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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 00:22

Chers amis, nous vous faisons ci-dessous copie de la lettre qu'Initiative Citoyenne a envoyée ce jour à la presse, à l'ONE, aux parents, à leurs avocats, à des dizaines de médecins et autres professionnels de santé mais aussi à des députés et à beaucoup d'autres citoyens et sites d'information, tout simplement pour que cessent ces mensonges incessants et que s'instaure enfin le RESPECT que mérite la santé des enfants!

 

OBJET: Les propos inexacts de Monsieur Benoît Parmentier de l'ONE récemment parus dans vos médias au sujet des " dérogation​s vaccinales​"

   

Bonsoir,

 

En tant que collectif citoyen, nous sommes particulièrement préoccupés par la quantité ahurissante d'affirmations gratuites et hélas fausses, distillées déjà depuis des mois par l'ONE, par voie de presse, en matière de vaccination.

 

Pour ne citer que quelques mensonges de l'ONE (car la liste est longue), on peut rappeler celui affirmé par voie de presse selon lequel "pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'existe pas de complications graves des vaccins". La preuve scientifique du contraire se trouve ICI avec plus de 1000 références d'études scientifiques et médicales internationales sur les risques et échecs des   vaccins. Après bien sûr, on peut tenter de les nier ou prétendre fallacieusement qu'elles sont "désavouées" par plusieurs autres études financées à la va-vite par les firmes pharmaceutiques pour la plupart, pour sauver à tout prix leurs intérêts commerciaux dès qu'une mise en évidence d'effets secondaires met leurs marchés vaccinaux en danger...

 

Les effets secondaires (mêmes graves) des vaccins sont largement sous-estimés, seuls 1 à 10% de ceux-ci étant effectivement rapportés selon des revues médicales officielles aussi prestigieuses que JAMA ou Prescrire. Même l'Agence française Afssaps représente la sous-notification de ces effets secondaires à la manière d'un iceberg... c'est dire!! (cfr p 5). Par conséquent, les affirmations de l'ONE sur le rapport bénéfices/risques des vaccins ne sont tout simplement PAS FIABLES.

 

Mais l'ONE avait aussi affirmé sur son site que "jamais les vaccins n'entraînent les complications de la maladie contre laquelle ils protègent" ce qui là aussi, est contredit par une littérature médicale qu'ils seraient pourtant censés connaître.

 

L'ONE avait aussi contredit la contre-indication des fabricants de vaccins pour ce qui concerne la poursuite des autres doses de vaccination anti-coquelucheuse en cas d'épisodes d'hypotonie- hyporéactivité survenus au décours de précédentes doses, en affirmant que cela était "une fausse contre-indication" mais mettant du même coup les enfants vulnérables en grand danger de séquelles définitives. Là encore, voici toutes les preuves, on ne peut donc plus se mettre la tête dans le sable, que ce soit en tant que parent ou en tant que journaliste.

 

A présent, Mr Parmentier affirme, là aussi par voie de presse, qu'il y aurait des "dérogations" et déclare également que "Si un avis de contre-indication est motivé par un médecin, une dérogation concernant les vaccinations est possible", a déclaré M. Parmentier, précisant que le conseil des pédiatres de l'ONE suivait l'avis des médecins!"

 

C'est là encore TOTALEMENT FAUX, comme l’a montré un cas en juillet dernier où un médecin avait contre-indiqué la poursuite des autres vaccins en raison d’un eczéma post-vaccinal sévère et généralisé, ce à quoi le Conseiller pédiatre de l’ONE avait répondu qu’il s’agissait en réalité d’une « fausse contre-indication » !! 

 

De même, le cas du petit Antoine Roblain qui avait très mal réagi à une précédente vaccination contre le tétanos et la diphtérie et pour lequel, le médecin traitant avait également motivé et contre-indiqué la poursuite de la vaccination (à une époque où aucune base légale n’existait encore pour la moindre obligation vaccinale en crèches !). L’ONE avait alors soutenu la directrice de crèche qui refusait la réintégration du petit Antoine. Tant la crèche que l’ONE avaient alors été condamnés en 1993 par la justice bruxelloise qui estimait justement aberrant qu’un tiers médecin, tout à fait extérieur au dossier médical de l’enfant, s’arroge le droit de juger du bienfondé de l’avis du médecin traitant. Ces faits étaient d'ailleurs relayés par votre collègue du Soir, Martine Vandemeulebroucke, en date du 5 octobre 1993 très précisément.

 

L'ONE parle des vaccins comme de moyens sûrs et fiables de prévention mais si on prend l'exemple du vaccin contre la coqueluche, même GSK a avoué ne jamais avoir testé s'il était durablement efficace chez les enfants. Là encore, la source est fiable car ce n'est rien de moins que l'agence de presse Reuters (excusez du peu).- cfr page 2/3

 

De même, une vaste épidémie d'oreillons survient actuellement à Gand chez une majorité de gens pourtant vaccinés avec les deux doses recommandées et prétendûment protectrices, ce qui pose donc inévitablement la question éthique d'imposer un acte comportant toujours une part de risque pour un bénéfice autrement plus incertain!

 

Tous ces mensonges doivent donc cesser au plus vite car ils n'honorent absolument pas l'ONE. Nous sommes en contact avec des dizaines et dizaines de médecins qui sont révoltés et écœurés par de tels agissements qu'ils estiment véritablement indignes de leur patientèle. Toutes ces personnes, y compris des travailleurs internes à l'ONE d'ailleurs (nous tenons à le souligner) se demandent également quand la presse va arrêter de se rendre complice de tels agissements de par son silence.

