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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 21:16

Publié le 05/08/2010 à 06:57

Par Cyriel Martin

 

bachelot seulement

La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a été entendue par les deux chambres du Parlement pour sa gestion de la pandémie de grippe A

 

 

Six mois de travail, quarante-six personnes auditionnées, des déplacements aux quatre coins de l'Europe... Les vingt sénateurs de l'opposition et de la majorité qui planchaient sur le rôle des industries pharmaceutiques dans la gestion de l'épidémie de grippe A sont venus à bout de leur enquête. Leurs conclusions, qu'ils présentent ce jeudi et que Le Point.fr révèle en exclusivité, sont accablantes. Si l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est accusée d'avoir surestimé la menace, la France est soupçonnée au mieux d'incompétence, au pire de conflit d'intérêts.

 
Les sages du palais du Luxembourg ont passé au crible les contrats signés entre l'État français et les différents groupes pharmaceutiques. Il s'agit des fameuses 94 millions de doses commandées en catastrophe par Roselyne Bachelot à partir d'avril 2009 et dont la facture avoisinerait les 670 millions d'euros. "L'ensemble de ces contrats se caractérise par leur remarquable déséquilibre et par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses", écrivent les sénateurs sans détour. Et de détailler les reproches.

  

"Doublement automatique des commandes"

 

L'État s'est, par exemple, plié aux exigences des laboratoires sur des "commandes fermes et non révisables". Cela aurait pourtant permis de diviser par deux les commandes de vaccins dès lors qu'il s'avérait qu'une dose par personne suffisait au lieu de deux. Une clause que la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, auditionnée par la commission d'enquête, a justifiée en ces termes : "Les industriels ont besoin de visibilité pour leur production." Et les auteurs du rapport d'écrire, non sans ironie : "Les producteurs, dans quelque secteur que ce soit, sont rarement assurés par avance du volume de leurs ventes"...

 


D'autant qu'une subtilité sémantique aux conséquences spectaculaires s'est glissée dans certains des contrats. Alors qu'en 2005, lors de la grippe aviaire H5N1, les commandes de vaccins avaient été passées en termes de "traitements" (pouvant contenir plusieurs doses), cette fois-ci, l'État a commandé des "doses". Pourtant, "le schéma de vaccination contre la grippe A était aussi incertain que l'était en 2005 celui de la vaccination H5N1", assurent les sénateurs, qui assènent : "L'administration ne semble pas s'être émue de ce doublement automatique du montant des commandes."

  

Une confidentialité abusive


Lors de la signature de ces contrats, d'autres "petites lignes" semblent avoir mystérieusement échappé aux autorités françaises. Ainsi, l'État a accepté d'endosser la responsabilité de la réparation des dommages subis par les victimes d'accidents pharmaceutiques. Alors qu'en droit français, c'est le labo qui doit assumer cette charge. "Considérant les conséquences exceptionnelles qui caractérisent l'objet du présent marché, l'État s'engage à garantir le titulaire contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire", peut-on lire dans le contrat signé avec Novartis. Lors des négociations avec les laboratoires, Roselyne Bachelot s'était élevée contre cette "clause scélérate" qui, pourtant, figure bien sur tous les contrats.

 

Autant d'erreurs qui auraient pu être repérées si les contrats avaient été transparents. Mais il aura fallu attendre une enquête du Point, en octobre 2009, pour que la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada) oblige le ministère de la Santé à rendre publics des documents estampillés "confidentiels", au nom de la "protection des intérêts essentiels de l'État". "Il est difficile de comprendre pourquoi les gouvernements européens ont accepté cette exigence de confidentialité, qui semblait peu compatible avec le droit à l'information des citoyens", dénoncent les sénateurs dans leur rapport.

  

L'expertise sanitaire française écornée

 

C'est toute l'expertise sanitaire française que la commission d'enquête écorne dans son rapport, plus critique que celui de l'Assemblée nationale, rendu public le 13 juillet dernier. "Très forte surestimation de la gravité de la pandémie par les experts", "estimation du nombre de personnes qui souhaiteraient se faire vacciner conduite dans des conditions scientifiquement discutables"... Les sénateurs se disent "frappés" par "l'absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée". Et d'enfoncer le clou : "Les modèles utilisés n'ont en effet pas envisagé l'hypothèse selon laquelle le virus A pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière." Au final, l'Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu'à 96.000 morts en France, alors qu'on en a dénombré 312.

 
Les sénateurs préconisent donc "d'améliorer la modélisation mathématique des problématiques sanitaires". Pour lever tout soupçon sur la probité des experts, les élus proposent également un "fichier national des contrats entre l'industrie pharmaceutique et les médecins". Les parlementaires estiment que "la pandémie de grippe A a été l'occasion d'une remise en cause sévère de l'expertise publique dans l'opinion en raison des liens d'intérêt de la majorité des experts avec l'industrie pharmaceutique", tout en précisant n'avoir trouvé aucune preuve appuyant ces craintes. Et le rapport de conclure de manière implacable : "Ces soupçons sont particulièrement dommageables tant pour l'expertise elle-même que pour les décisions publiques qu'elle contribue à définir." Et c'est bien là le plus grave.

  

Cliquez ici pour consulter en exclusivité le rapport d'enquête du Sénat sur la grippe A

 

 

Source: Le Point

 

 

Autres articles relatifs:

 

" H1N1: le gouvernement "empêtré" dans des contrats rigides, selon un rapport du Sénat."   sur le site de France 24

 

" Grippe A: le gouvernement "était à la merci des labos", sur le site du journal Le Figaro

 

" Vaccins contre le H1N1: le Sénat critique des contrats "déséquilibrés" , sur le site du Monde

 

" Grippe A. Le rapport du Sénat. "Quand les labos du médicament disposent de l'Etat.", sur le site de l'Humanité

 

"Contacté par "Valeurs actuelles", le cabinet du  ministre a affirmé que Roselyne Bachelot prenait acte de ce rapport. Et n’avait aucune communication à faire sur le sujet…"

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 20:49
Collectif d'auteurs  12 juin 2010  Santé
 
Il y a eu le 11 septembre 2001. Comme un écho à cette date fatidique, le 11 juin 2009, la peur prenait un nouveau visage: celui du virus A(H1N1). Il y a eu un an hier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) élevait au niveau maximum son état d'alerte à ce qu'elle considérait comme une pandémie mondiale.
 
laboratoire-anticipation-conspiration

 

 

Plusieurs scientifiques, surtout en Europe, ont sévèrement critiqué cet alarmisme: l'ancien patron de la Croix-Rouge française, Marc Gentilini, a parlé d'une «pandémie de l'indécence». Plus récemment, la gestion de ce dossier par l'OMS a été durement critiquée dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et dans un rapport déposé le 4 juin dernier à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. En présentant ce rapport, le député britannique Paul Flynn a affirmé que «cette pandémie n'a jamais vraiment existé».

