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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 21:30

Vaccins-general.jpgLe 23 novembre dernier, le Conseil Supérieur belge de la Santé (CSS) organisait une journée d'étude consacrée à la vaccination des patients dits "à risque" et comme ces gens-là ratissent évidemment très large et que chaque pathologie est prétexte à vacciner absolument, nul doute qu'il y en aura pour tous les goûts.

 

Voici donc ci-dessous, quel était le contenu de l'invitation à ladite journée d'étude, avant de voir plus en détails les commentaires qui s'imposent:

 

 

Chère Madame,  Cher Monsieur,

 

 

Le Conseil Supérieur de la Santé a le plaisir de vous inviter à la journée d’étude « Vaccination des patients à risque ».

 

Thème: « Vaccination des patients à risque - vaccination d’enfants et d’adultes immunodéficients et malades chroniques »

 

Date : 23 novembre 2012 de 9h15 à 17h00

Lieu : Tour du Midi (à proximité de la gare du Midi)

 

L'ordre du jour

 

• 8h30: Accueil, sandwiches et café
• 9h15: « Immunodeficiency & vaccinations » par Mascart Françoise
• 9h55: « Primary immunodeficiency » par Filomeen Haerynck
• 10h40: Pause
• 11h10: « HIV adults » par Philippe Leonard
              « HIV children » par Jack Levy
• 12h00: « SOT » par Eric Goffin 
• 12h30: « Adult haematologist - oncolgist & transplant » par Helene Schoemand
• 13h00: Lunch
• 14h00: A déterminer 
• 14h30: « IMID » par Jean-François Rahier [= Immune Mediated Inflammatory Diseases]
• 15h00: Pause
• 15h30: « Diabetes/morbide obesitas » par Chantal Mattieu
              « Asplenie » par Yves Van Laethem
              « Nefro » par Jean-Louis Bosmans
              « Hepato » par Isabel Colle
              « Pneumo/Muco » par Anne Malfroot
              « Thymectomy » par Jutte Van der Werff
• 17h00: Clôture

 

Inscription

 

Vous pouvez vous inscrire sur le site http://tinyurl.com/CSS-vaccination2012 . Date limite d'inscription le 29 octobre 2012. La participation est gratuite. 

 

D’avance, nous vous remercions pour l’intérêt que vous porterez à cette invitation et vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre considération très distinguée.

 

Prof. Dr. Jean Nève

Président du Conseil Supérieur de la Santé.

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:

 

Les vaccins étant déjà insuffisamment évalués pour être utilisés chez les personnes saines (absence de comparaison vs vrai placebo, absence de toute étude à long terme, absence d'analyse pharmacocinétique et d'évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène), il n'est guère difficile de comprendre que leur usage est donc encore d'autant plus périlleux chez des gens déjà immunologiquement fragilisés, qu'il s'agisse de patients atteints d'immunodéficience, de cancer ou de maladies auto-immunes et métaboliques!

 

Il ne faut pas être grand clerc pour voir que toutes les digues sont en train de céder actuellement (y compris chez les femmes enceintes!!!) pour qu'on vaccine à tout prix un maximum. Il n'y a donc plus aucun égard pour les personnes déjà fragilisées non plus, elles devront y passer comme les autres et hélas, le plus souvent, sans avoir reçu les informations nécessaires, sur les risques gravissimes accrus que ces vaccinations expérimentales leur font encourir. Le but de ce site est donc, entre autres, de combler cette carence scandaleuse qui fait finalement de ces malades chroniques des cobayes malgré eux.

 

Pour bien comprendre, avant toute chose, l'importance de la mise en garde qui suit, il faut avoir à l'esprit que les vaccins contiennent des ingrédients cancérigènes, qu'ils peuvent causer de toutes pièces des diabètes, exacerber des états de séropositivité, léser des cellules hépatiques (induire leur mort cellulaire, on parle d'apoptose), qu'ils contiennent de l'aluminium qui est notoirement toxique pour le système nerveux mais aussi les reins et enfin que toute vaccination altère le fonctionnement normal du système immunitaire en l'affaiblissant de façon indubitable pendant un certain temps. Toutes ces données relèvent d'évaluations scientifiques commercialement dérangeantes certes, mais qui n'en demeurent pas moins scientifiques pour autant. Les gens ont donc pleinement le droit de bien connaître ces risques avant de consentir ou non à la moindre vaccination!

 

Vaccination & immunodépression:

 

La vaccination induit une immunodépression plus ou moins temporaire, cela signifie donc en d'autres termes que la vaccination affaiblit notre système immunitaire, le rendant ainsi plus vulnérable encore à toute une série d'infections opportunistes qui pourraient ainsi survenir de façon facilitée au décours d'une vaccination. Chez les individus immunodéprimés, ces infections peuvent être d'autant plus graves, l'important est donc de les éviter et donc aussi d'éviter toute cause favorisante, y compris bien sûr la vaccination. Celle-ci, en se focalisant sur la seule production d'anticorps amoindrit néanmoins l'immunité cellulaire qui est pourtant d'une importance capitale, avec une tendance à l'inversion du rapport lymphocytaire T4/T8, soit exactement ce qui se passe chez les sidéens! Sur Wikipedia, on peut notamment lire ceci de tout à fait indicatif: « Pendant les mois qui suivent une vaccination antigrippale (2 à 5 mois), le dépistage du SIDA peut également se révéler faussement positif dans certains cas, y compris pour les tests de confirmation. »

 

Une des raisons plus que probable pour laquelle la vaccination a ce grave effet pervers est que la vaccination consiste en réalité à court-circuiter les voies immunologiques classiques de pénétration des antigènes microbiens dans l'organisme. En effet, lorsque les gens font une infection naturelle, les microbes rentrent dans le corps via la peau ou les muqueuses (respiratoire, digestive,..) alors qu'en cas d'injection vaccinale, on introduit directement les antigènes dans le flux sanguin par surprise et encore, enrobés de toute une série de substances anti-naturelles et toxiques (aluminium, formaldéhyde, antibiotiques, etc). Pas étonnant dans ces conditions que le système immunitaire trinque fameusement et comme tous les systèmes du corps sont quelque part connectés entre eux, on imagine l'imprudence tout à fait irresponsable que cela représente sur un plan purement scientifique. En fait, au prétexte de protéger contre UNE SEULE maladie, la vaccination fait à chaque fois encourir le risque d'une infinité d'autres maladies (effets secondaires directs ET indirects via cet état d'immunodépression induite qui fait alors aussi encourir en plus, le risque d'infections opportunistes, des plus bénignes aux plus graves, avec des risques de grippe, de méningites etc).

 

Ce qui est très grave aussi, c'est la façon scandaleuse avec laquelle on vaccine automatiquement TOUS les enfants dès leurs 2 mois, sans aucune analyse immunologique préalable alors qu'1 enfant sur 500 naît avec un déficit immunitaire congénital (on parle d'immunodéficience innée ou primaire car elle existe dès la naissance) et se trouvera donc forcément incapable de gérer la moindre vaccination. Ce geste reviendra donc à forcer le système immunitaire, un peu donc comme si on forçait et qu'on "brûlait un moteur". On imagine les dégâts et les risques parfois mortels aussi de ce type d'aveuglement idéologique!

 

Pour les malades du SIDA aussi, la vaccination est totalement irresponsable, même avec des vaccins dits inactivés (on ne leur déconseille généralement que les vaccins dits à virus vivants atténués) parce que la vaccination va augmenter leur charge virale (en d'autres mots: contribuer à les rendre plus contagieux). A côté de cela, une autre étude a montré que les globules blancs (lymphocytes) des personnes séronégatives vaccinées étaient rendus plus réceptifs au virus du sida après des vaccinations!

 

Voir ici: « La réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées » in Stanley SK, Ostrowski MA, Justement JS, Gantt K, Hedayati S, Mannix M, Roche K, Schwartzentruber DJ, Fox CH, Fauci AS., « Effect of immunization with a common recall antigen on viral expression in patients infected with human immunodeficiency virus type 1. », N Engl J Med. 1996 May 9;334(19):1222-30.

 

Récemment, dans la Lettre du Médecin, des informations allaient également en ce sens même si, idéologiquement parlant, ils ne pouvaient bien sûr que continuer à recommander la vaccination de ce public-cible:

 

« Une étude britannique consistant en une méta-analyse et revue systématique sur cette question  arrive à la conclusion que la vaccination est généralement bien tolérée par ces patients particuliers, bien que des indices limités d’augmentation de remontée temporaire de la virémie et de baisse des CD4+ existe chez les patients VIH+ (mais sans aggravation clinique). Les auteurs concluent que «le jugement clinique reste important lorsque l’on discute des avantages et du profil de sécurité chez les patients immuno-compromis». (référence: Beck CR et al. J Infect Dis. 2012;206:1250)

 

On brûle donc avec les vaccinations, la chandelle par les deux bouts, en rendant d'une part, les gens atteints plus contagieux et d'autre part, les gens non atteints plus réceptifs... pas étonnant qu'en Belgique où on vaccine de plus en plus, les cas de SIDA ne cessent de grimper en flèche! Nous pouvons, au moins partiellement, remercier pour cela les autorités et "leurs bons conseils", fût-ce par l'intermédiaire de centres dits "de référence" pour le traitement des malades du SIDA!! Et tout cela, parce que ces gens sont tout simplement aveuglés par leur idéologie et qu'il est donc intellectuellement inconcevable pour eux d'admettre qu'il existe d'autres méthodes, plus douces et plus sûres, en dehors du cadre strict de l'allopathie, pour renforcer le système immunitaire de façon aspécifique mais non moins efficace!

 

Il convient d'être réellement bien lucides sur l'ignorance et l'incompétence du corps médical en matière de recommandations vaccinales aux personnes séropositives ou atteintes de SIDA déclaré. En effet, voici ce qu'on peut lire dans le livre du biologiste Miche Georget (Vaccinations, les vérités indésirables) au sujet de vaccins considérés comme aussi "classiques" que ceux contre le tétanos et ce, sur base de publications médicales officielles publiées il y a déjà une trentaine d'années: 

 

"Le même phénomène de dépression immunitaire a été démontré de façon encore plus précise à propos de l'anatoxine tétanique [1] en 1983 par des chercheurs de l'institut d'immunologie de Vienne (Autriche). Cette étude avait été entreprise en vue de tester le rapport des lymphocytes T4/T8 chez des sujets en bonne santé pour voir s'il pouvait servir de référence au tri des donneurs de sang (les tests de dépistage du SIDA n'existaient pas encore). Onze volontaires ont été testés, avant et après une injection de rappel d'anatoxine tétanique. Le rapport T4/T8, indice de la capacité de réponse immunitaire, est passé d'une valeur moyenne de 2,2 à 1,25, la diminution la plus marquée se produisant entre 3 et 14 jours après l'immunisation. Cette baisse provenait pour l'essentiel de la baisse des T4 mais parfois aussi d'une hausse des T8 pour les sujets ayant les plus faibles rapports. Cette modification du rapport T4/T8 indique une baisse des capacités de défense puisque els T4 sont les coordonateurs stimulant la réponse immunitaire alors que parmi les T8 figurent les lymphocytes T suppresseurs. L'année suivante, les chercheurs du même laboratoire montraient que cette même injection de rappel antitétanique amène une diminution de l'activité fonctionnelle des lymphocytes T [2]. Cette étude s'inscrivait comme la précédente dans le cadre des recherches sur les sujets à risque pour le sida et les auteurs concluaient: "Il semble probable que des stimuli antigéniques répétés doivent induire des anormalités similaires, peut-être permanentes, et prédisposer ainsi les membres du groupe à haut risque pour le sida à des infections opportunistes". (Miche Georget, Vaccinations, les vérités indésirables, 1ère édition, Paris, Dangles, 2000, p.83)
 
[1] Eibl, M. M & al.: "Abnormal T-lymphocyte subpopulations in healthy subjects after tetanus booster immunization", (The New England Journal of Medicine, t.310 [3], p.198-199; 1984)
 
[2] Zlabinger, G.J. & al.: "Reduced antigen-induced proliferation and surface 1a expression or peripheral blood T cells following tetanus booster immunization", (Clinical Immunology and Immunopathology, t.34, p.254-262; 1985).

 

 

[Voir aussi notre article intitulé "Les vaccinations abîment notre système immunitaire."]

