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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 12:29

Le journaliste Jean-Luc Martin Lagardette rapporte sur son site une sorte de synthèse des nouveautés de la politique vaccinale française pour la période 2012-2017.

 

C'est en réalité la Direction générale de la Santé qui a élaboré ce "programme d'amélioration de la politique vaccinale", avec la caution du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP).

 

Voici en substance quelles sont les "améliorations" proposées (et ce qu'il faut en penser)

 

- Gratuité des vaccins obligatoires comme de ceux recommandés:

 

Pour les 20% de gens en moyenne qui estiment ces politiques vaccinales abusives et insensées, c'est là un véritable "hold up" sur leurs contributions, ainsi détournées pour financer des mesures qu'ils n'approuvent pas et qui grèveront encore davantage le trou de la Sécu, le fardeau financier des innombrables victimes de vaccins (même si elles s'ignorent) n'étant hélas pas à négliger!

 

En outre, il s'agit d'une manoeuvre assez sournoise destinée à faire croire, en elle-même, à l'énorme importance ou utilité de ces vaccins, ce qui amène aussi les gens à confondre progressivement la notion de "nouveauté" avec celle de "progrès".

 

Cette caution publique a toujours été sine qua non pour l'industrie, soucieuse d'éviter les bides vaccinaux pour l'introduction de ses nouveaux produits mais aussi par les médecins, dont la première priorité, loin devant celle de veiller aux intérêts des patients, a toujours été et reste celle de se protéger eux-mêmes des critiques ou poursuites par rapport aux décisions qu'ils prennent dans leur pratique courante.

 

- Simplification du calendrier vaccinal

 

Prétendument une diminution du nombre de doses administrées (on attend de voir) qui ne sera peut-être qu'un leurre avec recours accru aux vaccins combinés qui n'en incluent pas moins lesdits vaccins!

 

Quant à l'administration des rappels à des âges fixes, sans commentaires....

Cela est tout à fait révélateur de cette politique idéologique et robotisante qui veut couler de gré ou de force tous les individus dans un même moule malgré leurs différences!

 

- La mise en place très dangereuse d'un carnet de vaccination électronique (CVE)

 

Au prétexte d'éviter la survaccination (qui affecte pourtant déjà toute la population depuis des années!), ce système entend aussi "vérifier le statut vaccinal" et lutter contre ce que les officiels considèrent être de "la sous-vaccination"... c'est dire les dangers de ce genre de suivi qui n'est qu'un précurseur de futures obligations généralisées avec cette volonté croissante d'hypercontrôle.

 

Pour mieux faire passer cette amère pilule, un tel outil sera intégré au "dossier médical informatisé" qui contribuera bien entendu à l'accroissement du contrôle des populations et à un grignotage préoccupant et sans précédent de leur droit à la vie privée.

 

Un tel système gagne donc à être dénoncé sans complaisance et au plus tôt. Il s'agit d'un système qui ne sera bien entendu pas propre à la France mais qui a bien sûr vocation à être mondial, sous la houlette de l'OMS, dont le pouvoir et l'influence s'imposent ainsi aux citoyens sans qu'on leur ait jamais demandé leur avis. Ici en Belgique, c'est le système eHealth qui fait aussi grincer des dents chez les professionnels de santé, ceux-ci percevant sans doute aussi les mêmes genres de dérives inadmissibles possibles.

 

- Renforcer l'information des professionnels de santé

 

Cela pourrait paraître noble, mais il faut uniquement entendre par là un renforcement du cadre ou plutôt du carcan idéologique qui emprisonne une majorité de médecins craintifs et effrayés à la simple idée de pouvoir dépasser de ce cadre autoritariste...

 

- Renforcer la communication au public (le bourrage de crâne donc)

 

La conviction qu'il ne s'agit QUE d'un vulgaire bourrage de crâne est acquise lorsqu'on lit le passage exact de la proposition avalisée par le HCSP:

 

« Renforcer le sens collectif et individuel du principe de prévention de la vaccination par une communication adaptée auprès du grand public, par des actions ciblées. La communication à destination du grand public s’exerce à travers un processus à plusieurs  niveaux : des "leaders d’influence" forment les attitudes et les idées d’un petit nombre de chercheurs et d’experts, de médecins praticiens et de journalistes qui jouent le rôle de relais d’influence transmettant à un public plus large les  messages élaborés par les "leaders". Il convient donc d’identifier soigneusement ces prescripteurs d’opinion si l’on veut mettre en œuvre une campagne d’information efficace. »

 

A ce petit jeu, les premiers perdants seront évidemment les citoyens les plus crédules qui ne décèleront pas ce véritable travail de prostitution forcée des médias et de lobbyisme expertal.

 

Pour ceux qui ont un peu suivi nos récentes démarches, ils n'auront pas manqué de voir la cohérence entre la partialité journalistique inacceptable que nous avions dénoncée auprès du Conseil de Déontologie Journalistique (CDJ) et les propres aveux de l'establishment d'asservir la presse et d'encourager ainsi sa docilité, confirmant du même coup le bienfondé des plaintes pour lesquelles nous avons été déboutés. Tout vient donc démontrer que nos critiques, y compris sur le CDJ et un éventuel double discours entre ses missions et ses décisions concrètes, étaient fondées depuis le début...

 

 - Redéfinir les notions de vaccinations obligatoires et recommandées

 

Pour les officiels, il est surtout gênant que des gens puissent considérer des vaccinations recommandées comme non indispensables...

 

En outre, voici un des passages de ce pseudo programme d'amélioration:

 

« En droit, l’obligation vaccinale légitime les personnes à ne vouloir (pour eux-mêmes ou leurs enfants) que les vaccins obligatoires, ce qui s’avère en pratique très difficile puisque tous les vaccins utilisés en routine contiennent des valences additionnelles de vaccins recommandés ».

 

La nouveauté, selon ce qu'explique, le journaliste Jean-Luc Martin Lagardette, et qui confirme tout à fait le caractère factice de ces pseudo- améliorations est que des associations citoyennes, y compris celles critiques sur la vaccination, seront également conviées dans le cadre d'une "conférence citoyenne" mais en aval des décisions institutionnelles qui auront donc déjà été prises. L'art de manipuler l'opinion en donnant l'impression d'entendre les objections des uns et des autres...

 

- Définir les critères d'obligation vaccinale et examiner la possibilité de lever les obligations

 

Là encore, ça peut sembler enthousiasmant mais... qu'est-ce que ça peut cacher aussi pourrait-on se demander? Rien n'empêchant non plus qu'il s'agisse d'une sorte de "stratégie" destinée à faire croire aux gens à la grande nécessité d'une future obligation vaccinale "isolée" à l'occasion d'une future pandémie déjà tant annoncée et si bien préparée?

 

En outre, il faut également craindre une sorte de "regain propagandiste" car il va sans dire que l'establishment qui entend maintenir ses intouchables et sacrosaintes "couvertures vaccinales" continuera envers et contre tout à lutter contre la désaffection croissante pour la vaccination.

 

- La prétendue reconnaissance des questions sur la validité et la sécurité des vaccins

 

Là encore, on attend de voir! Car quand on prend autant de décennies pour enfin reconnaître  que "les recommandations vaccinales ne sont pas toujours fondées sur des niveaux de preuve optimaux", ce qui est un véritable euphémisme, on ne doit guère être dupe des véritables motivations démagogiques destinées à poursuivre la promotion de ces produits et ce alors même que JAMAIS aucune étude n'a encore permis d'évaluer leurs risques à long terme. Les officiels prétendent qu'ils vont financer des études. En quoi consisteront ces études? Le public aura-t-il le droit de constater la véritable différence entre gens n'ayant jamais reçu de vaccin de leur vie et les autres? Va-t-on enfin mener des analyses pharmacocinétiques indépendantes en matière de vaccination ou évaluer le potentiel cancérogène, mutagène et tératogène des vaccins, comme cela se fait pour d'autres médicaments? C'est en tout cas fort peu probable car il y a trop d'enjeux commerciaux et la crainte phénoménale que de tels résultats accablants détournent encore bien davantage et à fort juste titre le public des sacrosaints vaccins. Tant que de telles analyses ne seront pas menées, tout ce discours officiel ne sera que poudre aux yeux!