Nous sommes d'accord avec cette affirmation et nous croyons qu'il est important de faire l'autopsie de cette pseudo-pandémie.

 


Une pandémie de la peur

 

Au Québec, on a eu droit à une pandémie de la peur, surtout après le décès d'un jeune Ontarien porteur du virus. En l'absence d'autopsie chez le jeune garçon en question, il était irresponsable de laisser entendre que c'était l'A(H1N1) qui avait causé ce décès.

 

PSYCHOSE GRIPPE A

 

 

Inquiets, de nombreux parents et enfants ont envahi les urgences des hôpitaux: la situation était telle que, quelques jours plus tard, les urgentologues de Sainte-Justine et du Children's Hospital publiaient un communiqué conjoint dans lequel ils déploraient ce qu'ils ont appelé «la psychose du H1N1» en spécifiant que «les gens doivent comprendre que c'est un microbe relativement bénin» (Le Devoir, 30 octobre 2009).

 

 

Vaccin endoctrinement

 

 

 

Relativement bénin, en effet: avant même le début de la campagne de vaccination, des centaines de milliers de Québécois ont été en contact avec le virus A(H1N1) 2009 et ont développé naturellement des anticorps qui les ont protégés et qui les protégeront contre ce virus s'il est encore présent à l'automne 2010, ici ou ailleurs dans le monde. La campagne massive de vaccination, à laquelle ont participé plus de quatre millions de Québécois, est arrivée trop tard, a coûté cher et n'était pas justifiée scientifiquement.

«Dispersion» n'égale pas «pandémie»

Si on ne se fie qu'à la dispersion géographique des virus pour définir une pandémie mondiale, on peut dire qu'il y a annuellement plusieurs pandémies de divers types d'influenza. Cependant, «virus» n'est pas équivalent à «maladie», et dispersion du virus n'égale pas «pandémie». Entre le virus et la maladie, il y a la capacité du système immunitaire des gens à composer avec le virus: dans le cas de l'A(H1N1), les données dont on disposait, à la fin de l'été 2009, permettaient d'affirmer que la très grande majorité des gens n'avaient rien à craindre de ce virus.

En mai 2009, cependant, l'OMS avait adopté un nouveau système de catégorisation des pandémies basé sur le critère de dispersion géographique et mettant de côté le critère de virulence (maladies graves, décès). C'est sur cette base que, le 11 juin 2009, l'OMS déclenchait une alerte planétaire en annonçant qu'on était en situation de «pandémie mondiale» d'A(H1N1): ce que l'OMS n'a pas dit, toutefois, c'est que, si elle avait appliqué sa nouvelle grille de catégorisation aux années antérieures, elle aurait dû déclarer une pandémie d'A(H1N1) ou d'A(H3N2) chaque année!

Il aurait été plus logique et fidèle à la tradition médicale de conserver dans la définition une référence à un nombre inhabituellement élevé de personnes très malades ou décédées. Selon ce critère, on n'avait pas affaire à une pandémie en 2009, mais bien à une épidémie comparable à l'épidémie de grippe saisonnière, et ce, même si le virus s'est répandu plus rapidement.

Un virus relativement bénin

Armées de plans de pandémies conçus pour des virus beaucoup plus dangereux et confondant «principe de précaution» et «précipitation», les autorités de santé publique ont commandé aux compagnies pharmaceutiques des centaines de millions de doses de vaccins.

Dans la plupart des pays, seule une minorité parmi les populations visées a choisi de se faire vacciner: aux États-Unis, c'est 25 % de la population; en France et dans le reste de l'Europe, c'est 10 % ou moins. À peu près partout, y compris au Québec, le vaccin est arrivé trop tard,

en même temps ou après la «deuxième vague» de la pseudo-pandémie. Ce fut un énorme gaspillage de fonds publics.

Facile de critiquer après coup, disent certains. «On ne savait pas avant», ajouteront-ils. C'est faux. En août 2009, on disposait de chiffres démontrant clairement que l'épidémie d'A(H1N1) 2009, en Australie, était d'une sévérité comparable à la grippe saisonnière. Durant notre été, c'était l'hiver là-bas, la saison de la grippe; l'épidémie d'A(H1N1) 2009 n'y avait pas pris une ampleur catastrophique, et ce, soulignons-le, malgré l'absence de vaccins contre la nouvelle forme de H1N1. À la fin de l'été 2009, «on savait» donc que c'était une fausse alerte.

Ce n'était pas une pandémie, mais une épidémie de grippe susceptible d'affecter certaines catégories de gens qu'on aurait pu cibler et sensibiliser à des mesures d'hygiène, en attendant qu'un vaccin soit prêt. On aurait pu prendre au Québec la décision de ne faire qu'une campagne de vaccination pour les personnes à risque et éviter un coûteux détournement de ressources financières et humaines: la vaccination de masse a privé le système de santé québécois d'une partie de son personnel qui a été affectée à la vaccination au détriment de soins jugés moins urgents. Les coûts associés à ce détournement seront-ils jamais évalués? [...]