 

Vaccination & insuffisants rénaux:

 

On recommande aux insuffisants rénaux plusieurs vaccinations dont celle contre la grippe et celle contre l'hépatite B, au motif pour cette dernière, qu'ils doivent subir fréquemment une dialyse, qui accroît les risques d'hépatite. On leur injecte habituellement le Twinrix (hépatite A et B) ou un vaccin hépatite B spécial (appelé Fendrix, de GSK) qui comporte un adjuvant "renforcé" mixte, càd l'AS04, soit le même adjuvant que le vaccin anti-HPV Cervarix.

 

Il faut tout d'abord souligner que les insuffisants rénaux ayant un filtre rénal moins performant, ils se trouvent plus sensibles à la toxicité de l'aluminium, qui sera moins bien éliminé par les reins que chez les autres sujets sains, chez qui il pose déjà problème! Or des vaccins comme le Fendrix, contiennent une dose non négligeable d'aluminium (0,5mg soit 500 µg par dose!) qui va donc certainement nuire aux insuffisants rénaux, plus que cela ne pourra les aider.

Là encore, on va donc dans le sens de l'aggravation des maux des malades chroniques qu'on va vacciner... un pur non sens qui n'a donc aucune justification médicale sérieuse!

 

Sur Pharmacorama, on peut notamment lire à ce sujet:

 

« L'aluminium était considéré comme un élément atoxique jusqu'à ce qu'il provoque des encéphalopathies chez des malades dialysés. L'accumulation d'aluminium dans le sang des patients dialysés provenait en réalité plus du liquide de dialyse que de son absorption intestinale. Lorsque le liquide de dialyse contenait une grande quantité d'aluminium, celui-ci passait dans le sang à travers la membrane de dialyse et, du fait de l'insuffisance rénale, n'était pas éliminé. Chez les dialysés, outre des encéphalopathies, l'aluminium a provoqué des ostéomalacies et des anémies. Les troubles neurologiques observés chez les dialysés ont fait suspecter le rôle possible de l'aluminium dans la pathogénie de la maladie d'Alzheimer. »

 

Vaccination & pathologies hépatiques:



Les patients souffrant de problèmes hépatiques sont, eux aussi, pressés de se faire vacciner, à commencer par les vaccins anti-hépatite A ou B, d'ailleurs les gens candidats à une transplantation sont obligés de se plier à ce sinistre rituel. Hélas toutefois, il se trouve que selon une étude scientifique, la vaccination anti-hépatite B induit la mort des cellules hépatiques (on parle d'apoptose, càd une sorte de suicide cellulaire)... tout sauf ce qui peut donc aider les gens déjà fragiles du foie!!



Et il faut dire que pour confirmer ce triste état de fait, une autre publication indique que les enfants vaccinés contre l'hépatite B souffrent 2,5 fois plus de problèmes hépatiques que les enfants non vaccinés... cherchez l'erreur là aussi! Les officiels vous diront: "c'est normal, c'est un biais, c'est justement parce qu'on vaccine davantage les enfants atteints de maladies du foie... hélas, la plupart des pays occidentaux incluent la vaccination généralisée des enfants contre l'hépatite B!



Par ailleurs, il est aussi très important de comprendre que toute vaccination comporte des ingrédients toxiques or quel est l'organe qui se trouve en première ligne lors de la détoxication ou de la métabolisation des médicaments? Le foie! Inutile donc de faire de longs cours pour faire comprendre que toute administration de produits chimiques toxiques est d'autant plus à éviter chez ces patients-là, déjà plus fragiles que les autres.



Vaccination & cancers



Les vaccins contiennent différents composants notoirement cancérigènes (formaldéhyde, borate de sodium, etc) bien que leur pouvoir cancérigène ne soit cependant jamais évalué- contrairement aux autres médicaments. Les vaccins sont donc un apport direct de substances cancérigènes dont la soi-disant "faible dose" n'est hélas aucunement une garantie qu'elles ne puissent pas être décisives dans le développement d'un cancer chez telle ou telle personne. Pour plusieurs médecins et spécialistes de la question, les vaccins dits à virus vivants posent également un risque de cancer en ce sens que la latence virale pendant de nombreuses années peut selon eux faire le lit du cancer. Etant donné que le potentiel cancérigène des vaccins n'est jamais évalué (l'establishment ayant trop peur de ce qu'il sait pertinemment qu'on trouverait en effectuant ces recherches...), les officiels ne peuvent absolument PAS balayer ces accusations d'un revers de la main, même si elles continuent pourtant pitoyablement de nier ici purement et simplement le principe de précaution le plus élémentaire.



Même l'OMS a d'ailleurs conscience de ce risque de cancer posé par les vaccins, et notamment ceux fabriqués par génie génétique dont la pureté n'est jamais parfaite (ex: hépatite B, rotavirus, Gardasil, Cervarix) puisque cette instance écrivait dans son rapport technique n°747 de 1987 à ce sujet:



"Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène, et même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes. [...] Un des grands problèmes soulevés (à cette conférence) est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière."



En d'autres mots, les bricolages génétiques d'apprentis sorciers qui mènent à la fabrication de vaccins ont plus que probablement une part de responsabilité non négligeable dans l'explosion des cas de cancers chez les jeunes et les enfants notamment. Ces gens qui sont censés évaluer ces vaccins se disent "préoccupés" mais ce n'est hélas jamais ce que répercutent les médecins faussement rassurants mais vraiment désinformés à leurs patients au moment de les vacciner... quel scandale une fois encore!



Comme nous l'avons écrit, la pureté des vaccins issus du génie génétique n'est jamais parfaite, cela implique donc que des enzymes et des fragments d'ADN hybride (absolument non naturel) se retrouvent donc au niveau du produit fini qui vous sera injecté. Et comme aucune étude sur les effets secondaires à long terme des vaccins n'est jamais menée, on ne peut absolument pas vous fournir de garantie à ce stade que ces vaccinations vous procurent plus d'avantages que d'inconvénients.



La question des lignées cellulaires continues est une question fort importante et le grand public ignore hélas tout de cela. En réalité, les lignées cellulaires continues utilisées pour la fabrication des vaccins sont un joli nom utilisé pour ne pas utiliser leur synonyme, nettement plus éclairant, qui est "lignées cellulaires cancérisées" ou si vous préférez, rendues immortelles (on donne ainsi à ces cellules les caractéristiques des cellules cancéreuses qui se reproduisent anormalement vite) pour les besoins du commerce et de la production industrielle. "Rassurez-vous", même les gens des pharmas sont au courant de ces risques, bien que cela ne les gêne pas pour autant de continuer comme si de rien n'était avec ces procédés hasardeux. Dans un de nos précédents articles, nous reprenions déjà les propos du Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur (aussi repris dans le dernier livre de Virginie Belle) qui avouait au sujet de ces lignées cellulaires continues:

 

"Le grand débat philosophique est: peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants? Certains disent que les quantités d'information génétique, c'est à dire d'ADN, étant extrêmement faibles, il n'y a aucun risque, certains disent attention, on vaccine des enfants, que va-t-il se passer dans cinquante ans?" explique Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur avant de rajouter "C'est actuellement le débat aux Etats-Unis, avec le vaccin contre la grippe produit sur MDCK par Novartis. Le débat au niveau de la FDA reste très élevé, car c'est moralement un problème très important."

 

Et Virginie Belle de rajouter au sujet de ces cellules tumorigènes MDCK:

 

« Un vaccin nommé Celtura, du même laboratoire, a été administré aux Suisses, pendant la pandémie de grippe H1N1. Il contenait ces fameuses cellules tumorigènes. Et que lit-on sur la notice? "Contient des traces de protéines canines issues des lignées cellulaires MDCK." Auraient-ils accepté cette vaccination s'ils avaient su? La transparence devrait commencer ici. Le cas échéant, nous devenons des cobayes humains. »

 

Combien de Suisses ayant reçu le Celtura développeront un cancer à cause de ce vaccin? En voilà de vraies questions centrales que vous ne verrez hélas jamais traitées dans les médias traditionnels car trop sensibles! Et combien de ces gens feront surtout jamais le lien avec ce vaccin et son mode de fabrication? Sans doute aucun, hélas!

 

Mais ces cultures cellulaires, de même que les composants cancérigènes des vaccins ne sont hélas pas les seules explications possibles des cancers post-vaccinaux. Il y a aussi le phénomène des contaminations imprévues des vaccins. En effet, en cours de fabrication, les cultures cellulaires peuvent être contaminées par des agents non encore identifiables au moment de la production, comme ce fut le cas avec le précédent du SV40. A l'époque, à la fin des années 50, jusqu'au milieu des années 60, des dizaines de millions de vaccins anti-polio (tant oraux qu'injectables) ont été contaminés par un virus simien, le SV40, qui bien qu'assez anodin chez le singe, était cancérigène chez l'homme. De nombreuses publications scientifiques ont fait état du lien entre ce SV40, qui a infecté non seulement les vaccinés mais aussi leur descendance(!), et divers cancers comme ceux du système nerveux, le mésothéliome (cancer de la plèvre), divers cancers osseux ainsi que des leucémies. Cette contamination des vaccins au SV40 aurait, nous dit-on, été éliminée depuis lors mais certains avancent qu'il n'en est rien. Pour autant, les autorités nous ayant déjà tellement menti en matière de vaccination, comme nous l'avons abondamment prouvé sur ce site, est-il encore bien prudent de les croire en quoi que ce soit ayant trait aux vaccins?

 

Si on ajoute à cela, le mécanisme de court-circuitage du système immunitaire par les vaccins, tel qu'expliqué ci-dessus, avec l'immunodépression que cela suppose, on comprend qu'il y a au final une variété de mécanismes possibles, qui agissent peut-être en synergie, pouvant favoriser le développement de cancers en post-vaccination.

 

Par conséquent, il nous paraît terriblement hasardeux d'aller conseiller aux patients à peine sortis d'une greffe de moelle ou de chimiothérapies, de recommencer toute une série de vaccins. Compte tenu de ce qui a été exposé supra, il apparaît au contraire que les risques dépassent de loin les prétendus bénéfices de ces injections avec un risque non négligeable de rechute, et ce d'autant plus, encore une fois, qu'il est possible et même souhaitable, de recommander à ces patients le recours à des méthodes douces de stimulation aspécifique et globale de leur système immunitaire, méthodes qui ont alors l'avantage de combiner à la fois des effets anti-infectieux à des effets anti-cancer.

 

Vaccination & diabète/obésité:

 

Plusieurs publications scientifiques ont établi un lien assez accablant entre diabète de type 1 et divers vaccins. Haemophilius influenzae de type B, hépatite B, coqueluche, etc...autant de vaccinations pratiquées tous azimuts sans la moindre précaution et qui plus est, recommandées à l'aveugle, même chez les gens déjà diabétiques!!

 

Dans une lettre au British Medical Journal en 1999, le Dr J. B Classen écrivait déjà:

 

« Nous avons découvert que la vaccination débutant à l’âge de 2 mois était associée à un risque plus élevé tant chez les humains et les rongeurs. (2)

  

En collaboration avec le Dr Jaakko Tuomilehto nous avons lancé une recherche sur les effets du vaccin contre l’haemophilus influenzae de type b (HiB), notamment en ce qui concerne son influence sur le diabète.



116.000 enfants finlandais environ ont été randomisés pour recevoir soit quatre doses du vaccin à partir de l’âge de 3 mois, soit une seule dose à l’âge de 24 mois (3). Nous avons, d’une part, évalué l’incidence du diabète insulino-dépendant dans les deux groupes d’âge jusqu’à ce que les enfants aient atteint l’âge de 10 ans et d’autre part dans un groupe d’enfants qui n’ont pas reçu le vaccin – une cohorte de 128.500 enfants nés en Finlande dans les 24 mois qui ont précédé le début de l’étude sur les vaccins.

 

En mai 1998, une conférence fut organisée à Bethesda, Maryland pour évaluer nos données. Au cours de cette conférence, nous avons précisé que les données concernant le vaccin corroboraient les résultats de nos publications, à savoir que quand la vaccination avait lieu à l’âge de 2 mois, elle était associée à un risque accru de diabète. Notre analyse est également confirmée  par une augmentation similaire des cas de diabète après la vaccination Haemophilus Influenzae type b aux Etats-Unis, ainsi qu’au Royaume Uni (5).

