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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:02

smiley-NUL.jpg

Extrait (ENORME si on lit bien) du rapport N°476 du 28 septembre 2007:


 « Au-delà de son objectif de court terme d'améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l'aide aux pays les plus pauvres. Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu'ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels. » [Lire le rapport du Sénat, p17]

 

Cet aveu de poids signifie donc clairement qu'un des buts au moins des politiques vaccinales (mais néanmoins JAMAIS révélé comme tel au public!) est de se servir des gens comme cobayes à leur insu, et tout cela, en substance, parce qu'il faut aider le business des pharmas qui ont encore, les pauvres, tellement de vaccins à devoir introduire sur le marché puis qui servent aussi si bien l'intérêt national via l'emploi, le PIB etc!!!!!

 

Si cela n'est pas gravissime, et sur le site d'une instance comme le Sénat qui plus est, censée pourtant représenter les intérêts du peuple, franchement, nous ne savons alors plus ce qui l'est. D'autant que le sénateur français Pr Jean-Michel Dubernard (membre de la Haute Autorité de Santé depuis 2008) déclarait quelques mois plus tôt en Commission de la Santé du Sénat, qu'"il n'existe pas de preuves scientifiques de l'utilité des vaccins."! (voir aussi ICI à ce sujet) 

 

Entre de tels aveux d'inefficacité et d'expérimentation illicite sur le public et Mme Testori de la DG Sanco qui a dit appeler de ses voeux à ce que ce soit la Commission européenne qui décide dorénavant arbitrairement des modalités des obligations vaccinales chez les humains à l'occasion des futures pandémies, il y a vraiment du souci à se faire et une initiative CITOYENNE est décidément plus que jamais nécessaire!!

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 15:13

Témoignage de Martine, une maman française (reçu ces 29 & 30 août 2012):

 

Fotolia, un homme en colère

« Aujourd'hui j'ai vraiment subi ce que beaucoup de parents subissent de la part de leur médecin, à savoir la culpabilisation face à la non-vaccination de notre enfant. Je me suis fait traitée de criminelle parce que ma fille n'est plus vaccinée depuis 15 ans. Il est devenu comme fou furieux quand il a vu le carnet de santé (si j'avais su je ne l'aurais pas amené) : « Mais c'est un crime! » répétait-il comme un hystérique. Ma fille aussi a été choquée ! J'ai aussi eu droit à un ramassis d'idioties du genre « et s'il elle fait une rougeole, elle peut en mourir, et le tétanos c'est grave », etc etc !!!

 

J’ajouterai aussi que durant tout le reste de la consultation, il ne m'a plus regardé, ni adressé la parole, il n'a parlé qu'à ma fille, je n'existais plus, j'étais devenue une paria, l'au revoir fut tout aussi glacial. 

  

Je n'ai pas voulu alimenter le débat car j'étais avec ma fille, je ne voulais pas la gêner, ni faire de scandale dans le cabinet médical mais là, je suis carrément écœurée !!! Bien sûr il me faut changer de médecin…

 

Je viens de lui faire une lettre de 2 pages sur ma façon de penser et vais la déposer à son cabinet ce matin.

 

Concernant les vaccins que ma fille a reçus, il y a eu 3 doses de Pentacoq à 3 mois d'intervalle, puis un dernier rappel à ses 18 mois, depuis plus aucun vaccin ! Le pire, c’est qu'il a osé me dire que le fait qu'elle avait fait des convulsions suite à ce vaccin, cela n'avait pas forcément de lien ! Bien sûr, ça devait être un de ces nombreux « hasards »… quel culot monstrueux !!!


Je suis amère, mais furieuse aussi d'avoir été traitée de la sorte, quant aux médecins on se demande s'ils ont réellement fait des études de médecine pour avoir de tels comportements...enfin, au moins pour certains d’entre eux disons, car ce serait insultant pour les médecins respectueux et consciencieux de tous les mettre dans un même sac. »

 

Martine, de Basse-Normandie.

  

Voilà à quels extrêmes mène la religion vaccinale, toute vouée à la défense d’un dogme qu’il faut croire aveuglément sans jamais oser le remettre en question !

 

Une agressivité pareille témoigne à elle seule du malaise croissant de ces médecins sous-informés qui sont finalement tiraillés entre la peur qu’on puisse, en cas de problèmes, leur reprocher de ne pas avoir fait leur laïus vaccinal aux patients et la frustration qu’ils ont de ne pas être à même de tenir une discussion scientifique pointue et rationnelle avec des patients de mieux en mieux informés.

 

Il est salutaire que le public prenne conscience de ces réactions inappropriées et totalement déplacées de la part du corps médical et qu’il les sanctionne. Nous avons des droits, dont celui au consentement libre et éclairé pour tout acte médical y compris la vaccination (Loi Kouchner de 2002 en France et loi d’août 2002 en Belgique). Il est grand temps que nous le rappelions aux médecins et aux autres soignants. qui l'auraient oublié ou ne l'auraient même jamais su.

 

Est-il, en outre, besoin de déplorer ici la probabilité quasi inexistante qu’il y aurait de voir ce genre d’attitudes graves condamnées par le Conseil de l’Ordre, décidément trop occupé à pourchasser tous les médecins qui osent trop s’écarter des dogmes dominants dans leur pratique quotidienne ?

 

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 11:11

Un comble: alors que l'ONE exige le vaccin pentavalent comme "combinaison vaccinale minimale" pour l'entrée en crèches, il s'avère que ce vaccin n'est ni remboursé, ni disponible dans la plupart des pharmacies du pays qui n'en ont même, pour la plupart jamais entendu parler selon notre petite enquête à Bruxelles et en Wallonie. Etrange quand on sait que les deux types de vaccins pentavalent (Pentavac de Sanofi Pasteur MSD et Infanrix Quinta de GSK) sont pourtant de stock dans l'immense majorité des pharmacies françaises!

