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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 22:30

Les autorités canadiennes savent-elles ce qu'elle disent ou bien n'hésitent-elle pas à tromper sciemment le public en osant ainsi affirmer tout et son contraire?

 

C'est véritablement ce qu'on peut se demander à la lecture de plusieurs sites et documents des autorités canadiennes.

 

En effet, sur le site de l'Agence de Santé publique du Canada, on peut lire dans le "Guide des Parents sur la vaccination" les questions et les réponses suivantes:

 

Un vaccin peut-il rendre mon enfant malade?

 

Non. Dans les faits, les vaccins renforcent le système immunitaire de votre enfant en lui apprenant comment reconnaître et combattre les maladies. Le système immunitaire de votre bébé n’a aucun mal à s’attaquer et à détruire les germes tués ou affaiblis qui sont contenus dans le vaccin. Votre bébé pourra développer une légère fièvre, dormir un peu plus que d’habitude ou être de mauvaise humeur. Ce sont des réactions normales qui ne durent pas plus de deux jours après la vaccination. Certaines personnes s’inquiètent parce qu’elles croient que les vaccins peuvent causer d’autres problèmes de santé, tels que l’autisme ou d’autres troubles permanents du développement. Des chercheurs du domaine médical de partout dans le monde ont étudié les renseignements recueillis pendant de nombreuses années pour voir s’il existait un lien entre les vaccins et l’autisme. Les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve permettant d’établir un lien entre la vaccination et l’autisme ou aucune autre maladie.  

 

LE SAVIEZ-VOUS?    

 

Les vaccins sont parmi les outils les plus sécuritaires de la médecine moderne. Au Canada, il est rare que des vaccins provoquent des effets indésirables graves (moins d’un cas pour un million de doses administrées), et lorsque de tels effets se produisent, ils peuvent être traités rapidement et efficacement. Les dangers liés aux maladies évitables par la vaccination sont beaucoup plus grands que les risques d’une réaction sévère à un vaccin."

   

A côté de ce discours édulcoré toutefois, il se trouve qu'on peut lire des choses bien différentes et ce, sur un autre site canadien, tout à fait officiel...        

 

En effet, sur le site de la Santé et des Services sociaux du Québec, on trouve une page intitulée "Programme d'indemnisation des victimes d'une vaccination".

   

Le programme couvre tous les vaccins, bien qu'ils ne soient pas obligatoires, et prévoit les indemnités suivantes:

   

- indemnités de remplacement de revenu;

- indemnités pour dommages corporels;

- indemnités pour aide personnelle;

- indemnités de décès y compris les frais funéraires;

- remboursement de frais occasionnés par l'incident, dont les frais médicaux;

- indemnités pour la réadaptation

 

On comprend donc assez mal POURQUOI il est nécessaire d'avoir mis sur pied un programme spécial d'indemnisation des victimes de vaccins si ces produits sont "parmi les outils LES PLUS SECURITAIRES de la médecine moderne" (aucun autre médicament ne faisant l'objet d'un tel programme). De même, si comme l'affirme le guide canadien des parents sur la vaccination, les effets indésirables graves peuvent être "traités rapidement et EFFICACEMENT quand ils se produisent", on ne comprend alors pas non plus pourquoi les indemnités prévues du programme québéquois d'indemnisation couvrent aussi les frais funéraires et les frais de réadaptation ou encore une "aide personnelle". Car dans tous ces cas, cela implique que les effets indésirables graves ne sont soit pas efficacement réversibles, soit à tout le moins, pas rapidement, ce qui signifie qu'il y a possibilité de séquelles, et qu'il y a donc parfois une notion d'irréversibilité des dégâts occasionnés, qu'on prend surtout bien le soin d'occulter aux parents!

 

Comment et pourquoi, si aucun lien n'a été trouvé entre les vaccins et aucune maladie, a-t-on mis sur pied un tel programme d'indemnisation des victimes de vaccins?

 

On sait les Etats et les administrations champions dans l'art de payer un minimum en indemnités et donc s'il n'y avait vraiment aucun lien, nous pouvons être sûrs qu'ils ne débourseraient pas un franc! Aux USA où le programme d'indemnisation a été mis en place en 1986, ce sont pas moins de 3 milliards de dollars qui ont déjà été versés par les autorités aux victimes de ces produits et ce, alors que 2/3 des plaintes sont malgré tout rejetées. Ces frais sont si colossaux que la Cour Suprême des USA a dû octroyer l'impunité juridique aux fabricants de ces produits qu'elle a qualifié d'"inévitablement dangereux", de façon à leur éviter la faillite sous le poids des poursuites.

 

Comment dès lors, les parents canadiens peuvent-ils encore faire confiance à l'Agence Santé Canada qui leur affirme que les vaccins sont parmi les "outils les plus sécuritaires de la médecine moderne", alors que dans le même temps, la Cour Suprême des USA les qualifie de "produits inévitablement dangereux", nécessitant de rendre les pharmas intouchables pour leur éviter une avalanche de poursuites? Cela ne tient tout simplement pas debout et une fois encore, on nage donc ici en pleine incohérence. On ment aux parents parce qu'on veut vacciner à tout prix leurs enfants et que les officiels savent bien que s'ils disaient la vérité, une majorité de parents bouderaient ces produits. 

 

Prétendre que les vaccins "renforcent le système immunitaire" est tout aussi faux puisque plusieurs études convergentes ont, au contraire, démontré que la vaccination, en leurrant nos défenses, les mine et les amoindrit, laissant ainsi la porte ouverte à toute une série d'infections opportunistes pouvant parfois s'avérer graves voire fatales. [cfr point (18) en pages 16 et 17/22 ] Des données qui sont d'autre part aussi corroborées par les rares études comparatives entre enfants vaccinés et non vaccinés, puisque celles-ci ont bien mis en évidence que les premiers sont sans cesse malades, consomment plus d'antibiotiques que les non vaccinés (voir ICI, ICI et ICI notamment)

 

Une fois encore, on se trouve donc en présence d'un discours simpliste et fallacieux. Ce qui est exactement le cas avec les mêmes affirmations, jamais vérifiées, selon lesquelles les effets secondaires graves seraient de "1 sur un million" (chiffre magique toujours répété mais jamais vérifié!) ou encore qu'il est bénéfique pour l'enfant de le vacciner et ce, "tout au long de sa vie". Dans les deux cas, ces affirmations générales sont fausses. Et ce n'est hélas guère difficile de démontrer cette inexactitude.