 

Car les preuves des mensonges flagrants de l'ONE sont dûment apportées, article après article, source après source et la santé de milliers d'enfants est en jeu et reste confiée à des gens qui démontrent qu'ils connaissent pourtant si mal leurs effets possibles et leurs risques, se réfugiant constamment derrière des instances-paravents (CSS, Provac etc) et sans jamais toutefois répondre précisément aux questions qui fâchent! Or on ne peut pas tout exiger et ne rien assumer. Exiger des vaccins mais se réserver le luxe de ne pas répondre, exiger des vaccins et n'assumer aucune responsabilité en cas d'effets secondaires!

 

Vous trouverez un ensemble d'articles très détaillés avec toutes les preuves de ces mensonges par a+b dans l'encadré récapitulatif avec tous les liens d'articles, en bas de la page suivante:

 

http://www.initiativecitoyenne.be/article-vaccins-la-folle-temerite-de-l-one-peut-mettre-la-vie-de-vos-enfants-en-danger-103399091.html

 

Nous terminons en signalant que nous transmettons ce mail non seulement aux parents d'enfants concernés (qui franchement, méritent bien mieux que tous ces mensonges!), à leurs avocats mais également à ces dizaines de médecins et de professionnels de santé écœurés par toutes ces façons malhonnêtes et totalement non éthiques de procéder, ainsi qu'à plusieurs députés. Un large relai sera également organisé dans la population, car les gens ont tout simplement le droit de savoir l'ampleur du scandale et de ce qui est présentement en train de se jouer pour eux, leurs familles et l'avenir de leurs enfants.

 

La seule phrase qu'il convient donc à présent de méditer dans le chef des responsables de l'ONE qui liront ce mail mais aussi dans celui des journalistes à présent face à leurs propres devoirs déontologiques de relai médiatique de faits aussi graves, est celle d'Abraham Lincoln:

 

"On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps."

 

Nous vous remercions pour votre bonne attention!

 

Pour le collectif Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.

 

 Bickel, ONE

 

 

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 19:34

oneBelga 24/04/2012

 

"C'est une réflexion de santé publique qui peut menacer les libertés individuelles."

 

Le père du garçon de huit mois qui risque l'expulsion d'une crèche faute de vaccination, a été reçu, mardi après-midi au siège de l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance), situé au 95 de la chaussée de Charleroi, à Saint-Gilles, par la directrice médicale Marie-Christine Mauroy et Xavier Melchior, le conseiller de l'Administrateur général.

 

Ce père a été rejoint dans son action par les parents de Stacy, décédée à l'âge de 2 mois, suite à l'administration d'un vaccin il y a six mois. Ces derniers s'offusquent du harcèlement subi pour faire vacciner Leslie, la jumelle de Stacy, alors qu'elle n'est pas en milieu d'accueil.

 

Les parents ont relevé que l'obligation de vaccination en milieu d'accueil appliquée en communauté française n'avait pas cours du côté néerlandophone. A cela, Xavier Melchior a répondu que c'était une action à mener au niveau gouvernemental.

 

Marie-Christine Mauroy s'est aussi positionnée contre une facilitation de l'exonération de vaccination : "C'est une réflexion de santé publique qui peut menacer les libertés individuelles. Il y a donc des tensions. Mais, faciliter la non-vaccination en cas de troubles mineurs pourrait avoir des effets épidémiques dévastateurs. Il y a plus d'enfants qui décèdent en Belgique de maladies couvertes par la vaccination que d'enfants qui succombent suite à l'injection d'un vaccin".



Source: La Libre

 

Ce que l'ONE oublie surtout de dire c'est que les effets secondaires (mêmes graves) des vaccins sont très largement sous-estimés et sous-notifiés, seuls 1 à 10% d'entre eux étant effectivement rapportés selon des revues médicales officielles. Par conséquent, le rapport bénéfices/risques qu'ils présentent comme "si favorable" l'est déjà beaucoup moins. Par ailleurs, il convient de rappeler que l'ONE avait déjà affirmé par voie de presse qu'"il n'existait PAS de complications graves de vaccins pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète", ce qui là encore est tout simplement contraire aux données de la littérature médicale internationale. L'ONE n'a non plus jamais daigné répondre à notre courrier recommandé de questions précises sur la sécurité vaccinale que nous lui avions envoyé début décembre dernier. Là aussi, ça pose question, car démocratiquement parlant, on ne peut pas tout exiger sans rien assumer et tirer son épingle du jeu en cas d'effets secondaires!!

 

Quant aux récents propos de l’Administrateur général (Benoît Parmentier) selon lequel « il y aurait des dérogations », il y a là encore matière à pointer du doigt de gros mensonges. Car voici ce que Mr Parmentier a osé affirmer à cet égard :

 

"Si un avis de contre-indication est motivé par un médecin, une dérogation concernant les vaccinations est possible", a déclaré M. Parmentier, précisant que le conseil des pédiatres de l'ONE suivait l'avis des médecins!

 

C’est totalement FAUX, comme l’a montré un cas en juillet dernier où un médecin avait contre-indiqué la poursuite des autres vaccins en raison d’un eczéma post-vaccinal sévère et généralisé, ce à quoi le Conseiller pédiatre de l’ONE avait répondu qu’il s’agissait en réalité d’une « fausse contre-indication » !!