 

Il est intéressant en tout cas de savoir que le vaccin Infanrix Quinta que tant de pharmaciens semblent méconnaître figurait pourtant dans les compendium des officines et des médecins jusqu'au début des années 2000 mais pas au-delà. Comme par hasard, le vaccin hexavalent de GSK a été mis sur le marché en 2004.

 

Alors, a-t-on "organisé" cette pénurie chez nous pour promouvoir l'usage massif du vaccin hexavalent encore plus combiné (et qui contient donc la valence anti-hépatite B non obligatoire), dans le but de favoriser le juteux business de GSK qui détient le monopole mondial des vaccins hexavalents et dont l'ex PDG lui-même avoue en vidéo l'aubaine commerciale qu'il représente?

 

Voir ici...

  

 

N'est-ce donc pas là aussi, par le truchement de remboursements sélectifs stratégiques de certains vaccins et pas d'autres, le moyen de forcer la main aux parents et d'imposer ainsi en douce une forme d'obligation vaccinale cachée?

 

 

Découvrez donc ICI notre communiqué de presse de ce jour à ce sujet.

 

Et ICI, notre courrier recommandé du 27 août 2012 aux Ministres Laanan & Onkelinx.  

 

 

Recepisse recommandé FL 27 août 2012

Recepisse recommandé LO 27 août 2012

Accusé réception FL 28 août 2012

Accusé réception L0 28 août 2012

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 20:05

TEMOIGNAGE D’UNE MAMAN

Robert -  victime d’un vaccin

 

AVN – 7 avril 2012 [extraits]

robert-victime-d-un-vaccin.png

 

 

C’est l’histoire de notre famille après les effets dévastateurs de la loi de juin 1999 concernant la vaccination contre l’hépatite B.

 

Il m’est particulièrement pénible de tenter de décrire l’état de Robert  avant qu’il ne soit vacciné parce que tout ce qui en faisait un enfant brillant, curieux, prévenant, merveilleux à tous points de vue a disparu. Mon fils est toujours là, mais il n’est plus du tout le même. Il a vraiment changé du jour au lendemain, alors que peu de temps avant la vaccination un examen complet avait montré qu’il était en parfaite santé.

 

Le lendemain du jour où il reçut le vaccin hépatite B obligatoire, il était tout à fait différent, son aspect, son comportement, tout avait changé. Je n’arrête pas d’expliquer aux médecins toutes ces différences. Les paralysies dont il souffre sur un côté du corps ne représentent pour nous que la pointe émergée de l’iceberg. Il y a d’autres choses qui ne vont pas sur le plan mental, le plan physique, le plan de sa personnalité. C’est maintenant un enfant complètement différent.

 

Je suis vraiment désespérée ; je ferais n’importe quoi pour le sauver. S’il était mort, je pourrais commencer à faire mon deuil. S’il était perdu, je pourrais entreprendre des démarches pour le retrouver. S’il avait le cancer, je pourrais consulter les meilleurs médecins et lui donner les meilleurs traitements. Mais il est devenu quelqu’un d’autre et je ne sais plus quoi faire.

 

Robert ne supporte plus la douleur, ne se rappelle plus de rien, ne sait plus réfléchir, ne sait plus fermer son œil. La plupart du temps il ne parvient plus à fermer sa bouche et ne cesse de baver. Il éprouve aussi de grosses difficultés pour simplement avaler. Il mange en mettant la tête dans son assiette. Il ne parvient pas à accomplir la moindre tâche ; il ne supporte pas la lumière, le moindre bruit, le moindre stress ; il est d’une faiblesse extrême.

 

Toutes les personnes qui l’ont connu le regardent comme s’il venait d’une autre planète.

 

Nous essayons de lui dire qu’il va mieux et de le traiter comme s’il était normal, mais il sait. Que puis-je lui répondre quand il me demande « Pourquoi moi ? »… Comment une mère peut-elle expliquer quelque chose comme cela à son enfant ? Je veux savoir « Pourquoi lui ? »… A chaque jour qui passe, il devient de plus en plus difficile d’être courageux. [ …] Nous n’avons pas eu le choix de dire la vérité à ses frères. J’ai besoin de leur coopération et de leur compréhension parce que je consacre chaque minute de la journée à Robert. J’ai demandé à mes autres fils de traiter Robert de façon aussi normale qu’ils le peuvent. Ils n’y arrivent pas. Ils s’assoient à côté de lui et le touchent. S’il est dans la salle de bain, ils vérifient pour voir si ça va. Un de mes fils n’a pas été capable de le regarder en face pendant trois jours parce qu'autrement, ses yeux se remplissaient de larmes. Ils ont expliqué à Robert qu’ils avaient le rhume des foins et que c’est pour ça que leurs yeux étaient rouges et gonflés.

 

Deux jours plus tard, Robert a développé une paralysie de Bell et j’ai eu l’impression d’avoir mon thorax dans un étau. Je n’arrivais parfois plus à inspirer et à expirer. Je pensais que mon cœur allait s’arrêter. Je voulais pleurer mais je ne pleure pas encore. Je ne peux pas commencer à pleurer parce que sinon, je ne pourrais plus m’arrêter. Certains jours, je ne pense pas que je pourrais encore supporter cette situation une seule minute de plus. Je ne supporte plus de voir une autre amie qui n’est pas encore au courant de l’état de Robert et de devoir essayer de lui expliquer ce qui s’est passé. Chaque soir, le téléphone n’arrête pas de sonner, notre famille proche et nos amis ayant besoin de savoir s’il y a eu le moindre changement avec Robert. Y a-t-il quoi que ce soit de neuf qui puisse nous donner espoir pour passer au lendemain ? Combien de temps continueront-ils à appeler ? Et combien de temps encore répondrai-je ? Comment pouvons-nous recommencer à revivre à nouveau ? J’ai parlé à des gens qui font face à ce genre de situation depuis des années. Comment font-ils ? Comment peuvent-ils se lever chaque jour et affronter cela ? Comment justifient-ils le fait de faire quoi que ce soit d’autre, quand leur enfant exige autant d’attention et de temps ? Je ne peux même plus envisager d’aller chez le coiffeur ou d’aller faire une course comme je le faisais avant que Robert ne reçoive le vaccin. Si moi déjà, je me sens ainsi, je ne peux imaginer dans quel état se trouve Robert.