   

Voyons donc chacune de ces affirmations mensongères et passons-les au crible du "véritomètre" (un mot dont certains ont entendu parler à l'occasion de la précédente campagne présidentielle française où les journalistes allaient vérifier après le débat politique si les candidats avaient menti ou non; un exercice qui serait encore plus salutaire en matière d'affirmations officielles sur les vaccins mais qu'aucun journaliste n'aurait cependant le droit de mener!). Le véritomètre, ça peut paraître arrogant ou présomptueux comme terme. Sans prétendre détenir LA vérité, on peut cependant "paramétrer" un tel véritomètre avec des faits incontestables qui peuvent donc être considérés comme autant de références et d'indices sur le chemin de la vérité factuelle et également procéder à des déductions logiques qui font appel au bon sens le plus élémentaire.

 

Prenons ainsi par exemple la première affirmation, selon laquelle, les effets secondaires graves de vaccins ne seraient que de "un sur 1 million"...

 

Si c'était le cas, les firmes pharmaceutiques n'auraient déjà pas à craindre de devoir fermer leurs portes sous le poids de poursuites judiciaires et les autorités américaines n'auraient pas payé 2,5 milliards de dollars en indemnisation aux victimes, tout en sachant que 25 000 $ est un montant maximal (même en cas de décès).

  

Ensuite, les chiffres officiels d'effets secondaires (incluant décès et hospitalisations) du système officiel de recensement américain, le VAERS, indiquent qu'un enfant sur 10 000 a été annuellement victime de vaccins chez les moins de 6 ans, tous vaccins confondus, entre 1999 et 2002, ce qui, si on tient compte de l'énorme sous-notification des effets secondaires et du nombre d'enfants de moins de 6 ans aux Etats-Unis, peut porter ces chiffres à un enfant de moins de 6 ans sur 10 qui est donc victime de vaccins annuellement! Loin du "un sur 1 million" donc, comme le clament les officiels pour rassurer A TORT.

 

Une récente étude établit un lien entre vaccination H1N1 et syndrome de Guillain-Barré (une affection démyélinisante grave) et fait état de 25 cas officiellement rapportés de syndrome de Guillain-Barré chez 4 millions de gens vaccinés au Québec, ce qui fait dire aux auteurs que le risque est de 2 par millions. Toutefois pour arriver à ces chiffres, les auteurs se sont sans doute basés sur ce qu'ils appellent le surplus de cas par rapport au "nombre de cas attendus" or ce nombre de cas attendus est biaisé puisque que les gens qui auraient malgré tout fait ce syndrome de Guillain-Barré en l'absence de vaccination H1N1(et qui sont donc considérés comme des cas  "normalement attendus") auraient très bien pu développer cette maladie après toute autre vaccination, enlevant ainsi un peu de sa "normalité" au nombre de cas attendus, artificiellement gonflé en réalité par le fait que plus personne n'échappe de nos jours à la vaccination. Par conséquent, le risque vaccinal absolu de Guillain-Barré est fort probablement supérieur à celui évoqué par ces chercheurs. (25 cas sur 4 millions, cela fait 1 cas sur 160 000 vaccinations, en sachant que le syndrome de Guillain-Barré peut mener à la paralysie respiratoire nécessitant une trachéotomie et même au décès par asphyxie).

 

L'autre affirmation, consistant à prétendre que la vaccination est "bénéfique tout au long de la vie" relève là encore de l'imaginaire dès lors qu'aucune étude officielle sur les risques de vaccins n'a jamais porté sur les effets à long terme pas plus que les effets cumulatifs de toutes ces charges vaccinales croissantes qui ne cessent d'affaiblir l'immunité des populations mais qui semble aussi nuire à leur ADN avec une explosion de plus en plus préoccupante de maladies dites "orphelines" (avec composante dite "génétique" mais celle-ci n'aurait-elle pas pu être facilitée, en amont, par des générations de parents de plus en plus vaccinés qui ont ainsi pu transmettre un génome détérioré à leur descendance?).

 

Tout ceci démontre donc la contradiction permanente qui existe entre le discours promotionnel des officiels en faveur de la vaccination et l'amas d'évidences attestant du contraire. Comme l'avait déjà dit Sylvie Simon dans une interview radio: les incohérences sont vraiment légion quand on se penche un tant soit peu sur le sujet des vaccins. Nous-mêmes avions d'ailleurs déjà intitulé un de nos précédents articles du 24 mars dernier "La vaccination ou l'éloge de l'incohérence".

  

Les exemples sont vraiment innombrables et ils sont hélas loin de ne concerner que le seul Canada. En Belgique par exemple, l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE) qui vaccine une bonne motitié des jeunes enfants francophones en bas-âge, affirme par exemple dans son Guide de Médecine Préventive qu'il n'y a pas de relation causale entre le vaccin hépatite B et le développement de la sclérose en plaques ou encore qu'il est essentiel de lire les notices de vaccins et de connaître les effets secondaires alors que... ironie du sort, toutes les notices du vaccin hépatite B comportent pourtant la mention explicite de la sclérose en plaques parmi les effets secondaires graves possibles!!

 

Autre exemple avec la vaccination HPV, les officiels la disent sure et "offrant une bonne tolérance" mais les chiffres d'effets secondaires graves répertoriés en France dépassent pourtant déjà les chiffres de cancers du col dans ce pays et ce alors que l'agence française de sécurité sanitaire présente pourtant la sous-notification des effets secondaires de vaccins à la manière d'un iceberg! Et pendant que les autorités disent au public que ces vaccins, qui ont déjà débouché sur 114 décès de jeunes filles vaccinées aux USA (chiffres officiels donc combien en réalité, après correction de l'effrayante sous-notification?) sont vraiment sûrs et valent donc vraiment la peine d'être administrés, l'Assurance maladie belge, l'INAMI, répond à GSK dans un courrier que "le taux d'effets secondaires de son vaccin est assez élevé", document qui révèle également que, selon l'avis de l'Agence européenne du Médicament, le "profil d'effets secondaires est très similaire pour les deux vaccins" (Gardasil et Cervarix!)

 

Encore un autre exemple: le rapport de décembre 2007 du Conseil supérieur belge de la Santé sur ces vaccins anti-HPV pointe une infinités d'inconnues tant en matière d'efficacité que de sécurité de ces vaccins mais arrive cependant à recommander la vaccination de cohortes entières de jeunes filles, ce qui signe donc un énorme "grand écart" que seuls les conflits d'intérêts des experts engagés dans la rédaction d'un tel rapport, peuvent expliquer!D'ailleurs, c'est si vrai qu'une des co-auteurs dudit rapport, le Dr Swennen, n'a pas hésité à se contredire encore tout récemment sur le sujet, affirmant dans le Vif du 23 décembre 2011 que " Le recul de neuf ans permet d'affirmer qu'en termes de santé publique, il est très important que les filles se fassent vacciner", alors que le rapport auquel elle a participé affirmait encore 4 ans plus tôt que «Les effets de la vaccination systématique des pré-adolescentes sur l’incidence et la mortalité par cancer du col de l’utérus ne seront visibles que dans un délai de 20-30 ans. »!! 