 
La bactérie Clostridium difficile

Au printemps et à l'automne 2009, la grande majorité des Québécois infectés par le virus A(H1N1) ne s'en sont pas rendu compte ou, s'ils ont eu la grippe, ils sont passés à travers sans complications. Chez moins de la moitié de 1 % des personnes infectées, une hospitalisation temporaire a été requise: il y a eu 2483 cas hospitalisés au Québec entre le 30 août 2009 et le 9 février 2010. Parmi ceux-ci, 360 ont nécessité des soins intensifs et 82 sont décédés. L'âge moyen des décès était de 60 ans. On a identifié des conditions sous-jacentes (cardiopathie, maladie pulmonaire, etc.) chez 80 des personnes décédées: au final, du 30 août au 9 février, il y a eu au Québec deux cas de décès imputés à l'A(H1N1) sans identification d'une condition sous-jacente.

Pendant la même période, il y a eu quatre fois plus de décès, dans les hôpitaux québécois, des suites d'une infection par la bactérie C. difficile. En 2008-2009, en effet, le chiffre officiel est de 457 décès imputables à cette bactérie. Les médias en parlaient-ils chaque jour? Non. Pourtant, avec des taux d'environ 60 décès par million de personnes, cela correspond à quatre fois le taux de décès imputés à l'A(H1N1) en 2009. Si les autorités de santé publique du Québec avaient fait mention de tous les décès qui se sont produits dans les hôpitaux à l'automne 2009, cela aurait pu être instructif. Sur une base hebdomadaire, on aurait eu droit à des chiffres comme ceux-ci: «Cette semaine, on rapporte dans les hôpitaux 300 décès attribués au cancer, six décès attribués à la bactérie C. difficile et deux décès attribués au virus A(H1N1) 2009.» Vu comme ça — c'est-à-dire sous l'angle de la réalité —, l'A(H1N1) fait moins peur.

Les autorités de santé publique nous informaient-elles, en 2008 ou 2007, de tous les décès qui se produisaient au Québec chez des gens infectés par les virus de la grippe saisonnière? Bien sûr que non, car on ne faisait pas systématiquement des prélèvements et on ne tenait pas des statistiques aussi précises qu'avec l'A(H1N1) 2009.

 

Médiatisation indécente

Selon la firme Influence Communications, le poids médias de cette grippe fut en 2009 de 6,7 % au Québec, de 2,4 % au Canada et de 1,4 % dans l'ensemble de 159 pays. Presque 7 % des nouvelles, pendant un an, c'est énorme et sans précédent dans le domaine de la santé!


On a eu droit à une médiatisation indécente de la mort de toute personne infectée par l'A(H1N1) 2009, comme s'il s'agissait du seul agent infectieux en circulation au Québec. On a assisté à une psychose collective qui a été alimentée par la Direction de la santé publique, qui tenait à la réussite de sa mégacampagne de vaccination. Les médias, pour la plupart, ont agi comme des amplificateurs d'une perception du risque totalement déformée: c'était comme si la mort venait d'être inventée!

 

Bickel---Grippe-2

 

 

L'influence de l'industrie pharmaceutique

Espérons qu'à l'avenir les autorités sauront garder leur calme et leur objectivité scientifique lorsqu'une nouvelle forme d'influenza se pointera le bout des antigènes: avant de signer de juteux contrats avec les fabricants de vaccins, les autorités devraient se montrer plus critiques envers le discours de certains scientifiques dont les recherches sont financées par l'industrie. Lorsque l'analyse de la situation est biaisée, l'invocation du principe de précaution est irrecevable. On ne peut pas justifier n'importe quoi, à n'importe quel prix, en invoquant l'idée de prudence.

 

schizo OMS!

 

 

Si on en juge par le rapport déposé récemment au Conseil de l'Europe, il est clair qu'au sein de l'OMS, certains conseillers étaient en situation de conflit d'intérêts. Nous ne pensons pas que les autorités sanitaires québécoises et canadiennes soient vaccinées contre ce genre d'influence. Il s'agit là d'un phénomène qui a pris, ces dernières années, une réelle ampleur... pandémique!

***

Auteurs:

 

Richard Gendron - Anthropologue spécialisé en santé/environnement

 

Pierre Biron - Médecin retraité et ancien professeur de pharmacologie à l'Université de Montréal

Marc Zaffran - Médecin et chercheur invité au Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal

 

Source: Le Devoir (journal québécois INDEPENDANT)

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 23:45

Maggie FOX, Washington, 30 juillet, (Reuters)- traduction (extraits)

Les compagnies pharmaceutiques commencent à expédier aux Etats-Unis les vaccins contre la grippe.

*  170 Millions de vaccins doivent être fournis pour le marché américain [alors que ceux-ci avaient annoncé devoir brûler 40 millions de doses de vaccins H1N1 en juillet dernier, voir ICI ! ]
*  La vaccination universelle est maintenant recommandée

 

 

[…] Les officiels américains annoncent qu’ils vont changer l’étiquette d’un vaccin fabriqué par une firme australienne parce qu’il semble que ce vaccin ait causé un nombre inhabituel de convulsions parmi les enfants…
[…]  LARGE RECOMMANDATION
Les Centres de Contrôle et de Prévention des maladies recommandent que tout le monde se fasse vacciner cette année contre la grippe saisonnière.
[…]  L’année dernière le gouvernement a acquis 162 millions de doses du vaccin H1N1, mais seules 90 millions de doses ont été utilisées. En général, environ 40 % des groupes pour lesquels la vaccination est recommandée se font en fait vacciner.
La plupart du temps la grippe saisonnière infecte entre 5 et 20 % de la population américaine et tue 36.000 personnes, alors que 200.000 personnes doivent être hospitalisées.
Mais l’année dernière la nouvelle pandémie porcine a virtuellement remplacé toutes les autres souches de la grippe. Elle s’est avérée aussi mortelle que la grippe saisonnière, mais alors que généralement c’étaient les personnes les plus âgées qui étaient touchées, cette fois ce furent les jeunes adultes, les enfants et les femmes enceintes.
Le vaccin contre la grippe saisonnière de 2010-2011 comprendra, outre le vaccin H1N1, les souches les plus habituelles du H3N2 et de l’influenza B.

h1n1 vaccine 556335-copie-1

 

 

