en raison de problèmes d’allergie extrême lorsqu’il était bébé. Le pédiatre conseille d’attendre encore jusqu’à l’âge de 10 ans. La vaccination arrivera-t-elle assez tôt pour prévenir, en cas d’infection, d’éventuelles complications au niveau des testicules ? L’enfant court-il un risque réel d’être contaminé vu que l’épidémie actuelle concerne plutôt des adolescents ? Si l’enfant est in fine vacciné maintenant, quand le rappel devra-t-il être administré ?

 

Il y a peu d’arguments pour postposer la vaccination. Au contraire même, les épidémies locales d’oreillons sont actuellement une raison de ne pas retarder plus la vaccination.


Une allergie n’est pas une contre-indication, sauf si l’enfant est allergique à un des composants du vaccin. En cas de doute, la vaccination peut être administrée dans un milieu (hospitalier) protégé où les mesures adéquates peuvent être mises en œuvre en cas de réaction sérieuse (voir les recommandations récentes du Conseil Supérieur de la Santé relative aux réactions anaphylactiques après vaccination). Pour l’administration de la seconde dose, on peut se référer au calendrier recommandé qui la prévoit à l’âge de 10- 13 ans.»

 

Dr Marc Raes, Pédiatre

 

Référence :


Prévention et la prise en charge du choc anaphylactique après vaccination des enfants. Publication du Conseil Supérieur de la Santé. Avis n° 8802 Lire aussi à propos des épidémies en Belgique :

 
Folia Pharmacotherapeutica septembre 2012. Augmentation récente du nombre de cas d’oreillons

 

Hélas, le médecin qui a posé la question à ce qu'il croit être "un comité d'experts", se trouve ainsi désinformé et l'enfant mis en danger, sans tenir aucunement compte des réactions précédentes et de l'élémentaire principe de précaution (qui relève ici du pur bon sens!) Non, il faut VACCINER A TOUT PRIX, au besoin... en milieu hospitalier, on croit rêver! C'est donc admettre que la vaccination peut atteindre à la vie et la mettre en danger. Fabuleux!

 

Mais pire, le médecin est ici pressé de vacciner, et faussement rassuré. Cependant, en cas de problème, la responsabilité juridique reposera sur le médecin vaccinateur et non sur le grand expert Dr Marc Raes! En outre, à aucun moment il n'est rappelé à ce médecin traitant une donnée pourtant clé et qui répond aussi en grande partie à son interrogation, à savoir qu'il n'y a pas de risque de stérilité due aux oreillons CHEZ LES ENFANTS, mais au contraire chez les adolescents et les adultes, qui contractent plus tard la maladie parce que l'immunité éphémère des vaccins les a privés d'une immunité à vie et d'un contact naturel avec la maladie dans la bonne fenêtre de temps, où les complications de la maladie sont les plus faibles! Ce faisant, la juste réponse à lui apporter était au contraire, que RIEN ne pressait et qu'il gagnait donc à laisser la chance à cet enfant de contracter les oreillons dans une période sécure et pouvant potentiellement offrir une immunité à vie, sans les risques associés à toute vaccination, qui plus est sur un terrain allergique! Dans son ouvrage sur les soins de l'enfant, le Dr Cohen-Solal, pédiatre et partisan des vaccins, souligne d'ailleurs lui-même que le risque de stérilité et d'orchite chez les enfants n'existe pas réellement. Mais GSK doit bien vendre ses vaccins, y compris via cette publication Vax Info qu'elle finance à 100%!

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 21:30

Un article indispensable, de Sylvie Simon

 

Le 3 décembre 2012, Le Figaro (Édition sur le net) nous signalait

 

« L’inquiétante montée du charlatanisme médical »

 

Le Sénat a nommé le 3 octobre une commission d’enquête sur l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé. Son rapport est attendu en avril.

 

Etant donné la faillite évidente de notre médecine actuelle pour laquelle il n’y a que des maladies et non des malades, et les scandales qu’elle génère au fil des ans, il est normal que 40 % des Français se tournent vers les pratiques dites « non conventionnelles », dont l’efficacité « n’est pas avérée » par la science, mais qui guérissent néanmoins.

 

Cela n’empêche pas le Dr Patrick Romestaing, président de la section santé publique et démographie du Conseil national de l'Ordre des médecins, de déclarer que « Ces méthodes alimentent la suspicion ambiante vis-à-vis de la médecine traditionnelle, des vaccins et des médicaments ».

 

Et alors ! Si les malades avaient eu plus de suspicion vis-à-vis de la médecine qu’il appelle « traditionnelle » et qui ne l’est surtout pas, des médicaments et des vaccins il n’y aurait pas eu les milliers de victimes de la Thalidomide, du Tamoxifène, du Distilbène, et plus récemment du Vioxx, du Médiator, sans compter ceux qui n’ont pas tué assez de monde pour être retirés mais sont considérés comme très dangereux, tels le Celebrex®, le Roaccutane® ou la Ritaline® et bien d’autres molécules chimiques dont les victimes ne seront jamais ou presque dédommagées. Il n’y aurait pas eu, non plus, les très nombreux décès de nouveau-nés et d’enfants encore jeunes et les dizaines de milliers de handicapés dus aux accidents vaccinaux « très rares » dit-on, mais qui se  chiffrent par milliers à travers le monde.

 

 « Certaines thérapies “alternatives” ouvrent la porte à des praticiens peu scrupuleux, voire à des dérives sectaires » a renchéri comme à son habitude la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). 