 

La réalisatrice Lina Moreco (auteur du documentaire "Silence on vaccine") l'expliquait très bien dans une interview en 2009 en disant "On a tellement peur que les gens cessent de se faire vacciner qu'on ne veut rien publier de négatif sur la vaccination. Ce silence est inacceptable." Et de fait, c'est bien la crainte des officiels, ils l'avouent explicitement:

 

« Mais cette transparence ne devra pas nuire à « l’image » de la vaccination : « Beaucoup d’événements survenant après une vaccination sont sans lien avec celle-ci. Il importe donc d’améliorer l’analyse d’imputabilité, afin d’éviter que l’inévitable augmentation des notifications ne se retourne contre l’image de la vaccination. » 

 

La conclusion qu’on peut finalement tirer de tout cela se résume parfaitement par le titre d’un de nos précédents articles à savoir « RACOLAGE & FLICAGE VACCINAL : jusqu’où  iront-ils ? » En outre, le plus élémentaire bon sens nous impose de nous poser la question suivante: POURQUOI, si les vaccinations étaient aussi utiles et sûres, serait-il besoin de la moindre "préparation psychologique" et du moindre lavage de cerveau en règle pour nous inciter à y recourir, comme évoqué dans le document du Haut Conseil de Santé Publique??

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 23:46

A côté des vaccins combinés, qui sont UN des grands moyens de retarder l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale, il y a également l'invention des "piqûres sans aiguilles", une autre ficelle que les vaccinalistes comptent exploiter à bon compte pour tenter d'éluder le très dérangeant débat sur les questions de sécurité auxquelles ils sont incapables de répondre.

 

Voici, ci-dessous, un article éclairant de Futura-Sciences à ce sujet (par Janlou Chaput)

 

Piqûres: bientôt on aura plus besoin d'aiguilles!

 

Les piqûres hypodermiques, c'est-à-dire sans aiguilles, sont déjà commercialisées mais ne sont pas aussi efficaces que les seringues traditionnelles. C'est sans compter sur un nouveau dispositif qui nous vient des États-Unis et qui corrige les défauts de ses prédécesseurs. Une seringue potentiellement capable de s'imposer dans les années à venir.

 

« Aïe, j'ai mal ! » Ce cri du cœur encore fréquent dans les cabinets médicaux quand vient l'heure de la piqûre pourrait disparaître, à en croire des scientifiques américains du MIT, qui annoncent avoir développé une seringue hypodermique capable d'injecter des médicaments dans l'organisme à travers la peau, sans aiguille.

 

Une bonne nouvelle qui doit réjouir tous ceux qui craignent cet acte douloureux, mais ils ne seraient pas les seuls bénéficiaires directs de la nouveauté. Une étude menée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies aux États-Unis a révélé que chaque année, 385.000 accidents sont comptabilisés chez le personnel de santé, à cause des aiguilles. Ce dispositif pourrait également faciliter le quotidien des personnes diabétiques, devant s'injecter chaque jour leur dose d'insuline.

 

Ces dernières décennies, des alternatives aux piqûres traditionnelles ont été proposées. Les patchs, comme pour la nicotine en sont un parfait exemple. Cependant, ils ne concernent que des molécules suffisamment petites pour passer au travers des pores de la peau, ce qui ne constitue pas la majorité des médicaments. Des seringues hypodermiques ont d'ores et déjà été développées et certains modèles sont disponibles dans le commerce. Mais ils connaissent certaines limites, car étant constitués d'un ressort, ils ne permettent l'injection que d'une seule dose de médicament, à une profondeur particulière. De ce fait, le vieux système, qui a fait ses preuves, est toujours majoritairement utilisé.

 

Une seringue sans aiguille qui fonctionne à l'électricité

 

Le dispositif proposé dans la revue Medical Engineering and Physics pallie ces défauts. Il se compose d'un petit aimant puissant entouré d'une bobine, elle-même reliée à un piston. Lorsqu'on applique un courant, on modifie le champ magnétique et grâce à la force de Lorentz, le piston est éjecté à une vitesse proche de celle du son (340 m/s), entraînant avec lui le principe actif, envoyé dans la peau par l'intermédiaire d'un tube minuscule, pas plus épais que le proboscis (la trompe) d'un moustique.

 

En contrôlant l'intensité du courant, on régule la vitesse de propulsion du piston, faisant varier la profondeur de pénétration du médicament dans la peau. Sur du tissu gélifié et des animaux morts, les auteurs ont atteint jusqu'à 16 mm de profondeur. Leur modèle est également capable de distribuer des doses différentes, jusqu'à 250 µL. 

 

L'injection se déroule en deux phases. La première, à haute pression, permet au principe actif de traverser le derme à la profondeur souhaitée. La seconde, à basse pression, laisse le temps au médicament de diffuser dans les tissus environnants. 

 

Des seringues hypodermiques plus efficaces

 

Ainsi, les médecins ont la possibilité d'adapter leur dispositif à leurs patients. Catherine Hogan, l'une des coauteurs de l'étude, précise que la puissance nécessaire pour faire pénétrer un vaccin dans la peau d'un bébé est bien plus faible que chez un adulte et qu'il est donc important de pouvoir maîtriser la pression dans la seringue.

 

Les scientifiques ne comptent pas s'arrêter là et ont une autre innovation en tête. Ils planchent désormais sur la mise au point d'un vaccin en poudre qui, sous l'effet de vibrations électromagnétiques, pourrait se fluidifier et devenir injectable.

 

Une avancée qui constituerait une solution intéressante pour les pays en voie de développement. En effet, les vaccins sous forme liquide nécessitent d'être gardés au frais pour être efficaces. Malheureusement, il arrive que les réfrigérateurs tombent en panne, rendant les traitements inutilisables. La poudre, elle, n'a pas besoin d'être congelée.

 

Source: Futura-Sciences 

 

Comment comprendre et interpréter ce genre de nouvelles ?

 

Si ce genre de nouveautés peut apporter certains avantages indéniables en termes de confort à certaines catégories de gens (ex :diabétiques), l’establishment va avoir cependant tendance à y trouver des bienfaits secondaires sur ce qu’on appelle la compliance, c'est-à-dire l’acceptation et le suivi des recommandations officielles d’administration d’un traitement donné.

 

Avec les vaccins, c’était évidemment LA grande occasion à ne pas laisser filer puisque ceux-ci sont de plus en plus boudés et suscitent de plus en plus la méfiance, à juste titre d’ailleurs, compte tenu de leurs risques largement sous-évalués et totalement incontrôlables. Dévier le débat sur la « peur de la piqûre » constitue donc un moyen très commode d’éluder les « questions qui fâchent » sur la sécurité même du procédé. On contribue du même coup à banaliser le procédé « puisque ça ne fait même pas mal », mais cela risque de contribuer à hélas à faire oublier aux gens que les risques les plus graves (et irréversibles) des vaccins ne sont pas d’avoir mal au moment de l’injection mais bien de court-circuiter les voies d’entrée immunologiquement prévues pour la pénétration des diverses substances étrangères.

 

Les enfants ne pleureront donc peut-être plus au moment des injections mais les vaccins ne seront pas plus sûrs pour autant, puisque les substances étrangères (avec leur cocktail de produits chimiques) continueront d’être administrées selon une voie non prévue (le derme alors que dans la Nature, cela n’est pas notre derme qui est l’interface prévue pour les microbes). En matière de vaccins, il s’agira donc très clairement d’un faux progrès, y compris pour les enfants les plus vulnérables des pays pauvres d’ailleurs car ceux-ci sont littéralement « gavés de vaccins », bien que mourrant surtout de faim et de soif. Notre société ne cesse donc hélas de s’illustrer par l’occultation des vrais problèmes et le développement de fausses solutions ou de pseudo-progrès qui finissent alors souvent après, par créer de nouveaux problèmes, encore pire que précédemment.

 

C’est ainsi qu’une maladie comme le diabète de type 1 (insulino-dépendant), qui reste une maladie grave et qui peut, entre autres causes, être provoquée par la vaccination infantile ou adulte, risque elle aussi d’être banalisée, au seul motif que la contrainte des injections au quotidien s’en trouvera largement amoindrie. En revanche, les conséquences graves possibles de ce genre de déséquilibre métabolique (sur les vaisseaux, les reins, la vue, les nerfs etc), elles, resteront peu changées par le nouveau système d’injection lui-même. Méfions-nous donc des apparences de « grands progrès » qui sont souvent aussi des grandes tentatives de diversion, hélas.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 14:32

On l'avait déjà vu avec la fausse pandémie de H1N1, l'urgence a bon dos pour faire accepter des vaccinations hasardeuses et même expérimentales.