 

On l'aura compris: certains se moquent de nous. Ils usent et abusent de la crédulité publique et seule la réappropriation de la santé par les citoyens pourra faire la différence. Seul le bon sens populaire pourra aider à déceler l'océan de contradictions et d'incohérences qui sont la marque fiable de ce qui ne l'est justement pas et qui mérite par conséquent toute notre vigilance!

 

contradictions.jpg

 

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 17:39

5 juillet 2012- Le Point  

 

6 juillet 1885. Incroyable : le petit Meister sauvé par Pasteur pourrait n'avoir jamais eu la rage.

 

Derrière l'image d'Épinal du jeune Alsacien sauvé de la mort, il y a un tableau bien plus sombre, pas à la gloire de Pasteur.



Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos

 

pasteur.jpgCe matin-là Louis Pasteur, 63 ans, a rendez-vous avec l'Histoire, sous la forme d'un petit garçon alsacien de 9 ans. Son nom doit être encore présent dans un coin de votre cerveau. Mais oui, bon sang, bien sûr, il s'agit du petit Joseph Meister que le grand homme guérit de la rage ! Pour le chimiste français (n'oublions pas qu'il n'a jamais été médecin), c'est le début d'une gloire universelle. Il fonde l'institut qui porte son nom. Vive Pasteur ! Vive la France ! Voilà pour l'image d'Épinal. Maintenant grattons. Et si le chien qui a mordu Joseph n'avait pas été porteur de la rage ? Certains l'affirment. D'autres agissements polémiques de Pasteur méritent qu'on s'y attarde.

 

Voici l'histoire. Le lundi 6 juillet 1885, Pasteur voit donc débarquer dans son labo trois Alsaciens : le petit Joseph, sa mère, Angélique, et Théodore Vonné, l'épicier à qui appartient le chien prétendument enragé. Ils n'ont pas rendez-vous, c'est bien humblement qu'ils se présentent après que le docteur Weber leur a dit que le dernier espoir pour le petit garçon d'être sauvé résidait chez ce Pasteur, dont la rumeur prétend qu'il est sur le point de dévoiler le premier traitement efficace contre la rage. Pas facile pour les trois Alsaciens de trouver l'adresse du chimiste à Paris. Dans toutes les pharmacies, dans tous les hôpitaux où ils se présentent, on refuse de leur indiquer le chemin de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm. Personne ne veut prendre le risque de confier le petit Meister à un physicien-chimiste-biologiste pour qu'il joue les apprentis sorciers. Mais, devant l'insistance de la mère désespérée, quelqu'un finit par donner l'adresse.

 

Cobaye

 

Pasteur accepte de les recevoir et écoute leur histoire. Deux jours plus tôt, alors qu'il se rend à la brasserie de Meissengott acheter de la levure pour son père, boulanger à Steige, Joseph est attaqué par le chien de l'épicier, Théodore Vonné. Le clébard fou furieux lui inflige quatorze blessures aux jambes avant de lâcher prise et de retourner chez son maître, à qui il met un coup de croc à son tour. Théodore parvient à boucler le monstre, nettoie les plaies du garçon et lui file une pièce pour s'acheter des bonbons avant de le renvoyer chez lui. Allez, ouste ! Le gosse tient à peine debout. Le chien ne se calmant pas, l'épicier l'amène chez le vétérinaire. En route, il croise la maréchaussée qui trouve l'agressivité de l'animal très suspecte. Bang ! Le cabot est abattu sur-le-champ ! C'est probablement depuis cette époque que Brigitte Bardot a la rage contre ceux qui maltraitent les animaux... L'épicier commence à se faire du mauvais sang : et si son chien avait la rage ? Zut ! Lui aussi a été attaqué. Même si la morsure n'a laissé qu'un légère contusion, on ne sait jamais. Le véto confirme que l'animal est enragé, sous prétexte qu'il a trouvé de la paille et du bois dans son estomac. Comme on le verra plus loin, le diagnostic est un peu rapide.

 

Après avoir consulté le Dr Weber, les parents du gosse décident donc de monter à Paris montrer Joseph à Pasteur. Il s'empresse de rassurer et de renvoyer chez lui Vonné, car il n'a pas de plaie vive. En revanche, il installe le petit et sa mère dans une remise du collège Rollin, rue Vauquelin, à deux pas de son laboratoire. Ça leur coûtera moins cher que l'hôtel, et il les aura sous la main tout en évitant les curieux. Mais Pasteur hésite, jusqu'ici il ne mène ses expériences que sur des animaux. Il l'explique à la mère du gosse, mais celle-ci, croyant son fils condamné, insiste pour que le grand homme s'en serve comme cobaye. C'est une autre époque !

 

N'étant pas médecin, Pasteur consulte le Dr Vulpian, membre de la commission ministérielle de la rage, et le Dr Grancher, pédiatre de renom, pour l'épauler. Il serait sinon dans l'illégalité. Curieux, d'ailleurs, que son comparse, le Dr Roux, ne soit pas dans le coup. Il se dit qu'il aurait refusé de tester le vaccin sur Joseph, par peur du trop grand risque encouru. Au contraire, Vulpian et Grancher sont enthousiastes et achèvent de convaincre Pasteur de passer à l'action. Au pire un gamin perdra la vie, une broutille à côté de la gloire qui les attend si le vaccin se révèle efficace. Au cours des dix jours suivants, Joseph reçoit treize injections. Chaque fois, les doses sont plus virulentes. Le petit Meister réagit bien. Les semaines s'écoulent sans qu'il développe la rage. Victoire ! Pasteur devient un héros. Pour la première fois une personne n'a pas succombé à la rage, un enfant en prime ! Dans la foulée, le "prince de la science" ouvre l'institut qui porte son nom. C'est la gloire !

 

Doutes

 

Pour autant, la faculté de médecine reste enragée contre lui. Mais quel culot, ce chimiste qui n'est ni médecin, ni chirurgien ! Beaucoup restent persuadés que cette première vaccination n'est qu'une supercherie. Comme les précédentes, car Pasteur s'est déjà livré à des essais humains auparavant. Avec un certain Girard, vacciné le 5 mai 1885, dont on ne sait pas grand-chose si ce n'est qu'il aurait guéri. Mais avait-il réellement la rage ? Plus grave, il y a cette Julie-Antoinette Poughon, 11 ans, vaccinée le 22 juin 1885. Elle, au moins, était réellement atteinte de la rage. Mais dès le 23 elle mourait. Qui a retenu son nom ? Son tort est sans doute de ne pas être alsacienne...