 

En outre, nous devons signaler que, dans le groupe d’enfants vaccinés, l’augmentation des risques de diabète dépasse en importance ce qui était attendu en ce qui concerne la diminution de complications de la méningite à Haemophilus influenzae de type b.

 

La recherche en matière de vaccination a été basée sur la théorie que les bénéfices  de l’immunisation dépassaient de loin les risques  de complications à long terme. C’est ainsi qu’il fut estimé que des études sur la sécurité long terme des vaccinations ne devaient pas être réalisées.

 

En étudiant le diabète qui n’est qu’une des complications chroniques potentielles, nous avons découvert que l’augmentation de la prévalence du diabète peut plus que contrebalancer la diminution des complications long terme de la méningite à Haemophilus Influenzae.

 

Le diabète provoqué par le vaccin ne devrait donc pas être considéré comme un effet secondaire rare. De nombreuses autres maladies (immunologiques) chroniques comme l’asthme, les allergies, les cancers  (Immune mediated) n’ont cessé d’augmenter rapidement. Elles peuvent aussi être mises en relation avec la vaccination.

 

Nous pensons que le public devrait être complètement averti que les vaccins, efficaces dans la prévention des infections, peuvent aussi avoir des effets secondaires négatifs à long terme. Un public de mieux en mieux informé ne tardera pas à exiger des études sur la sécurité des vaccins avant toute vaccination de masse. Nous pensons que tout cela devra déboucher sur le développement d’une technologie vaccinale plus sûre. »

 

Dans son ouvrage de référence ("Vaccinations, les vérités indésirables"), le biologiste Michel Georget nous renseigne aussi ceci:

 

"La vaccination antigrippale est connue pour exacerber les atteintes bronchiques, l'asthme et le diabète, parfois dans les vingt-quatre heures qui suivent la vaccination." (références scientifiques citées dans l'ouvrage susmentionné)

 

Le Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste au CHU Necker Enfants Malades de Paris avoue:

 

« L’hypothèse la plus avancée est l’hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l’utilisation des antibiotiques ; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires : diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires de l’intestin, mais aussi les allergies.»

 

Michel Georget écrit aussi ceci dans son livre:

  

"Dans un document datant de 1982 consacré au vaccin plasmatique contre l'hépatite B (première version du vaccin, depuis remplacé par les versions recombinantes qui sont produites par génie génétique), l'Institut Pasteur indiquait comme seule contre-indication le diabète insulino-dépendant. Curieusement, cette contre-indication a disparu des brochures ultérieures alors que l'antigène des nouveaux vaccins est le même (HBs).

 

Cependant, une étude a été conduite en Nouvelle-Zélande par Classen, parallèlement à la campagne de vaccination de masse contre l'hépatite B. L'incidence du diabète insulino-dépendant est suivie à Christchurch depuis 1982. La campagne de vaccination a débuté en 1988 et a concerné les enfants jusqu'à 16 ans. Le taux d'acceptation de la vaccination a été supérieur à 70%. L'incidence du diabète, qui était de 11,2 nouveaux cas pour 100 000 et par an avant le début de la campagne, est passé à 18,2 cas pour 100 000 et par an entre 1989 et 1991, soit une augmentation de plus de 60%."



Selon le Dr Classen, un des mécanismes physio-pathologiques en cause serait une production massive d'interféron endogène (une molécule naturelle de notre système immunitaire) suite à la vaccination, laquelle expliquerait une destruction des îlots de Langherans, à la source d'une apparition d'un diabète de type 1. Ce qui est intéressant également, c'est que les gènes qui peuvent davantage prédisposer au diabète de type 1 sont parfois aussi ceux qui sont associés à une prédisposition de maladies thyroïdiennes (HLA DR3 notam.) or il se trouve aussi justement qu'un des effets secondaires des traitements médicaux aux interférons sont... une dysfonction de la thyroïde qui n'est plus capable de produire suffisamment d'hormones (on parle alors d'hypothyroïdie)! Ainsi, les dysfonctions thyroïdiennes post-vaccinales ne se limitent pas aux seules atteintes auto-immunes (thyroïdites d'Hashimoto ou maladie de Basedow) mais peuvent aussi consister en une sorte de dégénérescence de la glande.

 

Il s'agit d'une compréhension d'autant plus importante qu'un ralentissement thyroïdien impacte tout le métabolisme qui va alors se ralentir, favorisant ainsi la prise de poids, voire l'obésité.

 

Mais la glande thyroïde n'est hélas pas la seule glande endocrine à pouvoir être perturbée par la vaccination, les surrénales ainsi que les ovaires peuvent aussi en pâtir. Ainsi, la littérature scientifique et les données observationnelles relatent un lien entre vaccins anti-tétaniques notamment et altération des glandes cortico-surrénales (NB: des maladies comme le Syndrome de Cushing ou la maladie d'Addison sont des maladies qui altèrent profondément le métabolisme et le poids, la première pouvant donner lieu à une obésité). Après le Gardasil, plusieurs jeunes filles ont présenté de sérieux problèmes ovariens avec un phénomène de prise de poids inquiétante. Là encore, cela montre que les vaccins peuvent gravement impacter le métabolisme tout entier, de par leur altération de notre système glandulaire.

 

On comprend dès lors mieux à quel point encourager la vaccination des diabétiques ou des obèses est un véritable non sens, tout à fait préjudiciable à la santé publique et au budget de la Sécurité sociale.

 

Vaccination & maladies auto-immunes inflammatoires:

 

On recommande de vacciner ces malades "comme les autres". Polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn ou recto-colite hémorragique font partie de ces maladies dites auto-immunes inflammatoires. Dans ces maladies, le système immunitaire s'attaque aux tissus de l'organisme lui-même avec de gros dégâts à la clé. On place donc souvent ces malades sont thérapie immuno-suppressive qui a donc généralement un effet oncogène, dans la mesure où cela freine le système immunitaire (qui a entre autres, comme rôle, celui de l'immunovigilance, contre les cellules potentiellement anormales/cancéreuses qui peuvent potentiellement se former à tout instant dans l'organisme).

 

Hélas, il faut savoir que les adjuvants des vaccins peuvent exacerber ces états mais en outre, aussi les générer de toutes pièces. Pour bien comprendre, il faut surtout savoir que l'effet de ces adjuvants est incontrôlable: ils sont censés booster la production d'anticorps en faisant produire à l'organisme un taux tout à fait anormal et anti-physiologique d'anticorps, soit beaucoup plus que ce qui se passe en cas d'infection naturelle, bien qu'il n'ait toutefois jamais été prouvé qu'un taux aussi élevé soit meilleur qu'un taux plus modeste. Toute la théorie vaccinale repose donc là-dessus, sur la production d'anticorps. C'est pourquoi les études financées par les pharmas regorgent en réalité de dosages et de titres d'anticorps après tel ou tel vaccin, des études qui n'intéressent donc pas grand monde au sein du public mais servent surtout à ébahir bêtement les décideurs et les "leaders d'opinion".

 

Pour arriver à ces taux explosifs d'anticorps chez une grande majorité de vaccinés, les industriels recourent à des adjuvants, ces molécules censées accroître le temps de contact entre les antigènes du vaccin et les cellules de notre système immunitaire (macrophages et cellules dites "présentatrices d'antigènes"). Parmi ces adjuvants, on peut citer de façon non exhaustive l'aluminium, sous diverses formes chimiques, ainsi que le squalène, ou encore une forme mixte comme l'AS04 du Cervarix et du Fendrix (= un mix d'aluminium et de mono-phosphoryl lipide A). Ces substances sont connues pour pouvoir favoriser l'auto-immunité.

 

L'immunologiste israëlien Yehuda Shoenfeld l'a évoqué dans ses publications sur le syndrome ASIA (= auto-immune/inflammatory syndrome induced by adjuvants; syndrome des maladies auto-immunes et inflammatoires induit par les adjuvants).

 

Utilisé dans les vaccins anti-H1N1 (notamment générateurs de narcolepsies) ou dans un vaccin comme le Fluad de Novartis (antigrippal saisonnier), le squalène aussi est une substance particulièrement à même de générer des maladies auto-immunes lorsqu'elle est injectée, précisément parce que notre corps contient aussi du squalène. Par conséquent, injecter une substance que nous avons en nous pose aussi le risque de générer des anticorps contre nos propres composants et de déboucher dès lors sur divers troubles auto-immuns.

 

L'auteur américain Gary Matsumoto qui a investigué très attentivement le sujet du squalène injectable écrit (et nous avions d'ailleurs notamment fait copie de cela aux autorités belges et à la Ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, dès l'automne 2009):

 

« C’est dès 1987 que les scientifiques de l’armée ont ajouté du squalène dans les prototypes du nouveau vaccin contre l’anthrax. […] Quand Michael Whitehouse de l’UCLA Medical School et Frances Beck ont, avec d’autres produits, injecté du squalène à des rats et cobayes dans les années 1970, peu de produits huileux étaient plus efficaces pour provoquer les versions animales de l’arthrite et de la sclérose en plaques. (Ch. 11, -85).

 

A la fin des années 1990, l’Institut Karolinska de Suède a démontré que l’injection de squalène en elle-même était susceptible de provoquer l’arthrite (Ch. 11, 86). L’Académie des Sciences de Pologne a démontré que le squalène à lui seul était susceptible de provoquer de graves dégâts neurologiques. (Ch.11, 87) […] Les anticorps anti-squalène retrouvés dans les malades du personnel militaire Américain et Britannique apportent la preuve que les expériences militaires peuvent avoir causé plus de victimes avec le nouveau vaccin contre l’anthrax que n’en ont fait les armes à base d’anthrax depuis qu’elles furent pour la première fois utilisées par l’armée japonaise dans les années 1940. […]

 

Les soldats chez lesquels on détecta des anticorps positifs présentaient des symptômes qui correspondaient à la définition de l’Air Force pour le Syndrome de la guerre du golfe- fatigue, éruptions, pertes de mémoire, maux de tête, douleurs dans les articulations, vertiges…Pour de nombreux autres ce fut le diagnostic de lupus, de sclérose en plaques et d’arthrite rhumatoïde – autant de maladies provoquées chez les animaux par l’injection de squalène. Toutes sortes de maladies reprises sur la liste de BIOPORT sur sa nouvelle notice après que la FDA eut révélé qu’elle avait trouvé du squalène dans le vaccin contre l’anthrax. […]    Il existe maintenant des documents dans plus de 24 journaux scientifiques (peer-reviewed) – de dix laboratoires différents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie – documentant le fait que les adjuvants à base de squalène peuvent induire des maladies auto-immunes chez l’animal.

  

Les scientifiques ont fait ces observations sur des souris, des rats, des cobayes et des lapins. L’Institut Karolinska a démontré que la squalène à lui seul pouvait provoquer la version animale de l’arthrite rhumatoïde. L’Académie des Sciences de Pologne a montré que, chez les animaux, le squalène pouvait provoquer des dégâts importants au système nerveux et au cerveau. L’Université Florida Medical School a démontré que le squalène pouvait induire la production d’anticorps spécifiquement associés au lupus érythémateux

 

En dépit de ces données gravissimes, les autorités ont recommandé aux malades chroniques de recevoir le vaccin H1N1 en 2009...

 

Au printemps 2009, la presse diffusait déjà la fausse information selon laquelle "Les patients souffrant de maladies auto-immunes peuvent être vaccinés comme les autres.".

 

Dans le cadre d'un symposium d'immunologie, sponsorisé notamment par la firme pharma Abbott (elle-même productrice de vaccins), le virologue Marc Van Ranst avait alors affirmé:

 

« Les patients souffrant de maladies auto-immunes, telles que la maladie de Crohn, le psoriasis ou l'arthrite rhumatoïde, peuvent être vaccinés comme les autres. On est souvent trop prudent alors que seuls les vaccins vivants nécessitent une vigilance accrue. 

 

Les patients souffrant de maladies auto-immunes courent davantage de risques d'infection, en partie à cause de la maladie elle-même mais aussi à cause des traitements qui mettent à mal leur système immunitaire.

 

Nous constatons 2 types d'erreurs: certains ne vaccinent pas du tout de crainte d'aggraver le mal; d'autres ne vaccinent pas car ils pensent que les vaccins ne fonctionnent pas chez ces patients, ce qui là aussi est incorrect.