L’étiquetage d’un vaccin a subi des modifications cette saison. Il s’agit d’informer les officiels de santé d’un risque accru de fièvre et de convulsions (crises) fébriles qui ont été observées chez les jeunes enfants, principalement les enfants en dessous de 5 ans, a précisé la Food and Drug Administration Américaine….
[…] Les vaccins contre la grippe doivent être fabriqués à nouveau chaque année pour pouvoir correspondre aux souches du virus en circulation.
Ces vaccins sont fabriqués selon une technologie ancienne qui utilise des oeufs de poules. Les producteurs ne pouvant pas toujours prédire le nombre de vaccins qu’ils pourront produire et préciser la date de leur mise sur le marché, il s’avère que quelques compagnies ont aujourd’hui la possibilité de réaliser des vaccins cellulaires. Les gouvernements travaillent avec l’industrie pour pouvoir passer à des modes de production plus rapides et davantage prévisibles. (Edité par Xavier Briand)
 source: Reuters
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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 20:30

 3 août 2010 - traduction

 

Les enfants qui avaient reçu le vaccin en Australie, fabriqué par la firme CSL et commercialisé en Angleterre par la firme Pfizer ont souffert de convulsions fébriles dans les heures et les jours qui ont suivi leur vaccination.

La lettre envoyée à tous les médecins généralistes par le Pr Salisbury disait : « Les informations épidémiologiques en provenance de l’Australie indiquent qu’il y a eu une hausse plus importante que prévue de convulsions fébriles chez les enfants en relation avec le vaccin Fluvax (fabriqué par CSL) »

 

 Le vaccin (trivalent) contient notamment :

-         La souche virale A H1N1

-         De la néomycine (antibiotique) , un toxique pour le système immunitaire

-         De la polymyxine (antibiotique), un toxique pour le système nerveux

-         Du déoxycholate de sodium, un toxique pour le système immunitaire

-         Du chlorure de potassium, un toxique pour le système nerveux

« C’est le même produit qui va être commercialisé au Royaume-Uni par Pfizer sous le nom de Enzira comme vaccin grippal saisonnier pour la saison 2010/11.

Les convulsions fébriles touchent environ 1 enfant sur 20 et sont normalement causées par une infection. La réaction du corps à une fièvre élevée se manifeste par une perte de conscience de l’enfant et par des mouvements désordonnés des bras et des jambes. Les enfants peuvent devenir pâles ou bleus de façon brève et après quelques minutes normallement, les secousses cessent.

 

Les attaques peuvent être très effrayantes pour les parents et les enfants sont généralement admis à l’hôpital après la première crise convulsive afin d’en rehercher la cause.

L’Australie, qui traverse actuellement sa saison hivernale, a cessé de vacciner les enfants en dessous de 5 ans quand une augmentation des convulsions a été établie. L’Australie a cependant repris la vaccination avec d’autres produits.

Un porte-parole de Pfizer a dit: “La cause de l’inattendue hausse de fréquence des convulsions fébriles reste inconnue et les investigations se poursuivent.”

 

Un porte-parole du Ministère de la Santé a dit : "Dans le cadre du programme australien de vaccination contre la grippe, un certain nombre d’enfants ont reçu un type de vaccins connu sous le nom d’Enzira (Fluvax en Australie). Une petite proportion de ces enfants de moins de 5 ans ont eu des convulsions après avoir été vaccinés."

 

Source: Preventdisease.com

 

 

 

Mais hélas, ce n'est pas tout!

   

vaccination-bebe-grippe-a

 

 

 

A côté de la septantaine de cas de convulsions fébriles officiellement répertoriés, il y en a des centaines d'autres! Le Dr Richardson, pédiatre australien a déclaré à la TV qu'en 20 ans de pratique, il n'avait jamais vu autant de cas de convulsions fébriles chez des enfants en bonne santé après une vaccination.

 

Mais, surtout, surtout... il y a le décès d'une petite fille de 2 ans, jusque là en pleine santé, retrouvée morte dans son lit quelques heures après avoir été vaccinée avec le vaccin trivalent (comprenant la souche H1N1), le vaccin justement incriminé dans la hausse des cas de convulsions fébriles. Un décès visiblement très gênant pour les officiels puisque "ce décès n'a pas été notifié du tout à la pharmacovigilance australienne" (!) peut-on lire sur l'excellent blog Pharmacritique.



Comme nous l'avions déjà dénoncé en télé, dans nos communiqués et sur notre site (cfr article intitulé "Une pharmacovigilance non fiable"), les failles en matière de pharmacovigilance ne sont gravissimes et généralisées à l'échelle du monde: loin de se limiter à ce seul exemple australien, elles concernent donc aussi notre pays.

 

Ainsi, la Déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance stipule que, dans le meilleur des cas, seuls 5% des effets secondaires des médicaments sont réellement signalés !



En aucun cas, les autorités ne connaissent donc le nombre réel d'effets secondaires et dès lors, elles sont incapables de fournir au public une estimation fiable du véritable rapport bénéfices/risques des vaccins, encore moins quand leur développement a été aussi bâclé.



Et hélas, comme l'explique très bien cet article de Pharmacritique, les choses risquent bien d'aller en empirant car le "package pharmaceutique" que nous concoctent la Commission Européenne et le lobby pharmaceutique prévoit, à terme, l'abandon pur et simple de la pharmacovigilance aux laboratoires juges et parties.

 

Ceux-ci pourront donc commercialiser des vaccins insuffisamment testés auprès de millions de patients-cobayes et ce à la seule condition que ces firmes mettent en place un "plan de gestion des risques"!



Lire ICI cet article de Pharmacritique





 

VACCIN H1N1 effets secondaires 

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 17:57

27 juillet 2010, AFP

 

La Haye Les Pays-Bas détruisent plus de 17 millions de doses de vaccin contre la grippe non utilisées, dont la date de péremption approchait et qu’ils ne pouvaient revendre, a déclaré mardi le Ministre de la Santé Publique.

 

« Nous avons commencé à détruire » les vaccins a confirmé à l’AFP la porte parole du Ministère de la Santé Inge Freriksen. Dans les mois qui viennent, 17, 8 millions de doses seront détruites parce que leur date de péremption approche.