 

Tous ceux que j’ai contactés pour avoir des informations et savoir s’il existe des traitements disponibles m’ont dit la même chose : ils sont désolés. Je continue à lire et à chercher des informations pour pouvoir guérir et soigner mon fils. J’ai parlé à des médecins, des avocats, des parents et d’autres enfants comme Robert. Les gens sont si gentils. Ils écoutent et me disent avec empathie qu’ils sont désolés. Et moi j’attends qu’ils continuent. Mais ils ne continuent pas. Donc je me répète et explique que mon enfant a été gravement handicapé par le vaccin hépatite B et que je pensais qu’ils pourraient avoir des informations qui pourraient nous aider. Quoi que ce soit, s’il vous plaît ! Ils redisent alors qu’ils sont désolés. Certains me donnent le nom d’un avocat ou me racontent qu’ils ont reçu une indemnisation. Je pensais qu’ils me disaient cela parce que le traitement était cher. Tout ce qui m’intéresse, c’est la santé de mon fils et être sure qu’il puisse aller mieux. Ils écoutent encore tandis que je continue à expliquer tout ceci encore et encore. Ils sont gentils et ils comprennent. Ils sont désolés. Mais le fait d’être désolé ne me ramènera pas mon fils comme il était avant. Pas plus qu’une indemnisation. Nous avons besoin d’un médecin, pas d’un avocat. Donc, je continue à chercher et à prier. Je prie que si je recevais jamais un appel d’une autre mère désespérée, j’aurais autre chose à lui dire que « je suis désolée ».

 

S’il vous plaît, ne dites pas que vous êtes désolés. Rendez-moi Robert comme il était avant.

 

Source : Australian Vaccination Network

 

Combien d’autres enfants devront encore être détruits au nom d’une prétendue protection contre une maladie qu’ils n’auraient plus que probablement JAMAIS attrapée et tout cela, parce que de « grands experts » auront jugé à distance, de façon impersonnelle et standardisée, que telle cohorte d’enfants ou adolescents doivent faire l’objet d’une vaccination systématique – telle du vulgaire bétail - ?!

Cette médecine de masse est terriblement dangereuse car elle est aveugle, elle juge du futur mode de vie (et des risques) de vos enfants sans rien connaître d’eux. Quel scandale, une fois encore !

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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 18:05

Les effets secondaires des vaccins: c'est décidément la rubrique la plus riche et la plus fournie de ce site, et pour cause. L'insécurité des vaccins est une des grandes raisons suscitant à juste titre une des plus grandes controverses de l'histoire de la médecine depuis près de deux siècles.

 

Régulièrement, des médecins et autres professionnels de santé nous font part d'informations choquantes qui les ont abasourdis ou écoeurés en matière de vaccination. Dans ce cadre, un médecin nous a récemment fait parvenir une publicité tout à fait "éloquente" et révélatrice en la matière, en faveur du vaccin antigrippal Inflexal de Crucell (nouvellement Janssen-Cilag du groupe Johnson & Johnson).

 

Cette publicité tente en effet de faire passer le vaccin Inflexal comme plus séduisant et sûr qu'il n'est en réalité. Tant au niveau de ses composants que de sa tolérance.

 

Cette façon de procéder constitue un truc habituel des pharmas pour présenter leurs produits comme plus sûrs qu'ils ne sont. Décryptage.

 

- Première ficelle: vanter la technologie (en la présentant comme nouvelle, avant-gardiste, de façon à implanter l'idée fausse que ce qui est nouveau est forcément mieux et rime toujours avec "progrès")

 

- Deuxième ficelle: vanter l'absence de certains contaminants et/ou composants notoirement toxiques qui se retrouvent dans d'autres vaccins, mais tout en taisant ou en mettant peu en évidence la présence d'autres ingrédients toxiques et notamment cancérigènes toujours bien présents.

 

- Troisième ficelle: Evoquer de façon brève, simpliste et inconsistante (sans preuves) que le vaccin présenté a "une bonne tolérance".

 

- Quatrième ficelle (= l'indispensable "chaperon"): faire référence aux recommandations officielles d'instances prétendument publiques comme l'OMS en indiquant que le vaccin en question s'y conforme, de façon à faire croire que cela constitue une quelconque garantie. Parfois aussi, les pharmas utilisent comme "caution officielle", la seule mention du fait que tel ou tel vaccin est remboursé, ce qui amène ainsi beaucoup de gens à tomber dans le panneau en déduisant à tort que le vaccin en question est alors forcément utile, sûr et fiable.

 

Passons à présent à un visuel partiel de ladite publicité pour l'Inflexal:

 

Inflexal--2-.jpg

 

Voyons à présent ce que le fabricant indique sur la tolérance de son vaccin Inflexal dans sa notice...."97% des personnes vaccinées ont estimé sa tolérance "bonne" à "très bonne".

 

Ca peut sembler rassurant n'est-ce pas? MAIS, qu'en est-il vraiment, quand on gratte un peu ce pseudo-vernis scientifique??

 

Voici ce qu'il en est en réalité: "l'évaluation de la sécurité est effectuée pendant les 3 jours qui suivent la vaccination" dit le fabricant dans sa publicité au corps médical!