 

De même, le cas du petit Antoine Roblain qui avait très mal réagi à une précédente vaccination contre le tétanos et la diphtérie et pour lequel, le médecin traitant avait également motivé et contre-indiqué la poursuite de la vaccination (à une époque où aucune base légale n’existait encore pour la moindre obligation vaccinale en crèches !). L’ONE avait alors soutenu la directrice de crèche qui refusait la réintégration du petit Antoine. Tant la crèche que l’ONE avaient alors été condamnés en 1993 par la justice bruxelloise qui estimait justement aberrant qu’un tiers médecin, tout à fait extérieur au dossier médical de l’enfant, s’arroge le droit de juger du bienfondé de l’avis du médecin traitant.

 

 

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 00:35

Seringue-noeud.JPG

Une épidémie d’oreillons sévit actuellement à l’Université de Gand. Des dizaines d’étudiants (au moins 70, peut-être 100 ou d’avantage) ont été touchés par cette maladie de l’enfant. On enregistre chaque année plusieurs cas, mais cette année le nombre de cas  dépasse tout ce que l’on avait connu auparavant. La chose est vraiment curieuse étant donné le fait que, à part quelques exceptions, toute la génération touchée avait été complètement vaccinée. En fait l’épidémie touche également les étudiants vaccinés. On soupçonne dès lors  qu’un virus ait pu muter.

 

Cette épidémie nous enseigne deux choses. En premier lieu, la vaccination ne protège pas contre la maladie, même pas après un rappel  à 12 ans. Point final ! En deuxième lieu : la vaccination favorise l’émergence de nouvelles variantes du virus susceptibles de provoquer une épidémie. C’est là exactement ce que nous avons dit depuis plusieurs années !

 

Cette histoire ne se termine pas là. Dans le groupe des étudiants qui ont été touchés (jeunes adultes), les complications de la maladie, parmi lesquelles l’inflammation des testicules, sont plus fréquentes que chez les enfants à  un âge où ils auraient normalement dû faire la maladie.

 

Toute la campagne de vaccination a en fait eu comme effet d’augmenter les risques de complications de la maladie parmi nos jeunes étudiants. Bravo !

 

La dernière incongruité est de la même veine : on conseille maintenant aux étudiants de se faire administrer une dose supplémentaire du vaccin. Et cela en plein milieu d’une épidémie. Idée tout à fait géniale! - En premier lieu, il nous faut remarquer que toute la population étudiante a probablement été contaminée ; c’est un peu comme servir la moutarde après le dîner. En deuxième lieu, les responsables n’auraient-ils jamais entendu parler des risques qu’il y a à vacciner en période d’incubation ? Une personne déjà infectée par le virus présente un risque beaucoup plus élevé d’effets secondaires après une vaccination qu’une personne qui n’a pas encore été infectée. Il s’en suivra que le nombre de complications de la vaccination ne pourra qu’augmenter. En troisième lieu, l’épidémie est peut-être la conséquence d’un virus mutant qui n’a pas d’affinité pour les anticorps produits par le vaccin, ce qui rendrait toute vaccination inutile. Pourtant il est recommandé de faire des rappels du vaccin ! Comprenne qui pourra…

 

Source: Dr Gaublomme de l'Association Preventie Vaccinatieschade sur base d'un article du Belang van Limburg du 15/04/2012.

  

 

L’épidémie ne cesse de croître

 

C’est sous ce titre que la presse flamande (Nieuwsblad.be) de ce 24 avril 2012  nous apprend que le nombre de personnes contaminées à l’Université de Gand atteindrait plus de 150 étudiants. (VTM Nieuws et De Standaard du 20 avril parlent de 150 à 200 étudiants)

 

L’épidémie s’étendrait en outre à l’extérieur du campus. Il est frappant, disent les autorités, que la plupart des malades sont bel et bien vaccinés, tout en prétendant que les vaccinés seraient malgré tout moins malades.

 

Semblables épidémies se sont déjà produites ailleurs

 

Le  très renommé journal médical The New England Journal of Medicine du 10/04/2008 évoque l’épidémie d’oreillons qui s’est produite aux Etats-Unis en 2006 et qui a touché 6.584 personnes, dont une majorité avait pourtant reçu les deux doses de vaccins recommandées.

  

Graphe-NEJM--oreillons-en-2006--USA.JPG

 

Cette publication du NEJM conclut d'ailleurs de la façon suivante: " Malgré un taux élevé de couverture avec deux doses de vaccins contenant la valence anti-ourlienne, une vaste épidémie d'oreillons est survenue, se caractérisant par un échec des deux doses de vaccin, plus particulièrement chez les jeunes adultes en secondaire du Midwest, qui avaient probablement reçu la seconde dose lorsqu'ils étaient encore à l'école primaire. Un vaccin contre les oreillons plus efficace ou un changement de politique vaccinale peut s'avérer nécessaire pour prévenir de futures épidémies d'oreillons et parvenir à l'élimination de la maladie."

 

Autre exemple d'échec, qui ne fait pas plus réfléchir les officiels, et qui les incitera très probablement à une sorte de fuite en avant avec de nouveaux rappels plutôt que d'abandonner leurs méthodes inefficaces:

 

Une épidémie de plus de 2300 cas, aussi survenue aux Etats-Unis, et qui était commentée par le Comité américain de la vaccination (ACIP) en février 2010:

 

 OREILLONS & ROR, LE GROS ECHEC

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 23:52

Magazine d'investigation sur France 2 le vendredi 27 avril 2012 de 22H25 à 23H55.  