 

Quant à Joseph Meister, a-t-il réellement la rage ? Un grand doute règne à ce sujet. Pour cela, il eût fallu que le chien soit enragé. Or qu'est-ce qui le fait dire à Pasteur ? La présence de bois et de paille dans l'estomac de l'animal. C'est un peu court, jeune homme ! Comme si l'on prétendait que toute chemise entrouverte sur un torse bronzé et velu signale le philosophe. La présence de ces débris curieux est un signe, mais en aucun cas une preuve de rage, comme le fait remarquer le grand clinicien Peter, ennemi juré de Pasteur, à l'Académie de médecine.

 

Mais le pire reste à venir. Et cela, la mémoire collective ne l'a pas retenu ! Pour vérifier que Meister est bel et bien protégé, Pasteur lui fait une quatorzième injection. Pas d'un vaccin, mais d'une souche virale extrêmement virulente. À filer la rage à un mammouth ! Le docteur Mengele esquisse un sourire dans sa tombe. Une pratique à faire sauter au plafond les comités d'éthique du XXIe siècle. Même nos souris de laboratoires sont presque mieux traitées que Meister. Lequel survit à l'injection, ouf, il est bel et bien vacciné. L'équipe de Pasteur pratique plus de 350 inoculations dans l'année qui suit. Joseph Meister, lui, devint le petit protégé du chimiste qui en fait le gardien de son Institut. En 1940 Joseph se suicide, parce qu'il ne parvient pas à empêcher les soldats allemands de souiller de leur présence la crypte où le corps de Pasteur repose. C'était bien la peine de le sauver. À noter, enfin, que le vaccin antirabique de Pasteur fait long feu. Sa méthode est vite tombée en désuétude dans le monde entier. Pas suffisamment sûre ! On enrage. (Note d'IC:  L’erreur commune, source de confusions, est de considérer que ne pas faire long feu est la négation de faire long feu. Il s’agit d’une expression différente, qui ne tire pas son origine du fonctionnement des armes à feu, mais fait référence au feu en général. Elle signifie « ne pas durer longtemps »)

 

Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos

 

Source: Le Point   

 

En fait, pour ceux qui ont déjà un petit peu lu sur Pasteur, ces données ne sont pas une nouveauté : Pasteur était un homme de salon, avec beaucoup de relations mais il est aussi décrit comme un tricheur et un faussaire qui avait surtout beaucoup de talents pour voler les idées des autres, les reprendre à son compte et aussi pour maquiller les données gênantes de ses travaux.

 

Que cet homme ait ainsi été complice d’expérimentations humaines contestables à « faire sourire Mengele » comme semble dire cet article, n’a donc pas grand-chose de surprenant.

     

Cet article démontre aussi, outre ce manque flagrant d’éthique, la fragilité extrême des fondements mêmes de la pratique vaccinale. Ce qui s’est produit avec la supposition légère et vraiment peu rigoureuse que le chien était enragé, se reproduit en fait sans cesse, encore aujourd’hui, avec l’enthousiasme aveugle des partisans des vaccinations à tous crins qui font le choix particulièrement lourd de conséquences de se mettre continuellement la tête dans le sable, à chaque échec et chaque effet secondaire grave de vaccins ! C’est ainsi que les affirmations officielles sur les vaccinations demeurent des affirmations simplistes mais surtout gratuites et contraires à plusieurs recherches solides. Rien n’a donc changé depuis Pasteur et la vraie Science est donc toujours autant « contorsionnée » et mise à mal, tandis que la crédulité publique et la peur des gens constituent encore et toujours le seul terreau fertile pour ce genre de marketing politico-commercial.

 

Ce qui est finalement le plus incroyable, c’est qu’un journal officiel ait osé publier un tel article, qui va tout à fait à l’encontre du « politiquement correct » et de la mythologie vaccinale bien pensante qui tient pourtant dur comme fer à ses (faux) héros. Mais oui, un indice ne trompe pas, ce genre d’articles n’a sans doute pu passer qu’à une seule condition : grâce à la rubrique « C’est arrivé aujourd’hui », l’article ayant été publié un 5 juillet pour le lendemain (en souvenir du 6 juillet 1885…). Sans ce genre de rubriques en effet, il est immensément probable que cela aurait été "éditorialement refusé".

 

 

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8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 20:34

Fotolia-Cambodge.jpg

Plusieurs articles (sur Destinationsante, sur Asie-Info,...) font état de plus d'une soixantaine de morts d'enfants ces trois derniers mois au Cambodge. Les enfants auraient présenté une dégradation rapide de leur fonction respiratoire avec également des symptômes d'ordre neurologique.

 

Sur 62 enfants touchés, 61 en seraient décédés selon Destinationsante (Asie-Info faisant état de chiffres plus élevés d'hospitalisations), avec des décès qui survenaient dans les 24 premières heures d'hospitalisation. La maladie ne semble pas contagieuse et selon l'Institut Pasteur du Cambodge qui aurait déjà effectué plusieurs analyses, le virus H5N1 n'est pas en cause, pas plus qu'un autre virus grippal, le SRAS ou le Nipah. D'autres maladies qui sévissent également dans ce pays sont scrutées attentivement comme la dengue, le chikungunya ou la maladie pieds-mains-bouche (fièvre aphteuse).

 

Selon l'OMS, "il pourrait s’agir d’une combinaison de différentes maladies avec les mêmes signes cliniques, mais causée par différents pathogènes, ou de quelque chose de nouveau."

 

Hélas, ce n'est certainement pas l'OMS qui viendra suspecter un lien possible entre le décès de ces enfants et les vaccins qu'ils auraient précédemment reçus. Et pourtant, pour ceux qui connaissent un peu le sujet, un tel lien à ce stade reste à tout le moins possible puisque :

 

- les vaccins amoindrissent et affaiblissent les défenses immunitaires (contrairement aux fausses allégations comme quoi "ils renforceraient le système immunitaire"), laissant ainsi les individus vaccinés particulièrement vulnérables à une foule de maladies opportunistes pouvant s'avérer graves et même parfois fatales dans les suites d'une précédente vaccination. De ce fait, les vaccinations peuvent parfois avoir une responsabilité indirecte mais non moins décisive dans un nombre considérablement sous-estimé de situations, en plus de leurs effets secondaires directs, que ceux-ci soient plus ou moins rapides à se manifester ou plus différés dans le temps.

 

- les vaccins peuvent tout à fait donner lieu à des effets secondaires graves d'ordre respiratoire et également neurologique pouvant parfois s'avérer mortels.

  

- ces enfants pourraient avoir reçu certains lots de vaccins contaminés ou particuliers.

 

- les effets secondaires des vaccins sont pour la plupart non contagieux (sauf quand il s'agit de vaccins à virus vivants atténués pouvant se transmettre de personne à personne)

 

- les enfants font incontestablement partie des personnes les plus vaccinées puisqu'une majorité de vaccinations sont particulièrement concentrées dans l'enfance, avec un calendrier vaccinal de plus en plus démentiel, même dans les pays pauvres qui ne cessent d'imiter, sous l'instigation de l'OMS, les pays occidentaux dans leur inflation vaccinale des plus déraisonnables.