 

Nous savons à présent que des praticiens peu scrupuleux se trouvent partout et souvent chez des gens diplômés, respectés et même honorés. Servier n’a-t-il pas eu la légion d’honneur peu de temps avant la découverte de ses mensonges ? Et en décembre 1989, sur l’ordre écrit du président de la République, le Dr Garretta (l’un des responsables du sang contaminé) fut nommé chevalier de la Légion d’honneur à titre exceptionnel. Ils ne sont pas les seuls.

 

Quelque 400 pratiques alternatives à visée thérapeutique, pour la plupart totalement inconnues du grand public, ont été recensées par la Miviludes qui précise que dans ce maquis de méthodes non validées, certaines ont toutefois réussi à se faire un nom et « gagnent du terrain ».

 

« Le principe est de faire miroiter une guérison ou un mieux-être au malade, en le noyant sous un verbiage pseudo-scientifique et en donnant des explications simplistes à une maladie dont l’origine est forcément complexe », décrypte Samir Khalfaoui, conseiller santé à la Miviludes, qui ajoute : « Ces pratiques ne sont pas un problème lorsqu’elles ne remettent pas en cause le discours médical. Mais dans les faits, il n’est pas rare que le praticien franchisse la ligne rouge, en invalidant la vaccination ou les médicaments par exemple. »

 

Tous les médecins qui ont prescrit des médicaments dangereux à leurs patients, ont-ils officiellement franchi la ligne rouge ? Et les chercheurs, biologistes, virologues et certains médecins qui « invalident » la vaccination ou de très nombreux médicaments sont-ils des criminels ou bien des lanceurs d’alerte qui tentent d’avertir la population de la vérité sur le dogme vaccinal qui chancelle, bien heureusement ?

 

C’est dans cet espace que se glissent « de dangereux charlatans qui incitent les malades à abandonner leur traitement, occasionnant des pertes de chance de guérison, sur la foi de théories absurdes », avertit le président de la Miviludes Serge Blisko qui ignore totalement les théories qu’il qualifie d’absurdes. Bien à propos, il est soutenu par le Pr Simon Schraub, de la Ligue contre le cancer, qui ne va évidemment pas cracher dans sa soupe : « Ces cas sont aujourd’hui assez rares, mais ils concernent des patients très vulnérables, souffrant de maladies graves ». C’est sans doute parce qu’ils sont  vulnérables que ces malades sont harcelés par la Ligue contre le cancer qui les menace de mort imminente s’ils ne passent pas sous leurs fourches caudines. « Certaines médecines alternatives peuvent apporter un réconfort au patient, résume la Ligue. Mais il est absolument indispensable de poursuivre son traitement et de prendre conseil auprès de son médecin avant d’y recourir. » Que sait en vérité le médecin qui envoie son malade dans un centre anticancéreux sans vraiment connaître les « protocoles » appliqués de la même manière chez tous les malades, vieux ou jeunes, gros ou maigres, grands ou petits, avides de vivre ou résignés à mourir ? RIEN à vrai dire !

 

Alors que ces médecines complémentaires font de plus en plus leur apparition à l’hôpital et que la demande des patients est forte, la Miviludes demande leur évaluation par les autorités sanitaires car la médecine doit être avant tout « basée sur des preuves », même si ces « preuves » risquent d’être infirmées un jour. Et tout cela mène aux nombreux scandales qui jalonnent la médecine et la discrédite depuis quelques années.

 

Le 10 octobre s'est tenue la réunion constitutive de la commission d'enquête sur l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé, présidée par Alain Milon (UMP - Vaucluse) ; c’est le sénateur Jacques Mézard (RDSE - Cantal) qui en est le rapporteur. Les premières auditions de la commission d'enquête auront lieu le mercredi 24 octobre. 

 

La composition de cette commission d'enquête comprend des sénateurs de tous bords, mais surtout des spécialistes autoproclamés des sectes. Ainsi, Serge Blisko, nouveau président de la Miviludes, Georges Fenech, ancien président de la Miviludes que l’on espérait disparu à jamais de cet organisme plus sectaire que les véritables sectes, Guy Rouquet, psychothérapeute et partenaire privilégié de la Miviludes depuis cinq ans, qui lutte contre ce qu’il appelle les « dérapeutes » et estime que « Lourdes n’échappe pas au phénomène, au contraire » !

 

On trouve également d’autres psychiatres ou psychologues qui semblent totalement ignorants des problèmes de santé publique mais obnubilés par les sectes, dignes héritiers des enseignements du sieur Fenech.

 

« La manipulation mentale peut se poursuivre par une rupture avec l'environnement d'origine. Peu à peu, la secte occupe davantage de votre temps. En dehors des séances de groupe, vous avez des rendez-vous réguliers et obligatoires avec un autre "adepte". Intellectuellement, vous adoptez la pensée du groupe, ses lectures et tous ses choix culturels. Avec vos amis, vous parlez beaucoup de votre activité, d'ailleurs ils feraient bien d'essayer. Les sectes comportent des systèmes de parrainages, des soirées où vous devez amener un proche. » A déclaré un membre du groupe d’étude.

 

C’est ce qui se passe dans des cercles d’amis qui vous influencent forcément, comme le font nos hommes politiques, les journalistes, les professeurs, votre entourage et même votre famille. Font-ils partie de sectes pour autant ?