 

Il n'existe pas de contre-indications en ce qui concerne les vaccins classiques, comme ceux contre les maladies infantiles, la grippe, l'hépatite, le tétanos et même le cancer du col de l'utérus. Les vaccins marchent sans doute moins bien mais ce n'est pas une raison pour ne pas vacciner

 

On l'a vu plus haut, ces affirmations du Pr Van Ranst n'engagent donc que ceux qui les croient car les "vaccins classiques" comme il les appelle, contiennent pour la majorité d'entre eux, de l'aluminium et/ou du squalène ou en tout cas des adjuvants problématiques. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les pharmas testent toujours leurs vaccins sur des gens sains et donc jamais sur le public déjà fragilisé à qui l'on recommande cependant aveuglément de se faire vacciner!

 

En conclusion, que constate-t-on ? Une fois encore, que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Sous prétexte de soi-disant prévenir quelques maladies infectieuses ciblées, les vaccinations entraînent des risques tout à fait disproportionnés, variés et nettement plus nombreux de maladies chroniques et auto-immunes.

 

Par conséquent, quand une personne souffre déjà d’une maladie chronique, elle doit d’autant mieux être informée, non seulement du fait que les vaccins sont à même d’occasionner des maladies comme celle(s) dont elle souffre mais en plus, que ces vaccins induisent aussi logiquement un risque non négligeable d’exacerbation et d’aggravation de leur maladie et de leur état clinique. Ne pas informer les malades chroniques de ces données scientifiques, de même que du fait que les essais cliniques n’ont pas porté sur des malades chroniques, constitue une faute médicale et une tromperie impardonnable du patient. Cela l’amène de facto à être cobaye malgré lui et cela relève des dispositions pénales relatives à l’expérimentation sans consentement.

 

Enfin, il est tout de même opportun de redire ici un ou deux mots au sujet des conflits d’intérêts. Le président du Conseil Supérieur belge de la Santé qui a signé cette invitation (le Pr Jean Nève), est le même qui déclarait avec un fatalisme insupportable dans une vidéo qu’en matière de vaccination, il y aurait nécessairement des conflits d’intérêts. Jean Nève est cette personne qui avait déclaré dans le Soir en 2010 qu’il n’y avait rien à cacher au sujet des conflits d’intérêts bien que son instance avait initialement refusé de fournir au journaliste indépendant David Leloup les déclarations d’intérêts de plusieurs de ses membres, au motif de « protection de la vie privée » ! On voit donc ici de qui il s’agit…

Si on jette un œil aux « grands experts » invités, on épinglera notamment les noms des Prs Van Laethem et Lévy, liés comme investigateurs cliniques ou par des honoraires de consultance à des fabricants de vaccins ayant pignon sur rue comme Pfizer, GSK, Sanofi etc

 

Etant donné la hausse conséquente des maladies chroniques et auto-immunes dans la population et la volonté expansionniste des pharmas (qui ont près de 300 nouveaux vaccins en attente dans leur pipeline), on aperçoit donc assez mal comment des experts liés à ces pharmas pourraient inviter à la moindre prudence consistant à ne surtout plus vacciner ces gens déjà fragilisés ! Cela reviendrait purement et simplement à condamner à terme tout le marché des vaccins… qui auront à force, fini par niveler totalement la santé publique par le bas en faisant d’une majorité de gens des malades chroniques.

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 23:19

A propos d'un projet de statut de lanceur d'alerte

 

Écrit par Académie de Médecine, le 15 Novembre 2012


L'Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi déposée au Sénat en vue de créer un statut de lanceur d'alerte1. Tout en adhérant à la demande de nos concitoyens en faveur de davantage de débat public et de transparence dans la décision en santé publique élargie aux questions environnementales, l'Académie tient à formuler des réserves sur une telle initiative dans le contexte actuel de l'information en matière de santé en France.


Le droit d'alerter doit être reconnu à tout citoyen, plus particulièrement aux scientifiques dont c'est une des missions essentielles. L'Académie de médecine est elle-même un « lanceur d'alerte » institutionnel, de par ses statuts qui lui permettent de s'auto-saisir de toute question susceptible de mettre en danger la santé publique2.

 

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La science a des implications sociétales qui dépassent le domaine traditionnellement réservé aux scientifiques et qui devraient pouvoir être débattues sereinement sur la place publique. Cependant, l'alerte tend trop souvent à en rester au stade médiatique, au risque de réduire le débat à une polémique stérile, sans apporter  au citoyen les réponses qu'il est en droit d'attendre.


Le lanceur d'alerte a le droit d'être « protégé » contre d'éventuelles représailles, et la loi, dans ce cas, lui offre déjà suffisamment de possibilités de recours. Mais, dans la mesure où la médiatisation peut créer une confusion avec de véritables expertises3, un « statut » légaliserait la dérive actuelle qui, sans contrepartie de responsabilité et sous prétexte d'expression dite citoyenne, en vient à tromper le public et les décideurs.


Créer une « Haute Autorité de l'expertise scientifique et de l'alerte en matière de santé et d'environnement » reviendrait à nier la valeur de l'expertise scientifique, et la légitimité des agences et des académies à l'assurer, tout en rendant encore plus complexe un dispositif d’expertise officielle qui gagnerait au contraire à être simplifié et clarifié4.


Légitimer l'alerte au détriment de l'expertise risquerait de faire passer la prise de décision politique avant l'évaluation scientifique5. Si l'Etat en arrivait à prendre des décisions majeures sans s’appuyer sur les évaluations  conduites par les structures d’expertise dont il dispose, il s'exposerait aux pressions, idéologiques, partisanes et lobbyistes.

L'Académie demande la reconnaissance de la primauté de l'expertise scientique :

- l'évaluation des alertes, qu'il faut bien distinguer de leur gestion par les pouvoirs publics, doit pouvoir être menée sereinement, en amont de la décision et sur des bases scientifiques validées;


-   l'expertise collective doit être privilégiée afin d'éviter une personnalisation médiatique abusive ;


-   la déclaration des conflits d'intérêts, passés et présents, est certes une mesure nécessaire afin de conserver à une expertise de qualité toute sa valeur, mais elle doit s'imposer de la même façon à tous ceux qui interviennent, à titres divers,  dans le débat public ;


- la suspicion qui entache trop souvent l'expertise altère l'information scientifique. L’Académie de médecine réitère donc la demande qu’elle a faite, conjointement avec cinq autres académies, en faveur de la création d’un Haut comité de la science et de la technologie qui,  auprès du Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, serait chargé  de rendre compte  régulièrement de la manière dont les questions scientifiques sont traitées par les acteurs de la communication audiovisuelle.

L'Académie met en garde contre une légalisation d'un statut de lanceur d’alerte non seulement injustifiée mais dangereuse, qui risquerait, de la même façon que l'inscription dans la Constitution du principe de précaution,  d’assujettir notre avenir scientifique et technologique à la pression d’une opinion souvent mal informée


Elle dénonce cette initiative qui, si elle aboutissait, loin d'aller dans le sens de l'intérêt général, risquerait de brouiller l'information de nos concitoyens et de les détourner des véritables questions de santé publique.



NOTES

1- « Proposition de loi relative à la création de la Haute Autorité de l'expertise scientifique et de l'alerte en matière de santé et d'environnement ». Rapport n° 24 (2012-2013) de M. Ronan DANTEC, au nom de la commission du développement durable du Sénat, déposé le 9 octobre 2012


2- 12 ans après avoir publié un article hautement controversé qui suggérait un lien entre le vaccin contre la rougeole et l'autisme, la prestigieuse revue The Lancet a dû se rétracter. Mais le mal était fait … Aussitôt publiés, ces résultats avaient suscité un véritable vent de panique dans le monde anglo-saxon, les taux de vaccination chutant radicalement à 81% en Angleterre. Ainsi, en un an,  de  1999 à 2 000, en Irlande,  on est passé de 148  à 1603 cas de rougeole. La même année, trois enfants sont morts de la maladie, jusque-là quasi éliminée. Et l'épidémie s'est propagée dans toute l'Europe, notamment en France : depuis le 1er janvier 2008, près de 23 000 cas de rougeole ont été déclarés en France, en trois vagues épidémiques. 2011, 14 966 cas ont été notifiés en 2011, dont 714  pneumopathies graves, 16  complications neurologiques et 6 décès (InVS)


3- « EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! » - Le Nouvel Observateur du 18 septembre 2012


4- Un rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) du 17 septembre 2012 constate que les quelque 1 244 agences répertoriées en France engendrent des coûts importants, ne correspondant pas toujours à une amélioration de la qualité du service public


5- Des parlementaires ont diffusé dans les médias un communiqué annonçant une proposition de loi sur l'interdiction des adjuvants dans les vaccins, au nom de l'Assemblée nationale, sans l'accord des autorités de l'Assemblée. (« moratoire sur l'aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins », recommandé par un groupe d'études des vaccinations de l'Assemblée nationale le 13 mars 2012)

 

Source: Cadureso.com

 

« Les avis et communiqués de l''Académie de Médecine ont toujours été pour moi une ressource inépuisable de franche rigolade » écrit un scientifique français dont nous ne citerons pas le nom. Décidément… quand on veut rire, il suffit de remplacer l’humoriste X ou Y par l’Académie de Médecine et on est sûr de pouvoir s’esclaffer !

 

En effet, se profiler en « lanceur d’alerte institutionnel » quand on est contre l’inscription du principe de précaution dans la Constitution, il fallait le faire…

Ondes électromagnétiques, OGM, dioxines, vaccins, tous les pires dangers ont été niés ou minimisés de façon lamentable par cette instance. Même l’amiante était encore défendue par l’Académie de Médecine à l’unanimité un an seulement avant son interdiction définitive… et ça faisait pourtant alors déjà plus de 90 ans que les premières alertes de scientifiques avaient retenti sur les dangers conséquents de cette substance !

 

Ces gens ont tellement peur de voir leur influence s’amoindrir qu’ils sont en réalité prêts à toutes les bassesses, y compris celle consistant à dénier tout caractère scientifique aux contestations de scientifiques dissidents ayant fait le choix légitime et pertinent de sortir du cénacle scientifique mafieux/prostitué et pour le moins étouffant, pour s’en remettre à la responsabilité des citoyens !

 

On a déjà détaillé sur ce site les positions surréalistes et totalement irrationnelles d’un Académicien comme Pierre Bégué au sujet des vaccins. Sans parler de cet autre article « Les grands experts sont dans leurs petits souliers », qui commentait la trouille manifeste d’un autre Académicien, Yves Brechet. C’est alors qu’on voit que ces expertises qui se revendiquent comme telles de façon arrogante n’en n’ont que le nom mais qu’elles sont truffées de contre-vérités scientifiques flagrantes et aisément démontrables.

 

Pas étonnant donc, que ces gens souhaitent circonscrire le tsunami de critiques que des positions intenables comme les leurs suscitent logiquement au travers des médias ! Mais ils ont encore l’outrecuidance de faire croire au public que le statut de lanceur d’alerte viendrait « brouiller l’information du public » ! Cela permettrait en effet de parasiter les dogmes que ces gens entendent défendre envers et contre tout, et c’est pour cela que c’est évidemment une bonne chose. N’en déplaise à ces vieux briscards !

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 21:50

Les apprentis-sorciers sont de plus en plus fébriles: en dépit de la désaffection croissante et assez évidente pour le "tout vaccin", ils remettent encore le couvert avec leur obsession d'une vaccination antigrippale généralisée, et pourquoi pas alors du même coup aussi obligatoire?

 

L'article qui suit en dit long sur l'aveuglement dangereux de ces gens qui ne voient plus que LEUR cible (ou ce qu'ils estiment comme telle) sans plus même manifester le moindre bon sens au sujet des risques posés par ce genre de procédé hasardeux, sur lequels il faudrait des décennies de recul, ni non plus au sujet des risques éthiques et démocratiques en cas de vaccination obligatoire... une tentation dangereuse qui peut naître avec ce genre de fausse solution!