Présenté par Elise Lucet   [voir ou revoir l'émission? Cfr ci-dessous]

Les vendeurs de maladies

   

Ces laboratoires qui inventent de toutes pièces une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu’ils viennent de mettre au point, parfois malgré des effets secondaires avérés, pour lesquels ils ont déjà prévu de nouveaux médicaments.  

 

"Nous montrons ce que cachent le marketing et la communication bien lissés de ces géants. Il est notoire que journalistes et attachés de presse travaillent ensemble alors que, parfois, leurs intérêts divergent. Je voulais casser ce ronronnement"

 

« Casser ces interviews entendues et faire dériver le sujet vers des questions plus sensibles et carrément dérangeantes. Montrer comment ces professionnels des relations avec la presse et le public cherchent parfois à nous piéger, journalistes et citoyens. Après notre enquête, nous terminons le magazine par le portrait d’une personne ayant réussi par sa force de conviction et son obstination à faire plier un de ces grands groupes. On les appelle aux États-Unis : les “lanceurs d’alerte »  

 

Les laboratoires Merck et Sanofi seront mis en cause dans cette enquête inédite.  

 

REVOIR L'EMISSION:

 

 

Dans ces conditions, on comprend qu'il est fort peu probable que tous les vaccins que les laboratoires nous recommandent fortement, avec la complicité des autorités publiques, soient aussi nécessaires ou utiles qu'on nous le prétend, mais on comprend également qu'il n'est pas dans l'intérêt financier des pharmas de développer des vaccins plus sûrs, avec moins d'effets secondaires puisque ceux-ci boosteront donc en partie la vente de plusieurs de leurs autres médicaments "palliatifs", en cas de maladies chroniques ou auto-immunes incurables survenant par exemple en post-vaccination...

 

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 15:32

Un document du Bureau Régional de l'OMS pour l'Afrique (AFRO) révèle l'ampleur du phénomène manipulatoire à l'oeuvre pour vacciner à tout prix un maximum de monde.

 

Dans le cadre de la Semaine Africaine de la Vaccination 2011 dont la préparation se fait notez-bien sur 8 mois (soit une Semaine de la Vaccination qui se prépare et se déroule quasiment toute l'Année) , un document reprenait certains passages, ô combien révélateurs!

 

Petit échantillon:

 

"En revanche, de nos jours, c'est le besoin, les bienfaits et la sécurité des vaccins qui sont à présent remis en cause, et dans certains pays des groupes anti-vaccination très actifs se font de plus en plus entendre."

 

Commentaires: Depuis le XIX° siècle, il existe une controverse médicale sur le rapport bénéfices/risques de la vaccination. Depuis le début de la vaccination, les questions de sécurité ont toujours été évacuées et éludées et les médecins sceptiques et critiques, marginalisés. Avaient-ils tort pour autant? Etaient-ils pour autant des charlatans en recherche d'une tribune? Pas plus que nous, ces médecins n'avaient intérêt à s'opposer par principe à la pratique de la vaccination. Simplement, ils constataient qu'il y avait de grosses anomalies dans ces dossiers et estimaient juste de pouvoir partager leur avis et leur réflexion. La plupart de ces avis et réflexions n'ont pas été retenus ou entendus et l'état de santé des populations s'en ressent à présent fortement avec une hausse sans précédent de maladies graves, chroniques et incurables qui ont remplacé, sans que nous y gagnions donc vraiment au change, les maladies infantiles, majoritairement bénignes dans des situations d'hygiène acceptables.

 

"Il serait peut-être utile de se pencher sur les arguments et les cas avancés par ces groupes antivaccination et de concevoir l'initiative en privilégiant les questions de sécurité. Déterminer le nombre de vaccinations administrées dans votre pays chaque année. Si nécessaire, comparer ce nombre au nombre d'incidents indésirables signalés. Examiner et expliquer les raisons de ces incidents indésirables qui se seraient produits. Si besoin est, comparer les décès dus aux maladies par rapport au décès induits par les incidents indésirables."

 

Commentaires: La sécurité vaccinale est véritablement quelque chose de secondaire. A vrai dire, elle n'a jamais été une priorité, comme nous l'avions déjà précédemment expliqué. C'est pourquoi les officiels de l'OMS sont à présent dans la réaction en tentant de répondre à ces questions qui préoccupent à juste titre l'ensemble de la population (et pas seulement ce qu'ils appellent de façon très commode "les groupes anti-vaccination"). Pour ce faire, le conseil ici est donc clair: fournir au public une comparaison biaisée du bénéfices/risques puisqu'il est bien évident que le nombre d'effets secondaires signalés est très nettement inférieur au nombre d'effets secondaires qui se produisent réellement (la sous-estimation étant déjà notoire en Occident, que dire alors dans des pays pauvres comme ceux d'Afrique!). Quant à l'examen et l'explication des effets secondaires survenus, il ne faut hélas pas être devin pour savoir qu'ils prétexteront comme à leur habitude qu'il "n'y a aucun lien avec le vaccin" et que ce ne sont jamais que des coïncidences. Franchement, qui peut encore y croire?

  

"Peut-être que les entraves proviennent, en partie, des personnes chargées de mettre en oeuvre les services de vaccination. Penchez-vous de plus près sur la situation des professionnels de santé et des prestataires de services de santé et analysez leur perception et l'importance qu'ils accordent à la vaccination. Font-ils la promotion de la vaccination, ou au contraire, leur avis et conseils ont-ils été négativement influencés par certaines couvertures médiatiques défavorables ou informations alarmistes autour de la sécurité ? "

 

Commentaires: Une fois encore, on en revient au rôle de "bons petits soldats" que les médecins sont censés assumer en matière de vaccination, en ne réfléchissant surtout pas trop et en acceptant ainsi d'être simplement instrumentalisés en tant qu'exécutants d'une politique dont ils ne connaissent pas les dessous. Par ailleurs, ce qui est jugé "alarmiste" au sujet des risques des vaccins, l'est nettement moins quand il s'agit de dramatiser et de faire peur avec les maladies contre lesquelles on veut vacciner! Une fois encore, deux poids deux mesures!