 

Quant à Jean-Luc Harousseau, nouveau patron de la Haute Autorité de santé, cet ancien président UMP du Conseil régional des Pays de la Loire a touché 205 482 euros en 2008, 2009 et 2010 de la part de laboratoires et il lui a fallu un bon mois, pour tenir la promesse faite à la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale de récapituler l'ensemble des liens d'intérêts qu'il a entretenus avec l'industrie pharmaceutique au cours des trois années écoulées. En effet, alors que sa « déclaration publique d'intérêts », datée du 31 janvier 2011 et accessible sur le site Internet de la HAS était vierge, celle du 21 février, consultable en ligne elle aussi dès le lendemain, révélait que les sommes qui lui ont été versées par 28 laboratoires différents l’étaient au titre de sa participation à des « conseils scientifiques, réunions nationales et internationales de formation continue ». (Extrait de l'Express du 4 mars 2011).

 

Le 7 Décembre 2012, sur les conseils de l’avocate Hélène Lipietz, sénatrice écologiste et membre de la commission des lois, qui prévenait : « si vous désirez être auditionné par la commission, il vous suffit de lui écrire directement au Sénat », Jean-Pierre Auffret, Ingénieur des Arts et Métiers envoyait à Alain Milon, président de la commission, une lettre qui résumait parfaitement la situation :

 

« Monsieur le Président,

« Docteur,

 

« Vous présidez la commission d’enquête sur l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé. Le fait est qu’il faut s’inquiéter du développement de pratiques parfois dangereuses, mais il ne faudrait pas étouffer Raison et Liberté, fût-ce au nom de la Santé.

 

« Certains voudraient ainsi interdire toute contestation des vaccinations et entretiennent un amalgame particulièrement contestable entre sectes ou “illuminés” et des attitudes rationnelles et responsables, du simple fait qu’elles s’opposent à l’opinion commune, pour ne pas dire à une puissante propagande. En effet, à travers notamment son guide “La protection des enfants mineurs contre les dérives sectaires” et son site, la Miviludes fait du refus de vaccinations obligatoires un indice de dérive sectaire. Or cet “indice” est particulièrement contestable. Sa pertinence est déjà diminuée par le fait que des sectes puissantes et inquiétantes comme la Scientologie ou les Témoins de Jéhovah ne manifestent aucune opposition aux vaccinations, voire les encouragent.

 

« Les vaccinations sont des traitements médicaux scientifiquement controversés, leur efficacité ou leur innocuité ne pouvant être absolues ni établies avec certitude. Dès lors, l’obligation ou la généralisation de ces traitements, a fortiori sur le seul critère d’âge, est choquante du point de vue d’une médecine libérale dont le principe est de poser l’indication d’un traitement en fonction des besoins et des risques de l’individu, globalement bien portant, à qui on l’applique.

 

« Surtout, l’obligation contrevient au principe du consentement éclairé de l’intéressé, principe consacré par l’article L.1111-4 de notre Code de la Santé publique (loi Kouchner) sans parler de l’article 16-3 du Code Civil. Les obligations françaises font d’ailleurs figure d’exceptions au sein de l’Union européenne et nous serions particulièrement mal venus d’imputer des dérives sectaires à des ressortissants allemands ou danois, dont les institutions sanitaires n’imaginent même pas de telles exigences.

 

D’ailleurs, le Programme national d’amélioration de la politique vaccinale, enrichi des apports du Haut Conseil de la Santé Publique et de la Conférence Nationale de Santé envisage l’abandon des dernières obligations (PNAPV pp. 2 et 3 ; avis CSP, pp. 4 et 5) : l’indice du refus de vaccinations obligatoires pour détecter des dérives sectaires s’avère d’ores et déjà caduc.

 

« L’argument de la protection collective par la généralisation de vaccinations est une affirmation abusive surtout lorsqu’il s’agit d’une maladie non contagieuse comme le tétanos, bénigne comme la rougeole (qui n’est citée comme dramatique que depuis qu’il y a un vaccin) ou les oreillons, rare (tétanos, diphtérie, polio), évitable par d’autres moyens que le vaccin, curable, etc. Et ces généralisations peuvent à la fois diminuer la vigilance sur certaines précautions et, par leur coût (dont des accidents), peuvent détourner pour ces vaccinations des moyens financiers ou humains qui seraient plus efficaces pour la santé publique dans des équipements d’hôpital, dans la pédagogie de l’hygiène, l’étude des pollutions… Pire : la diffusion de certains vaccins (antipolio à virus vivants) pourrait être à l’origine du maintien des maladies qu’ils sont censés combattre.

 

« Promouvoir au nom de la lutte contre les dérives sectaires des traitements médicaux controversés relèverait du… sectarisme et menacerait les libertés en général (les régimes totalitaires n’hésitent pas à accuser toute opposition d’obscurantisme ou d’insanité d’esprit) et des familles parfaitement responsables, mais refusant rationnellement les vaccinations. Ce scepticisme commun a déterminé l’insuccès de la campagne de vaccination anti-H1N1 en France notamment, et ce, sans dommage pour la santé publique. Fût-ce avec des inspirations variées, les professionnels et les individus sont nombreux de par le monde à contester la systématisation de ces traitements médicaux, mais ne versent pas dans des comportements dangereux pour l’Humanité.

 

« Votre commission s’honorerait en mettant un terme à la stigmatisation par des instances officielles, de ceux qui n’adhèrent pas au culte des vaccinations.