 

Un vaccin contre la grippe qui protège à vie :

 

Le 26 novembre 2012

 

Des chercheurs allemands développent actuellement un vaccin d’un nouveau type qui protégerait contre une souche grippale pour de très longues années, voire à vie. Au lieu d’utiliser directement les antigènes, il a recours à l'ARN messager…

 

Tous les ans, c’est la même rengaine : tout le monde (mais prioritairement les personnes à risques) est convié à subir une injection en prévention de la grippe saisonnière. Et si on pouvait l’éviter avec quelques vaccins administrés durant l’enfance ? C’est le projet de chercheurs allemands de l’institut Friedrich-Loeffler qui développent actuellement un vaccin d’un nouveau type contre la grippe.

 

D’ordinaire, on immunise les patients en leur injectant deux protéines : l'hémaglutinine et la neuraminidase, les fameux H et N qui servent à définir les souches virales (H5N1, H1N1 par exemple). Ces antigènes se retrouvent naturellement à la surface du virus et stimulent la réponse immunitaire par la production d'anticorps spécifiques.

 

Cependant, les délais de production sont longs. Même si l'Organisation mondiale de la santé (OMS) arrive à prévoir la souche grippale qui circulera l’année suivante, il faut 6 mois dans des œufs de poule pour produire des stocks suffisants de vaccin. Une erreur de l’OMS serait préjudiciable pour les laboratoires pharmaceutiques. Tout dernièrement, un nouveau procédé vient d’être validé : à base de cellules animales en culture, il réduit ces délais à 10 semaines.

  

De l'ARNm pour stimuler l'immunité

  

Mais on pourrait faire encore mieux. Dans Nature Biotechnology, les scientifiques allemands suivent la piste d’un vaccin à base d’ARNm. Cette structure est l’intermédiaire entre l'ADN et les protéines. Ainsi, au lieu d’injecter directement hémagglutinine et neuraminidase, les auteurs inoculent l’ARNm qui, une fois traduit par la machinerie cellulaire, aboutit à ces deux antigènes. Le système immunitaire va donc réagir à ces protéines étrangères et s’armer contre toute menace.

  

Les avantages sont nombreux : au lieu de ne stimuler que la réponse immunitaire innée à base d’anticorps, ce vaccin active aussi plus amplement l’immunité adaptative, qui fait intervenir des lymphocytes et autres médiateurs cellulaires. Ainsi, la protection est rapide et surtout plus durable. D’autre part, les délais de production à grande échelle se limitent à 6 à 8 semaines, donc moins que les techniques utilisées actuellement, laissant plus de marge pour réagir face à l’imprévu. Enfin, le produit se présente sous la forme d’une poudre lyophilisée qui ne nécessite pas un stockage en milieu réfrigéré, comme beaucoup de vaccins.

 

En revanche, un tel traitement préventif présentait jusque-là un défaut important : de précédents essais montraient que l'ARN est dégradé très vite après l’injection dans le sang. La firme pharmaceutique CureVac semble avoir trouvé la parade. Combiné à une protéine appelée protamine, l’ARNm est protégé et peut atteindre sa cible. Ce processus fait actuellement l’objet de tests cliniques, l’entreprise ayant développé des vaccins contre les cancers du poumon et de la prostate.

  

Un jour, des vaccins obligatoires contre la grippe ?

  

Ce traitement préventif contre la grippe a été essayé chez l’animal. Souris, furets et cochons ont présenté très rapidement une immunité forte contre une souche saisonnière ainsi que contre la grippe aviaire H5N1, et ce quel que soit l’âge des individus. La prochaine étape devrait consister à évaluer l’efficacité chez l’Homme.

 

À terme, l’idée serait de vacciner les enfants contre les différentes souches grippales, en attendant qu’un laboratoire développe enfin un vaccin universel contre la grippe. Les virus sont soumis à des mutations, mais une telle politique de prévention diminuerait fortement l’importance des épidémies, qui font des dizaines de milliers de victimes dans le monde chaque année.

 

Source: Futura Science

 

beau-vaccin-nouveau.jpg

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 19:38

Didier Moulinier

Nous suivons le parcours du Dr Moulinier depuis plusieurs semaines et cela faisait déjà plus d’un mois que nous souhaitions « apporter » notre modeste pierre dans cette affaire, en réalisant une interview de ce médecin courageux et ce,  à la lumière de plusieurs aspects déjà abordés sur notre site :

 

-droit à l’information

-respect et défense du pluralisme thérapeutique

-marchandisation de la santé au détriment des patients

-oppression des médecins et obéissance forcée au dogme de la pensée unique etc

 

Dr Moulinier, vous suiviez régulièrement des patients atteints de cancer qui n’ont jamais rien eu à redire de vos services. Vous avez été suspendu début octobre pour une durée d’un an du droit d’exercer. Ce n’est pas la première fois que l’Ordre des Médecins vous cherchait des ennuis n’est-ce pas ? Que vous a-t-il reproché exactement au sujet des traitements que vous mettiez en place ? Pouvez-vous quelque peu expliquer votre démarche de soins et en quoi celle-ci consistait ?

 

Tout d’abord, je n’ai jamais été interdit d’exercer la médecine mais je vais simplement me retrouver, si je n’obtiens pas un sursis à exécution de la part du conseil d’Etat, interdit de donner des soins aux assurés sociaux pour une période d’un an à partir du 1er janvier 2013.

 

Je n’ai jamais fait l’objet de la moindre plainte de patients. Il m’est reproché des excès de prescription par la sécurité sociale et donc des dépenses non justifiées. Cela est d’autant plus injuste que depuis plus de quinze ans je n’exerce plus en tant que médecin conventionné ; je n’ai donc aucun compte à rendre à la sécurité sociale malgré ce qui m’a été allégué à plusieurs reprises.

 

D’autre part, il m’est reproché des prises de position non conformes aux protocoles établis. En fait, j’essaie à chaque fois de proposer à mes patients ce qui pourrait être qualifié de médecine intégrative, à savoir le traitement le plus efficace possible et le moins toxique possible.

 

Pour illustrer ma démarche, par exemple, lorsqu’un patient est en situation métastatique, je ne me précipite pas pour démarrer un traitement mais j’attends que l’évolution soit suffisamment importante pour mettre en route des protocoles adaptés. Au préalable, j’utilise des traitements immuno-régulateurs et redifférenciants et, dès lors que des éléments me permettent de considérer que la maladie va constituer un réel danger pour le patient, alors je préconise la mise en place de protocoles plus agressifs tels que la chimiothérapie entre autres.

 

Quel est votre avis au sujet des traitements standards et protocoles conventionnels de traitement du cancer… les résultats sont-ils à la mesure des espérances selon vous, les patients sont-ils correctement et loyalement informés des effets secondaires graves possibles et de leur efficacité réelle avant de les accepter ?

 

Il existe une désinformation manifeste vis-à-vis des traitements mis en œuvre pour les patients.

 

Contrairement à ce qui est régulièrement diffusé dans la presse, il n’existe aucun traitement permettant de guérir le cancer de manière définitive, sauf quelques rares cas exceptionnels, notamment les cancers se développant dans des tissus ayant des barrières anatomiques empêchant la diffusion métastatique, à savoir les lésions cutanées telles que les mélanomes, les cancers du col de l’utérus et le cancer de l’intestin quand la lésion n’a pas encore atteint un certain degré de développement.

 

Je considère que la chirurgie reste une part importante du traitement et ce sont d’ailleurs les progrès de la chirurgie qui ont permis une avancée importante en cancérologie. Les résultats soi-disant miraculeux sont dus à un excès de dépistage qui a permis d’établir des diagnostics beaucoup plus précoces qu’avant.

 

La chimiothérapie à titre préventif constitue pour ma part un non sens thérapeutique car elle ne peut avoir une efficacité qu’à visée palliative. C’est néanmoins une arme qu’il convient d’utiliser quand cela est nécessaire, de même que l’hormonothérapie ou la radiothérapie.

 

Il est évident que les progrès en communication ont permis une meilleure information des patients mais, dans la majorité des cas, ces derniers ont du mal à comprendre les informations qui leur sont apportées et ce d’autant plus que l’on peut leur faire miroiter des résultats potentiels.

 

Le problème du cancer est sous-tendu par le problème de la mort qui est toujours présente en filigrane. La majorité des patients et leur entourage familial sont obnubilés par cette angoisse et ont de ce fait tendance à croire et à se laisser sécuriser par un excès de technologie.

 

La meilleure preuve de ce que j’avance est que les plus grands spécialistes en cancérologie attendent malheureusement d’arriver à l’âge de la retraite pour exprimer une information tout à fait contraire à ce qu’ils ont largement diffusé pendant de nombreuses années.

 

Avez-vous pu comparer, au cours de vos années de pratique, la différence d’efficacité entre votre approche et l’approche conventionnelle, que ce soit sur le plan de la tolérance ou de l’efficacité ?

 

Il est manifeste que mon approche au niveau de la tolérance clinique n’a rien à voir car la plupart des thérapeutiques que j’utilise sont des thérapeutiques non toxiques. Néanmoins, répondre à cette question est difficile car je suis aussi le premier à proposer des thérapeutiques agressives.

 

Une personne qui vient me voir dans le cadre d’une néoplasie mammaire en pensant que je vais lui proposer une thérapeutique ‘’soft’’ et se voit proposer l’ablation complète de son sein pour quelques micro calcifications ne peut pas penser avoir bénéficié, du moins dans un premier temps, d’une thérapeutique non agressive.

 

Ce choix décisionnel est généralement dû à la nécessité de proposer une thérapeutique qui soit la plus sécurisante sur le plan loco régional, choix qui a été rendu nécessaire par l’agression initiale généralement déclenchée par les biopsies réalisées au préalable à l’aveugle dans le sein afin d’établir un diagnostic (ce que j’essaie d’éviter de pratiquer à chaque fois que cela est possible).

 

Compte tenu des difficultés et des conflits auxquels je suis confronté, il est évident qu’en préconisant une médecine intégrative, je suis obligé d’obtenir des résultats encore plus performants. Le meilleur exemple de l’efficacité de ce type de stratégie est apporté par le soutien de mes patients et par l’absence totale de plainte à mon encontre. Cela ne veut pas dire malheureusement que j’arrive à guérir tous les cancers, bien évidemment.

 

Il est important de rester en permanence dans un dialogue avec son patient et l’ensemble de son entourage familial et surtout de ne jamais rien cacher de la situation et des difficultés d’obtenir un résultat en essayant néanmoins de ne jamais lui faire perdre tout espoir dans un futur plus pour moins proche.

 

Qu’advient-il de la plupart de vos patients qui étaient en traitement chez vous, comment font-ils à présent ?

 

Difficile question car cela dépend de la situation clinique des patients. Pour l’instant, je continue à les prendre en charge car la décision ne sera effective qu’au 1er janvier 2013. Par ailleurs, comme je l’ai déjà précisé, au 1er janvier, je serai interdit de donner des soins aux assurés sociaux mais cela ne m’interdit en aucune mesure de continuer à conseiller les patients qui viendraient me demander un avis.

 

Le Dr Martine Gardénal qui est un des trop nombreux médecins à avoir été pourchassée par l’Ordre des Médecins, explique dans une vidéo que selon une législation française de 2005, les médecins ont l’obligation de dénoncer les patients « déviants » par recommandé avec R à l’Ordre des Médecins et à la Sécurité Sociale. Par « patients déviants », il est donc sûrement question de gens qui refusent des chimiothérapies ou des vaccins… aviez-vous entendu parler de cette disposition passée en toute discrétion ?? Qu’en pensez-vous, ne quittons-nous pas là le champ de la démocratie ?

 

Je connais le Dr GARDENAL et c’est une personne qui ne s’exprime pas à la légère. Cependant, dans le flot des difficultés auxquelles j’ai été amené à faire face depuis de nombreuses années, j’avoue ne pas avoir pris conscience de cette directive de 2005.

 

Ceci étant, par expérience, je sais que depuis la période Vichy, la délation est devenue un sport national en France et le Conseil de l’Ordre des Médecins n’a pas attendu 2005 pour se lancer dans ce genre de démonstration.

 

L’expérience que j’ai développée depuis quinze ans en Espagne m’a permis de découvrir un tout autre mode de fonctionnement de la population, ce qui est très agréable.