 

- les vaccins, de par leurs risques pour l'ADN humain (ils contiennent plusieurs subtances mutagènes) et les recombinaisons microbiennes qu'ils favorisent, sont une des grandes causes les plus vraisemblables de l'émergence d'une infinité de nouvelles maladies désespérantes dont plusieurs sont réétiquetées de façon bien commode "maladies orphelines".

 

Mais il y a bien sûr fort à parier que ce genre de question d’un lien possible avec les vaccinations ne sera même jamais envisagé ni officiellement évoqué et que le public ne sera donc jamais informé de tous les vaccins (et numéros de lots) reçus par les enfants hospitalisés et décédés….

 

George Bernard Shaw, Prix Nobel de Littérature 1925, le disait déjà à son époque où il y avait encore beaucoup moins de vaccins qu’aujourd’hui: « Si l’on pouvait mettre à jour tous les décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

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7 juillet 2012 6 07 /07 /juillet /2012 18:17

Interview du Dr Tetyana Obukhanych (PhD), réalisée par Catherine Frompovich

 

5 juillet 2012 [Extraits]

 

Tetyana-Obukhanych

Je suis au fait de l’énorme quantité d’informations scientifiques qui confirment les bénéfices de l’allaitement maternel dans la protection contre les maladies. Comment pourrait-il en être autrement ? C’est  sur l’allaitement maternel que s’est en fait appuyée toute l’évolution des mammifères.

 

Il n’est pas impossible que si davantage de femmes étaient engagées dans la science, nous accorderions certainement plus de respect aux processus naturels. Nous étudierions alors comment ces processus naturels nous protègent des maladies et nous aurions tout fait pour aider et renforcer ces voies.

 

En lieu et place, nous tentons de fouler aux pieds les processus naturels avec des pratiques sophistiquées et artificielles qui nous apportent des avantages limités et à court terme au détriment de « dettes » à long terme.

 

En dehors de la science elle-même, j’ai pu « découvrir » quelles étaient les forces qui décident de la manière dont la recherche doit être présentée.

 

La carrière d’un scientifique type moderne, y compris d’un immunologiste, consiste à prouver très tôt qu’il réussit dans le but de pouvoir bénéficier de fonds pour une recherche à court terme qui elle-même nécessitera la démonstration de nouvelles réussites grâce à d’autres publications pour s’assurer de financements ultérieurs. Et le cycle se poursuit ainsi sans fin pour maintenir une carrière. Financement pour l’amour de publications, et publications pour l’amour de nouveaux financements. Le but de ce jeu est de prouver le succès, car seul le succès est récompensé. Le problème cependant est que l’énorme pression qui pousse au succès est susceptible de mener à de douteuses incitations.

 

Ces pressions peuvent mettre les scientifiques dans des situations très difficiles : qu’en serait-il si la démonstration de toute la vérité que leurs recherches ont révélée ne leur permettait plus de publier du spectaculaire (seuls les articles à succès ont quelque chance d’être publiés), et si les perspectives d’obtenir leurs prochaines subventions s’amenuisaient au point de remettre en question leur travail scientifique ou la maintenance de leur laboratoire ? Seraient-ils prêts à miner leur carrière et les moyens d’existence de ceux dont dépend leur carrière, s’ils se décidaient à révéler toute la vérité de leurs recherches?

 

Un exemple de ceci s’est passé dans le domaine de la recherche. J’ai pu observer la chose dans un des laboratoires où j’ai travaillé. Il s’agissait de trouver une nouvelle méthode permettant d’induire une réponse immunitaire. La méthode fut publiée dans un prestigieux journal d’immunologie avec l’attente tacite qu’elle puisse être utile dans les stratégies de développement d’un nouveau vaccin. Cependant, les données disponibles concernant les échecs qui furent observés dans la protection des animaux de laboratoire contre l’infection par cette méthode de vaccination furent retirées de la publication.

 

Comment a-t-on pu justifier cette omission ? Je n’en ai pas la moindre idée et je n’étais pas en position de demander des explications.

 

Comment cette omission a-t-elle été récompensée ? Eh bien, des quantités obscènes d’argent affluèrent d’une fondation privée bien connue qui sponsorise les programmes de vaccinations dans le Tiers Monde. Une partie de cet argent, d’après ce qui m’a été communiqué, a été destiné au développement de cette approche vaccinale particulière pour la réalisation d’une stratégie inédite de vaccinations pour les humains.

 

Est-ce que j’en ai dit assez ?

 

J’aimerais maintenant donner une petite idée de ce que l’on vit quand on travaille sur le terrain de l’immunologie.

 

J’ai trouvé que les immunologistes de base, et j’ai été de ceux-là pendant tout un temps, ne s’intéressent pas à autre chose qu’à la zone étroite de leur recherche ; ils ne s’intéressent même pas à la recherche immunologique qui révèle le nombre énorme des échecs vaccinaux. Les immunologistes ne « savent » pas que les vaccins peuvent ne pas protéger. C’est aussi peut-être l’orgueil professionnel qui ne leur permet pas de voir que la vaccination, fruit béni de leur recherche à laquelle ils ont voué toute leur vie, est tellement imparfaite si on la compare à l’immunité naturelle.

 

La discussion publique ou même les préoccupations et inquiétudes personnelles relèvent du domaine tabou. La moindre tentative de mettre ces problèmes sur le tapis, de soulever la moindre question par rapport aux lacunes de cette science qui s’occupe de la sécurité des vaccins, de leur efficacité ou de leur nécessité soulève immédiatement la colère et l’indignation des collègues. Le mantra qui dit que les vaccins sont sûrs et efficaces, qu’ils sauvent des vies, relève de la pure foi et ne peut souffrir le moindre questionnement.

 

D’une part, les immunologistes de base se satisfont d’une théorie sujette à artéfacts, sans se soucier de jeter un coup d’œil à la manière dont leur théorie est appliquée dans les programmes vaccinaux destinés à l’espèce humaine. D’autre part, les épidémiologistes et les officiels de santé en connaissent à peine assez des théories complexes de l’immunologie pour pouvoir réaliser que les vaccins ne fonctionnent pas comme la théorie le prévoyait. Ils se contentent d’introduire de nouveaux programmes de rappels vaccinaux pour parer aux échecs des vaccinations.