 

chauffer à l'emballage grippe A!

 

 

Pour parer à l’épidémie de grippe porcine l’an dernier, le gouvernement néerlandais avait acheté 31 millions de doses du vaccin contre le virus H1N1.

11 millions de doses environ ont été utilisées…

 

[…] En novembre le gouvernement néerlandais a mis en vente 19 millions de doses, mais n’a pu effectivement en vendre que 257.000.

 

Le gouvernement est décidé à conserver 2, 2 millions de doses dont la date de péremption arrive plus tard à expiration au cas où un virus réapparaîtrait sous une forme ou sous une autre a précisé Freriksen.

 

L’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré la pandémie de grippe porcine le 11 juin 2009. Elle a depuis coûté la vie à 18.311 personnes dans le monde.

 

Le Conseil de l’Europe a récemment réclamé une enquête sur la manière dont l’OMS a géré la pandémie, qui a, dit-on, provoqué des peurs injustifiées et un gaspillage de l’argent public.

(Extraits)

 

Source: AFP 

 

cfr aussi l'article "Pays-Bas: vaccins contre le H1N1 détruits" sur le site du Figaro, ICI

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 16:10

Publié le 26/07/2010
 

Sur les trois millions de vaccins effectivement reçus, un million seulement a été utilisé.Huit millions de doses contre des vaccins infantiles et anti-grippe seront livrées d'ici l'automne.

 

Que fera le Maroc avec ses 2 millions de vaccins contre la grippe A/ H1N1 inutilisés depuis la baisse du niveau d’alerte concernant le fléau ? Le ministère de la santé a conclu un accord avec le laboratoire Glaxo Smithkline (GSK) en vue de remplacer ces produits par des vaccins contre la grippe saisonnière ainsi que d’autres vaccins prévus dans le programme de vaccination infantile. Le reste de la commande qui n’a pas été livré, soit 6 millions de vaccins, sera également échangé contre des vaccins infantiles. En somme, si le Maroc ne perd pas dans l’opération, il sera tout de même dans l’obligation d’acheter des doses commandées. Le coût du vaccin contre la grippe A/H1N1 convenu s’étant établi à 3,6 euros l’unité, ce n’est cependant pas le même montant global de la commande qui sera respecté mais plutôt la même quantité de doses, selon l’avenant au contrat initial que l’Etat s’apprête à signer avec GSK.

 

Deux mille personnes contaminées et douze décès

Il faut rappeler qu’en mai 2009, le Maroc avait commandé 18 millions de doses de vaccins contre la grippe A/H1N1, étant entendu que les experts de l’OMS avaient recommandé deux injections par personne. Mais il s’est avéré, en fin de compte, qu’une seule suffisait.


«Les laboratoires ont été obligés de réduire de moitié les commandes des pays», explique le docteur Omar Menzhi, directeur de l’épidémiologie au ministère de la santé. Dès lors, 9 millions de vaccins anti-grippe A/H1N1 devaient être livrés par tranche au Maroc. Sur les 3 millions de vaccins reçus, seulement un million a été utilisé. Le reste (six millions) sera livré progressivement d’ici l’automne prochain.

 

Le plan de vaccination qui avait démarré en novembre 2009 concernait en premier lieu les pèlerins qui devaient se rendre en Arabie Saoudite pour le haj et, à partir de décembre, les personnes à risque, c’est-à-dire celles qui sont atteintes d’asthme, d’inflammation chronique des poumons, des bronches ou de diabète.


Depuis l’apparition du premier cas au Maroc, le 11 juin 2009, le nombre de personnes atteintes du virus avait atteint 2 178, dont 896 élèves. Douze décès ont été enregistrés sur l’ensemble du territoire. Aujourd’hui, le ministère assure qu’aucun virus grippal ne circule au Maroc, mais il faudra encore attendre l’automne pour être définitivement fixé.

 

A.B/

 

Source: La Vie Eco

 

L'avis d'Initiative Citoyenne: Comment donner l'impression aux citoyens qu'il n'y a pas eu démesure et surtout qu'il n'y a pas eu gaspillage financier dans un temps de crise économique particulièrement flagrante? En changeant les commandes pour d'autres vaccins du même producteur car ainsi, ça permet de ne pas trop offusquer ces firmes qui font la loi et qui ont une telle emprise. Dans une autre variante, encore plus indécente, l'état français s'engageait de toute façon,  à l'occasion du contrat de vaccins H1N1 avec la firme Baxter à un achat certain de 150 000 doses de vaccins contre le méningocoque Neisvac C [cfr contrat entre la France et Baxter ICI ] ....

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 00:06

Campagne de vaccination "anti grippe" 2010-2011 - Changement d’aiguille

 

 

 

Un entrefilet dans le journal belge « Le Soir » de ce lundi 26 Juillet 2010

 

  Santé. Un vaccin sans douleur ?

 

« Cet automne , la vaccination contre la grippe sera réalisée à l’aide d’une aiguille presque indolore, rapportent samedi les journaux Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen.

 

Avec cette forme de vaccination, l'injection se fait dans la couche supérieure de la peau (épiderme) et non dans les muscles.« La protection est tout aussi efficace », affirme Pierre Van Damme*, spécialiste de la vaccination à l’université d’Anvers.

 

Selon les scientifiques, cette nouvelle méthode offre un certain nombre d’avantages, notamment pour les personnes angoissées par les piqûres. (b) »

 

 

* ATTENTION, Pierre Van Damme a déjà coordonné et réaliser des essais cliniques commandités et donc financés par des firmes productrices de vaccins (risque de conflits d'intérêts)

 

 

 

 

  

 

VACCIN sans douleur

 

 

 

 

 

  

 

Pourquoi ce changement d'aiguilles?

 

Pour liquider plus facilement des vaccins ayant eu peu de succès?

 

En prétextant ainsi que ce "sera indolore" alors que la présence d'adjuvants rend justement de facto l'injection encore plus douloureuse que pour les vaccins n'en contenant pas...