"2.4. Groupes ou personnes d'influence :

 

Analyser également les "groupes d'influence" c'est-à-dire les parties prenantes susceptibles de peser sur les groupes cible clé. En effet, bon nombre d'entre eux sont susceptibles d'avoir une influence positive ou négative sur ces groupes cible clé. Au sein des parties prenantes, exploiter de façon proactive les forces positives et se tenir prêt à faire face aux forces négatives."

 

Commentaires: On se croirait dans un bac à sable ou une cour de récré, ce qui n'est donc pas du tout à la hauteur du véritable débat scientifique honnête et sincère auquel le public a pourtant droit (même si, on le sait, on tente de faire croire le public à St Nicolas en lui ayant toujours juré qu'il y avait une unanimité médicale totale en faveur des vaccins ce qui, bien sûr, est totalement faux!) Dans les conditions tout avis contradictoire est perçu comme une menace à contrer plutôt qu'une chance pour la vraie Science et la démocratie.



"2.4.1. Groupes ou personnes d'influence positive :

 

Collaborer avec ces personnes, les informer et les associer à l'initiative de la semaine de vaccination, si possible et si nécessaire. Les utiliser pour véhiculer les messages pertinents. Associer les forces d'influence positive comme partenaire chaque fois que possible et nécessaire (par exemple les ONG locales/internationales) ou comme bailleurs de fonds (par exemple les fondations ou sociétés privées). Examiner dans quelle mesure des célébrités ou des décideurs d'opinion seraient disposés à faire office d'ambassadeur de bonne volonté au cours de la semaine de la vaccination (à l'échelon national ou local). Les dirigeants communautaires et autres dignitaires au niveau local peuvent également collaborer étroitement pour toucher les communautés difficiles d'accès."

 

Commentaires: la vision utilitariste, "jetable" et opportuniste des gens dans toute sa splendeur ou comment UTILISER les gens et les instrumentaliser à des fins qu'ils ne connaissent pas. Recourir à des "apâts" de choix qui jouent sur l'émotionnel bien plus que sur la raison en racolant des peoples censés faire pleurer dans les chaumières.



" 2.4.2. Médias

 

Les médias locaux et nationaux constituent un puissant vecteur de transmission des messages. Si possible, oeuvrer en étroite collaboration avec eux en vue de nouer de bonnes relations de travail, en les informant et les "instruisant" sur les problématiques liées à la vaccination et aux maladies évitables par la vaccination. Faire en sorte d'alimenter constamment les médias en informations et à leur fournir des exemples concrets en vue de la rédaction d'articles."

 

Commentaires: Cette proximité excessive avec les médias mène  hélas souvent à la censure de toute voix dissidente, ce qui là encore n'est pas pour servir la vraie science et la vraie démocratie. Dans ces pays encore plus qu'ailleurs, on tente de camoufler toute dissidence en l'assimilant à quelque chose de forcément irrationnel, dangereux ou même d'ordre religieux.

 

"2.4.3. Groupes ou personnes d'influence négative :

 

Certains groupes ou personnes peuvent constituer un danger pour l'initiative et ses messages. Déterminer qui sont potentiellement ces parties prenantes négatives et se préparer à contrecarrer leurs arguments. Il est crucial de mettre en place des plans de contingence afin de pouvoir répondre rapidement à toute critique ou allégation. Essayer de prévoir d'où pourraient provenir les critiques et préparer à l'avance les ripostes idoines. Soyez prêts ! Cibler des messages appropriés aux différents niveaux, qui soient conçus pour chaque groupe cible précis."

 

Commentaires: Une fois encore, toute dissidence est vue comme une menace et non comme une chance, dans un contexte autoritaire et oppressant où il s'agit en fait surtout d'arriver à une soumission consentie des populations locales, sur un terreau de manipulation et de désinformation. Si la vaccination était si sûre, si efficace et si irréprochable, il n'y aurait guère besoin de se préparer de façon aussi militaire aux critiques, car ces dernières n'auraient tout simplement pas lieu d'être. La réalité c'est qu'il s'agit tout simplement de "sauver la face" et de retarder au maximum l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale qui commencera en Occident pour se poursuivre inévitablement aussi à terme dans les pays les plus pauvres.

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 13:19

Les médecins sont un rouage indispensable des politiques vaccinales. Il est donc essentiel de les faire marcher à la baguette et de leur donner si possible, l'illusion d'être "acteurs" et actifs dans cette vaste entreprise de propagande à laquelle beaucoup pensent sincèrement adhérer, mais sans toujours bien en connaître tous les tenants et aboutissants.

 

Ceci est une évidence quand on sait que d'après une enquête officielle, 31% des médecins pédiatres et généralistes français se posent des questions sur la sécurité des vaccins pédiatriques et 58% sur leur utilité. Une majorité se posent donc des questions sans que les slogans et affirmations simplistes des officiels ne parviennent à les convaincre ou à leur enlever leurs doutes.