 

« Je reste à votre disposition pour tout développement et ne demande pas mieux que de témoigner devant votre commission.

 

« Confiant dans la suite que vous donnerez à ces propos,

« Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, mes sincères salutations. »

 

Effectivement, il a reçu une réponse d’Alain Milon qui lui a fait savoir qu’il ne doutait pas de l’intérêt de son témoignage devant la Commission, mais que le programme des auditions était très chargé, que les délais impartis étaient rigoureux et qu’il ne manquerait pas de le solliciter si une « évolution de leur agenda permettait de l’associer à leur programmes de travail ».

 

En résumé, toute contradiction ne pourra être acceptée. Cela s’appelle, dans notre belle démocratie, la liberté de s’exprimer et l’écoute de la partie adverse. Et malheureusement, cela n’augure rien de bon quant à l’issue de cette enquête.

 

Sylvie Simon

 

http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2011-02/declaration_publique_de_jl

http://www.assemblee-nationale.fr/12/pdf/rap-enq/r3507.pdf

http://videos.senat.fr/video/commissions/commSECT-p1.htl

 

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 21:06

La Cour des Comptes s'en mêle, c'est donc dire la panique des officiels par rapport à la désaffection croissante du public pour les vaccins!

 

Il est assez surréaliste et même comique de voir s'avancer la Cour des Comptes, de façon aussi téméraire, sur le terrain complexe des vaccins qu'elle ne maîtrise visiblement aucunement....

 

Le 10 décembre dernier, le site APMNews livrait entre autres les suggestions suivantes de la Cour en la matière (issues d'un rapport de l'institution d'octobre 2012):

 

« La Cour des comptes demande plus de cohérence dans la politique vaccinale, dans une enquête réalisée pour la commission des affaires sociales du Sénat.

  

La Cour des comptes estime que la politique vaccinale a "besoin d'un nouveau souffle". Elle "manque souvent de cohérence et de continuité" et "est soumise à des pressions diverses", a résumé Antoine Durrleman.

 

Il a déploré que les données sur la couverture vaccinale soient incomplètes, ne permettant pas de tirer un bilan clair, mais a constaté que le taux de couverture est "très nettement insuffisant pour certaines pathologies

 

La Cour souligne la difficulté du suivi de la couverture vaccinale, car les données sont parcellaires.

 

Elle suggère la mise en place d'un "carnet de vaccination électronique" dès la naissance qui "pourrait être interfacé avec le dossier médical personnel" (DMP). Par ailleurs, la dématérialisation du certificat de 24e mois, sur lequel figure l'information sur la vaccination, est en cours et devrait améliorer la remontée des données.

 

La Cour recommande une politique de communication "beaucoup plus active et continue, et beaucoup plus réactive", "finement conçue" afin de contrer "le discours anti-vaccinal qui se développe sur les réseaux sociaux". L'Institut national de prévention et d'éducation à la santé (Inpes) a actuellement "très peu de moyens" pour ses campagnes, remarque-t-elle.

 

La preuve ultime que cette Cour des Comptes ne connaît absolument rien aux vaccins se trouve dans cette phrase:

 

En conséquence, la France a "un taux de vaccination (pour le papillomavirus) inférieur à celui des autres pays européens" et seules 15% des jeunes femmes vont au bout des trois injections "sans doute à cause du prix trop élevé du vaccin (environ 400 euros pour les trois injections, auxquels s'ajoute le coût des consultations chez le médecin)".

 

C'est complètement FAUX: ce vaccin étant remboursé à 65% par les pouvoirs dits "publics", il ne coûte absolument pas ce prix là aux jeunes filles, sans compter que les consultations médicales font elles aussi l'objet d'un certain remboursement! Ce faisant, ce taux de vaccination bas ne peut absolument pas s'expliquer par le montant à débourser mais bien davantage par la très mauvaise tolérance de ces vaccins qui génèrent significativement plus d'effets secondaires que les autres, comme en attestent ainsi plusieurs données de la littérature médicale -que la Cour des Comptes n'a jamais pu ou voulu consulter.

 

Comme quoi, comptes, business et pharmacovigilance ne font visiblement pas bon ménage!

 

Source: APMNews

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 23:37

03/12/12 17:30 Delphi Genetics annonce la mise au point d’un premier vaccin ADN efficace développé avec la technologie Staby®

 

Delphi Genetics annonce la mise au point d'un premier vaccin ADN efficace développé avec la technologie Staby®

 

A l'occasion de l'inauguration de son nouveau bâtiment, la société belge Delphi Genetics, spécialisée en Biotech, a annoncé que le premier vaccin ADN sans antibiotique et utilisant la technologie Staby®, a été testé de manière efficace in vivo. Delphi Genetics participe au projet DNAVAC subsidié par la Région Wallonne (projet BioWin), en collaboration avec des acteurs du monde académique et des biotechnologies. Le but de ce projet est de développer et produire des vaccins ADN sans antibiotique qui cibleront plusieurs maladies vétérinaires. Comme modèle, le consortium a développé un vaccin ADN contre le virus Aujeszky, l'agent pathogène de la pseudo-rage.

 

«Ce virus a été sélectionné parce qu'il entraîne systématiquement une maladie grave et mortelle chez les espèces sensibles, ce qui en fait un excellent modèle pour tester l'efficacité d'un candidat vaccin. Les résultats des tests accomplis par le Dr. Anca Reschner sont très clairs : tous les animaux vaccinés grâce aux vecteurs Staby® furent résistants au virus mortel Aujeszky. » explique le Professeur Alain Vanderplasschen de l'Université de Liège (Immunologie-Vaccinologie).