 

Pourquoi ces aiguilles spéciales seront utilisées cette saison-ci et ne l'étaient pas lors de la saison précédente?

 



Rien que l'absence de réponse à ces questions déjà, justifie l'abstention vaccinale...

 

 

  

   l'air d'un cobaye!

 

 

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6 août 2010 5 06 /08 /août /2010 20:49

Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour écouler des vaccins anti-grippaux? Voilà une question qui se pose quand on entend parler de "vaccin universel" qui serait apte à prévenir tous les types de grippes et des idées de "patch vaccinal"....

 

Sans cesse braqués sur des objectifs de couverture vaccinale édictés par une OMS complètement inféodée au lobby pharmaceutique, les scientifiques perdent un temps (et un argent!) précieux à mettre au point des produits davantage destinés à embobiner et surtout séduire des consommateurs qu'à réellement protéger des citoyens-patients, acteurs de leur santé!

 

C'est ainsi qu'on peut prendre connaissance d'articles fanfaronnant sur la possibilité de "vaccination universelle" contre la grippe et qui font miroiter en guise de "sucette" aux lecteurs trop dociles la possibilité d'échapper aux rappels annuels donc aux piqûres supplémentaires.

 

 

En jouant sur cette crainte de la piqûre, qui ne constitue qu'une raison bien secondaire aux refus des patients de se faire vacciner, cela permet aux officiels d'encore et toujours plus éluder les  risques réels d'effets secondaires liés aux vaccins. Des risques qui peuvent être nettement moins réversibles qu'une simple douleur au site d'injection!

 

Sans parler de l'inefficacité des vaccins anti-grippaux classiques (cfr. études Cochrane) qui est malgré tout continuellement présentée comme une réussite!

Si déjà, par rapport aux vaccins antigrippaux classiques, l'échec a été transformé artificiellement en succès sous l'influence d'une Science dogmatique, réductrice et trop sûre d'elle-même, gardons-nous de porter de trop grands espoirs dans la mise au point d'un autre type de vaccin qui lui aussi, de toute façon, finira par être présenté comme efficace même s'il ne l'était pas, intérêts des industriels qui auront investi dans ces "recherches" obligent...

 

Car quand on affirme qu'un vaccin est "efficace", il ne s'agit pas seulement de constater un effet court terme d'évitement d'une maladie donnée mais surtout d'établir une amélioration généralisée de la santé des populations exposées au vaccin ou à ses conséquences indirectes. Ainsi, éviter la grippe mais faire augmenter les scléroses en plaques, et d'autres cas de maladies auto-immunes, c'est une façon trop réductrice et débilitante d'exposer une "efficacité" vaccinale. Encore faut-il voir le rapport coût/bénéfice, étroitement lié au rapport bénéfices/risques d'un produit donné! Car bien sûr, des cas de scléroses en plaques et d'autres maladies chroniques généralement incurables sont bien plus lourds pour le budget de la sécurité sociale que la gestion des rares grippes qui se soldent par des complications menaçant le pronoctic vital...

 

Toutes ces considérations imposent également, pour être rationnel et équitable, de regarder AILLEURS et de voir si d'autres méthodes n'ont pas la même efficacité pour moins de risques ou plus d'efficacité encore pour moins de risques. Un exemple parmi de nombreux autres: les huiles essentielles, des substances naturelles pour lesquelles des études ont montré qu'elles éliminent "de 57 à 100% des acariens, moisissures, champignons, bactéries et virus." (Etude Puressentiel/spray aux 41 huiles essentielles/Souches fournies par l'Institut Pasteur de Paris; citée par la pharmacienne Danièle Festy dans son livre "Ma bible des huiles essentielles.")

 

Evidemment, ces substances bien que moins iatrogènes par rapport à des Tamiflu et autres Relenza, sont moins lucratives pour Big Pharma. Sans parler des vaccins car il est facile de comprendre qu'il est plus lucratif de vendre un produit à tous les bien portants que de ne traiter que les seuls malades...

 

 

Les hasards du "vaccin universel"

 

Même appâtés par l'idée d'une seule injection, les gens ont pleinement le droit de savoir qu'hélas, une seule piqûre peut parfois suffire à dégrader durablement leur santé et ainsi faire passer un bien portant du côté des malades à vie.

 

Ces affirmations ne sortent pas "de nulle part".

Si on lit bien le résumé d'article scientifique (abstract) paru dans Science en juillet dernier, on peut ainsi lire que les résultats sur souris et furets ont été obtenus après vaccination avec un plasmide c'est à dire un fragment d'ADN, contenant le gène de l'hémaglutinine (HA) du virus H1N1 dans un premier temps puis ensuite, par une autre vaccination soit  avec un vaccin grippal saisonnier classique soit avec un vaccin recombinant c'est à dire transgénique en utilisant l'ADN d'un adénovirus dans lequel on aura intercalé une séquence codant pour l'hémaglutinine. Cette approche en deux temps, appelée "prime- boost" n'est pas sans risques!

 

L'ADN étranger injecté n'est jamais anodin: il y a toujours un risque plus ou moins grand que cet ADN interfère avec le nôtre, provoquant ainsi des mutations, des cellules anormales et éventuellement un processus de cancérisation! Ces effets peuvent bien sûr se manifester sur le très long terme...

C'est un problème réel des vaccins dits "recombinants" c'est à dire transgéniques car ces vaccins ne sont jamais d'une pureté parfaite, comportant ainsi des quantités non négligeables de bases d'ADN, un code génétique étranger, entremêlé avec des quantités d'enzymes génétiques issues du processus de fabrication. Ce sont ainsi des risques qu'on peut rencontrer avec des vaccins anti- hépatite B, HPV mais qui ne seront objectivables que bien des années après. Des risques qui s'ajouteront et seront cumulés à ceux d'autres vaccins recombinants comme il pourrait en exister également pour la grippe.

 

  

 

 

Le subterfuge du patch vaccinal

 

 

 

patch-vaccin.jpg

                              "Recouvert d'une centaines de micro-aiguilles, invisibles à l'œil nu et parfaitement indolores..." "Le vaccin est lyophilisé dans les aiguilles en polymères qui se dissolvent au contact de la peau pour libérer le produit."