L'urgence a bon dos aussi pour pouvoir prétendre après coup qu' "on ne savait pas quelle serait la dangerosité du virus, qu' il fallait agir et décider toute de suite et qu'on ne pouvait donc pas laisser la population démunie, sans aucun vaccin".

 

Le paradigme faux et étroit qui consiste à la façon d'un conditionnement pavlovien, à limiter les réponses aux épidémies au seul développement de nouveaux vaccins, mène tout droit à une impasse de santé publique, où les problèmes ne sont jamais résolus, mais tout au plus reportés et encore, au prix d'un nombre inéluctable de victimes de graves effets secondaires.

 

Mais il est toutefois très important de comprendre les rouages d'un système aussi idéologiquement verrouillé et c'est pourquoi, nous allons donner un nouvel exemple de cette "stratégie des prétextes", qui fonctionne visiblement si bien en matière de survaccination.

 

L'exemple, tout à fait actuel, nous est donné par la justification officielle d'une vaccination systématique contre l'hépatite B, seulement quelques heures après la naissance, de tous les nourrissons américains et ce, même lorsque les mères ne sont pas infectées ou lorsqu'elles n'ont pas été préalablement dépistées!

 

Une page officielle du Centre de Contrôle des Maladies (CDC), instance sanitaire américaine officielle, répond ainsi de la façon suivante à cette question:

 

Pourquoi un nourrisson devrait-il recevoir le vaccin contre l'hépatite B à la naissance, avant de quitter l'hôpital, même si la mère est négative à l'antigène de l'hépatite B (HbsAg)?

 

Les nourrissons nés de mères infectées par l'hépatite B exigent l'administration du vaccin anti-hépatite B et d'immunoglobulines anti-hépatite B (HBIG) endéans les 12 heures qui suivent la naissance pour les protéger d'une contamination. Cependant, en raison d'erreurs et de retard qui peuvent survenir dans l'interrogatoire, l'analyse et les résultats du statut maternel des antigènes de l'hépatite B, administrer la première dose du vaccin anti-hépatite B peu après la naissance à tous les nourrissons, s'avère être une mesure sûre, réduisant le risque d'infection périnatale lorsque le statut maternel des antigènes HBs est soit inconnu soit incorrectement documenté au moment de son administration. Il a aussi été montré que débuter le schéma vaccinal contre l'hépatite B à la naissance accroît la probabilité que l'enfant reçoive le schéma vaccinal complet.

 

On invoque donc là aussi une fausse urgence pour tenter de légitimer une vaccination aveugle d'enfants très majoritairement non exposés à ce genre de maladie qui ne se transmet que par voie sanguine ou sexuelle (n'exposant ainsi significativement que les personnes qui ont des rapports sexuels homosexuels ou hétérosexuels ou qui recourent à des drogues injectables voire des transfusions sanguines). C'est du reste bien une fausse urgence puisqu'il est parfaitement possible d'obtenir un résultat sanguin rapide et fiable et que la proportion d'enfants infectés est extrêmement faible.

 

Dans le même temps, on affirme que cette façon de procéder, en vaccinant dès la naissance, est "sûre" mais sur quelle base scientifique dès lors que le système immunitaire d'un enfant n'est pas mature avant 6 ou 7 ans d'âge, que ces vaccins contiennent des substances notoirement toxiques comme l'aluminium ou le formaldéhyde et que l'évaluation de la sécurité des vaccins est biaisée en amont, avec le recours constant à de faux groupes placebos?

   

Ian-vaccin.JPG

La tragédie du petit Ian Gromorski, décédé dans d'atroces souffrances suite à l'administration à sa naissance du vaccin contre l'hépatite B alors qu'il était pourtant né en parfaite santé, suffit déjà à démontrer qu'une telle vaccination, avec un vaccin transgénique qui plus est, ne peut jamais être honnêtement décrite de façon aussi anodine. Les risques de cette vaccination sont donc grandement minimisés, comme le montre d'ailleurs aussi le sort qui a été réservé au Pr Tardieu qui avait mis en évidence un risque accru de sclérose en plaques pendant 3 ans chez les enfants vaccinés avec l'Engerix B (aussi disponible aux USA) mais qui, sujet tabou oblige, fut "interdit de conférence de presse" selon le récit du journal Libération du 14 octobre 2008.

 

Hélas, tandis qu'on minimise les risques, on gonfle aussi la prétendue utilité du vaccin ainsi que la gravité statistique de la maladie et ce, depuis que l'OMS a décrété ultra nécessaire la vaccination universelle de tous les enfants en 1991.

 

C'est ainsi qu'une maladie qui était loin d'être la première préoccupation des médecins en charge d'une clientèle pédiatrique, s'est immiscée dans les cabinets. A force de lobbying. Et quel lobbying! Même les représentants des fabricants de vaccins l'avouaient publiquement alors à l'époque: "En lien avec l'OMS, nous ouvrons des marchés!"

 

Une preuve éclatante que la demande de vaccination a été créée de toute pièce par les fabricants, en lien avec l'OMS qu'ils ont ainsi parfaitement su instrumentaliser, réside notamment dans les résultats implacables d'une enquête menée auprès d'un échantillon représentatif de médecins pédiatres et généralistes américains, destinée à évaluer leur perception de l'utilité d'une vaccination contre l'hépatite B chez les nouveaux-nés...

 

Hepatite-B-et-medecins--Sondage-.jpg

 

Affirmer en outre que la vaccination aussi précoce est un meilleur gage de compliance et d'adhésion des parents au schéma vaccinal complet est par ailleurs aussi cynique puisque cela implique en revanche des doses supplémentaires dues à l'immaturité du système immunitaire de si jeunes enfants. En effet, il faut savoir que chez le jeune enfant, une vaccination anti-hépatite B implique un minimum de 3 doses (en vaccins monovalents) alors qu'elle ne comporte à présent plus que deux doses chez l'adolescent ou l'adulte.  En plus, comme avoué par l'ONE, les vaccinations combinées (comme le vaccin hexavalent) exposent également à des rappels inutiles c'est à dire 4 doses de la valence hépatite B au lieu de 3.  

 

Lorsqu'on sait que les enfants ne deviennent vraiment à risque de contracter la maladie qu'à partir de l'adolescence et des premières relations sexuelles (non protégées) mais que 50% des nourrissons vaccinés ne seraient plus protégés par la vaccination 15 ans plus tard, on ne peut que déplorer l'irrationalité scientifique totale d'une telle recommandation vaccinale chez les nourrissons. Que ça soit à la naissance ou dès deux mois, la vaccination à la naissance favorisant en fait davantage l'acceptation des parents parce qu'on profite de leur faiblesse due à l'émotion et à la fatigue propres à un tel événement mais aussi parce qu'une mesure proposée dans une certaine précipitation laisse toujours moins de place à la réflexion.

 

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 23:00

Nous disons déjà depuis longtemps que la bulle vaccinale explosera, tôt ou tard. C'est une certitude. Mais voici qu'un passage paru dans la revue médicale "Le Généraliste" du 13 avril dernier vient encore très fortement corroborer le bienfondé et la pertinence d'une telle conviction. Une revue qui titrait d'ailleurs de façon assez révélatrice "Politique vaccinale: faut-il tout changer?"

 

Extrait en question:

 

Jusqu'où aller dans les co-administrations et vaccins combinés?

     

Certains parents estiment qu'administrer à un enfant quatre à six vaccins, combinés dans une même seringue, est énorme. "Toutefois, cette stimulation immunitaire ne représente pas grand chose pour les enfants de 0 à 2 ans, qui sont tous les jours exposés à de nouveaux antigènes (bactéries, virus, allergènes), et dont le système immunitaire ne cesse d'être stimulé.", explique Pierre Bégué. Aujourd'hui, parmi les vaccins combinés disponibles en France, on peut injecter un maximum de 6 valences dans une même seringue (Infanrix Hexa). "Un laboratoire travaille à un vaccin à 7 valences, en ajoutant à cette formulation le méningocoque C", avance Daniel Floret. Mais on ne devrait guère aller plus loin. En ce qui concerne les co-administrations, on a l'habitude de considérer en France que deux injections lors de la même séance est un maximum. "Une limite psychologique et non immunologique" avance Daniel Floret. En revanche, aux Etats-Unis, où bon nombre de vaccins combinés n'ont pas été autorisés, les enfants peuvent avoir cinq injections lors d'une même consultation!