 

Cédric Szpirer PhD, co-fondateur et Administrateur Délégué de Delphi Genetics, ajoute : « Il s'agit du premier vaccin ADN réellement produit en utilisant la technologie Staby®. Plusieurs vecteurs ADN ont été créés précédemment pour générer une production d'anticorps, mais c'est la première fois que des tests sont réalisés in vivo afin d'évaluer son efficacité contre une maladie. Toutes les étapes de la production du vaccin ont été exécutées efficacement en évitant totalement l'utilisation des gènes de résistance aux antibiotiques, en accord avec les recommandations des autorités compétentes (FDA, USDA, EMA). Ces résultats valident l'utilisation de la technologie Staby® en dehors du domaine de la production de protéine. »

 

En effet, il y a quelques semaines (le 8 octobre 2012), Delphi Genetics a annoncé un large accord de licence avec une filiale de Merck & Co., Inc., connue sous le nom de MSD en dehors des Etats-Unis et du Canada, pour l'usage de la technologie StabyExpress® pour la production de protéines dans les secteurs de la santé humaine et animale. Cette technologie avait déjà fait l'objet d'accords de licence avec Sanofi-Pasteur (2009) et GSK (2010) dans le cadre de la production de protéines utilisées pour les vaccins humains.

 

Comme annoncé le 30 janvier 2012, le projet DNAVAC implique un consortium qui se compose comme suit : la société Eurogentec SA, une autre société belge de biotechnologie (faisant partie du groupe Kaneka) qui est en charge de la production et purification de l'ADN à grande échelle ; l'Université Catholique de Louvain responsable des études pharmaceutiques et de toxicité dans le projet et l'Université de Liège en charge des aspects vétérinaires et de vaccinologie.

 

Source: bourse.lci.fr

 

Le vaccin anti-hépatite B fut le premier (dans sa deuxième version) à avoir été mis au point par génie génétique dans les années 80 : loin d’être sûr, ce vaccin fut responsable, selon le rapport Dartigues, d’une des plus grandes séries d’effets secondaires de toute l’histoire de la pharmacovigilance française ! Sans parler du lien clair avec la sclérose en plaques, les autres maladies démyélinisantes et d’autres maladies auto-immunes, comme le diabète de type 1 ou encore le lupus.

 

Qu’à cela ne tienne, les dangereux apprentis sorciers qui se paient sur l’argent public (des contribuables) continuent leur fuite en avant qui continuera de nous mener droit dans le mur en termes de santé publique avec des vaccins encore plus hasardeux et des jeux sans aucun filet avec de l’ADN étranger. Quelle honte que des instances dites « publiques » ou encore des universités osent soutenir ces frelatages périlleux du vivant au nom du prétendu « Progrès » ! Nul doute que les générations futures les maudiront un jour….

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 11:53

... des chercheurs militaires y travaillent (avec nos deniers!)

 

Le pollen pourrait contribuer à fabriquer des vaccins plus efficaces affirme le DARPA

  

 

Mark Rockwell, 28.11.2012 

  

Pollen.jpg

 

 

Selon une Agence militaire Américaine de recherches, les minuscules grains de pollen qui provoquent de grandes souffrances aux personnes allergiques, pourraient présenter une solution pour la fabrication de vaccins efficaces pour différents problèmes de santé.

 

Selon l’Agence DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), l’un de ses chercheurs étudie de nouvelles méthodes de fabrication et de présentation de vaccins destinés à l’administration par voie orale. Son outil de prédilection est le pollen, a déclaré le porte-parole de DARPA le 27 novembre.

 

L’Agence en question a expliqué qu’ Harvinder Gill, professeur adjoint à l’Université Texas Tech cherche à comprendre, à concevoir et à tester une vaccination par voie orale réalisée à partir de pollen pour pouvoir protéger contre de nombreuses maladies infectieuses. En cas de succès, sa recherche pourrait permettre la mise au point de vaccins plus efficaces, plus faciles à administrer et à transporter pour les troupes déployées.

 

Pour la DARPA, le pollen présenterait de nombreux avantages pour la réalisation et l’administration de vaccins. L’extérieur d’un grain de pollen est une coque faite de polymère durable et non allergène. Le contenu de l’enveloppe peut être débarrassé des protéines végétales allergéniques et des graisses qu’il contient pour en faire un produit neutre. Ce qui resterait de l’enveloppe pourrait contenir des vaccins qu’il serait possible d’administrer par voie orale.

 

La résistance naturelle de la coque du pollen permettrait au vaccin de passer, sans être détruit, par les voies digestives.

 

Un vaccin administré par voie orale est efficace, indolore ; il peut à la fois induire des réponses immunitaires muqueuses et systémiques, renforçant ainsi la protection, a déclaré le porte-parole de la DARPA.

 

L’administration de pilules traditionnelles peut être perturbée par les processus naturels du corps humain. Lorsque les patients avalent des vaccins ou autres médications, les acides de l’estomac et les processus digestifs peuvent dégrader les produits, mais du fait que les coques de pollen sont durables, elles peuvent se maintenir intactes à l’intérieur du corps et préserver le vaccin jusqu’au moment où il pourra être absorbé par le corps.