 

 

Là aussi, on contribue, avec ce type de pseudo-invention, à une banalisation croissante de l'acte vaccinal visant à le présenter durablement comme "indolore" donc "anodin" et "sûr" dans l'inconscient collectif.

 

Tout vise encore une fois à séduire des consommateurs passifs plutôt que des patients acteurs et pour cela on surfe sur la loi du moindre effort et de la soi disant "facilité" de pouvoir "s'auto-vacciner" à domicile! Ce faisant, cela fait peser davantage encore les risques sur le consommateur (qui se sera vacciné tout seul, il ne pourra donc incriminer que lui) et c'est oublier que l'acte vaccinal est et reste un acte médical à part entière.

 

Car aussi séduisant et indolore que puisse sembler une vaccination de ce type, il ne faut pas oublier qu'elle peut aussi durablement et péjorativement interférer avec le fonctionnement normal de notre système immunitaire et donner lieu par voie de conséquences, à toute une palette de maladies chroniques!

 

Ainsi, la prudence est de mise quand le Figaro publie que quiconque pourra, par ce biais des patches vaccinaux, "s'auto-vacciner  en toute sécurité et à moindre coût".

Non seulement, il est scientifiquement et déontologiquement scandaleux de prétendre que pour chacun, cela pourra se faire "en toute sécurité" (puisqu'aucun produit n'a un risque ZERO et certainement pas un vaccin!) mais en plus, la question du coût est là aussi toute relative puisqu'en général, cela signifie moindre coût de production pour l'industrie mais pas pour les utilisateurs. Sans parler des coûts conséquents engendrés par les effets secondaires qui existent, que les victimes en aient conscience ou non .

 

Mais, on entend déjà parler, à part ça, des grandes économies et de la "grande" facilité d'usage compte tenu de l'absence d'aiguilles à gérer et à éliminer en temps normal.

 

Des avantages gonflés et des risques minimisés, la recette classique des industriels et des spécialistes en marketing avec qui ils font affaire!

 

 

 

 

 

 

 

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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 00:06

C’est officiel, le vaccin contre la grippe a été classé dans la catégorie “C” des médicaments!

 

  Christina England, 4 juillet 2010

 

C’est exact, le peuple Américain est encouragé par la FDA et le CDC à injecter aux petits bébés âgés de 6 mois, un vaccin classé dans la catégorie « C » des médicaments. Cette nouvelle accablante a été révélée par Richard Gale et par le Dr Gary Null dans un article intitulé : Le CDC vote en faveur d’une vaccination contre la grippe qui constitue une agression sur la 

 

 «  L’étude a examiné 90 médicaments approuvés aux Etats-Unis (ne nous trompons pas, les vaccins sont bien des médicaments!)                                                                           

En fait le vaccin contre la grippe est classé dans la catégorie « C » des médicaments. Ce qui veut dire qu’il n’existe pas d’études suffisantes de sécurité afin de pouvoir déterminer si la vaccination contre la grippe pouvait provoquer des effets secondaires négatifs chez les femmes enceintes et leurs fœtus).

  

L’étude a également découvert que 60 %  des 900 documents ayant trait à la vaccination n’ont pas été publiés. Certains documents ont même été cachés aux agences fédérales de régulation. De 40 à 60 % des détails cliniques n’auraient pas été repris ou leur analyse finale aurait été modifiée. Rien que pour l’industrie pharmaceutique 94% n’auraient pas été publiés et 86% des études universitaires sponsorisées par les fabricants de médicaments n’ont pas été publiées. »

 

Ce dernier article a été écrit par des hommes sérieux et de confiance. Il est la preuve que non seulement les Américains, mais les peuples du monde entier risquent d’être contraints ( si ce vaccin devient obligatoire comme il a été prévu) de prendre un médicament de catégorie « C »…

 

Les groupes qui sont actuellement visés par cette catégorie « C »  sont : les personnes âgées, les personnes présentant des troubles de santé qui comprennent : l’asthme, des problèmes pulmonaires et cardiaques, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les femmes enceintes et les bébés fragiles dont beaucoup de prématurés…

 

La catégorie des médicaments  de cette catégorie C répertoriés sur Wikipédia incluent:

 

La ketamine, un sédatif

 

Le Camazepam (groupe des benzodiazépines)

 

Le Diazepam (groupe des benzodiazépines)
 

 

[…]  Dans un article émanant de la FDA «  Médicaments considérés comme sans danger à pouvoir utiliser durant la grossesse », on peut lire :

 

« La FDA a créé le système d’évaluation suivant en 1979 en vue de classer par catégories les risques potentiels d’un médicament déterminé pour le fœtus.

 

Catégorie A : Des études contrôlées sur l’homme n’ont fait apparaître aucun risque fœtal.

 

Catégorie B : Des études effectuées sur l’animal n’indiquent aucun risque fœtal, - mais aucune étude réalisée sur l’homme ou sur les effets secondaires chez l’animal, - ( mais pas dans les études contrôlées sur l’homme.) (A)

 

Catégorie C : Il n’existe aucune étude suffisante (adéquate) sur l’homme ou sur l’animal, ou sur les effets secondaires chez les fœtus animaux ;  - aucune donnée disponible pour l’homme.(B)

 

Catégorie D : preuves de risques pour le fœtus, mais les bénéfices surpassent les risques.

 

Catégorie X : Preuves de risques pour le fœtus. Les risques surpassent les bénéfices.