 

Ce cloisonnement et cette vision « tunnel » qui pénètrent la science sont précisément les obstacles qui empêchent n’importe quel spécialiste de se faire une idée du « grand portrait » sur la vaccination et de se sentir horrifié par sa recherche. Et ce qui transpire malgré tout est la réalisation que quelque chose ne tourne pas rond par rapport aux vertus présumées de la vaccination. L’impulsion pour étudier plus largement la vaccination fait défaut dans le courant de la science dominante. En lieu et place, on enregistre des pressions pour que tout un chacun garde la tête dans le sable.

 

J’ai voulu partager ma façon de voir avec mes lecteurs pour qu’ils puissent réaliser la nécessité qu’il y a de modifier la manière dont fonctionne la Science. Bien que nous ayons créé un gâchis avec la vaccination, nous n’avons pas à nous y complaire. Je souhaite en tout premier lieu que les lecteurs prennent conscience de tout ce qui permet à ce type de science de nous maintenir dans ce gâchis.

 

Aux Etats-Unis, les scientifiques sont de simples esclaves de l’establishment, ils ne peuvent se permettre de faire des recherches que pour les objectifs dictés par leurs pourvoyeurs de fonds. Il n’y a pas que l’argent nécessaire à la recherche qui dépend des subventions, mais aussi l’avancement dans les carrières et les salaires. Qui pourrait s’étonner que les scientifiques ne soient pas capables ou ne se sentent pas suffisamment sûrs d’eux-mêmes pour tenter de faire une recherche qui ne correspond pas aux programmes de ceux qui les financent, alors qu’ils doivent malgré tout continuer à vivre ?

 

Ce n’est un secret pour personne que la vaste majorité de la recherche biomédicale est financée par les gouvernements, l’industrie pharmaceutique ou des fondations privées dont les programmes sont très nettement pro-médicaments et pro-vaccins. Cette situation qui détermine les priorités et les points clés de la recherche biomédicale contribue à accorder tout pouvoir aux sources de financement, et un faible pouvoir de connaissances au public pour lui permettre de prendre des décisions véritablement éclairées.

 

Pourquoi n’avons-nous pas une science qui, systématiquement et adéquatement, se préoccuperait des inquiétudes des parents en ce qui concerne les vaccinations ?

 

Pourquoi n’avons-nous pas une science qui, systématiquement et adéquatement, étudierait les facteurs déterminants qui conditionnent les maladies infectieuses légères ou graves, ou même tout simplement la susceptibilité des individus à telle ou telle maladie ?

 

Pourquoi n’avons-nous pas une science qui nous permettrait de comprendre l’immunité naturelle ?

 

Ne serions-nous pas capables en tant qu’individus de faire bon usage de ce type de connaissances ?

 

En tant que scientifique, je veux personnellement être directement responsable envers la société et pouvoir m’intéresser aux problèmes et questions ayant trait à l’information scientifique sans qu’interviennent les filtres que les programmes des gouvernements et des industriels s’ingénient à mettre entre les scientifiques et la société. (note d'IC: cfr l'exemple de l'Inserm qui ne semble pas des plus favorables à une "science démocratique")

 

Si nous voulons vraiment cette relation directe entre scientifiques et société, alors les scientifiques devront être sponsorisés d’une manière radicalement différente. Comment pourrions-nous espérer que les gouvernements et l’industrie pharmaceutique sponsorisent un type de science qui leur enlève leur pouvoir ? Nous ne pouvons pas non plus espérer que les scientifiques ne puissent plus nourrir leurs familles en se lançant dans des recherches pour lesquelles ils ne seront pas payés et qui ne leur permettront aucun avancement

 

Ne pourrions-nous pas établir des relations directes entre scientifiques et société en vue de promouvoir une recherche avec des connaissances et un pouvoir qui serait en nos mains et non dans celles de l’establishment ?

 

Tout comme le principe constitutionnel Américain de séparation religion/ état nous a amené une énorme prospérité, permettons-nous d’imaginer ce que pourrait nous apporter la séparation science/état.

 

Je veux encourager tout un chacun à réfléchir un moment à la manière dont nous pourrions atteindre ce but.

 

 Source: International Medical Council on Vaccination

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7 juillet 2012 6 07 /07 /juillet /2012 14:16

Fotolia--surveillance-espionnage.jpg

Pire que l'ACTA, le projet INDECT ?

 

Florence Gizmodo
jeu., 05 juil. 2012 13:36 CDT

 

On ne peut pas dire que le gouvernement soit cachottier, mais bizarrement, il y a des projets dont on entend nettement moins parler. Il est donc temps de vous familiariser avec le plan Indect, qu'on pourrait largement qualifier de cyber-espion.


Fondé par l'union européenne, il s'agit d'un système d'information intelligent soutenant l'observation, la recherche et la détection pour la sécurité des citoyens en milieu urbain. Lancé en toute discrétion le 1er janvier 2009, son objectif principal est de détecter automatiquement les menaces, comportements anormaux ou violence.


Au demeurant fort louable, sa mise en place pose en revanche quelques soucis. Si le projet aboutit, Minority Report sera une réalité bien tangible, ce Big Brother épiera tous les faits et gestes des internautes qu'il conservera bien au chaud dans ses serveurs. Indect sera d'ailleurs lié à une base de données regroupant les fichiers policiers et les fichiers biométriques d'identité.


Douteux ? Polémique ? Pensez-vous ... Le projet est passé par un examen éthique le 15 mars 2011 à Bruxelles où il a été examiné par des experts Autrichiens, Français, Hollandais, Allemands, et Britanniques. Il a été déclaré viable et sans vice. Sous couvert de développer un outil de protection, nous risquons donc d'être espionnés 24h/24.


Si vous voulez vous renseigner, il y a bien un site officiel en anglais, mais aucun document sur la Toile. Heureusement, le site est traduisible en polonais ...


Après SOPA, PIPA, ACTA ... Veuillez-vous lever pour L'infect l'Indect !

 

Source: fr.Sott.net

 

 

 

 

Si nous analysons avec suffisamment de hauteur un tel projet, que voyons-nous?

 

- On voit que l’OMS a rejeté la faute du fiasco vaccinal du H1N1 sur Internet !

 

- On peut déduire qu’ACTA avait des objectifs liberticides non avoués, si bien que ce projet ayant été enterré, d’autres projets liberticides sont sans cesse « remis sur le métier », ce qui est exactement ce qui s’est produit avec le Traité européen en termes de méthodologie. Ainsi, malgré les référendums et le rejet de différents peuples (France, Irlande), le Traité a tout de même fini par être adopté, soit qu’on n’a pas tenu compte des résultats ou qu’on a fait revoter jusqu’à ce que les gens finissent par dire oui (ou qu’on leur fasse dire du moins).

 

- Lorsqu’un projet liberticide rejeté par la porte, revient cependant par la fenêtre mais sous une autre forme, il y a lieu d’être prudent. Lorsqu’un tel projet se présente « au service du Bien ou de la protection de la collectivité », il y a lieu d’être encore plus prudent. Car au fil de l’Histoire, toutes les dictatures, quelles que soient leurs formes se sont toujours profilées comme étant au service des collectivités.