 

La DARPA possède déjà plusieurs programmes biologiques destinés à protéger la santé des soldats américains par rapport à des menaces connues et inconnues, a déclaré Jay Schnitzer, directeur du Bureau des Sciences de la Défense qui supervise actuellement le programme YFA. « Nous soutenons activement la recherche de base comme celle menée par les bénéficiaires YFA, car elle aide à ouvrir de nouvelles perspectives d’exploration et favorise de précieuses relations durables entre le DoD et la communauté des chercheurs. »

 

On trouvera plus d’informations sur la recherche du Dr Gill au lien suivant : www.gill-lab.che.ttu.edu. Son laboratoire étudie actuellement les grains de pollen, les micro-aiguilles, les nano-particules d’or et les polymères micro-nano-particules pour la vaccination mucosale et l’administration de médicaments contre le cancer …  

 

Source: gsnmagazine

  

Ils chercheront TOUS les trucs et TOUTES les astuces possibles pour vacciner absolument un maximum de gens (peu importe leur volonté) : vaccins oraux, vaccins universels à ne soi- disant faire qu’une fois dans la vie, vaccins par micro-aiguilles, par nanopatches, vaccins via des « aliments vaccinants » transgéniques, etc etc.

 

 Tout est à l’étude sauf une chose, la plus importante :

 

Par quel moyen démocratique pourrons-nous leur faire comprendre que ces folies doivent cesser et bien sûr, tout le cortège de pressions et obligations inadmissibles qui vont avec ? Prendre conscience de cette réalité, c’est déjà commencer à pouvoir y faire face et à y réagir efficacement car une fois encore, tous les risques de ces méthodes d’apprentis-sorciers, ce sera à VOTRE corps et à celui de VOTRE (vos) enfant(s) de les assumer…

 

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 21:50

Les apprentis-sorciers sont de plus en plus fébriles: en dépit de la désaffection croissante et assez évidente pour le "tout vaccin", ils remettent encore le couvert avec leur obsession d'une vaccination antigrippale généralisée, et pourquoi pas alors du même coup aussi obligatoire?

 

L'article qui suit en dit long sur l'aveuglement dangereux de ces gens qui ne voient plus que LEUR cible (ou ce qu'ils estiment comme telle) sans plus même manifester le moindre bon sens au sujet des risques posés par ce genre de procédé hasardeux, sur lequels il faudrait des décennies de recul, ni non plus au sujet des risques éthiques et démocratiques en cas de vaccination obligatoire... une tentation dangereuse qui peut naître avec ce genre de fausse solution!

 

Un vaccin contre la grippe qui protège à vie :

 

Le 26 novembre 2012

 

Des chercheurs allemands développent actuellement un vaccin d’un nouveau type qui protégerait contre une souche grippale pour de très longues années, voire à vie. Au lieu d’utiliser directement les antigènes, il a recours à l'ARN messager…

 

Tous les ans, c’est la même rengaine : tout le monde (mais prioritairement les personnes à risques) est convié à subir une injection en prévention de la grippe saisonnière. Et si on pouvait l’éviter avec quelques vaccins administrés durant l’enfance ? C’est le projet de chercheurs allemands de l’institut Friedrich-Loeffler qui développent actuellement un vaccin d’un nouveau type contre la grippe.

 

D’ordinaire, on immunise les patients en leur injectant deux protéines : l'hémaglutinine et la neuraminidase, les fameux H et N qui servent à définir les souches virales (H5N1, H1N1 par exemple). Ces antigènes se retrouvent naturellement à la surface du virus et stimulent la réponse immunitaire par la production d'anticorps spécifiques.

 

Cependant, les délais de production sont longs. Même si l'Organisation mondiale de la santé (OMS) arrive à prévoir la souche grippale qui circulera l’année suivante, il faut 6 mois dans des œufs de poule pour produire des stocks suffisants de vaccin. Une erreur de l’OMS serait préjudiciable pour les laboratoires pharmaceutiques. Tout dernièrement, un nouveau procédé vient d’être validé : à base de cellules animales en culture, il réduit ces délais à 10 semaines.

  

De l'ARNm pour stimuler l'immunité

  

Mais on pourrait faire encore mieux. Dans Nature Biotechnology, les scientifiques allemands suivent la piste d’un vaccin à base d’ARNm. Cette structure est l’intermédiaire entre l'ADN et les protéines. Ainsi, au lieu d’injecter directement hémagglutinine et neuraminidase, les auteurs inoculent l’ARNm qui, une fois traduit par la machinerie cellulaire, aboutit à ces deux antigènes. Le système immunitaire va donc réagir à ces protéines étrangères et s’armer contre toute menace.

  

Les avantages sont nombreux : au lieu de ne stimuler que la réponse immunitaire innée à base d’anticorps, ce vaccin active aussi plus amplement l’immunité adaptative, qui fait intervenir des lymphocytes et autres médiateurs cellulaires. Ainsi, la protection est rapide et surtout plus durable. D’autre part, les délais de production à grande échelle se limitent à 6 à 8 semaines, donc moins que les techniques utilisées actuellement, laissant plus de marge pour réagir face à l’imprévu. Enfin, le produit se présente sous la forme d’une poudre lyophilisée qui ne nécessite pas un stockage en milieu réfrigéré, comme beaucoup de vaccins.

 

En revanche, un tel traitement préventif présentait jusque-là un défaut important : de précédents essais montraient que l'ARN est dégradé très vite après l’injection dans le sang. La firme pharmaceutique CureVac semble avoir trouvé la parade. Combiné à une protéine appelée protamine, l’ARNm est protégé et peut atteindre sa cible. Ce processus fait actuellement l’objet de tests cliniques, l’entreprise ayant développé des vaccins contre les cancers du poumon et de la prostate.