 

Hélas, il existe en matière de vaccination, des pressions de toute part qui finissent tôt ou tard par se concrétiser en lignes directrices rigides et standardisées que les médecins sont censés suivre quels que soient les pays, et les situations, à la manière de robots et de façon à les déresponsabiliser. Ce "moule" unique et conformisant peut en effet en rassurer quelques uns, notamment vis-à-vis du risque de poursuites en justice futures de la part de "patients malheureux".

 

Cette sorte de "police vaccinale" uniformisante avance donc à grand pas parce que c'est tout simplement le seul "outil" et à vrai dire le seul espoir des autorités nationales et internationales pour tenter d'enrayer ces énormes doutes et aussi cette énorme prise de conscience dans le chef du corps médical mondial. C'est en substance ce que semblait avouer le Pr Gaudelus dans Impact Médecine en affirmant " L'amélioration de la couverture vaccinale passe par le médecin traitant qui est l'acteur incontournable et indispensable pour faire appliquer correctement la politique vaccinale."

 

Il faut donc "faire appliquer" la loi vaccinale mondiale par une armée de bons petits soldats qui ne doivent surtout pas trop réfléchir, exactement à la manière de ce qui se passe avec Monsanto et sa "police des semences". Il ne faut pas sortir du moule, surtout ne pas trop réfléchir!

 

C'est dans ce cadre que se tiendra le 4 mai prochain à Bruxelles à l'initiative du Centre européen de Contrôle des Maladies (ECDC) et du Comité Permanent des Médecins européens (CPME), une conférence intitulée « La prévention par la vaccination chez les enfants – définir le rôle des médecins dans le débat des parties prenantes ».

 

Que pouvons-nous attendre de ce genre de conférences financées avec l'argent des contribuables si ce n'est une standardisation accrue des programmes de vaccination en Europe (mêmes calendriers, mêmes doses, mêmes produits, même propagande, même attitude du corps médical, etc)?

 

Fort heureusement, d'autres initiatives totalement contraires voient le jour comme cette conférence européenne sur la rougeole et la liberté vaccinale qui se tiendra le 18 mai prochain à Barcelone. [Infos & programme : ICI]

 

Nous pensons que les médecins gagnent à creuser ces sujets par eux-mêmes plutôt que de faire aveuglément confiance aux prétendus comités "payés pour ça" qui ne font ainsi que leur "faxer" leurs directives à appliquer aveuglément. Par respect pour leurs patients mais aussi pour leurs propres capacités de discernement, les médecins gagnent à s'intéresser précisément à la composition exacte des vaccins qu'ils injectent, aux effets respectifs possibles de chacun des composants, à la question des risques à long termes, insuffisamment évalués et donc constamment sous-estimés, etc

 

Pour terminer, nous rappelons aux médecins cette superbe phrase d'Albert Einstein, ici très à propos: 

 

"Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement."

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 10:21

Ce n'est pas pour rien si nous avons rangé cet article dans la rubrique de "L'idéologie de la vaccination à tout prix".

 

Car il est en effet très préoccupant qu'une majorité de médecins semblent suivre aveuglément les conseils déraisonnables des firmes pharmaceutiques qui se confondent avec ceux des experts officiels dont on ne sait plus bien au nom de qui ils parlent...

 

Ainsi, la revue Impact Santé, relayant en réalité un communiqué de Novartis Vaccins (un des producteurs du vaccin contre le méningocoque C), donne en effet dans la dramatisation et le déraisonnable puisqu'on peut par exemple y lire:

 

"Cette maladie, soudaine et imprévisible, affecte des personnes en parfaite santé et s'avère fatale dans près de 10% des cas, 10 à 20% des survivants souffrant de séquelles permanentes, telles que des lésions cérébrales, une perte de l'audition ou des difficultés d'apprentissage.

 

ou encore:

 

" L'amélioration de la couverture vaccinale passe, insiste le Pr Gaudelus, par le médecin traitant qui est l'acteur incontournable et indispensable pour faire appliquer correctement la politique vaccinale ainsi que par l'information des pharmaciens et des familles."

 

"Chez l'adolescent, il faut saisir toutes les occasions (consultation pour un certificat médical, traumatologie d'urgence, problème médical, contraception...) de vérifier si les vaccinations sont à jour, rattraper les injections manquantes et inciter à effectuer les éventuels vaccins propres à cet âge. Avoir à disposition dans son cabinet des vaccins faciliterait grandement l'amélioration de la couverture vaccinale en évitant à l'adolescent de devoir "revenir" pour se faire vacciner" ajoute le professeur. "

 

Le Pr Joël Gaudelus, qui est chef de service de pédiatrie à l'hôpital Jean Verdier de Bondy, fait partie de ce petit cénacle d'experts qui prennent régulièrement la parole pour promouvoir la vaccination dans divers médias.

 

En tant qu'expert -mais pas expert en bon sens visiblement-, le Pr Gaudelus ne semble pas voir l'énorme problème éthique qu'il y a à utiliser la détresse et la souffrance des patients pour mieux infléchir leur volonté et arriver à tout prix à leur fourguer des vaccins, dans une certaine précipitation qui plus est (puisqu'il est même question de "vaccins à disposition sous la main pour ne pas que les ados aient à revenir"!). Par ailleurs, on devine les risques supplémentaires que des médecins suiveurs feront courir à leurs patients en suivant de tels conseils irresponsables puisqu'ils risquent ainsi de vacciner à tout prix et dans la précipitation des ados venus consulter pour un problème médical X ou Y. Mais il est vrai que vacciner des malades ne pose aussi aucun problème de santé particulier selon les officiels, "tant les contre-indications vraies sont rarissimes" disent-ils souvent!