 

Inflexal--3-.jpg

On comprend que des médecins qui savent encore réfléchir aient pu être choqués par pareils aveux et se garderont bien de recommander tous ces vaccins insuffisamment évalués à leur patientèle, déontologie oblige! Pour info, il faut tout de même savoir que 75% des effets secondaires de vaccins (dont ceux pouvant augurer de maladies graves) se manifestent -parfois très subtilement- endéans les 60 jours qui suivent une vaccination ou un rappel, ce qui signifie que 25% des cas peuvent survenir bien au-delà de ce délai de 2 mois, tel que cela ressort du rapport du forum européen de vaccinovigilance sur les effets secondaires des vaccins de 2004. Et ici, avec l'Inflexal, on se limite à 3 jours! Vous l'aurez compris, la sécurité des vaccins n'a jamais été une priorité. Et certainement pas celle des pharmas bien sûr!

 

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 21:30

mort-enfant-vaccin.jpg21 août 2012-  Press Trust of India/ Khatmandu

 

Quatre enfants sont décédés aujourd'hui dans le district de Doti, à l'ouest du Népal après avoir reçu des vaccins contre la rougeole qui leur ont été administrés par des officiels du district.

 

Les corps des 4 enfants ont été identifiés. Il s'agit des enfants Anju BK, Gauri Chiral, Milan Damai et Sujata Nepali, d'un village du district. Ils sont morts aujourd'hui, un jour après que les assistants de santé du district leur aient administré le vaccin contre la rougeole.

 

La cause exacte du décès n'a pas pu être établie selon les officiels.

 

Douze autres enfants qui ont également reçu ce vaccin sont aussi tombés malades, selon ce qu'a déclaré le bureau des officiels de santé du district.

 

Une équipe médicale de la capitale a été envoyée sur les lieux pour procéder à des investigations.

 

Source: Business-standard.com 

 

Comme d’habitude, on nous prétend que « la cause du décès n’a pu être établie » et nous sommes censés le croire ! Qui sait si une autopsie a seulement été demandée ? Et surtout, quels seraient les critères valables pour conclure à une responsabilité éventuelle du vaccin ? Sans arrêt, nous sommes confrontés à des accidents graves et décès post-vaccinaux et c’est sans exception qu’on nous rabâche qu’il n’y a aucun lien avec la vaccination. De temps à autres, comme ça finit par devenir de plus en plus suspect, et à fortiori quand la maladie est rare ou plutôt « atypique », les officiels n’ont plus le choix et sont forcés d’admettre (comme ce fut le cas avec la narcolepsie post vaccin H1N1). C’est donc l’exception qui confirme la règle en somme.

 

Il est évident que cette enquête, comme les autres d’ailleurs sont toujours jouées d’avance et que cette mention ne sert donc qu’à donner l’ILLUSION au public que ces décès n’auront pas été vains ou qu’on leur porte la considération nécessaire, mais ce n’est hélas qu’un leurre. Voyons ainsi quelques autres cas de décès non exhaustifs du même genre pour mieux s’en rendre compte :

 

- Septembre 2010 : Le vaccin contre la rougeole cause la mort de deux jumelles de 9 mois à Ghaziabad, dans l’Etat de l’Uttar Pradesh en Inde.

 

- Août 2010 : 4 enfants meurent à Lucknow, après avoir reçu le vaccin contre la rougeole.

 

- Mars 2010 : 4 enfants sont morts à Damoh, au nord de l’Etat de Madhya Pradesh, après avoir reçu des vaccins contre le tétanos et la rougeole.

 

- Avril 2008 : Pas moins de 4 bébés ont perdu la vie peu de temps après avoir reçu le vaccin contre la rougeole à Tiruvallur, dans l’Etat indien de Tamil Nadu.

 

Suite au décès de 4 enfants, le district de Gujarat avait envoyé des échantillons de vaccin anti-rougeoleux pour analyse… à quoi cela aura-t-il servi ??

 

 

measles-vaccines-deaths-in-the-past.jpg

                   Plusieurs décès qui ont déjà eu lieu après le vaccin contre la

                   rougeole dans le passé. Traduction dans l'encadré ci- dessus.

                               

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 20:26

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3 août 2012 - Vu sur Santelog

 

Alors qu'un sommeil de qualité est démontré comme essentiel pour la santé, cette étude menée par l'université de Californie San Francisco montre qu'un mauvais sommeil peut aussi réduire l'efficacité des vaccins. Cette première étude réalisée hors laboratoire pour montrer que la durée du sommeil est directement liée à la réponse immunitaire des vaccins, vient d'être publiée dans l'édition d'août de la revue Sleep.

 

Avec l'émergence d'un mode de vie 24 heures sur 24, des heures supplémentaires ou de travail de nuit, l'utilisation des nouvelles technologies, la privation de sommeil chronique est devenue un « quotidien » pour beaucoup d'entre nous, rappelle l'auteur principal, le Pr Aric Prather, psychologue clinique à l'UCSF et à l'UC Berkeley.

La recherche montre qu'une insuffisance de sommeil peut prédisposer à certaines maladies comme les infections respiratoires. Pour déterminer si la durée, l'efficacité, et la qualité du sommeil, évaluées à domicile et non en laboratoire a un impact sur les processus immunitaires, les chercheurs ont étudié ici la réponse en anticorps à la vaccination contre l'hépatite B sur 125 adultes en bonne santé, âgés de 40 à 60 ans. Chaque participant a reçu 3 doses du vaccin anti-hépatite B. Les niveaux d'anticorps ont été mesurés avant l'injection du 2d et 3è rappel, puis 6 mois après pour déterminer si les participants présentaient une protection immunitaire satisfaisante. Tous les participants devaient remplir un calendrier/agenda du sommeil détaillant leurs heures de coucher, réveil, la qualité de leur sommeil. 88 des participants étaient également équipés d'un enregistreur de sommeil.

 

Les chercheurs constatent que les gens qui dorment moins de 6 heures en moyenne par nuit sont beaucoup moins susceptibles de réponses immunitaires au vaccin et ont un risque 11,5 fois moins élevé d'être protégés par le vaccin que les personnes qui dorment plus de 7 heures. La qualité du sommeil n'a pas d'incidence sur la réponse à la vaccination.