  

Un jour, des vaccins obligatoires contre la grippe ?

  

Ce traitement préventif contre la grippe a été essayé chez l’animal. Souris, furets et cochons ont présenté très rapidement une immunité forte contre une souche saisonnière ainsi que contre la grippe aviaire H5N1, et ce quel que soit l’âge des individus. La prochaine étape devrait consister à évaluer l’efficacité chez l’Homme.

 

À terme, l’idée serait de vacciner les enfants contre les différentes souches grippales, en attendant qu’un laboratoire développe enfin un vaccin universel contre la grippe. Les virus sont soumis à des mutations, mais une telle politique de prévention diminuerait fortement l’importance des épidémies, qui font des dizaines de milliers de victimes dans le monde chaque année.

 

Source: Futura Science

 

beau-vaccin-nouveau.jpg

 

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20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 23:20

C'est ce que le Figaro a relayé ce jour, sans peur du ridicule:

 

« La couverture vaccinale des Français reste insuffisante, selon un rapport rendu public ce mardi par l'Institut de veille sanitaire (InVS). En 2012, les objectifs de santé publique, au moins 95% de la population protégée, ne sont pas atteints pour la plupart des vaccinations, selon le rapport de l'InVS. […]

 

Alors que certains pays nordiques sont parvenus à des taux de vaccination très élevés, l'InVS mise sur l'information et la sensibilisation pour améliorer la situation en France. Selon Françoise Weber, notre faible performance s'expliquerait en effet «par une méconnaissance et une application inégale des médecins», plus que par une défiance des Français à l'égard des vaccins. »



C'est vraiment ce qui s'appelle (de la part de l'InVS) se mettre la tête dans le sable...

 

Il est du reste absolument AFFLIGEANT que ce genre d'"objectifs" dits "de santé publique" soient inscrits dans des lois, comme c'est le cas en France, alors qu'une autre loi (la loi Kouchner) stipule pourtant clairement, pour tout acte médical, le droit de tout un chacun à un consentement libre et pleinement éclairé. Or, la vaccination est bien un acte médical à part entière. Octroyer ce droit suppose donc la possibilité d'accepter comme de refuser. Par conséquent, il est assez anormal de ne s'attendre qu'à 5% de refus tout au plus, de la part du public. C'est donc là bien la preuve par a+b que certaines lois sont surtout là pour faire semblant de donner des droits au public alors que dans les faits, tout est fait pour bafouer ces droits.

 

Le public gagne à s'informer adéquatement sur les bénéfices comme sur les risques des vaccins. En cas de problèmes de santé, les ennuis, potentiellement à vie, seront avant tout pour les patients et leurs familles, bien davantage que pour les médecins, les labos ou les autorités qui ont pour habitude de se mettre à l'abri de la moindre poursuite à coups de tactiques d'avocats. Si les autorités avouent leurs objectifs d'obtenir des taux de vaccination de 95%, quelque part, elles se trahissent en montrant que leur volonté idéologique ("faire du chiffre") prime sur l'amélioration concrète de la santé et de la qualité de vie des gens, alors que celles-ci ne cessent de se dégrader tandis que, dans le même temps, la responsabilité de cette dégradation sanitaire n'est pas principalement imputable aux maladies infectieuses. La volonté autoritariste d'avoir des taux de vaccination "à la chinoise" (95%) se trouve en fait fort peu compatible avec les droits des personnes, tels qu'ils ont été reconnus par la loi.

 

Cette volonté de vacciner TOUT LE MONDE explique donc ce non respect continuel de la loi sur les droits du patient: cette loi oblige normalement tout soignant (à fortiori le vaccinateur) a vous fournir, sans les minimiser, des informations suffisamment objectives sur les risques de la procédure comme sur ces prétendus avantages; toutefois, si les médecins respectaient ces obligations et donnaient vraiment des informations fiables et exhaustives sur ces risques actuellement documentés, il est évident que le nombre de refus de vaccinations serait infiniment plus élevé que 5%.... Voilà donc pourquoi on vous ment continuellement en la matière.

 

Le Pr Mendelsohn, professeur de pédiatrie et de médecine préventive (hélas décédé), ne disait pas autre chose:

 

« Au congrès de l'Académie américaine de pédiatrie, en 1982, fut proposée une résolution qui demandait que les parents soient informés des risques et des avantages des vaccinations. La résolution demandait que l'Académie de pédiatrie produise un texte clair et concis pour que tout parent raisonnable puisse se renseigner sur les bénéfices et les dangers des vaccinations systématiques, les risques des maladies que les vaccins préviennent et le traitement des effets secondaires fréquents. Il semble que les médecins rassemblés pensèrent que des «parents raisonnables» ne méritaient pas ce type d'informations car la résolution fut rejetée ! »

 

Et dans le même temps, alors que les risques sont sans arrêt occultés, d'autres initiatives scandaleuses poussent le bout de leur nez, comme par exemple l'idée que les pharmaciens puissent se mettre à vacciner eux aussi! De quoi faire ainsi basculer subtilement la vaccination vers un acte non exclusivement médical, un tel glissement étant évidemment susceptible d'impacter la législation en place sur le droit de consentir ou de refuser à tout acte médical!