 

- Certains citoyens seraient naïvement prêts à accepter des grignotages croissants de leurs libertés au simple motif qu’ils n’auraient « rien à cacher ». Toute dérive « sécuritaire » finit toujours par s’apparenter à une « machine à conformer » or il est hélas bien évident qu’Internet reste LE SEUL média libre de diffuser ce que la presse classique à l’interdiction de publier. Essayer de circonscrire ces messages non officiels « parasites » (ou jugés comme tels par les pays et les organismes internationaux non légitimes, OMS, Commission Européenne etc) constitue donc un réel enjeu de pouvoir. Ne l’oublions pas !

 

- Il est fondamental de comprendre les liens entre ces sujets: SANTE, DEMOCRATIE, LIBERTE D'INTERNET car tout est lié. De l'un peut dépendre l'autre: au prétexte "d'urgence sanitaire" et d'idéologie vaccinale ("le vaccin est LE SEUL moyen de prévention possible" nous rabâche-t-on ainsi sans cesse à tort), la liberté d'Internet pourrait être mise à mal et vice versa puisque si la liberté d'Internet est amoindrie, des milliers de gens seront privés d'informations vitales que leurs bons docteurs ne connaissent pas, leur faisant ainsi perdre des chances formidables de pouvoir éventuellement améliorer leur santé voire de guérir autrement, d'une façon "interdite" aux yeux de l'establishment.

 

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 20:16

Un article du 5 juillet dernier dans le Quotidien du Médecin mettait à la fois dans son titre le mot "Handicaps de l'enfant" et le mot "vaccination", une association qui n'est hélas pas faite au sein de l'article alors que beaucoup de handicaps des enfants sont en réalité dus aux avalanches vaccinales qu'on ne cesse de leur infliger de façon aveugle et stéréotypée!

 

Bref, quoi qu'il en soit, voici ce qu'on pouvait notamment lire dans cet article au sujet des nouvelles méthodes de prosélytisme vaccinal à venir:

 

« Réunissant des organisations représentatives des acteurs du système de soins, la Conférence nationale de santé (CNS) publie deux nouveaux avis. À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), la CNS formule plusieurs recommandations dans le cadre du programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 initié par le précédent gouvernement.

 

[...] Le programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 constitue une initiative « tout à fait opportune » estime la CNS qui juge « préoccupante » la baisse du recours à la vaccination dans certaines pathologies et populations défavorisées. Selon leur caractère obligatoire ou non, la situation financière et assurantielle des vaccins n’encourage pas à la vaccination, poursuit-elle. Face à la perplexité d’une partie des usagers du système de santé et des professionnels, il est essentiel de remobiliser les acteurs de santé et la population générale sur l’intérêt de la vaccination et le respect du calendrier vaccinal, considère l’instance consultative.

 

Dans son avis, la CNS recommande d’élaborer un système gradué de recommandations pour les vaccins en soumettant à la réflexion la notion de « vaccination indispensable et prioritaire ». A l’image du Haut Conseil de la santé publique qui a rendu un avis similaire, la CNS prône l’accessibilité pour tous à la vaccination, grâce à « la gratuité des vaccins ayant un certain niveau de recommandation » et la mise en place d’« un statut identique en cas d’accident de vaccination. »

 

« Une vaccination indispensable et prioritaire » : voilà comment les officiels vont tenter de qualifier non seulement les vaccinations déjà obligatoires à l’heure actuelle mais aussi toutes celles qui sont déjà « vivement recommandées ». Le but de la manœuvre ? Gommer le différentiel entre les pourcentages de couverture des vaccins obligatoires et de ceux qui ne le sont pas.

 

En croyant gagner à ce petit jeu, les autorités ne feront juste que s’enliser encore davantage car à moins de décréter comme « indispensables et prioritaires » toutes les actuelles vaccinations « vivement recommandées », incluant notamment celles contre l’haemophilius influenzae (Hib), les pneumocoques, l’hépatite B ou encore celle contre le rotavirus, les officiels vont devoir alors s’expliquer à posteriori sur le fait d’avoir dilapidé l’argent des contribuables dans tous ces vaccins non « indispensables et prioritaires ». Et si ces vaccinations ou d’autres comme le ROR (rougeole, oreillons, rubéole) sont décrétées « indispensables et prioritaires », il va falloir démontrer au public, preuves VALABLES à l’appui, comment des générations entières d’enfants ont pu survivre aux maladies infantiles que sont rougeole, rubéole et oreillons à une époque où aucun vaccin n’existait et où ces infections étaient loin de faire les grands titres des journaux…

 

Quant aux méthodes de reconnaissance des accidents vaccinaux, il faut savoir que même dans les pays où les victimes de vaccinations non obligatoires peuvent prétendre à des indemnisations, comme par exemple les USA, ces systèmes sont encore très imparfaits et 2/3 des plaintes sont rejetées. En France, le cas de Laetitia, victime du Gardasil, est assez emblématique puisque la jeune fille dont la santé a été abîmée par le Gardasil et qui a dû consulter 65 médecins selon le journal Libération, sans parler du fait d’avoir été empêchée de poursuivre ses études de médecine, s’est vue rétorquer par un expert officiel que « si elle baisait plus, elle irait mieux » et que ses problèmes étaient psychologiques, n’ayant donc rien à voir avec le vaccin ! Etrangement, alors qu’elle allait parfaitement bien avant ses injections de Gardasil, elle se retrouve à présent avec des kystes ovariens et un ovaire atrophié (et, comme par hasard, on retrouve très fréquemment les kystes ovariens parmi les nombreux effets secondaires invalidants de cette vaccination, comme en attestent des dizaines et dizaines de messages internet que les officiels classent à priori et de façon scabreuse dans la catégorie des « coïncidences » !)

 

On l'aura donc compris: une fois encore, les conseilleurs ne sont pas les payeurs!

 

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 14:34

Un double jeu, des choix plus que contestables (OGM, vaccinations massives et aveugles, autres projets potentiellement liberticides comme des bracelets biométriques destinés à favoriser les meilleures formes d'apprentissage mais sans doute surtout à favoriser la conformité sociale et la docilité intellectuelle etc etc), cette Fondation Bill & Melinda Gates échappe à tout contrôle démocratique.

 

Voir ou revoir l'émission "Le Monde selon Gates" dans  "Envoyé Spécial" de France 2 du 5 janvier 2012:

 

 

Avec la complicité des Etats, cette Fondation étend donc sa toile, aux dépens d'une majorité de citoyens qui ne veulent pas de ce qu'ils considèrent comme une vraie fausse philanthropie...