 

Ainsi, sur les 125 participants, 18 n'ont pas atteint un niveau de protection satisfaisant par la vaccination. "Dormir moins de 6 heures est associé à un risque important de ne pas être protégé », concluent les auteurs. Ils soulignent enfin que le sommeil joue un rôle important dans la régulation du système immunitaire et rappellent qu'une « bonne nuit », c'est entre 7 et 9 heures de sommeil.

 

Source: Sleep 2012;35(8):1063-1069 Sleep and Antibody Response to Hepatitis B Vaccination  

 

Plusieurs remarques :

                         

- La première, c’est que ce qui apparaît comme « un scoop » dans un tel article n’a rien de surprenant au vu du rôle déterminant d’un bon sommeil suffisant et réparateur dans le cadre d’une bonne hygiène de vie nécessaire à une bonne santé. Il est donc logique qu’un sommeil trop bref puisse, entre autres, s’accompagner d’une immunité moins réactive.

 

- La deuxième, c’est que cet article contribue à faire croire à tort à l’équation grossière « anticorps= protection » Réduire la « protection » immunologique à la seule présence d’anticorps comme le font les défenseurs des vaccins à tous crins relève en fait d’un dangereux simplisme intellectuel. Il y a en effet des gens avec de forts taux d’anticorps qui peuvent très bien contracter et développer la maladie et des gens sans aucun anticorps qui en seront préservés. Mais le marketing et l’idéologie ne reposant QUE sur les taux d’anticorps, tout le relai médiatique qui est fait autour de l’efficacité prétendue des vaccins va donc être réduit à ce seul élément.

 

- La troisième chose, c’est que les chiffres d’une telle étude (18 personnes insuffisamment protégées sur 125 soit 14% environ), couplés à cette obsession des seuls anticorps expliquée ci-dessus, devraient à eux seuls justifier la levée immédiate des vaccinations obligatoires et notamment celle contre l’hépatite B qui est imposée en Belgique au personnel hospitalier depuis 1999 (1991 en France) alors que ce personnel est pourtant souvent confronté à des gardes et à un nombre d’heures de sommeil insuffisant ! Si 14% des gens de l’étude soit un vacciné sur 6 en moyenne ne semble pas suffisamment protégé avec 3 doses de vaccin hépatite B (alors qu’on ne recommande maintenant que 2 doses aux adultes ou adolescents), et compte tenu du fait que le vaccin hépatite B induit la mort par apoptose des cellules du foie chez la souris c'est-à-dire la destruction de ces cellules (suicide cellulaire), il est URGENT de réclamer la levée d’obligations insensées qui vont donc en toute logique constituer un rapport bénéfices/risques d’emblée très défavorable pour au moins un vacciné sur 6 en moyenne (qui ne sera pas suffisamment protégé au vu d’un manque de sommeil mais qui subira très probablement en contrepartie et selon cette étude de Mai 2012 les mêmes dommages que les souris à savoir une destruction des cellules hépatiques! Certains argueront bien sûr que la souris n'est pas l'homme mais il nous apparaît toutefois douteux et trop facile de recourir aux expériences sur souris et furets jugées "valables" quand il s'agit d'évaluer les taux d'anticorps et l'"efficacité" des vaccins, tout en mettant complètement de côté ce genres d'études lorsqu'il s'agit de mieux évaluer les risques possibles des vaccins!)

 

- La quatrième et dernière chose, et non des moins importantes, c'est que cette étude démontre aussi la non fiabilité du discours officiel répété depuis des années au sujet de la prétendue efficacité du vaccin recombinant contre l'hépatite B qui serait d'au moins 95%, les officiels estimant seulement à 5% le taux de non ou de mauvais répondeurs. On voit donc ici qu'une étude plus en phase avec le réel amène ce taux à 14-15%....Des millions de gens de par le monde ont donc entretemps été vaccinés en croyant ainsi à tort qu'ils seraient "protégés" mais tout en encourant de façon identique les risques graves associés au vaccin. On ne sort donc pas, avec le vaccin anti-hépatite B, du champ expérimental qui consiste à pouvoir se rendre compte bien après coup que l'efficacité pouvait être bien moindre qu'initialement annoncée et les risques autrement plus conséquents et graves...

 

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 15:47

Fotolia, nombre de doses (mains)

Trop peu de gens en sont informés mais le nombre exact de doses de vaccins dépend de l'âge auquel on entame la vaccination. Ainsi, par exemple, si on ne commence une vaccination par vaccin tétravalent (diphtérie, tétanos, polio, coqueluche acellulaire) qu'à partir de 4 mois ou au-delà, la primovaccination pourra s'effectuer en 3 doses en tout, au lieu de 4 si l'enfant commence sa vaccination dès 2 ou 3 mois. Cette indication est d'ailleurs donnée dans le notice de ce vaccin. En outre, et ce n'est pas négligeable, retarder d'au moins 2 à 4 mois les premières vaccinations diminue déjà de façon significative le risque d'allergies, d'asthme et de mort subite liés aux vaccinations (90% des cas de MSN ont comme par hasard lieu avant l'âge de 6 mois avec un pic entre 2 et 4 mois, en "plein" dans les premières vaccinations et les rappels rapprochés!), preuves que l'efficacité des vaccins est moindre et leurs risques accrus chez les enfants les plus jeunes dont l'immaturité immunitaire est la plus grande. (Certes, le carnet de vaccinations est contrôlé dès l'entrée en crèche mais il reste possible aux parents de reporter tout de même la vaccination d'un mois ou deux en général,  après discussion avec le médecin traitant.)

 

Pour l'hépatite B, il en va de même, les enfants reçoivent 4 doses de vaccin anti-hépatite B en recevant le vaccin hexavalent à 2, 3, 4 et 18 mois comme officiellement préconisé alors que ce vaccin s'effectue normalement en 3 doses lorsqu'il est administré dans un vaccin séparé et même à présent en deux doses pour les grands enfants et les adultes (au lieu de 3 jadis, preuve encore que des tas de gens ont joué aux cobayes sans le savoir en recevant 3 doses jusqu'à ce qu'on se rende compte que 2 suffisaient...).