 

En outre, Novartis Vaccins autant que le Pr Gaudelus se gardent bien d'évoquer le moindre risque d'effets secondaires graves que peuvent faire courir de tels vaccins.

Des chiffres qui ne sont pourtant pas sans intérêt puisqu'un vaccin comme le Meningitec de Pfizer comporte, selon son fabricant lui-même, un risque d'effets secondaires graves (neurologiques) de 4 sur 100 000 vaccinations, ce qui, selon les médecins du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, est déjà supérieur au risque absolu de faire un jour ce type de maladie. Une évaluation indépendante de ces effets secondaires a, semble-t-il, démontré un risque plus de 100 fois supérieur (de 459 pour 100 000 vaccinations) ce qui rend donc le rapport bénéfices/risques encore plus défavorable, bien évidemment, avec un risque du vaccin très nettement supérieur à celui d'être jamais en contact avec le microbe!

 

La publicité tapageuse de Pfizer en faveur de son vaccin contre le Meningocoque (le Meningitec) avait d'ailleurs justifié que nous déposions plainte auprès du Jury de Déontologie Publicitaire qui l'avait transmise à l'Afssaps, cette dernière ayant fini par nous donner raison.

 

Il nous semble par conséquent capital qu'une communication partiale et racoleuse ne finisse pas sans cesse par être remplacée par une autre. C'est du devoir de tout médecin lucide et consciencieux d'y veiller plutôt que d'appliquer aveuglément, tel un robot, les lignes directrices d'une "politique vaccinale" dont il n'a jamais vraiment connu les dessous ni la façon exacte dont elle a été élaborée et influencée.

 

 

 

 

 

 

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 08:12

INFIRMIEREUne étude revue par les pairs et publiée en février dernier dans la revue Vaccine tente de répondre à cette question (bien entendu, parce que cela fait obstacle aux vélléités de vaccination à tout prix un peu partout).

 

Elle a été réalisée en Israël auprès d'infirmières d'un Centre de Soins Mère-Enfant au sujet notamment des vaccins antigrippaux et anticoquelucheux.

 

Parmi les résultats, les chercheurs ont indiqué: "Perte de confiance dans les autorités de santé, surtout à la suite de la prétendue épidémie de grippe A/H1N1. En outre, les infirmières ne voient pas l’importance de servir de modèles pour le public. Elles réclament le pouvoir de décider de manière autonome si oui ou non elles vont recevoir les vaccins. Les infirmières qui veulent également qu’une différence soit établie entre leur rôle d’infirmières et leur vie privée, ont exprimé leurs craintes par rapport aux nouveaux vaccins. Elles présentent cependant de faibles niveaux de perception du risque. Les infirmières ont exprimé des idées fausses concernant la vaccination."

 

Au point 3.3 de l'étude, on peut notamment lire "Crainte des effets secondaires" ("Fear of side effects"), suivi du passage suivant:

 

"Les infirmières ont fait état de leurs expériences en matière d'effets secondaires de vaccins. Elles avaient le sentiment que la sévérité et le risque de contracter des maladies ne valaient pas celui de se faire vacciner avec un vaccin sur le marché depuis trop peu de temps que pour connaître ses possibles effets secondaires. Ceci concernait les vaccins contre la grippe et la coqueluche et elles avaient le sentiment que les autorités les utilisaient comme des cobayes."

 

Beaucoup de gens ont le sentiment de faire office de cobayes. La fausse pandémie de H1N1 et la teneur des contrats signés par les Etats a d'ailleurs montré que c'était bien le cas.

   

Il est courant et même banal que les officiels taxent d'" idées fauses" ce que des gens ont dû pourtant constater dans la réalité des FAITS, tout simplement parce que l'expression de ces faits contredit et dérange les thèses commerciales officielles. Si vous vous souvenez, la Lettre du Médecin a elle aussi sous-entendu récemment ce genre d'idées, en affirmant de façon purement gratuite que "nous ne nous lassions pas des critiques les plus dures envers les vaccins.". Si nous émettons des critiques, c'est parce qu'il nous semble au contraire qu'il y a vraiment de quoi et que ces critiques sont justes plutôt que "dures", "très dures" ou "trop dures"!

 

Ce qui dérange le système n'est donc pas faux pour autant, attention aux raccourcis!

 

Source: Vaccine Liberation Army

   

Les infirmières comme les médecins sont bien placés pour pouvoir constater au quotidien les effets secondaires des vaccins. Hélas, une certaine frange non négligeable du corps médical qui a pris conscience des risques des vaccins mais aussi de ceux qu’il y a à s’exprimer publiquement sur ce sujet tabou, préfèrent utiliser à bon escient leurs informations pour eux-mêmes afin d’éviter de se faire vacciner, tout en continuant cependant à vacciner leur patientèle comme si de rien n’était.

 

 

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 14:17

 

 

+ document pdf: ICI
 
 
 
Cette vidéo retravaillée (et surtout synthétisée) des auditions à l'Assemblée Nationale ainsi que le document pdf ci-dessus, nous ont été envoyés ce jour par le Dr Philippe de Chazournes, de la Réunion.
Nous les avons immédiatement transmis à la secrétaire personnelle de Laurette Onkelinx, Ministre fédérale de la Santé, avec copie à plusieurs parlementaires fédéraux et régionaux, à plusieurs dizaines de médecins ainsi qu' à Vie Féminine et à la Fédération des Centres pluralistes de planning familial (FCPPF).
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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 20:31

Notre petite fille Emily était magnifique, tellement éveillée, très vivante, très intelligente ; elle s’intéressait à tout. Elle était en parfaite santé. On nous disait qu’elle était très précoce pour son âge ; elle  faisait l’admiration de tous et progressait normalement. Nous étions très fiers de tout ce qu’elle savait faire, jusqu’à ce que…

Coqueluche Effets sec. BLF

 

A 15 mois, elle reçut 9 vaccins dont le vaccin contre la coqueluche.