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:

 

- Il n'y a pas que des parents qui estiment que cela est énorme mais aussi des médecins. Ainsi, dans l'article du Vif du 14 novembre 2008, un pédiatre s'exprimait anonymement pour dire qu'"administrer 6 vaccins en un dès l'âge de 2 mois, c'est une folie!" (p 5)

 

Par ailleurs, dans un document de l'INPES, il est aussi très clairement évoqué: "Si l’adhésion de la population à la vaccination reste globalement bonne, plusieurs témoins indiquent que s’installe depuis une dizaine d’années, à bas bruit, un questionnement autour de la politique vaccinale, peut-être plus du côté des médecins que de la population. Pour certains auteurs, une diminution de la confiance dans la vaccination contre l’hépatite B parmi les médecins et la population aurait pu fragiliser les certitudes vis-à-vis de la vaccination en général et de certains vaccins en particulier. Pour ces auteurs, le malaise tiendrait également des différentes crises de sécurité sanitaire, des changements fréquents dans le calendrier vaccinal ainsi que du nombre important de vaccins à administrer aux nourrissons." (cfr p. 12)

 

- L'affirmation du Pr Bégué est par ailleurs tout à fait fallacieuse en ce sens qu'il oublie volontairement de rappeler (?) que le corps humain ne contracte jamais autant de maladies à la fois mais aussi, que les nombreux antigènes auxquels l'enfant est quotidiennement confronté (bactéries, virus, allergènes) ne pénètrent pas du tout le corps de la même façon anti-physiologique que la vaccination mais en suivant au contraire les voies d'entrée immunologiquement prévues pour ce faire à savoir la peau et les muqueuses respiratoires, digestives etc. Ce qui bien sûr, change tout quant aux effets secondaires possibles dus à une telle différence. Mais il faut dire que Pierre Bégué est ce même médecin, membre de l'Académie de Médecine, qui disait déjà il y a quelques années, qu'il était irresponsable d'inquiéter les gens sans preuves au sujet des risques de l'aluminium, un adjuvant qu'il considérait alors comme très sûr!

 

- L'aveu du Pr Floret (président du Comité technique des Vaccinations) sur l'élaboration en cours d'un vaccin encore plus combiné -heptavalent en lieu et place de l'actuel hexavalent- confirme par ailleurs totalement nos précédents propos, lorsque nous expliquions la nécessité commerciale impérative que représentent les vaccins combinés dans un contexte où il va falloir "trouver de la place" aux nombreux vaccins prêts à sortir du pipeline pharmaceutique, au sein d'un calendrier vaccinal déjà hyper chargé. L'adjonction du très superflu vaccin contre le méningocoque à l'actuel cocktail hexavalent a donc pour unique but de "libérer un créneau" pour préparer l'introduction d'une Xième nouvelle vaccination qu'on présentera bien sûr d'emblée comme "un progrès scientifique" de plus.

 

Bien sûr, la tentation serait grande de développer progressivement des vaccins à 20, 30 ou 50 valences mais cela finirait par faire réfléchir trop de gens et les officiels comme les fabricants le savent pertinemment. Ils savent que cela reviendrait in fine à "lâcher la proie pour l'ombre" et qu'à ce petit jeu, même les plus naïfs de nos compatriotes finiraient par s'interroger sur l'inflation vaccinale démentielle et son lien avec la détérioration indéniable de l'état de santé de nos enfants. La seule optique qui sera alors commercialement envisageable ne sera autre que celle consistant, ça et là, à supprimer progressivement des valences de ces actuels cocktails hexavalents pour y glisser à la place de nouvelles, alors prétendument plus en phase avec la situation épidémiologique du moment.

 

En fait, on se rend compte que les vaccins combinés ont jusqu'ici retardé l'éclatement de la bulle vaccinale, ils ont permis de gagner du temps et d'éviter qu'un pourcentage trop critique de gens ne décrètent un "holà" plus tôt à pareilles recommandations sanitaires irrationnelles.

 

- On remarquera que la phrase du Pr Floret, selon qui deux injections par consultation constituent une "limite psychologique et non immunologique", est purement gratuite et ne repose sur AUCUNE évaluation scientifique rigoureuse, dès lors que, comme expliqué ci-dessus, les antigènes avec lesquels les enfants sont quotidiennement en contact ne pénètrent pas l'organisme par les mêmes voies immunologiques et dès lors aussi qu'aucun essai clinique officiel de vaccin ne compare jamais les enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin (c'est bien le problème des faux groupes placebos déjà expliqué sur ce site). Les rares évaluations indépendantes démontrent toutes de façon convergente que d'une part, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé et ont une meilleure immunité que les enfants vaccinés et d'autre part, que les vaccins combinés sont reliés à plus d'effets secondaires inquiétants que les monovaccins (plus grand phénomène inflammatoire, plus d'hémorragies cérébrales chez les prématurés vaccinés avec des vaccins combinés par rapport aux monovaccins, etc)

 

- La question de la non autorisation de beaucoup de vaccins combinés aux Etats-Unis, devrait également être de nature à nous interpeller ici en Europe où ces vaccins sont présentés comme "une chance" ou "un moyen d'un meilleur confort de l'enfant". Il faut dire que le retrait du vaccin hexavalent Hexavac pour un faux motif par l'Agence européenne du médicament, alors qu'il était lié (tout comme l'Infanrix Hexa, encore sur le marché) à des cas mortels d'oedèmes cérébraux du nourrisson, n'a pas de quoi rassurer.

 

Mais lorsque ce genre d'aveux, pourtant diffusés dans une revue professionnelle de médecins n'interpellent plus sur le maintien d'autorisations de ces vaccins combinés dans nos pays, pas plus d'ailleurs que l'aberration d'aller administrer 5 injections différentes par consultation à un tout jeune nourrisson dont le corps est pourtant fait pour fonctionner de lui-même, on se rend compte que nous sommes en réalité tombés bien bas avec des médecins qui ne méritent tout simplement plus notre confiance aveugle.

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 13:24

Alors que les échecs des vaccins existants sont très largement passés sous silence, on assiste assez paradoxalement à une véritable fuite en avant par rapport à une foule de nouveaux vaccins, déjà annoncés en fanrares et trompettes.

 

Ainsi, alors que des épidémies d'oreillons ou de coqueluche éclatent chez des sujets qui avaient reçu toutes les doses de vaccins recommandées, on prétexte qu'il faudra toujours plus de rappels ou le développement de vaccins "toujours plus efficaces" (là où les anciens étaient déjà présentés comme parfaits, notez-bien).

 

Pendant ce temps-là, on assiste à une véritable fuite en avant avec des tas de nouveaux vaccins, d'ores et déjà annoncés de façon élogieuse par une presse complaisante et docile à souhait.

 

C'est ainsi qu'on a eu droit à diverses annonces concernant plusieurs vaccins à venir:

 

- celui contre l'acné (diabolisée bien sûr pour l'occasion, ça va sans dire!)

- un futur vaccin contre la tuberculose qu'on jure plus efficace que l'ancien

- le si convoité "vaccin universel contre la grippe", véritable coqueluche des médias

- un futur vaccin contre la méningite B, après ceux déjà existants contre le type C

 

Il est très important de noter à ce propos à quel point la presse ne fait plus son travail  et donc aussi à quel point elle porte une énorme responsabilité dans la chaîne de complicités qui mèneront inuléctablement à de nouvelles victimes de ces nouveaux vaccins prétendument tellement meilleurs que ce qui existait déjà.

 

Car enfin, si on prend le cas de la tuberculose par exemple, on peut tout de même trouver très curieux qu'on utilise encore largement l'ancien vaccin (inefficace) BCG dans le Tiers-Monde ou que son obligation n'ait été levée que si tardivement (en 2007 en France) alors que dès la fin des années 70, l'OMS, qui avait menée de larges essais en Inde, était au courant de son inefficacité et même pire de son efficacité négative, comme rapporté dans son rapport technique N°651 de 1980!