 

Sur votre site internet, vous évoquez le cas très intéressant de l’Affinitor, un médicament de Novartis qui a obtenu en France une AMM en 2009 et qui est prescrit dans les cas de cancer rénal avancé…étonnamment, ce médicament qui n’a donc démontré aucune efficacité en terme de délai de survie mais qui n’est pas dénué d’effets secondaires, a quand même pu être jugé « utile » et digne de remboursement alors qu’il est excessivement cher mais remboursé à 100% ! Pouvez-vous nous rappeler le prix mensuel de ce « traitement » et ce que cela rapporte ainsi au fabricant chaque année au vu du nombre de patients concernés ?

 

Concernant l’article auquel vous faites référence, j’ai été assez clair. Le prix du médicament est de 4117 euros. Néanmoins, comme je l’ai précisé, l’autorisation pour 4 ou 5 médicaments équivalents fabriqués par d’autres laboratoires a été donnée dans les mêmes conditions et nous sommes dans les mêmes ordres de prix.

 

2760 cas par an  x 12 mois  x 4138,56 € font un chiffre d’affaire annuel, au minimum de  137 069 107,20 € !!!

 

Les traitements que vous préconisiez étaient-ils bien remboursés ? Que coûtaient-ils à la Sécurité Sociale et au patient sur une base mensuelle, en comparaison ?

 

Les traitements que je préconise sont en partie remboursés lorsque je suis amené à prescrire des opiacées, de la cortisone, des anti-inflammatoires, des antibiotiques, de la chimiothérapie, du moins celle qui est encore accessible en médecine de ville, …

Quant à la question du coût pour la sécurité sociale sur une base mensuelle, il est difficile de répondre car tout dépend de la prise en charge des patients.

 

En tout cas, avec les nouvelles chimiothérapies mises en œuvre en milieu hospitalier, notamment dans les cancers de l’intestin, sachez qu’un traitement mensuel, rien que par la prise médicamenteuse avec les options (induction de production de globules rouges et de globules blancs), peut être estimé entre 10 000 et 15 000 euros par patient et par mois.

 

Je doute pour ma part que mes thérapeutiques dépassent les 1000 euros par mois en prenant en compte les analyses de sang, les examens radiologiques et autres.

 

On assiste avec les vaccins aux mêmes genres de pressions sur les médecins qui pratiquent différemment et qui osent remettre en question les dogmes et la pensée unique en la matière. Que pensez-vous du secteur des vaccins, voyez-vous des similitudes avec ce qui se passe en cancérologie ?

 

A partir du moment où les vaccins sont fabriqués par les mêmes laboratoires que dans le domaine de la cancérologie ou du moins à un niveau plus élevé, nous sommes confrontés au même problème.

 

Il n’y a qu’à voir le côté scandaleux de la publicité faite sur un vaccin comme le GARDASIL qui a déclenché une levée de boucliers avec une pétition signée par plusieurs milliers de médecins en Espagne.

 

Dès que d’énormes sommes d’argent sont en jeu, que ce soit dans le sport ou la médecine, nous sommes confrontés aux mêmes déviances.

 

D’ailleurs, à chaque fois que j’entends un grand professeur contester les données d’une recherche qui dérange l’industrie pharmaceutique et démolir des travaux qui semblent intéressants, il suffit de taper sur internet le nom de ce soi-disant grand professeur et d’y associer conflit d’intérêt et vous trouvez généralement toutes les réponses aux questions que vous vous posez.

 

Avec les OGM, nous venons d’assister également à une véritable « fatwa scientifique » sur le Pr Gilles Eric Séralini. Six Académies se sont liguées contre lui en accusant l’homme et sa méthodologie sans parler de la revue qui a publié ses travaux…Ca ressemble assez fort à ce qui s’est passé avec le Pr Luc Montagnier et les propos cependant très mesurés qu’il avait tenus sur les vaccins et leurs effets secondaires, propos qui lui ont valu la coalition de 100 ex Prix Nobels et un courrier de ces derniers au président camerounais de façon à le dissuader d’accorder le moindre poste au Pr Montagnier. Selon vous, qu’est-ce qui fonctionne mal, que faut-il changer, comment permettre à des scientifiques respectables mais dissidents de ne plus être bâillonnés ?? Ne faudrait-il pas selon vous réformer complètement l'Ordre des Médecins avec des procédures plus pertinentes qui ne pourraient par exemple être actionnées en l'absence de tout grief émanant de patients?

 

Je fais référence au dernier article que j’ai publié sur mon blog relatif à l’ordre des médecins.

 

Nous avons des individus qui généralement ont largement dépassé l’âge de la retraite, qui ont des rémunérations qui sont manifestement scandaleuses et des plus illégales.

 

En fait, ils sont là pour défendre le dogme. Le problème, c’est que le Conseil de l’Ordre des Médecins est déconsidéré par l’ensemble de la population mais dès lors qu’il frappe, ses décisions sont toujours prises en considération.

 

Le Conseil de l’Ordre des Médecins  est à l’image de sa fondation, à savoir la manipulation des informations.

 

Par exemple, sur le seuil du Conseil National de l’Ordre des Médecins , il est inscrit la déclaration du professeur PORTES stipulant que les médecins ne devaient pas devenir les complices de l’occupant allemand et surtout résister ; déclaration glorieuse qui a en fait été formulée à la date du 22 juin 1944, soit un mois et demi après le débarquement des alliés.

 

Tout ceci avait été orchestré pour gommer le scandale de l’origine de la création du Conseil National de l’Ordre des Médecins qui a été mis en place par le gouvernement de Vichy. Il existe d’ailleurs une face cachée de l’histoire du Conseil National de l’Ordre des Médecins qui a notamment interdit aux médecins juifs d’exercer.

 

Ce sont ces mêmes individus qui se sont retrouvés à la tête du Conseil National de l’Ordre des Médecins lorsque le général de Gaulle a remis en place cette institution. Tous ceux qui ont voulu s’approcher de trop près de cette institution se sont retrouvés broyés par celle-ci.

 

Je suis mal placé pour critiquer le Conseil de l’Ordre des Médecins car je suis moi-même inscrit au Conseil de l’Ordre des Médecins en Espagne et j’ai une tout autre vision du Conseil de l’Ordre des Médecins espagnol : c’est une institution qui est vraiment là pour défendre l’honneur de la profession et le respect des patients. Je suis bien placé malheureusement du côté français pour avoir la vision contraire de cette institution.

 

Le problème, c’est que nous sommes dans un système qui pourrait s’apparenter à un système mafieux où il existe des conflits d’intérêts qui sont régulièrement dénoncés mais où rien ne bouge. Tout le monde se tait, à la fois les syndicats, les partis politiques car chacun à quelque chose à y gagner et quelque chose à craindre, le monde médical le premier.

 

Nous sommes très peu à avoir osé demander au Conseil de l’Ordre des Médecins le montant des rémunérations de ses élus et il serait très facile à titre individuel pour les médecins de refuser de payer les cotisations pour faire tomber le système mais personne n’a osé le faire de manière efficace.

 

Donc, la question n’est pas de réformer complètement le Conseil de l’Ordre des Médecins car le problème n’est pas exclusivement lié au Conseil de l’Ordre des Médecins mais à l’ensemble du système de santé et du système politique, le tout fonctionnant avec des fonds plus ou moins occultes.

 

Avez-vous eu des contacts avec les autorités ou des élus en particulier, vous ont-ils accordé un soutien pour certains ?

 

En tant que médecin, nous sommes amenés à soigner des gens de tout niveau. Bien évidemment, j’ai eu des contacts à la fois au niveau des partis de droite en son temps comme de gauche actuellement. Le problème, c’est qu’il existe une différence entre ce que les politiques voudraient faire et ce qu’ils peuvent réellement faire.

 

Concrètement, quelles actions positives les citoyens gagnent-ils à mener pour vous aider d’une part et d’autre part, d’une façon générale pour « s’aider eux-mêmes » en quelque sorte car bien entendu, c’est surtout avant de tomber malade qu’il faut veiller à ses chances thérapeutiques et pas in extremis, dans la panique suscitée le plus souvent par un diagnostic inquiétant ?

 

C’est une question difficile qui nécessiterait plusieurs heures pour répondre car y répondre de manière satisfaisante reviendrait à développer une notion de la philosophie de la vie.

 

Par les médias, les gens sont victimes de leurs propres peurs et acceptent toutes les informations qui leurs sont communiquées. Autrefois, il y avait effectivement moins d’informations mais les gens qui avaient le pouvoir et le savoir étaient encore animés par un certain sens de l’honneur et de l’honnêteté, ce qui ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de brebis galeuses. Maintenant, il semblerait que la tendance soit inversée et que la manipulation par les médias soit devenue beaucoup plus efficace et plus perverse.

 

Le dernier exemple est celui du gâchis complet de la grippe H1N1. De même, pour reprendre le cas de la coqueluche, nous sommes, je crois, à la troisième génération de vaccins et on nous explique que les deux premières étaient complètement inefficaces alors qu’on nous avait expliqué auparavant qu’elles étaient très efficaces et qu’il faut faire confiance à la troisième génération. On a même réussi à convaincre les gens âgés de se revacciner contre la coqueluche. Je trouve étonnant pour ma part, dans ma clientèle, depuis 2011, d’avoir été confronté pour des gens âgés à de nombreux cas de coqueluche dans certaines régions de France. Ceci est un exemple parmi tant d’autres.

 

Si nos concitoyens veulent rester en bonne santé, il faudrait d’abord qu’ils arrêtent de sombrer dans un excès de juridisme. Peu de gens ont pris conscience qu’avec l’arrivée de l’Europe, nous avons dû subir l’arrivée de normes de plus en plus restrictives.

 

C’est ainsi que la plupart des vieux médicaments qui avaient fait la preuve de leur efficacité et de leur non toxicité mais qui étaient peu vendus ont vu leur fabrication arrêtée car il coûtait trop cher aux laboratoires d’obtenir leur agrément de mise sur le marché au niveau européen. Actuellement, l’ensemble du corps médical pratique la médecine non pas en fonction de ce qui pourrait être bien pour les patients mais en essayant de respecter au maximum l’application des protocoles thérapeutiques.

 

En France, nous avons récemment été émus par le cas d’une jeune femme qui a tragiquement perdu son bébé alors qu’elle était enceinte et qu’elle a accouché pendant son trajet d’une heure à la maternité. Ceci peut paraître scandaleux mais mon expérience personnelle m’a montré que l’ensemble des patients qui ont dû aller aux urgences ont dû attendre plus de cinq heures avant même qu’un médecin ne les examine.

 

Récemment, une de mes patientes présentant une appendicite aigue a dû attendre près de cinq jours avant que son cas ne soit réellement pris en charge. En effet, aujourd’hui le respect du protocole nécessite une analyse de sang, une échographie et un scanner avant que la décision ne soit prise d’enlever l’appendice. Cette dame a eu beaucoup de chance puisque son appendice était pleine de pus mais n’avait pas encore éclaté, ce qui aurait eu des conséquences catastrophiques.

 

Il est évident que si pour chaque urgence il faut attendre la réalisation d’un scanner, cela peut expliquer les 5 heures et plus d’attente avant d’être pris en charge. A mon époque hospitalière, il suffisait d’une palpation abdominale et d’un toucher rectal pour prendre la décision d’enlever un appendice.

 

Le problème est le même pour les problèmes de prostate, de seins, etc…

 

Bien sûr, quand on analyse la jurisprudence des affaires médicales, je comprends les prises de position de nombre de mes confrères. Maintenant, nous avons des juges qui demandent à des experts de se déterminer sur des chances de guérison qui ont pu être perdues dans des cas très complexes, y compris en cancérologie. Des experts dont on se demande d’où viennent réellement leurs compétences se permettent des affirmations que je juge pour ma part des plus scandaleuses. Il est bien évident que pour un médecin ou un chirurgien, il vaut mieux actuellement appliquer strictement les protocoles en cours, mis en place au demeurant par la Haute Autorité de Santé avec des membres qui ont dans la majorité des cas des prises d’intérêt avec les laboratoires plutôt que d’essayer de s’écarter de ces protocoles.

 

L’application en est des plus rentables, ce qui permet de bénéficier de la reconnaissance de ses pairs et d’éviter les foudres ordinales de la justice alors que si vous voulez utiliser d’autres stratégies thérapeutiques pour le bien de vos patients, vous encourrez de graves sanctions comme celle que je suis en train de subir.

 

Dr Moulinier, merci pour ces réponses !

 

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 11:06

Madame Marisol Touraine, Ministre de la santé.