Quatre heures plus tard, elle a commencé à faire de la température et à pousser de terribles cris, elle perdait régulièrement connaissance, ne savait plus se concentrer ; son degré de tolérance à la souffrance, à ses limitations et à la frustration était très faible Dans la suite, elle n’a plus été capable de faire ce qu’elle faisait auparavant ; elle traînait la jambe, avait peur des bruits, elle se cachait et se bouchait les oreilles ; ses réactions n’étaient plus normales elle n’était plus la même et le calvaire a commencé…

 

La maman raconte :

 

Une connaissance m’a un jour suggéré de lire l’ouvrage de Barbara Loe Fisher « A Shot In The Dark » (Ouvrage sur les conséquences du vaccin DTC). Ce livre m’a complètement bouleversée. En larmes, elle déclare : « après avoir lu ce livre j’étais complètement effondrée, furieuse et désespérée parce que j’ai réalisé « qu’ils » savaient et n’ont rien voulu me dire ! Pourtant, j’avais expressément demandé si ces vaccins pouvaient être dangereux, s’il y avait des risques, et on ne m’a rien dit par rapport aux risques que je faisais courir à mon enfant. Après avoir lu le livre, j’ai réalisé que ce qui était arrivé à Emily était aussi arrivé à bien d’autres enfants, mais nous ne savions pas que les vaccins étaient susceptibles de provoquer d’aussi graves dommages. »

 

« Après bien des démarches, séjours dans des hôpitaux, dans plusieurs centres ; après avoir passé quantité de tests, d’examens en tous genres, le neurologue nous a avoué qu’il savait que ce genre de troubles pouvait se produire après les vaccins, qu’Emily n’était pas la première et ne serait pas la dernière !

 

Nous avons alors appris qu’Emily avait fait une encéphalopathie ; elle avait eu un œdème du cerveau et souffrait d’épilepsie, de déficit de l’attention (TDA), de dépression, d’anxiété et de déficit immunitaire…Elle est maintenant contrainte d’endurer ces souffrances jour après jour. L’enfant que j’ai un jour conduite chez le pédiatre n’était plus du tout la même que celle à qui j’avais donné la vie… »

 

BBLF-2.JPG

 

« Alors qu’elle était aussi en parfaite santé, notre deuxième fille a fait une forte fièvre 24 heures après avoir été vaccinée. Elle n’arrêtait pas de pleurer, de crier ; elle avait une très grande fatigue et avait perdu l’appétit…Tout cela a complètement bouleversé notre vie de famille, notre vie sociale et professionnelle. Quand vous sortez avec un enfant qui souffre, pleure et crie constamment, tout le monde vous regarde. On vous prend pour de mauvais parents. Personne ne peut imaginer à quel point des vies de famille peuvent être complètement bouleversées. »

 

« Nous devons être réalistes, dit le papa. Nous faisons l’impossible pour lui venir en aide, pour lui apporter tous les soins nécessaires. Nous avons dépensé de telles sommes d’argent, alors que tout cela aurait pu être évité. Mais quant à son futur nous ne savons rien ! -  Emily a maintenant 12 ans. »

 

« La grand-mère d’Emily essaie au maximum de nous venir en aide, car elle a aussi douloureusement fait l’expérience des effets secondaires des vaccins. Elle en a elle-même souffert, ainsi que ses propres enfants. »

 

BBLF-3.JPG

 

Infirmière de profession, elle a aussi vacciné des enfants au début de sa carrière. On ne lui avait jamais rien dit par rapport à des effets secondaires éventuels. Au contraire, dit-elle, on nous disait que les vaccins étaient le meilleur moyen de maintenir les gens en bonne santé ; c’était vraiment la règle d’or des soignants.

 

« Après mon premier vaccin, mes yeux, ma langue, ma gorge ont commencer à gonfler, mon visage était disproportionné, toutes mes articulations me faisaient mal (arthrite), je n'avais plus d'énergie, j'avais mal partout; je n'étais vraiment plus moi-même. J'ai dû continuer à vivre avec tous ces maux.»

 

On m’a répondu que mon état n’avait rien à voir avec les vaccins, qu’il s’agissait de coïncidences. Une amie infirmière qui avait reçu le même vaccin, avait bizarrement éprouvé les mêmes symptômes que moi.

Quand j’ai appris que le vaccin qui lui avait été administré provenait d’un autre lot de vaccins, j’ai fini par tout comprendre…

 

Mon premier fils a reçu le vaccin DTC à 6 ans. Il en a été terriblement malade. Le pédiatre nous a dit qu’il ne devait plus jamais recevoir de vaccins. Mon deuxième enfant a souffert d’épilepsie après ses vaccinations et a dû être hospitalisé.

 

Mon fils Joe a fait la rougeole 2 semaines après son vaccin ROR (Rougeole-Rubéole-Oreillons). Nous avons dû nous rendre aux urgences le jour même de Noël… »

 

Source: interview intégrale de cette famille par Barbara Loe Fisher, présidente du NVIC, ICI

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