 

Il fallait toutefois éviter à tout prix de dire la vérité aux gens car il est certain que le public préfère savoir qu'il a reçu un vaccin inutile ou inefficace qu'un vaccin dangereux, raison pour laquelle les questions d'utilité ou d'efficacité des vaccins sont nettement moins taboues que celles liés à leur sécurité.

 

La question du fameux "vaccin universel" contre la grippe, qui fait visiblement "saliver" tant d'équipes de recherche dans le monde, mérite elle aussi qu'on s'y arrête. Pourquoi: d'abord parce que, comme pour la mort de Ben Laden, on nous l'a déjà tant annoncé. Ensuite, parce que ça mettrait à mal les marchands du Tamiflu, apparemment si utile au point qu'il fallait absolument en faire des stocks pantagruéliques, ce qui a amené à devoir les détruire en raison de leur date de péremption.

 

Mais surtout aussi parce que sous couvert d'une "découverte majeure", on nous ressort en fait le même baratin qui était déjà utilisé en Belgique pour écouler les vaccins pandémiques adjuvantés (par rapport à ceux non adjuvantés). Souvenez-vous: Au moment de notre courrier à la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx, à l'automne 2009, nous nous interrogions notamment sur les critères ayant présidé au choix du vaccin (adjuvanté au squalène, dont le contrat révélera plus tard que l'Etat s'en interdisait l'analyse!). Dans sa réponse 10 jours plus tard, la Ministre répétait les réponses toutes faites et prévues d'avance par ses "experts", selon lesquels le vaccin adjuvanté permettrait de moins gaspiller en pouvant par la suite encore réutiliser l'adjuvant avec d'autres antigènes mais également, nous disait-elle, parce que l'adjuvant permettait de lutter contre un plus grand spectre de variantes grippales, "au cas où le virus se diversifie" (c'était alors LE grand mantra, répété quasiment à tous les JT). En mai 2010, la publication du contrat secret révéla sa teneur, formidablement favorable au fabricant GSK, dont le siège mondial de fabrication de vaccins se trouve sur le sol belge. En janvier 2012, le journaliste David Leloup, par lequel le contrat avait été dévoilé, présentait dans le cadre du colloque initié par Ecolo sur l'indépendance de l'Expertise, une communication intitulée "Grippe AH1N1 Candide au pays des Conflits d'intérêts", dans laquelle il rappelait notamment à quel point ce contrat avait étrangement été fait "sur mesure" pour la seule firme GSK. 

 

Entre-temps, de l'eau ayant encore coulé sous les ponts, de nombreux articles sont venus révéler l'inefficacité et l'inutilité totale de la vaccination contre la grippe saisonnière: plusieurs hopitaux comme le CHU du Sart Tilman ne l'organisent même plus pour leur personnel et le Centre Belge d'Information Pharmacothérapeutique (CBIP) a même reconnu l'absence de toute preuve scientifique valable d'efficacité chez les sujets âgés ou même ceux à risque. Qu'à cela ne tienne, le dogme doit persister et il serait commercialement inacceptable d'avouer aux dociles patients qu'on va enfin mettre un terme au cercle vicieux vaccinal dans lequel on les a plongés. Ce serait irrattrapable et on perdrait définitivement leur confiance.

 

Mais voilà qu'aujourd'hui, on voudrait nous refaire croire à cette pseudo utilité, tout en dramatisant bien sûr la grippe car il s'agit aussi de créer de toute pièce un faux besoin, condition absolument sine qua non pour préparer comme il se doit l'opinion publique à ce nouveau venu. On agite alors la fausse "carotte", la "piqûre unique" qui nous garantira tant d'hivers paradisiaques. Sauf qu'en passant, on a juste "refait du neuf avec du vieux" et le public n'y aura sans doute vu que du feu ou presque. Voyez donc cet extrait de France Soir du 8 mai dernier:

 

« C'est une découverte majeure qu'aurait faite une équipe de chercheurs de l'Université de la Colombie-Britannique, au Canada. En effet, le groupe de recherche, dirigé par le professeur John Schrader, « a découvert que le vaccin de 2009 contre le virus H1N1, induit des anticorps qui protègent contre de nombreuses variantes de virus grippaux, y compris contre la souche du virus mortel de la grippe aviaire » (H5N1), précise un communiqué de l'université. […] Le professeur Schrader explique que le virus de la grippe contient une protéine, l'hémagglutinine, dotée d'une queue et d'une tête, qui s'accroche aux cellules humaines par l'intermédiaire de la tête. Comme le dévoile l'AFP, John Schrader indique que « le vaccin de 2009 contre la pandémie H1N1 provoquait la création d'anticorps protecteurs plus largement capables de combattre les différentes variantes du virus de la grippe », en s'attaquant à la queue de la protéine plutôt qu'à sa « tête mutante ».

 

Et cette même presse très partiale oublie bien sûr, pour l'occasion, de rappeler au public le rôle très accessoire des anticorps pour lutter contre nombre d'infections virales, comme ce fut encore tout récemment démontré.

 

Mais venons-en cette fois à la Méningite B, au sujet de laquelle il y aurait aussi beaucoup à dire. Là encore, la presse est d'emblée trop enthousiaste.

 

Voyons par exemple les affirmations lues dans France Soir, basées d'une part sur la minimisation des risques du vaccin et d'autre part sur la peur de la maladie:

 

« Comme l'annonce l'AFP, le vaccin a été « généralement bien toléré » et son effet secondaire le plus courant était une douleur modérée même si dans un cas il a conduit à une réaction « sévère » avec maux de tête, vomissements et hospitalisation de 24 heures. « Nos données suggèrent que ce vaccin est un candidat sérieux, offrant une large protection contre les méningocoques de groupe B » assure Peter Richmond, chercheur de l'Université de Western Australia, qui est l'auteur principal de l'article portant sur ces tests. Les essais visaient à tester la sécurité du vaccin et sa capacité à produire une réponse immunitaire. […] La peur que suscitent les infections à méningocoques est justifiée par leur taux élevé de mortalité, situé entre 8 et 10%, et par leur potentiel épidémique. »

 

"Généralement bien toléré" disent-ils... sauf qu'ils ne disent rien sur la façon exacte dont cette tolérance a été évaluée. Or il s'avère que pour TOUT essai clinique de vaccin, il n'est JAMAIS question d'un véritable placebo et que par conséquent, le groupe vacciné est constamment comparé avec un groupe ayant reçu soit un autre vaccin, soit une substance intrinsèquement toxique (aluminium ou autre), ce qui biaise bien sûr toute la comparaison en gonflant artificiellement le nombre d'effets secondaires obtenus dans le faux groupe placebo. De là, il sera alors très très facile d'affirmer et de conclure que "le vaccin a un profil de tolérance acceptable par rapport au groupe placebo." Et voilà comment ça marche...

 

Ironie du sort, l'introduction de la vaccination contre le méningocoque de type C n'a fait qu'augmenter, par une sorte d' "effet compensateur" de l'écosystème microbien, la proportion de méningites du groupe B contre lesquelles il n'existe pas encore de vaccin. De même, la vaccination contre une autre bactérie susceptible de donner lieu à de rares cas de méningites, celle contre l'haemophilius influenzae de type b qui a été introduite dès 1993, a eu elle aussi, pour effet pervers, d'augmenter encore le nombre de cas de méningites à méningocoques.

 

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source: Preventie Vaccinatieschade 

 

 

La fuite en avant des vaccins est donc terriblement désespérante parce qu'elle ne fait au mieux que déplacer et reporter les problèmes épidémiologiques sans jamais vraiment les résoudre. Mais parce que cette fuite en avant est particulièrement lucrative pour les labos qui ont près de 300 nouveaux vaccins dans leur pipeline, il est hélas à craindre pour la santé publique que celle-ci ait encore de très beaux jours devant elle... jusqu'à l'explosion inéluctable de la bulle bien sûr.

 

UN ARTICLE EGALEMENT PUBLIE SUR AGORAVOX: VOIR ICI

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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 21:11

livre-vaccines-illusion.JPG

Suite au nombre croissant des préoccupations quant à la sécurité des vaccins, notre société a fini par se polariser entre, d’un côté les vaccinalistes convaincus, et de l’autre les opposants aux vaccins. Dans le débat sur la sécurité des vaccins nous avons malheureusement perdu de vue un problème plus important encore, à savoir que le fait d’utiliser les vaccins élimine nos chances de pouvoir mettre au point une  prévention naturelle de la maladie.