 

 

Loos-en –Gohelle le 25 novembre 2012.

 

 

Madame la Ministre,


Un groupe de personnes pour lesquelles le diagnostic de myofasciite à macrophages a été posé, entame  dès lundi une grève de la faim mettant ainsi leur vie en danger. Elles sont convaincues de la nocivité de l'aluminium vaccinal. Elles sont – comme moi – surprises que les travaux universitaires entrepris à l’Hôpital Henri Mondor par l’équipe du Pr. Romain Gherardi connaissent des difficultés tout à fait anormales et risquent d’être interrompues. La réalité de l’état dans lequel ces personnes se trouvent est indiscutable. La responsabilité de l’aluminium est plus que très probable. L’urgence de poursuivre les recherches et dans l’attente des résultats, la mise en place d’un moratoire concernant l’utilisation des vaccins contenant de l’aluminium en particulier, est nécessaire.

 

J’avais à l’époque (1986) au moment où le Professeur Douste-Blazy, qui était Ministre de la Santé, mettait en place une campagne de vaccination contre l’hépatite virale B sur la base – c’est démontré depuis – de mensonges, initié une campagne de signatures de médecins exigeant un moratoire de ces campagnes. Plus de 1500 médecins et universitaires avaient signé l’appel. Le successeur de Monsieur Douste-Blazy, Monsieur Bernard Kouchner avait arrêté cette campagne pour que des études, sur les éventuelles conséquences du vaccin, sur la réalité de l’incidence de l’hépatite B en France et sur les effets secondaires des vaccins soient mises en place. 

 

Sang contaminé, hormones de croissance par le virus de l’hépatite C et du SIDA, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, dangerosité du virus H1N1 surestimée, etc…  la liste est déjà longue des scandales de santé publique.

 

Je rappelle à ce sujet en particulier dans les suites de l’affaire du sang contaminé, que le haut fonctionnaire qu’est Monsieur Didier Tabuteau a publié un petit livre, qu’il faudrait offrir à tous les décideurs de la santé publique et du soin quelles que soient leur activité : « La sécurité sanitaire ». Dans la préface à cet ouvrage, le Professeur Félix Reyes, qui était Doyen de la faculté de médecine de  Créteil écrivait : « La leçon du SIDA transfusionnel est là : que soient définis clairement les niveaux de responsabilité, proscrit le mélange des genres, dissociées  les fonctions d’expert, de décideur et de gestionnaire. L’efficacité d’une thérapeutique est une chose, les considérations tarifaires une autre ». Avec des médecins amis, nous avions désigné cette réalité : la politique des 3 casquettes. Il y a donc bientôt 20 ans, la nocivité pour la santé publique de cette politique était la leçon tirée du scandale du sang contaminé. Y a-t-il eu des changements depuis ? Aucun, strictement aucun, sauf quelques petits ripolinages par-ci par-là. Le problème reste entier et repose désormais sur vos épaules.

 

Je tiens particulièrement à souligner combien le statut des vaccins dans notre pays est anormal voire scandaleux. Ils sont considérés comme des médicaments sans être soumis à la règle commune de tous les médicaments. Je n’ignore pas à ce sujet que le rôle de l’industrie pharmaceutique uniquement centré sur la recherche du profit maximum et à tout prix – voir les scandales du médiator et autres – est en matière de santé publique un problème crucial. Et ce problème c’est le contrôle strict de cette industrie par les pouvoirs publics et les usagers. Quand verrons-nous un gouvernement et un ministre de la santé prendre ce problème à bras le corps, sans se poser au préalable la question de l’économie et des exportations ? Quand cessera réellement la politique des 3 casquettes ?

 

Je rappelle par ailleurs que Monsieur François Hollande, actuel Président de la République, avait pendant sa campagne électorale, tenu des propos clairs sur le sujet précis des myofasciites à macrophages et plus globalement sur les principes actifs des médicaments et des vaccins. Dans ses propos il avait en particulier "ciblé" certaines molécules et, parmi elles, les hydroxydes d’aluminium. Ces propos l’engagent et vous engagent Madame la Ministre.

 

Je ne doute pas, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. Par la même occasion vous permettrez aux grévistes de la faim de ne pas poursuivre leur mouvement. Vous comprenez que cela nécessite des décisions urgentes.

 

J’ai participé en 1986 à un groupe de travail mis en place par Madame Georgina Dufoix à la demande expresse du Président de la République, Monsieur François Mitterrand, sur l’évaluation des médecines différentes. Ce groupe de travail était paritaire. Une large consultation publique avait pu être mise en place. Le rapport a été publié par la Documentation Française mais malheureusement aussitôt enterré et ce rapport n’est plus disponible.

 

En 1983, le Ministre de la santé, Monsieur Jack Ralite a organisé une large consultation sur le cancer. Les rapports se sont aussi perdus.

 

Ces deux séries d’évènements montrent que sous les gouvernements de vos amis politiques il avait été tenté de faire bouger les lignes en impliquant les usagers.  Je pense qu’il serait de votre responsabilité de courageusement organiser une vaste consultation publique sur ce problème de l’aluminium dans les vaccins et plus généralement sur la politique vaccinale.

 

En espérant que mon courriel retiendra votre attention, je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma respectueuse considération.

 

Docteur Jacques Lacaze

 

 

                                                                                              Ozillac, le 25 novembre 2012.

 

Madame la Ministre,

          

J’apprends avec inquiétude que des malades de myofasciite à macrophages s’apprêtent dès lundi à suivre une grève de la faim et mettent ainsi leur vie en danger pour que la nocivité de l'aluminium vaccinal soit enfin reconnue et prise en compte par les autorités publiques de santé.

 

En tant que médecin je suis profondément troublé que ces personnes doivent engager cette démarche afin que les autorités politiques et sanitaires prennent enfin au sérieux leurs engagements et leurs responsabilités pour soutenir et favoriser les recherches déjà engagées dans ce domaine par l’équipe de l'hôpital Henri Mondor.

 

Sang contaminé, hormones de croissance, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, virulence du virus H1N1, etc…  Cette liste des scandales de santé publique doit-elle encore s’allonger ?

 

N’est il pas incompréhensible et donc scandaleux que les responsables de la santé publique ou les responsables politiques soient informés des risques mais ne prennent pas les mesures qui s'imposent ? Beaucoup de médecins et chercheurs sont aujourd’hui persuadés, comme moi, de la nocivité des adjuvants aluminiques. Il est donc temps par conséquent de les interdire ou de décréter un moratoire, d’autant que d’autres adjuvants existent ne présentant pas les mêmes risques (autrefois, avant l’aluminium, le phosphate de calcium était utilisé).  L’aluminium ne vient-il pas d’être interdit dans les cosmétiques ? Pourquoi ne l’est-il pas dans certains vaccins qui sont injectés en intra musculaire ?

 

J’espère, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. D’autant plus qu’au cours de la campagne présidentielle, vous avez écrit à E3M :


« La préservation de la santé humaine passe par une meilleure connaissance des déterminants environnementaux de santé, notamment ses facteurs physiques et chimiques. (…) De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium. (…) La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Si ces paroles ont un sens, nous pensons que cela nécessite des décisions urgentes et permettrait aux grévistes de la faim d’arrêter leur action. Mais surtout cela libérerait la remise en cause de la vaccination dans la population.

 

En espérant que mon courriel sera pris en considération,  je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma considération.

 

Docteur Didier Tarte

 

Voir aussi ici: la Ministre M. Touraine souhaite que les recherches sur l'aluminium vaccinal puissent se poursuivre.                                     

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 22:30

armee-italienne.jpg

La Commission d'Enquête parlementaire sur l'uranium appauvri semble avoir trouvé une nouvelle cause à plusieurs cas de cancers détectés chez des soldats italiens.

 

Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l'armée; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d'exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries,...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer.

 

Les doutes sur le fait que l'uranium n'est pas la seule cause possible de cancers au sein de l'armée, résident dans le fait que 85% des militaires touchés n'étaient jamais partis en mission à l'étranger (mais ils avaient néanmoins tous été vaccinés...)

 

En effet, même si les soldats étaient restés en Italie, leur exposition aux produits chimiques les rendait d'autant plus à risque de développer un cancer si leur système immunitaire avait été attaqué/malmené, comme c'est le cas après plusieurs vaccinations inoculées en un court laps de temps.

 

Déjà en 2007, le Ministre de la Défense Arturo Parisi déclarait au Comité: "Les militaires qui ont développé des cancers et qui semblent être partis à l'étranger entre 1996 et 2006, sont au nombre de 255 personnes tandis que ceux qui sont tombés malades sans avoir pris part à des missions internationales sont au nombre de 1427." Ces chiffres ont doublé en 2012: 698 patients parmi ceux qui sont partis en mission à l'étranger contre 3063 qui sont restés en Italie, pour un total de 479 décès (données épidémiologiques de la Défense).

 

Source: Italiasalute.it (9/10/12)

 

Infos complémentaires intéressantes parues quelques jours + tôt dans la Republica:

 

Des experts internationaux établissent un lien entre les cancers dans l'armée et les vaccinations.

 

[...] David était en bonne santé lorsqu'il a été vacciné le 19 juin 2006 dans le cadre de son service militaire, à Vérone. La veille, il avait encore gagné un marathon local, mais après sa dernière injection, il est tombé à terre et à perdu connaissance. Aujourd'hui, il doit vivre avec un handicap de 90% dû à une neuropathie, une maladie neurologique auto-immune, dans laquelle la charge en métaux toxiques des vaccins pourrait avoir joué un rôle et gravement altéré son système immunitaire. David a été accusé puis acquitté du crime de désertion (!). Sa famille a entamé une bataille difficile afin de faire reconnaître le préjudice subi par leur fils suite aux vaccinations injectées dans le cadre de son service militaire. En dépit des analyses de laboratoire et des cartes de vaccination pleines d'irrégularités, la mère de David, qui a rencontré plusieurs autres familles dans des situations similaires, explique: "Nous sommes face à un mur infranchissable, on a l'impression de crier dans le désert."

 

[...] Pour le Professeur de médecine Antonio Giordano, du Sbarro Institute de Philadelphie, dont le journal italien La Republica nous assure que son impartialité ne fait aucun doute:  "Il existe un lien reconnu et étroit entre les vaccinations et l'affaiblissement du système immunitaire."

 

Les journalistes de la Republica demandent alors au Pr Giordano ce qu'il répondrait à un soldat qui viendrait lui demander son avis sur le fait de devoir réaliser une douzaine de vaccinations en-déans le mois? Le Professeur Giordano répond: "Je lui expliquerais qu'il pourrait tout aussi bien se suicider." Et le Professeur Giordano de proposer aux Instituts Sbarro du Cancer et de biologie moléculaire de Philadelphie de réaliser gratuitement des études scientifiques destinées à faire éclater la vérité. Une proposition qui semble avoir même retenu l'attention des autorités italiennes compétentes.

 

La Commission d'Enquête sur l'uranium appauvri enquête donc à présent sur les vaccinations, un sujet jusqu'ici passé sous silence, en dépit des avertissements croissants de plusieurs médecins et de nombreuses familles ces dernières années. "Ils ont essayé de taire tout ça jusqu'ici, en raison des intérets financiers en jeu et surtout parce que ces résultats dérangeants obtenus chez les militaires peuvent tout aussi bien être transposés aux civils" explique le médecin et fonctionnaire de police Dr Massimo Montinari, "mais maintenant il semble que, même au sein du monde politique, un changement soit en marche."

 

Fin 2011, des indemnités ont été accordées à 110 militaires sur 350, touchés par des maladies incriminant des substances toxiques. Les indemnités pouvaient s'élever à 200 000 euros. Mais maintenant, à la lueur de cette nouvelle piste et de l'implication des vaccins, les 240 dossiers qui avaient été rejetés pourraient tous être rééxaminés.

 

Une étude commandée en 2004 à différentes universités italiennes (Gênes, Rome, Pise) a montré qu'au-delà de 5 vaccinations, on compromet automatiquement le système immunitaire. Dans le rapport final du projet Signum (projet d'investigation diligenté par la Commission d'Enquête), sorti le 17 janvier 2011, il est clairement indiqué que les sujets hypervaccinés, exposés à des substances toxiques comme l'uranium appauvri, les dioxines ou d'autres pollutions environnementales, peuvent plus facilement développer des maladies graves.