 

Le vaccin contre le rotavirus (diarrhée du nourrisson) n'est tout simplement plus faisable après l'âge de 6 mois, en raison d'un risque accru d'invagination intestinale.

 

Le vaccin contre l'haemophilius influenzae de type b (Hib) n'est plus indiqué après l'âge de 2 ans car il n'a alors "plus d'intérêt" et il en est de même pour le vaccin contre les pneumocoques passé l'âge de 2 ans. Et là encore, en fonction de l'âge où la vaccination par Prevenar est débutée, le nombre de doses à administrer s'en trouve modifié: ainsi en vaccinant dès l'âge de 2 mois, il fallait initialement 4 doses puis à présent trois mais si on vaccine à partir de l'âge de 10 mois ou au-delà, il ne faut plus que deux doses à 6 mois d'intervalle. Passé 24 mois, une seule dose est dite suffisante, preuve de plus donc qu'un système immunitaire réagit moins bien s'il est encore très immature.

 

Pourquoi alors multiplier les doses en vaccinant si tôt? Est-ce vraiment pour protéger les enfants contre des maladies qui ne faisaient JAMAIS les gros titres des journaux il y a 10, 15 ans ou plus ou bien, comme cela est hautement plus probable, est-ce pour caser davantage de nouveaux vaccins commercialement rentables dans calendrier vaccinal officiel?

 

Il faut tout de même bien se rendre compte que la stimulation répétée du système immunitaire avec divers antigènes à des intervalles trop courts favorise A COUP SÛR le développement de maladies auto-immunes comme l'a démontré l'étude de Kobe chez la souris. Par conséquent, toutes ces différentes doses gagnent à être réduites au maximum pour les enfants que leurs parents tiennent cependant quand même à faire vacciner.

 

Bien entendu, le discours officiel consiste à dire qu'il faut protéger les fragiles nourrissons le plus tôt possible des terribles maladies qui les guettent à chaque instant. Mais n'est-ce pas là un véritable commerce de la peur, sous-jacent à ces méthodes propagandistes?? Les bébés ne sont-ils hélas pas des "proies commerciales" de choix pour les pharmas qui peuvent ainsi d'autant plus facilement jouer sur la corde sensible des mères, toutes désireuses de protéger leurs enfants, avec le leurre évidemment en ambuscade que plus c'est forcément mieux et bien sûr aussi, la croyance erronée qu'au moins "si ça ne sert à rien, ça ne fera pas de mal".

 

Les enfants ont déjà un système immunitaire fonctionnel, ils ne naissent donc pas sans rien (contrairement à ce que la publicité vaccinaliste tente de faire croire) mais ce système a besoin de TEMPS pour arriver à maturation et d'une bonne hygiène de vie pour évoluer le mieux possible. Or, comme on dit dans le monde du commerce, le temps c'est de l'argent! Voilà pourquoi la tendance est à vacciner le plus tôt possible, même dès la naissance, comme avec l'hépatite B, aux Etats-Unis. Mais certains, comme Heidi Stevenson de Gaia Health ont aussi évoqué des raisons fort intéressantes et possibles également à savoir que vacciner dès la naissance permet davantage d'attribuer les effets secondaires de vaccins dont l'autisme (un livre, celui de Judy Converse, traite du lien entre vaccin hépatite B et autisme notez bien) à l'individu plutôt qu'au vaccin en faisant ainsi croire à tort que l'enfant est "né comme cela".

 

Quoi qu'il en soit, un nombre croissant de parents optent pour un schéma vaccinal alternatif. Ainsi, en Orégon et dans le reste des USA, ce sont 10% des parents au moins qui ne suivent pas aveuglément les conseils officiels et ce pourcentage est allé croissant ces dernières années, une situation qui fait évidemment enrager les officiels et toute cette armada d'experts bien pensants et tellement chéris par les industriels du secteur!

 

Au Royaume-Uni également, les indications d'un site comme Babyjabs, un groupe partisan de vaccinations oreillons, rougeole, rubéole séparées plutôt que combinées en ROR (un vaccin comportant plus de risques que les vaccinations administrées séparément), ont suscité l'ire des officiels qui ont ainsi censuré ce groupement indépendant, furieux que le lien entre l'autisme et le ROR soit réévoqué.

 

Ce fanatisme officiel ne fera qu'aider un nombre croissant de parents à prendre conscience de cette dramatique démesure qui se payera hélas et se paie d'ailleurs déjà très cher en terme de santé publique. Par ailleurs, il nous revient également que plusieurs médecins, en accord avec les parents, décident de n'administrer qu'un cinquième de la dose, de façon à diviser de façon conséquente la quantité non négligeable de substances neurotoxiques ou cancérigènes dont chaque microgramme ou milligramme peut parfois être le microgramme ou le milligramme décisif pour le déclenchement ultérieur de telle ou telle maladie grave.

 

Il est donc éminemment souhaitable que les parents s'informent suffisamment, ceci impliquant bien sûr de ne jamais se satisfaire uniquement du discours officiel édulcoré et à l'eau de rose, mais à la fois éminemment "piquant", de par sa partialité saisissante.

 

Voir aussi: Le business du nombre de doses et donc de l'âge auquel on commence à vacciner

 

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 00:32

LE-VIF-24-AOUT-2012-GSK.jpgEn 2009 et 2010, la pandémie de grippe A/H1N1 a permis au groupe britannique GlaxoSmithKline (GSK) de vendre 300 millions de doses de son vaccin Pandemrix dans le monde entier. Soit un chiffre d’affaires de 2,3 milliards d’euros, dont un milliard est revenu sous forme de royalties à sa filiale belge, GSK Biologicals, basée à Rixensart (Brabant wallon).