 

Ecrit par une immunologiste, « VACCINE ILLUSION » nous explique pourquoi les vaccins ne peuvent nous donner une immunité durable par rapport aux différentes maladies et pourquoi ces vaccins mettent en danger notre immunité naturelle, ainsi que notre santé.

 

Introduction au nouveau livre de Tetyana Obukhanych (PhD en immunologie de l’Université de New York. 22.03.2012)

 

Je connais plusieurs médecins et même quelques pédiatres qui n’ont plus recours aux vaccinations. Cependant je n’ai pas encore eu la chance de rencontrer un thérapeute de mon genre, à savoir un scientifique faisant partie de la recherche biomédicale officielle qui ne considère pas les vaccins comme la plus importante invention de la médecine.

 

Je n’aurais jamais imaginé me retrouver un jour dans la position que j’occupe aujourd’hui et surtout pas dans les débuts de ma recherche et de formation en immunologie. A cette époque le principe de la vaccination m’enthousiasmait, comme c’est d’ailleurs le cas pour tous les immunologistes. Cependant, après des années de recherche en immunologie, après avoir observé les activités scientifiques de mes supérieurs, analysé les différents problèmes liés à la vaccination, j’ai réalisé que la vaccination était l’une des inventions scientifiques parmi les plus trompeuses que la science ait jamais voulu convaincre le monde d’accepter.

 

Comme nous entendons de plus en plus parler des dommages causés par les vaccinations, beaucoup de personnes en sont arrivées à voir la vaccination comme un mal nécessaire qui, dans ses débuts, a aidé l’humanité à vaincre les épidémies, mais qui aujourd’hui apporte malheureusement plus de dommages qu’elle n’offre de bénéfices pour nos enfants.

 

En tant qu’immunologiste, je me situe dans une perspective différente et peut-être même unique. J’ai réalisé que l’invention de la vaccination au 18 ème siècle nous avait empêché de tenter de comprendre ce que représente vraiment l’immunité naturelle aux maladies.

 

Si nous avions pris une autre route et négligé ce raccourci, nous aurions pu profiter d’une connaissance approfondie de l’immunité naturelle. Nous aurions pu aussi développer une méthode vraiment efficace et sans danger pour nous prémunir des maladies, comparativement à tout ce que peuvent offrir les vaccinations.

 

Le terme immunité renvoie à un phénomène qui a été observé depuis toujours : l’insensibilité à quantité de maladies infectieuses grâce à une expérience antérieure.

 

Du fait qu’il existe une similarité phonétique entre les termes « immunologie » et « immunité », il est tentant de supposer que l’immunologie est une science qui étudie l’état d’immunité, ce qui n’est malheureusement pas le cas. L’immunologie est une science qui étudie un processus artificiel d’immunisation – à savoir la réponse d’un système immunitaire à l’injection d’une substance étrangère au corps. L’immunologie ne tente pas d’étudier, et dès lors ne peut fournir une compréhension des maladies naturelles, de même que de l’immunité qui s’ensuit.

 

Néanmoins la « connaissance » concernant la fonction du système immunitaire au cours du processus de la maladie est imprudemment déduite d’expériences immunologiques artificielles qui consistent à injecter des microorganismes (vivants ou morts) ou des éléments de ceux-ci dans des animaux de laboratoire afin de pouvoir représenter, interpréter l’état d’infection. Etant donné que les expériences en immunologie constituent des simulations irréalistes des processus naturels, la compréhension de la nature que possèdent les immunologistes reste limitée à la compréhension de leurs propres modèles. Les immunologistes ont limité la portée de leurs connaissances à leur boîte de modélisation expérimentale et ils n’ont aucune envie d’aller voir au-delà de cette boîte. Le fait de penser dans les limites de la boîte ne peut que renforcer la notion de vaccination et ne peut permettre de trouver d’autres solutions au problème des maladies.

 

Du fait que la base biologique de l’immunité naturellement acquise n’est toujours pas comprise, les pratiques médicales actuelles ne peuvent que mettre l’accent sur la manipulation artificielle de la réponse immunitaire pour assurer « l’immunité » sans tenir compte du véritable processus de la maladie. Le processus induit par les vaccins, bien que ne ressemblant pas à une maladie naturelle, reste néanmoins un processus de maladie comportant ses propres risques. Ce n’est pas l’immunité que la vaccination nous apporte mais un piteux substitut d’immunité. C’est pour cette raison que, dans son essence, la vaccination n’est ni sûre, ni efficace par rapport à la prévention des maladies. Mais les immunologistes n’ont rien de mieux à nous offrir parce qu’ils ne peuvent « manœuvrer » que dans les limites profondément engrammées que les dogmes de leur science immunologique leur imposent.

 

Trois facteurs importants ont contribué à ma désillusion concernant les paradigmes immunologiques et leurs applications – les vaccins.

 

En premier lieu plusieurs incohérences significatives au cœur même de la théorie immunologique dans ses tentatives d’expliquer l’immunité. En second lieu, j’ai pu observer comment des immunologistes chevronnés se permettaient d’omettre de mentionner le résultat d’expériences cruciales pour faire passer leurs publications sur les stratégies de  développement de nouveaux vaccins comme très prometteuses. Tout cela m’a rendue méfiante par rapport au processus de développement des vaccins en général et pressée de m’informer sur l’autre face du débat concernant la vaccination.

 

Le troisième facteur fut la naissance de mon enfant. Cet événement m’a obligée à arrêter ma recherche de laboratoire pendant quelques années. J’ai complètement mis de côté mon identité de chercheur pour me consacrer à mon rôle de mère, décidée à élever mon enfant, comme à lui assurer la meilleure santé possible. J’ai vite réalisé à quel point j’étais désemparée à propos de ce qui importait vraiment pour la santé en dépit de mes compétences par rapport à toutes ces théories immunologiques fantaisistes glanées au cours de ma formation dans cette Tour d’Ivoire. Pour l’amour de mon enfant je me suis sentie obligée de revoir tout ce que je connaissais en matière d’immunologie.

 

Enfant-Vaccine-illusion.jpg

 

J’ai creusé de plus en plus profondément pour trouver la racine des problèmes que nous rencontrons aujourd’hui avec les vaccins et finalement tout m’est apparu nettement plus clair.

  

Le livre que j’ai écrit est destiné à fournir aux parents les fondements essentiels de l’immunologie pour leur permettre de prendre leurs propres décisions en matière de vaccinations. Le fait de prendre des décisions en matière de vaccination constitue une responsabilité personnelle importante. Cette responsabilité ne devrait jamais être laissée aux mains des autorités médicales ou scientifiques. Les parents devraient s’informer, se documenter de la manière la plus complète sur les vaccins et les maladies afin de pouvoir se sentir absolument confiants et bien préparés à prendre totalement leurs responsabilités en ce qui concerne les conséquences de leurs décisions.

 

Il est important de pouvoir estimer les risques des effets secondaires des vaccins par rapport aux risques d’exposition aux microorganismes visés par les vaccinations. Mais la recherche des parents ne devrait pas s’arrêter là. J’exhorte chaque parent à prendre en compte la manière dont les vaccins agissent ; je les exhorte à réaliser si les bénéfices souhaités correspondent véritablement à ce qu’ils attendent pour leurs enfants et pour la société. Ni en tant que parent, ni en tant que scientifique, les implications des vaccinations ne m’ont paru acceptables. Le livre que j’ai écrit représente la somme des efforts que j’ai déployés pour en expliquer le pourquoi aux parents.

 

Un autre objectif que j’ai poursuivi en écrivant ce livre est d’augmenter le niveau de conscience dans notre société par rapport à l’urgente nécessité de changements fondamentaux dans la recherche immunologique qui permettra finalement une véritable compréhension de l’immunité naturelle. Il appartient aux générations futures d’immunologistes de sauver cette science, comme de la remettre sur la bonne voie. Les bénéfices que pourra en retirer l’humanité sont énormes et la peur des complications vaccinales, comme le peur des maladies ne seront finalement plus qu’une chose du passé. Pour rendre tout cela possible, le champ de l’immunologie doit être débarrassé des mauvaises herbes que représentent les dogmes immunologiques.