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:38

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Décidément, tout est vraiment bon pour redorer le blason du vaccin antigrippal qui tombe de plus en plus en désaffection: après avoir prétendu que le vaccin antigrippal protégeait soi-disant des crises cardiaques et des AVC (alors que c'est justement l'inverse, les indices indiquant que la vaccination antigrippale favorise plutôt les AVC!) et après cette idée de badge vaccinal discriminant dans les hôpitaux genevois, voici la dernière trouvaille en date: prétendre que la vaccination des femmes enceintes réduirait.. le risque d'autisme chez l'enfant!

 

On croit vraiment rêver: dans les années 70, le taux d'autisme était de 1/40 000 environ alors qu'il monte jusque 1/38 dans des pays comme le Royaume-Uni. Prétendre comme le font certains que seuls des aspects génétiques et diagnostiques (meilleurs diagnostics) expliquent cette hausse, est tout simplement non crédible. La vérité c'est que cela ne suffit pas à expliquer ces hausses, la vaccination des enfants qui a plus que doublé en 20 ans est un des éléments-clés, de nombreux parents en témoignent et plusieurs études convergent également en ce sens.

 

Il existe deux types d'autisme, l'autisme inné et l'autisme régressif, le premier survient très précocément mais l'autre, le plus fréquent, ne commence à se déclarer qu'après une période tout à fait normale de développement de l'enfant. C'est cet autisme-là qui explose le plus et qui est lié de façon très nette aux vaccins, même si personne n'a jamais prétendu que cela était la seule cause possible. Le Dr Bernardine Healy, ancienne directrice de l'Institut américain de Médecine l'a bien fait comprendre dans une interview à la chaîne CBS: certains enfants prédisposés vont être sacrifiés avec la vaccination  parce qu'ils auraient pu ne pas tomber malades s'ils avaient été dépistés et s'ils avaient ainsi pu éviter cette vaccination qu'ils n'étaient pas à même de supporter. Mais il n'y a pas du tout cette volonté de dépister ces gens plus sensibles avant le drame de la vaccination, parce que les officiels ont tout simplement peur que cela rebute d'autres gens de se faire eux vacciner comme de gentils moutons dociles.

 

A présent, alors que certains groupes de scientifiques liés aux pharmas (comme le GEIG en France) déclarent qu' "il faut sauver le vaccin antigrippe", on assiste à des tentatives diverses et variées de remettre en grâce ce vaccin avec telle ou telle étude ciblée censée prouver toutes sortes d'avantages indirects. Pour ceux qui ont un peu lu sur la dangerosité accrue d'exposer les femmes enceintes à des produits chimiques quels qu'ils soient vu la fragilité du foetus, l'immaturité de sa barrière hémato-encéphalique et le fait que l'exposition précoce aux produits chimiques, au cours de la vie foetale et peu après la naissance, est une cause de maladies graves pouvant ne se déclarer qu'à l'âge adulte, ce genre de conseils pseudo-scientifiques les fera sourire ou, plus probablement, les mettra en colère tant il s'agit de recommandations irresponsables, faisant fi de tous les autres types de risques qui pourraient annihiler le moindre bénéfice promis, en plus de faire un croc-en-jambe inacceptable au plus élémentaire principe de précaution.

 

Voici ce qu'on pouvait lire ce jour sur le site Terrafemina:

 
Grippe et autisme : le vaccin recommandé aux futures mamans
 

Publié le 14 novembre 2012 

 

Selon une étude danoise, il y aurait une corrélation positive entre le fait d’avoir la grippe pendant une grossesse et les risques d’avoir un bébé souffrant d’autisme. Les chercheurs recommandent donc aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe pour limiter les risques.

 

D’après une étude danoise, le fait d’avoir la grippe durant une grossesse doublerait les risques d’accoucher d’un enfant souffrant d’autisme. Plus inquiétant encore, une période de fièvre prolongée avant la 32e semaine de grossesse triplerait les risques d’un bébé autiste. Des chiffres qui font froid dans le dos et qu’il convient de prendre avec précaution.

 
C’est l’activation du système immunitaire de la future maman durant la période grippale qui provoquerait des déficiences dans le développement neuronal du fœtus pendant la grossesse. La meilleure façon de ne prendre aucun risque selon les chercheurs ayant réalisé cette étude est de se faire vacciner contre la grippe.


Pourtant en France, le vaccin contre la grippe est de moins en moins populaire, même chez les populations considérées comme à risques. »

 

Si on n’oublie pas son bon sens, on retiendra que la grippe existe depuis des centaines d’années alors que l’incidence de l’autisme a été multipliée par plus de 100 en une trentaine d’années seulement ! A l’heure d’aujourd’hui, on sait que les enfants naissent déjà avec tout un bagage toxique conséquent (amalgames dentaires toxiques au mercure de la mère, nombreux polluants déjà présents dans le sang du cordon ombilical etc etc) et que la vaccination de la mère viendra donc inévitablement alourdir cette « barque toxique » de l’enfant dès sa naissance, ce à quoi s’ajouteront la kyrielle de vaccins pédiatriques vivement recommandés, si pas imposés. La grippe n’est qu’une infection sur des centaines d’autres pouvant générer une fièvre et de plus, le vaccin est d’une efficacité médiocre, voilà pourquoi il n’est pas médicalement censé de recommander la vaccination pendant la grossesse mais au contraire de favoriser d'autres moyens préventifs ne contenant pas ces substances et additifs toxiques.

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