Or, en raison de deux mesures fiscales belges controversées – la déduction sur les revenus de brevets et les intérêts notionnels –, ce pactole n’a au mieux été taxé qu’à 3%. Ce qui revient à dire que l’Etat Belge a «perdu» l’équivalent de 320 millions d’euros. Sur les seules ventes du Pandemrix, donc.

Sur l’ensemble de ses revenus imposables enregistrés entre 2008 et 2011, l'addition grimpe à 891,6 millions d’euros d’impôts non perçus par la Belgique. Deux mesures fiscales qui coûtent décidément cher au budget de l'Etat...

L’enquête du Vif/L’Express, publiée ce jeudi, a duré plusieurs mois. Nous avons épluché les comptes annuels de plusieurs filiales du groupe GSK, afin de retracer une partie des flux financiers liés aux ventes du Pandemrix.

Nous révélons également que deux employés belges de GSK, dont le directeur financier et administrateur de GSK Biologicals, Denis Dubru, apparaissent dans un montage fiscal utilisé par le groupe GSK au Luxembourg en vue de minimiser l'impôt au Royaume-Uni sur une partie des revenus du Pandemrix. Un montage jugé abusif par le fisc britannique et démantelé par celui-ci l’an dernier.

Enquête réalisée avec le soutien du Fonds pour le journalisme en Communauté française

 

Source: Mediattitudes.info

 

Enquête à lire intégralement ICI.

 

Taxation moyenne des citoyens en Belgique: quasiment 60%. Taxation des profits de GSK évoquée: 3,4%! Mais à part ça,  les citoyens doivent sans cesse être ponctionnés davantage et se serrer la ceinture « au nom de la crise »...


Faut-il tout accepter au nom de l'emploi? Quand on gagne autant d'argent sur le dos des gens et de leur santé avec un vaccin expérimental que les citoyens n'ont même pas commandé eux mêmes dans les conditions opaques innaceptables que l'on sait, on comprend la malhonnêteté des officiels, clairement complices des pharmas, au détriment une fois encore de Mr ou Mme Tout le Monde!

 

 

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 15:09

Samedi 18 août 2012- Heidi Stevenson [Extraits]

 

SMILEY-triste.jpg

[...] La science fait autorité : Non seulement le vaccin contre l'hépatite B est associé à cette maladie du foie, mais il la provoque. Les dégâts précis qu’il fait sont connus, clairement documentés. De faibles doses de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant aluminique entraînent la perte de l'intégrité mitochondriale, la mort cellulaire et l'apoptose, en particulier chez les cellules hépatiques.



Il est vraiment ironique qu'un vaccin dont le but prétendu est de protéger le foie, soit lui-même cause de maladie du foie.



Les auteurs de Hepatitis B vaccine induces apoptotic death in Hepa1–6 cells [Le vaccin contre l'hépatite B induit la mort par apoptose chez les cellules Hepa1-6], signalent clairement que leur inquiétude se porte sur l'adjuvant hydroxyde d'aluminium, et ses profondes répercussions, car l'aluminium est systématiquement utilisé dans les vaccins pour enfants.   

 

Voici leur conclusion :



"Nous concluons que l'exposition des cellules Hepa1-6 à une faible dose de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant entraîne la perte de l'intégrité mitochondriale, l’induction de l'apoptose, et la mort cellulaire ; l’effet de l'apoptose a été aussi observé dans la lignée des cellules myoblastes de souris C2C12 après traitement avec de faibles doses de vaccin (0,3, 0,1, 0,05 μg/ml). En outre l’effet apoptotique du vaccin contre l'hépatite B a été observé in vivo dans le foie des souris. "



FOIE-HEPATITE.jpg

Solde final : le vaccin contre l'hépatite B est responsable de la mort des cellules hépatiques. Cela ne serait pas en soi une grosse affaire, mais cette étude recoupe un nombre croissant de preuves montrant que la maladie du foie, avec d'autres troubles, résulte des vaccinations contre l'hépatite B et de l’adjuvant aluminique :



 

- Dans l'étude in vivo des effets du vaccin contre l'hépatite B sur l'inflammation et l'expression des gènes du métabolisme : L’expression de 144 gènes ayant des liens avec la fonction hépatique est modifiée.



- Vaccin contre l'hépatite B et réactions gastro-intestinales adultes associés : Analyse de suivi : Les fonctions gastro-intestinales et du foie sont associées à la vaccination contre l'hépatite B.



- Vaccin contre l’hépatite B et problèmes hépatiques chez l’enfant de moins de 6 ans, 1993 et 1994 : Les enfants ayant été vaccinés contre l'hépatite B sont 2,57 fois plus susceptibles de souffrir de problèmes de foie.

 

[…]

     

L’absence d’intérêt du vaccin contre l’hépatite B

 

Bien que la vaccination contre l'hépatite B prélève un lourd tribut d’enfants, une question reste toujours en plan : Quel est l’intérêt de vacciner des nouveau-nés, comme cela se pratique couramment dans les hôpitaux ?

 

La réponse à cette question est particulièrement troublante. La maladie contre laquelle ces bébés sont censés être protégés peut s’attraper seulement par contact sexuel ou être transmise par la voie sanguine. Il est possible de l’avoir de naissance quand la mère est infectée, mais les futures mères peuvent être protégées de l'hépatite B, de sorte qu’il n’y a aucun risque plausible pour le nouveau-né des mères non infectées.

 

Peut-être est-il logique de vacciner la femme enceinte afin de protéger son bébé ? Cette idée ne marche pas, car l’innocuité est très douteuse pour le fœtus.

 

Et la durée de l'efficacité du vaccin contre l'hépatite B ? On peut répondre de deux façons à cette question. Tout d'abord, même si le vaccin dure toute la vie, cela ne justifie pas de vacciner un nourrisson qui n’a même pas développé sa barrière hémato-encéphalique, en augmentant considérablement les risques.