 

En outre, on a ignoré jusqu'ici des études internationales aboutissant aux mêmes résultats et menées par des chercheurs réputés et indépendants, comme le Pr Giulio Tarro, médaillé d'or du Président de la République et mondialement connu en matière de maladies infectieuses ou encore Franco Noble, du Centre d'excellence contre le Cancer de Sienne et qui a aussi mené des études sur les forces armées.

 

[...] Pour ce qui est des dommages vaccinaux présumés au sein de l'armée, les plaintes sont  principalement de deux ordres.

 

- celles concernant la violation des protocoles vaccinaux par les médecins militaires (qui étaient possiblement ignorants des risques encourus et qui voulaient vacciner un maximum). Ces plaintes impliquent le Ministère de la Défense.

 

- celles concernant le contenu même des vaccins, puisque de nombreuses études scientifiques montrent que les maladies auto-immunes et les cancers peuvent impliquer les métaux toxiques des vaccins, dont le mercure. Dans ce cas-là, c'est le Ministère de la Santé qui est en cause, ainsi que l'industrie pharmaceutique.

 

Ces métaux toxiques ont été retrouvés en grande quantité dans le corps de David. Pour le Pr Tarro, les vaccins militaires ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux destinés aux civils, les vaccins militaires contenant davantage de mercure en raison d'une présentation en flacon multidoses. Il estime qu'à l'armée, ces doses de métaux toxiques sont "des doses de cheval".

Pour Tarro, un des mécanismes en cause est l'amas considérable de métaux lourds des vaccins reçus en un court laps de temps, métaux qui se lient alors aux triglycérides du corps et peuvent dans ce cas devenir un facteur de maladie cardiaque.

 

Source: Republica.it (extraits)

 

NB: Merci au lecteur vigilant nous ayant signalé cette information très importante!

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 19:15

La nouvelle agence du médicament n'est pas sans intérêts

 

Résistance Inventerre

ven., 23 nov. 2012

Après le brillant épisode du Mediator, tout a changé dans le monde du médicament : le directeur de l'agence de contrôle a changé, son nom a changé (adieu l'Afssaps), le conseil scientifique a changé, tout a changé. Enfin presque.


La présidence du conseil scientifique de la nouvelle Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) est allée à une chercheuse de 67 ans, Annick Alpérovitch. Alors que les liaisons incestueuses avec l'industrie pharmaceutique sont une des clés connues et reconnues dans ce désastre sanitaire, la dame, un temps membre du comité d'éthique, affiche une déclaration publique d'intérêt longue comme une ordonnance pour un mourant.

 

annick-alperovitch.png                                                                                  Annick Alpérovitch

 

Consultante, elle continue de recevoir des honoraires d'une brochette d'industriels. Elle travaille notamment pour LA-SER, une boîte de consulting qui a pour clients tous les gros labos, mais aussi pour Sanofi. Certains de ces contrats sont en cours.

 

Il s'agit de « rémunérations personnelles » qu'elle se serait engagée par écrit, dixit l'ANSM, à ne pas toucher.

 

Mais, là, l'agence s'excuse : « Ces courriers ne sont pas publics. » C'est bête. D'autant plus bête que l'intéressée, elle, affirme crânement au Canard Enchaîné qu'elle n'a rien signé du tout !

 
La transparence est en marche...

 

Source: fr.sott.net 

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 10:04

150 employés ont été licenciés pour avoir refusé de recevoir le vaccin contre la grippe

L'un des plus gros employeurs de Cincinnati, TriHealth, a mis à la porte 150 de ses employés parce qu'ils ont refusé de recevoir le vaccin contre la grippe, offert gratuitement par la compagnie.   Les 10 800 employés avaient un mois pour recevoir le vaccin, soit jusqu'au 16 novembre.

 

Sources: Conscience du Peuple & wlwt.com

Tri-Health.JPG

 

NB: Remarquez aussi l'hypocrisie de cet employeur et le double discours flagrant.

A l'instar des pharmas aux slogans trompeurs et contraires à leur politique réelle (du style "L'essentiel, c'est la Santé"), on est ici dans les belles images qui défilent et dans des slogans du même type ("Découvrez le pouvoir de l'unité"). Ajoutez à cela que tout le monde travaille à votre Bien, "pour vous aider à vivre mieux" mais tout en bafouant, en interne, les libertés élémentaires des travailleurs!

 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 22:11

L’Espagne s’interroge sur la pertinence

de la vaccination HPV

  

Espagne-carte-Sanev-jpg

 

SANEVAX ,16 Novembre 2012

 

Le récent décès d’une jeune fille de 13 ans après la seconde injection du vaccin a poussé les citoyens espagnols à exprimer leurs inquiétudes par rapport à la pertinence du programme de vaccination HPV dans le pays. Le fait que la jeune fille ait reçu une deuxième injection en dépit du fait qu’elle avait fait une réaction asthmatique grave après la première dose du vaccin nécessitant une hospitalisation, soulève d’autres questions. Les autorités gouvernementales de santé fournissent-elles des informations adéquates sur les effets secondaires possibles ? Les citoyens espagnols veulent savoir. Le Parlement Européen fournira-t-il des réponses aux questions posées ?  (Sanevax)

 

Source : Registre du Parlement Européen, 22 octobre 2012

 

Veuillez noter que la réponse à la question sera donnée endéans les 8 semaines

 

Question pour réponse écrite E-009047/20120 LA Commission, Article 17, Andres Perello Rodriguez (S&D)

 

Sujet : Réactions indésirables au vaccin contre le papilloma virus humain (HPV)

 

En 2007, le ministère espagnol de la Santé a approuvé le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) pour l’inclure dans son programme de vaccinations. Le ministère a non seulement recommandé l’utilisation de ce vaccin, mais il a contribué à son financement, afin qu’il puisse être offert gratuitement à toutes les jeunes filles de 14 ans.

 

De nombreux effets secondaires ont été enregistrés dans d’autres pays qui avaient déjà commencé à administrer ce vaccin. Une partie importante du personnel des soins de santé s’est interrogé sur la décision prise et a exprimé ses doutes par rapport à la qualité, l’efficacité, ainsi qu’au prix élevé du vaccin. En dépit de cela, les autorités de Santé espagnoles ont mis sur pied une campagne de vaccination systématique, en omettant de mentionner les risques liés à l’administration de ce vaccin. Les autorités ont fortement insisté sur le fait que le vaccin était sans danger bien qu’il ait été assez récemment mis sur le marché. Ni la notice destinée au patient, ni non plus la campagne d’information n’ont mentionné les réactions indésirables possibles, comme par exemple le risque encouru par les patients sujets à l’empoisonnement aux métaux. Les autorités n’ont pas non plus informé les jeunes filles ou leurs parents des alternatives possibles au vaccin, de la prévalence du virus ou de son lien avec le cancer.

 

En Espagne on a signalé 750 cas d’effets secondaires au vaccin, dont certains furent particulièrement graves, comme le récent décès d’une jeune fille de 13 ans à Gijon après une crise d’asthme liée au vaccin.

 

La Commission est-elle bien informée des cas d’effets indésirables relatifs au vaccin contre le papillomavirus humain ?

 

La Commission a-t-elle effectué des recherches sur les causes de ces effets indésirables ?

 

La Commission s’est-elle assurée que les gouvernements nationaux fournissent une information adéquate aux citoyens de l’Union Européenne au sujet des réactions indésirables à ce vaccin ?

 

Etant donné le nombre des cas rapportés, la Commission est-elle en mesure d’expliquer les causes et les suites de ces effets secondaires ?

 

Commentaires

 

16 novembre 2012 - Sandy Lunoe écrit :

 

Un cas tragique de plus après ce vaccin Gardasil !

 

Qu’en aurait-il été si Merck n’avait pas eu recours à ses propres critères d’exclusion au cours des essais cliniques ?

 

Il est à noter que, pour ces essais, le vaccin a été testé sur des groupes triés sur le volet parce qu’ils étaient le moins susceptibles de présenter de graves effets secondaires indésirables. Ces groupes n’étaient certainement pas représentatifs de ceux qui ont été ou qui seront vaccinés.

 

Critères d’exclusion de Merck :

 

1.   Allergies à un des composants du vaccin

2.   Histoire d’une allergie grave

3.   Histoire connue d’une allergie à des aliments ou à des médicaments

4.   Immunodéprimés, immunodéficients ou personnes atteintes de maladies auto- immunes

5.  Toute autre condition de santé, thérapie, anomalies dans des examens de  laboratoire ou autre circonstance qui ne favoriserait pas la participation à l’étude.

6.   Résultats cliniquement significatifs de maladie au cours du dépistage ou de l’examen physique qui, de l’avis de l’investigateur, serait susceptible de  compromettre l’issue de l’étude.

7.   Système immunitaire affaibli ou autres problèmes d’immunité.

 

Il est tout à fait irresponsable et contraire à l’éthique de tester ce vaccin ou tout autre vaccin sur des groupes triés sur le volet et « filtrés » à ce point, en vue de pouvoir affirmer que le vaccin est sans danger – et qu’en conséquence il peut être mis sur le marché et administré à un nombre considérable de personnes qui pourraient présenter des états de santé tels que ceux qui ont été délibérément éliminés des essais cliniques.

 

Il s’agit ici d’une raison supplémentaire pour laquelle la sécurité des vaccins doit impérativement être remise en question.     

  

Source: SaneVax 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 22:00

Le Journal du Médecin du 20 novembre dernier consacrait un article à la pénurie de médecins à l'ONE. Dans cet article, on pouvait notamment lire que " Pour le député PS Daniel Senesael, l'âge élevé des médecins ONE, combiné à la pénurie des médecins pose un réel problème dans les consultations nourrissons et en milieux d'accueil. Par ailleurs, les médecins volontaires ne se pressent pas au portillon de l'Office de la Naissance et de l'Enfance."

 

Pour le Ministre de la Petite Enfance, Jean-Marc Nollet, la pénurie serait aussi due au Numerus Clausus. " Le recours à des médecins de plus de 65 ans est parfois la seule solution pour éviter la fermeture d'une consultation. L'ONE met en oeuvre quantité d'actions pour attirer des médecins de qualité et stabiliser ceux qu'il emploie. En réalité, l'Office et moi-même avons exploré la piste de l'engagement contractuel pour un seul médecin."

 

Cette expérience visait spécifiquement à pallier à une difficulté rencontrée localement en province de Luxembourg. "En effet, le car sanitaire de l'ONE ne disposait plus de médecin pour ses consultations. Après quatre mois de fonction, ce médecin a souhaité mettre un terme à son contrat."

 

"L'Office a alors procédé à un nouvel engagement, cette fois sous statut d'indépendant, comme le demandait le nouveau médecin. "Celui-ci est en fonction depuis deux mois et il est donc un peu tôt pour évaluer la pertinence de cette solution. Parmi les actions mises en oeuvre par l'ONE pour augmenter l'attrait de la fonction, je citerai notamment la mise à disposition d'un site de formation en ligne, la formation en médecine préventive et en santé publique, les contacts aussi nombreux que réguliers avec les universités pour sensibiliser et promouvoir la médecine préventive."

 

Est-ce étonnant que l’ONE rebute des médecins ? Que vacciner à la chaîne des enfants dans un « car sanitaire » ne soit médicalement pas très enthousiasmant ?

 

Pour l’ONE, promouvoir la médecine préventive, c’est d’abord et avant tout promouvoir les vaccins et relayer le discours des pharmas. Ce réductionnisme est affligeant !

 

Du reste, le fait que le Ministre aide cet organisme à se maintenir, en dépit du fait qu’il viole pourtant quotidiennement une loi belge (de 2002, sur les droits du patients) via les pratiques de ses travailleurs, en dit long sur l’éthique et la crédibilité dudit Ministre.

 

Pas étonnant que l’ONE couvre largement ses travailleurs pour toutes leurs bavures en terme de désinformation des gens ou à tout le moins, d’occultation de données essentielles (étant donné qu’ils ne remettent pas systématiquement les notices, pourtant très incomplètes malgré tout, aux parents sauf si ceux-ci pensent à en faire la demande !). Si malgré ce genre de couverture, des médecins préfèrent cependant rester « indépendants », c’est dire l’image qu’ils doivent avoir de cette institution de plus en plus décriée !

 

 

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