 

Je m'efforce finalement d'apporter, avec ce livre, une solution à ce schisme qui existe aujourd’hui entre ceux qui s’opposent aux vaccins à la suite des inquiétudes concernant leurs effets secondaires et ceux qui s’opposent au mouvement anti-vaccinaliste dû à la peur des maladies. Ce schisme nous a apporté d’énormes souffrances en divisant les familles, les amis et les thérapeutes.

 

Nous avons cependant toujours le même but : c’est toujours le meilleur que nous voulons pour nos enfants. Ce n’est qu’en unissant nos efforts que nous pourrons trouver une solution au problème des maladies sans mettre en danger la santé de nos enfants par les vaccins

 

Sources: Gary Null & the refusers.com

 

Essentiellement, la vaccination n'est ni une méthode sûre ni une méthode efficace de prévention des maladies. Dr Tetyana Obukhanych, immunologiste

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 14:36

Nous avions déjà parlé du chiffre, cité par les pharmas dans une de leur revues en 2007, de 450 nouveaux vaccins dans leur pipeline. Il semble donc suivant les derniers chiffres, que ce nombre soit à revoir à la baisse bien qu'il soit encore considérablement élevé.

 

En effet, dans Pharma Times du 24 avril 2012, il était question de près de 300 nouveaux vaccins "pour la prévention et le traitement de nouvelles maladies".

 

- 170 nouveaux vaccins en rapport avec les maladies infectieuses

- 102 nouveaux vaccins en rapport avec les cancers

- 8 nouveaux vaccins en rapport avec les maladies neurologiques

 

On voit donc que pour les maladies infectieuses, nous ne sommes pas non plus au bout de nos peines et que la propagande vaccinale s'adaptera inévitablement à ces nouveaux vaccins venus, de même sans doute aussi que les diktats de l'ONE qui évoluent aussi, de l'aveu même de sa direction médicale, "en fonction des progrès de la médecine".

 

On remarque par ailleurs, qu'alors que le nombre de vaccins ne cesse d'augmenter, que ceux-ci contiennent pourtant des substances notoirement cancérigènes et que leur potentiel cancérogène propre n'a jamais été évalué, les pharmas ont déjà plus d'une centaine de vaccins magiques contre le cancer dans leurs tiroirs! Ceci renvoie donc inévitablement à cette notion de cercle vicieux dont nous avons déjà abondamment parlé et qui consiste à créer ou favoriser des maladies (avec les vaccins) de façon à proposer encore et toujours des vaccins comme (fausses) solutions, bien évidemment très lucratives...

Il en va aussi de même pour des affections neurologiques fortement favorisées par les vaccins comme la maladie d'Alzheimer ou d'autres. Des affections qui, si elles n'ont pas pour cause unique la vaccination incessante au cours de la vie, ne cessent par ailleurs d'exploser dans les pays qui vaccinent de plus en plus sans là encore que la moindre étude officielle ne vienne prendre ce paramètre en compte. Cherchez l'erreur...

 

Pendant ce temps, les experts officiels reprennent en choeur les affirmations surréalistes d'un pédiatre comme Paul Offit (dont les innombrables conflits d'intérêts devraient cependant faire réfléchir sur la crédibilité qu'on peut réellement accorder à pareil personnage) qui avait osé affirmer, sans rire, que les vaccinations infantiles actuelles n'accaparaient qu'une infime partie des capacités normales du système immunitaire d'un enfant et qu'il pourrait donc théoriquement supporter jusqu'à 10 000 vaccins à la fois!

 

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Ce genre de propos d'une bêtise abyssale sont repris par "nos grands infectiologues" nationaux sans le moindre esprit critique, ceux-ci semblant ne même jamais avoir appris à l'université (bien qu'il s'agisse en fait davantage d'une question de simple bon sens que d'apprentissages académiques) que les nombreux antigènes quotidiens auxquels le système immunitaire des enfants est confronté ne pénètrent jamais en temps normal par injection (mais toujours par la peau et les muqueuses respiratoires, digestives etc). Or il s'agit pourtant là d'une énorme différence avec des implications immunologiques par conséquent, très différentes!

 

En fait, de nombreuses lettres et coups de fil de parents inquiets parviennent régulièrement au site « ThinkTwice » (« Réfléchissez à deux fois ») à propos des vaccins multiples (plusieurs vaccins administrés en  une seule fois) – qui seraient responsables d’un pourcentage élevé d’effets secondaires. En fait, précise le site : "aucune étude scientifique valable – AUCUNE – ne peut confirmer le fait qu’administrer simultanément plusieurs vaccins à la fois soit une pratique sûre."

 

Les auteurs précisent : "C’est par facilité et opportunité que plusieurs vaccins sont administrés à la fois parce que les décideurs réalisent que le nombre de visites chez un médecin vaccinateur pourrait représenter un obstacle à l’administration des différents vaccins recommandés." Le site publie les compte rendus de plusieurs réactions graves aux vaccins multiples et ajoute :

 

« Nous sommes stupéfaits quand nous apprenons que des parents abandonnent à d’autres toute responsabilité en ce qui concerne la santé de leurs propres enfants. Les médecins savent mieux, la famille, les amis savent mieux, les experts savent mieux- tous savent mieux à l’exception des véritables gardiens et responsables de la santé d’un enfant tout innocent. [...] Nous sommes tellement tristes et hésitons entre la compassion et l’indignation par rapport à l’état actuel des choses, par rapport à tous ces parents qui ont été comme aspirés dans cet énorme vortex de corruption et de mensonges. »

 

Source: Thinktwice [+ powerpoint d'info sur les vaccins multiples]

 

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 13:51

Alépé (Côte d'Ivoire): Le district sanitaire lance l'initiative "un parrain pour 100 enfants à vacciner".

 

24 avril 2012, par Boni Amlaman

 

Le district sanitaire d’Alépé a lancé le 24 avril dernier, à la place publique de M’bohoin, l’initiative  "un parrain pour 100 enfants à vacciner’’.

 

Selon Dr. Dahié Okou Laurent, directeur départemental de la santé, il s’agit de former 17 personnes nommées « parrains » chargées de suivre dans leur zone de compétence le calendrier vaccinal des enfants de 0 à 11 mois. Elles visiteront donc les ménages pour exhorter les femmes, surtout, à faire vacciner leurs enfants selon le calendrier vaccinal.

 

Dr. Brou Aka Noel, directeur coordonnateur du programme élargi de vaccination au ministère de la santé et de la lutte contre le sida a, pour sa part, rappelé les maladies contre lesquelles une vaccination est obligatoire : la tuberculose, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, la rougeole, la fièvre jaune, l’hépatite virale B et la méningite chez le nouveau né.

 

Le préfet Boni Koffi Ernest a salué cette initiative et demandé à ses administrés d’œuvrer pour sa réussite. Des kits composés, entre autres, de calendriers vaccinaux, de fiches de dénombrement des enfants et des techniques de visite à domicile ont été distribués aux 17 parrains du département.

 

Pour ce projet pilote, les districts sanitaires d’Alépé et Lakota ont été retenus.

 

BONI AMLAMAN

 

Correspondant local

 

Source: Fratmat.info

 

Il est pour le moins incroyable que dans un pays où il y a déjà autant de vaccinations infantiles OBLIGATOIRES (9 tout de même : diphtérie, tétanos, polio, coqueluche, rougeole, tuberculose, hépatite B et méningite !), il soit encore nécessaire d’aller instaurer une sorte de « police vaccinale » supplémentaire sous prétexte de « bienfaisance » !  

Finalement, « ces parrains » ne font que reproduire là-bas le harcèlement institutionnalisé qui est appris et appliqué ici en Belgique par les travailleurs de l’ONE.  En lisant ce genre de nouvelles, on reste avec l’inlassable questionnement de savoir pourquoi, si les vaccins sont aussi merveilleux qu’on le prétend, il serait nécessaire de les imposer et/ou de leur faire une telle publicité, les bons produits n’ayant jamais besoin qu’on parle d’eux pour faire l’objet d’un enthousiaste bouche à oreilles se suffisant à lui-même…

 

 

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 21:34

S’agit-il d’une blague ou faut-il en pleurer … ?