 

La deuxième réponse, est encore plus convaincante : Selon la propre estimation des Centers for Disease Control eux-mêmes (qui, comme beaucoup d'entre nous en sommes conscients, sont suspects), la couverture maximale du vaccin dure 20 ans. Ainsi, juste au moment où l’enfant entre dans l’âge de la plus grande activité sexuelle, le vaccin ne procure plus aucun avantage. (Il convient de noter qu'il existe d'importantes questions quant à son efficacité, même quand il est récent.)

 

Il ne peut y avoir aucune justification à la vaccination généralisée des nouveau-nés contre l'hépatite B. Elle ne leur confère aucun atout possible.

 

Les raisons de vacciner contre l'hépatite B à la naissance

 

Vu l'absence totale d’intérêt du vaccin contre l'hépatite B à la naissance, pourquoi est-il pratiquement obligatoire aux Etats-Unis ? [Ndt : Il n’est pas obligatoire en France.]

 

La première raison, et la plus évidente, est naturellement les profits. Il y a de l'argent à gagner en assurant pratiquement que quasiment tous les nouveau-nés soient vaccinés. Il y a pourtant une possibilité encore plus perfide.

 

Il est désormais évident que les profiteurs de vaccins et leurs larbins gouvernementaux ne permettront pas que l’on se mette en travers de leurs profits. Tel que Jagannath Chatterjee l’a documenté dans Autisme : Conspiration du silence, peu importe que des carrières soient ruinées ou des vies détruites. Si les prébendes vaccinales sont menacées par la démonstration des préjudices des vaccins, alors cette information doit être étouffée, surtout s’il est question d'autisme.

 

L’une des choses que les parents d'un enfant autiste relèvent systématiquement, c'est sa normalité avant le vaccin. Leur enfant n’est pas né autiste. Ils le savent.

 

Seulement, si un bébé est vacciné à la naissance, il n'y a aucun moyen de savoir qu'il y a eu régression dans l'autisme. Pour les parents, il est impossible de savoir que le saccage définitif de leur enfant est dû à un vaccin fait à la naissance.

 

Étant donné le saccage de la réputation du Dr Wakefield et de ses recherches de haute qualité, et le fait que l'autisme a été clairement associé aux vaccinations dans d'autres études, et aussi la reconnaissance par des tribunaux spécialisés d’une relation de cause à effet entre symptômes et vaccinations, on doit se demander si le but réel d'injecter le vaccin contre l'hépatite B aux nouveau-nés n’est pas de cacher la vérité sur l'autisme, qu’il s’agit d’un état induit par les vaccins.

 

Par quel moyen un parent peut-il savoir que son bébé parfaitement normal a régressé dans l'autisme, plutôt que d’être né ainsi, si la régression de l'enfant a commencé avec un vaccin à la naissance ? Combien de parents d'aujourd'hui croient que leurs bébés sont nés autistes tout simplement parce qu'ils n'ont jamais eu l'occasion de le connaître normal ?

   

Sources :  Alter Info & Gaia Health

 

Quel comble ! Rien que cela devrait IMMEDIATEMENT faire lever toutes les obligations de vaccination anti-hépatite B pour le personnel soignant et les autres professions concernées car il est totalement inacceptable d’obliger les gens à troquer le risque d’hépatite B contre des dommages certains au foie, qui est un organe si crucial pour notre bonne santé !

 

Pour les enfants également, le forcing parental pour les faire accepter le vaccin le plus combiné (l’hexavalent, avec la valence anti-hépatite B) est totalement inadmissible.

 

Une fois encore, on remarque que les vaccins ne résolvent RIEN mais ne font « au mieux » que créer d’autres problèmes encore plus graves. Car qui dit un foie qui fonctionne moins bien dit aussi une moins bonne détoxification du corps vis-à-vis des très nombreux polluants cancérogènes et mutagènes qui nous entourent mais également un dysfonctionnement possible de toute une série de circuits métaboliques dans lesquels le foie est impliqué (conversion des précurseurs des hormones thyroïdiennes en hormone T3 bio-assimilable ; synthèse de la coenzyme Q10 endogène et participation à la synthèse de plusieurs hormones, participation à la régulation de l’équilibre glycémique,etc etc…).

 

En prétendant « protéger » les gens, on les affaiblit encore donc beaucoup plus puis le système profite hélas par après, sur le plan financier, de leurs maladies en faisant vendre des médicaments aux pharmas et en faisant tourner les hôpitaux et les machines.

  

Les vaccins anti-hépatite B actuellement disponibles sont en outre des vaccins transgéniques (c'est-à-dire fabriqués par génie génétique, avec tous les risques propres que cela comporte bien entendu). Les premières versions sont sur le marché depuis 1986 déjà soit depuis plus de 25 ans. Et c’est seulement en 2012 qu’une étude sort sur les dégâts cellulaires objectifs que ces vaccins peuvent causer au foie, l’organe pourtant cible de cette vaccination! Les vaccins anti-HPV prétendument « contre le cancer du col de l’utérus » sont soit disant déjà étudiés depuis plusieurs années. Pourtant, des données récentes indiquent que ces vaccins peuvent aussi favoriser et augmenter les taux de frottis anormaux, dysplasies du col et de cancer du col de l’utérus liés à des souches non vaccinales mais aussi aux souches vaccinales lorsqu’une jeune fille déjà contaminée se fait malgré tout vacciner (+ 44,6% de risque !)

 

Tout cela suffit donc à démontrer une fois encore que les vaccins sont en réalité des produits purement expérimentaux dont on sait bien trop peu des effets possibles avant de les utiliser massivement sur le public. Et d’ailleurs, même le Dr Anne-Marie Moulin du CNRS a admis en conclusion du documentaire « Vaccins, le virus du doute », qu’ « il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut, qui est le saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin qui, par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »

 

Au prochain nouveau vaccin qu'on vous présentera, posez-vous donc la question de savoir s'il ne risque pas de faire pire que bien, et de vous faire échanger un risque incertain de maladie contre des dégâts certains de l'organe prétendûment protégé par la vaccination!

 

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