 

GROSSESSE ET MEDICAMENTS

 

Les médicaments de la catégorie « C »  sont davantage susceptibles de provoquer des problèmes pour la mère et le fœtus. Cette catégorie comprend aussi des médicaments pour lesquels les études de sécurité n’ont pas été terminées. Pour la majorité de ces médicaments, il n’y a pas d’études en cours. Ces médicaments sont souvent accompagnés d’un avertissement qui précise qu’ils ne peuvent être utilisés que si les bénéfices l’emportent sur les risques. C’est une chose que chaque femme devrait sérieusement discuter avec son médecin…

 

Jetons maintenant un coup d’œil aux recommandations ayant trait à l’impact que peuvent avoir des médicaments ou drogues sur la femme enceinte et le fœtus :

 

En général la femme ne devrait jamais prendre de médicaments pendant la grossesse ( à moins qu’ils ne soient absolument nécessaires),  parce que nombre d’entre eux peuvent nuire au fœtus. -  2 à 3% environ des anomalies constatées à la naissance proviennent de l’utilisation des médicaments ou de drogues autres que l’alcool…

 

[…] Les drogues ou les médicaments pris par une femme enceinte peuvent affecter le fœtus de différentes manières :

Ils peuvent directement affecter le fœtus, provoquant des dommages, un développement anormal pouvant conduire à des malformations ou à la mort.

 

Ils peuvent altérer les fonctions du placenta…

 

Ils peuvent provoquer la contraction excessive des muscles de l’utérus, endommageant le fœtus en réduisant la circulation du sang ou en provoquant un accouchement prématuré…

 

http://vactruth.com/2010/07/10/it-is-official-the-flu-vaccine-has-been-listed-as-a-category-c-drug/

 

http://www.americanchronicle.com/articles/view/167525

 

http://www.weeklyblitz.net:80/856/its-official-the-flu-vaccine-has-been-listed-as

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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 22:43

C'est une question des plus intéressantes, surtout que ça a été un des principaux arguments de vente, de promotion par les Ministres et un des piliers de leur défense par après pour justifier d'en avoir trop fait...

 

La mutation du virus!

 

 

On nous a dit qu'il y avait un risque de mutation et que ça justifiait la prudence, la vigilance et la vaccination... Albert Osterhaus, virologue influent mais pas indépendant a encore agité en début d'année le spectre d'un croisement avec le fameux virus aviaire (H5N1). Pourtant, comment expliquer alors que le virologue Bruno Lina soit financé à hauteur minimum de 200 000 euros par les officiels français pour faire se croiser justement les virus H1N1 et H5N1?

 

Mais aussi, si une mutation est  tant redoutée, POURQUOI est-ce que des chercheurs chinois ont infecté expérimentalement (donc volontairement!) des porcs avec des virus H1N1 réassortis (lesquels ont alors eux-mêmes transmis une infection à d'autres porcs etc)?

Comment peut-on, dans le même temps contribuer à ce type de recherche hasardeuse et incontrôlable et affirmer que "la recombinaison continue du virus AH1N1 v 2009 avec les virus influenza porcins peut donner naissance à des variants transmissibles et plus virulents pour l'homme. C'est pourquoi la surveillance systématique de la grippe dans les élevages porcins doit être renforcée estiment les auteurs qui soulignent que le recombinant génétique n'a pas d'immunité croisée avec le virus H1N1 de la pandémie 2009. Donc si ce nouveau virus grippal se révélait un jour transmissible à l'homme, le vaccin anti-H1N1 actuellement sur le marché ne serait a priori pas protecteur."

[Le Journal du Médecin du 25 juin 2010] ?

 

 

On nous a aussi parlé de la fameuse mutation D225G (aussi connue comme D222G suivant le système de numéroration des séquences virales employé), du moins du bout des lèvres et relativement tardivement car il fallait coûte que coûte continuer de faire croire à la population que le vaccin restait "efficace" malgré tout...

 

Cette mutation permet au virus de se fixer à des récepteurs situés plus profondément dans les voies pulmonaires avec des risques de complications accrus.

 

Dans le Journal du Médecin du 19 mars 2010, on peut lire ceci concernant les trouvailles de chercheurs norvégiens de l'Institut de santé publique d'Oslo: "A. Kilander et ses collègues ont retrouvé une mutation spécifique de l'hémaglutinine virale (D222G) dans de nombreux cas fatals et sévères: dans 11 des 61 cas sévères, analysés en Norvège entre juillet et décembre 2009. Ces mutants n'ont par contre été observés chez aucun des 205 cas modérés. Pour les auteurs, cette différence était statistiquement significative et leurs données illustrent un lien probable entre cette mutation et l'issue clinique. Les personnes infectées par le virus mutant n'étaient cependant pas reliées entre elles sur le plan épidémiologique, il s'agissait donc de cas isolés. "Il faut cependant garder à l'esprit que la majorité des cas sévères et fatals investigués ne portaient pas la mutation D222G et que cette mutation n'est clairement pas requise pour donner lieu à un cas grave." "Alors que nos données étayent de façon statistique l'existence d'une association entre la mutation D222G et la gravité, le nombre de cas bénins devrait être plus important pour déterminer si les virus mutants circulent réellement à une fréquence très faible également dans les cas non graves, commentent les auteurs. Si les virus mutants D222G ne circulent pas (ils sont donc moins transmissibles), l'impact immédiat de cette constatation sur la santé publique sera limité. Toutefois, elle pourrait avoir des implications pour la gestion des cas graves où le virus, s'il est transmis par exposition massive, pourrait être plus virulent que la variante circulant actuellement. De plus, cela permet de rappeler que la virulence généralement très faible du virus pandémique actuel n'est pas immuable et qu'il n'y a pas de raison d'abandonner les mesures pour limiter sa transmission à l'échelon individuel et collectif."

 

Il est étrange de constater l'absence totale de remise en cause des procédés utilisés contre le virus. Or, il est scientifiquement établi que la vaccination peut CAUSER des mutations, tout simplement par pression sélective sur le virus ou le miasme circulant (ça s'est déjà d'ailleurs passé à de multiples reprises tant pour des vaccins dirigés contre des agents bactériens que viraux).

 

 

 

Plus la roulette russe des vaccinations de masse sera tournée, plus haut sera le risque de mutation aux effets gravissimes. Parce que la Nature est alors poussée dans ses derniers retranchements.

 

Car bien que le contrat de vaccins H1N1 entre l'état belge et GSK prévoie dans le même temps des "pandémies A" et des "pandémies B", il serait plus que regrettable que les citoyens récoltent malgré eux ce qu'une poignée d'apprentis-sorciers a semé, au détriment de la santé publique... 

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