 

Il y a pas mal d’années qu’Herman van Veen a mis ces mêmes paroles en musique. Aujourd’hui c’est le Ministre Flamand de la Santé Publique, Jo Vandeurzen, qui leur rend une actualité brûlante. A l’occasion de la semaine Européenne de la Vaccination, le Ministre a divulgué ses projets de politique vaccinale pour les prochaines années…

 

Qu’y a-t-il au programme ? Tout d’abord une croisade contre la rougeole.

 

« Pour 2015, la Flandre doit respecter les exigences de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour éradiquer complètement la rougeole de la Zone Europe (Metro, 23/04/2012, p.3)»

 

Regardez-moi ça ! Big Brother va de nouveau tout régler ! C’est la même OMS qui,  il y a quelques années, nous a bricolé la « pandémie » H1N1, qui a refusé de divulguer la composition de son collège d’experts parce qu’il était vraisemblablement composé de personnages remplis de conflits d’intérêts ; c’est la même Organisation qui fonctionne grâce à l’appui financier de l’industrie pharmaceutique et ce serait cette même Organisation qui devrait nous expliquer comment les choses doivent se passer ?!

 

Et Vandeurzen, en brave acolyte, se trouve au premier rang !

 

Le Ministre Vandeurzen ou son conseiller médical n’auraient-ils jamais lu les études qui traitaient d’efforts similaires déployés dans l’ancien bloc de l’Est pour éradiquer la rougeole et qui se sont soldés par un échec ? Ces diverses tentatives ont prouvé qu’il est IMPOSSIBLE d’éradiquer la rougeole, même pas avec une couverture vaccinale de 95%.

 

Toutes ces tentatives ont prouvé noir sur blanc que des épidémies peuvent toujours se produire dans des populations vaccinées. Ils savent peut-être, mais il leur est plus facile d’ignorer ces faits…

 

Mais il n’y a pas que la rougeole qui est concernée. « Le but à atteindre est qu’en 2020 tous les Flamands soient, au cours de leur vie, complètement vaccinés contre toutes les maladies pour lesquelles il existe un vaccin. Vandeurzen a préparé un ensemble de mesures qui seront introduites progressivement. »

 

Fini le libre choix du traitement. Finis les droits du patient dont on a tant parlé. Fini le droit de penser par soi-même. Fini le droit de décider personnellement ce qui convient ou non à notre propre corps. Incroyable, mais vrai ! Tout cela se trouve dans le document de Vandeurzen, étape par étape. Il n’y a pas à douter que la presse sera manipulée de fond en comble, que les mutualités emboîteront le pas. Il s’agira d’étouffer les dernières résistances. Certaines poches, comme les écoles juives, les écoles Steiner sont déjà dans le collimateur (De Standaard, 23/04/2012 P.13.)…

 

Qu’en est-il par ailleurs de l’énorme épidémie d’oreillons à l’université de Gand ? Serait-elle la conséquence d’une lamentable politique de vaccination ? …

 

Mais il n’en sera pas ainsi ! Je suis convaincu que le niveau de conscience des Flamands est beaucoup trop élevé pour qu’ils puissent se laisser entraîner dans pareilles mesures dictatoriales. Le Ministre Vandeurzen sous-estime l’impact que peuvent avoir les mouvements de base qui ne pourront plus accepter pareil paternalisme. Il n’en a pas encore fini avec tous ces jeunes parents qui aujourd’hui commencent à réfléchir  au sens ou à l’absurdité des mesures qui leur sont proposées. Nous en appelons à un boycott actif de ce projet monstrueux. Nous allons tout faire, avec un maximum d’énergie, pour fournir à la population l’information dont elle a besoin pour se faire une idée claire et nuancée de la situation. S’il fallait en arriver à des obligations légales, alors le temps de la désobéissance civile serait arrivé.

 

Source: Preventie Vaccinatieschade, Dr Kris Gaublomme (Extraits)

 

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 10:21

Ce n'est pas pour rien si nous avons rangé cet article dans la rubrique de "L'idéologie de la vaccination à tout prix".

 

Car il est en effet très préoccupant qu'une majorité de médecins semblent suivre aveuglément les conseils déraisonnables des firmes pharmaceutiques qui se confondent avec ceux des experts officiels dont on ne sait plus bien au nom de qui ils parlent...

 

Ainsi, la revue Impact Santé, relayant en réalité un communiqué de Novartis Vaccins (un des producteurs du vaccin contre le méningocoque C), donne en effet dans la dramatisation et le déraisonnable puisqu'on peut par exemple y lire:

 

"Cette maladie, soudaine et imprévisible, affecte des personnes en parfaite santé et s'avère fatale dans près de 10% des cas, 10 à 20% des survivants souffrant de séquelles permanentes, telles que des lésions cérébrales, une perte de l'audition ou des difficultés d'apprentissage.

 

ou encore:

 

" L'amélioration de la couverture vaccinale passe, insiste le Pr Gaudelus, par le médecin traitant qui est l'acteur incontournable et indispensable pour faire appliquer correctement la politique vaccinale ainsi que par l'information des pharmaciens et des familles."

 

"Chez l'adolescent, il faut saisir toutes les occasions (consultation pour un certificat médical, traumatologie d'urgence, problème médical, contraception...) de vérifier si les vaccinations sont à jour, rattraper les injections manquantes et inciter à effectuer les éventuels vaccins propres à cet âge. Avoir à disposition dans son cabinet des vaccins faciliterait grandement l'amélioration de la couverture vaccinale en évitant à l'adolescent de devoir "revenir" pour se faire vacciner" ajoute le professeur. "

 

Le Pr Joël Gaudelus, qui est chef de service de pédiatrie à l'hôpital Jean Verdier de Bondy, fait partie de ce petit cénacle d'experts qui prennent régulièrement la parole pour promouvoir la vaccination dans divers médias.

 

En tant qu'expert -mais pas expert en bon sens visiblement-, le Pr Gaudelus ne semble pas voir l'énorme problème éthique qu'il y a à utiliser la détresse et la souffrance des patients pour mieux infléchir leur volonté et arriver à tout prix à leur fourguer des vaccins, dans une certaine précipitation qui plus est (puisqu'il est même question de "vaccins à disposition sous la main pour ne pas que les ados aient à revenir"!). Par ailleurs, on devine les risques supplémentaires que des médecins suiveurs feront courir à leurs patients en suivant de tels conseils irresponsables puisqu'ils risquent ainsi de vacciner à tout prix et dans la précipitation des ados venus consulter pour un problème médical X ou Y. Mais il est vrai que vacciner des malades ne pose aussi aucun problème de santé particulier selon les officiels, "tant les contre-indications vraies sont rarissimes" disent-ils souvent!

 

En outre, Novartis Vaccins autant que le Pr Gaudelus se gardent bien d'évoquer le moindre risque d'effets secondaires graves que peuvent faire courir de tels vaccins.

Des chiffres qui ne sont pourtant pas sans intérêt puisqu'un vaccin comme le Meningitec de Pfizer comporte, selon son fabricant lui-même, un risque d'effets secondaires graves (neurologiques) de 4 sur 100 000 vaccinations, ce qui, selon les médecins du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, est déjà supérieur au risque absolu de faire un jour ce type de maladie. Une évaluation indépendante de ces effets secondaires a, semble-t-il, démontré un risque plus de 100 fois supérieur (de 459 pour 100 000 vaccinations) ce qui rend donc le rapport bénéfices/risques encore plus défavorable, bien évidemment, avec un risque du vaccin très nettement supérieur à celui d'être jamais en contact avec le microbe!

 

La publicité tapageuse de Pfizer en faveur de son vaccin contre le Meningocoque (le Meningitec) avait d'ailleurs justifié que nous déposions plainte auprès du Jury de Déontologie Publicitaire qui l'avait transmise à l'Afssaps, cette dernière ayant fini par nous donner raison.

 

Il nous semble par conséquent capital qu'une communication partiale et racoleuse ne finisse pas sans cesse par être remplacée par une autre. C'est du devoir de tout médecin lucide et consciencieux d'y veiller plutôt que d'appliquer aveuglément, tel un robot, les lignes directrices d'une "politique vaccinale" dont il n'a jamais vraiment connu les dessous ni la façon exacte dont elle a été élaborée et influencée.

 

 

 

 

 

 

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