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 21:19

ACTA--rejet.jpg

Strasbourg, le 4 juillet 2012 - Aujourd'hui, les eurodéputés siégeant en séance plénière ont voté contre l'Anti-Counterfeiting Trade Agreement (ACTA). Cette décision, tant attendue, ponctue d'un point final ce qui est devenu au fil des années une bataille pour la préservation des droits et libertés dans l'environnement numérique. Par ailleurs, la mobilisation citoyenne a donné une véritable tournure politique à ce dossier. Avec Internet comme outil de communication, d'échange et de partage d'informations, les citoyens ont redéfini la démocratie participative. Enfin, cette victoire ouvre la voie à une approche plus objective des problématiques liées aux droits d'auteur.

 

« La décision des eurodéputés de rejeter ACTA restera gravée dans les mémoires comme le résultat d'une mobilisation citoyenne sans précédent. Internet a joué un rôle prépondérant pour véhiculer l'information, mobiliser les citoyens et influencer de manière positive l'agenda du Parlement européen. À l'heure où les États-Unis d'Amérique célèbrent leur indépendance, les citoyens européens se réjouissent de cette ère nouvelle pour la démocratie participative. Le rejet d'ACTA a ouvert le champ des possibles. Il permet d'envisager sous de meilleurs auspices les problématiques telles que l'open data/government, la neutralité d'Internet et le partage entre individus sans but commercial. » déclare André Loconte, co-fondateur de la NURPA.

 

parlementaires-ACTA.png

 

C'est également un signal fort envoyé par les eurodéputés pour affirmer l'indépendance du Parlement face à une Commission européenne s’étant outrageusement ingérée dans les procédures parlementaires. Le commissaire au commerce Karel de Gucht, soutenu par une majorité de députés EPP, a tenté jusqu'au dernier instant de parasiter les débats et de repousser la débâcle d'ACTA, devenue quasiment inévitable suite aux recommandations de rejet des cinq commissions parlementaires saisies du dossier.

 

« Le rejet d'ACTA en plénière laisse espérer la rupture avec une vision dogmatique du droit d'auteur s'étant — principalement sous la pression des industries du divertissement — largement répandue au fil des années. ACTA réalise de nombreux amalgames, dont celui du partage sans but lucratif de fichiers avec la contrefaçon de biens physiques entrainant des risques sanitaires potentiels. Il est nécessaire d'objectiver les débats et d'envisager un réforme du droit d'auteur qui, dans l’intérêt de tous, prendrait en considération l'adaptation des pratiques d'échange et de partage à l’environnement numérique », conclut André Loconte.

 

Source: Nurpa.be

 

Bravo, belle victoire ! Les eurodéputés dociles ont dû craindre la sanction des électeurs aux prochaines élections... Mais à nos yeux la vigilance reste de mise car l’ACTA aurait été bien commode pour lutter contre les critiques vaccinales que les internautes propagent souvent avec des copier-coller d'articles de presse or la désaffection croissante du public vis-à-vis des vaccins continue de désespérer les officiels qui ne reculeront devant rien (carnet de vaccination électronique, chantage à l’emploi etc) pour soumettre le public à leurs diktats. Cette liberté d’Internet est donc un grand signal même si malgré ce genre de liberté, les gens n'ont toujours pas la liberté de décider de ce qu'ils se font injecter dans le corps ou à leurs enfants (cfr obligations scandaleuses de l'ONE qui n'a cependant jamais daigné répondre sur le fond à nos questions et n'assume RIEN en cas d'effets secondaires, mêmes graves)!


 

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 11:50

 

 VACCINATIONS : PROJET DE LOI AMERICAIN « AB2109 »  

 

pour que la grenouille oublie de sortir de la marmite!

 

Grenouille-marmite.jpg

 

Dr Tim O’Shea, Newsletter Juillet 2012 -  thedoctorwithin (Extrait)

 

Avec les dernières modifications qui lui furent apportées, il semble qu’il ne soit plus possible d’arrêter l’application du projet de loi californien AB2109 qui paraît imparable.

 

Tout a débuté par une modification apparemment insignifiante de la loi concernant l’exemption de vaccination. Cette exemption qui relevait de convictions personnelles  perdait effectivement son caractère personnel étant donné le fait que la loi exigeait maintenant la signature obligatoire d’un médecin. Cette première étape de « sape » s’est transformée en un appel pressant à la vaccination obligatoire, essentielle pour nous protéger des fléaux susceptibles d’apparaître au cours des prochains Jeux Olympiques !

 

Il semble qu’il n’y ait plus qu’un miracle qui puisse arrêter ce projet de loi  Le projet de loi AB2109 semble bien être le modèle parfait des géniales créations médiatiques d’Edward Bernays.

 

Dans son ouvrage « Propagande » de 1928, Bernays recommandait en tout premier lieu de ne jamais présenter un problème controversé comme tel, mais plutôt de le camoufler sous une apparence bénigne. S’il devait s’agir d’un changement radical, il fallait imprimer l’idée que la chose était banale, bénigne, qu’il n’y avait rien de fondamentalement changé, qu’il s’agissait en fait de routine, etc.

 

En ce qui nous concerne aujourd’hui, nous avons une loi qui a comme objectif de mettre fin aux exemptions vaccinales. Cette loi vise en outre à confirmer l’idée que la responsabilité médicale est une responsabilité trop lourde à porter pour le citoyen moyen. C’est là ce que permettra de réaliser ce projet de loi, une fois voté. Mais il n’est évidemment pas du tout présenté de cette manière. Non, les autorités disent officiellement qu’elles veulent tout juste s’assurer que les parents qui auront recours à la procédure d’exemption seront parfaitement informés. Donc, apparemment pas de grands changements ! Bon sang ! Pas de quoi se tracasser ! Pas de problème pour trouver une signature, etc.

 

Le  tout dernier camouflage par rapport à l’intention réelle à la base de ce projet de loi a été la manière dont il a été présenté au Comité de Santé du Sénat. Dans le résumé qui devait présenter le projet, il ne fut nullement mention de la signature d’un médecin sur le formulaire d’exemption, alors qu’en fait il s’agissait de la principale disposition de l’AB2109 !

La seule lecture de ce résumé  ne pouvait donc pas permettre à un membre du Comité de se faire la moindre idée de ce que visait le projet de loi

 

Voici à quoi ressemble cette maîtrise de la propagande :

 

           « …le Comité Santé du Sénat a passé le projet de loi AB2109… pour fournir aux parents des informations de santé qui leur seront utiles pour protéger leurs familles et leurs communautés des flambées de maladies transmissibles, comme l’épidémie de coqueluche qui menace aujourd’hui les familles en Californie. »

 

         « La Californie a déjà adopté une loi appelant les enfants à se faire vacciner contre certaines maladies qui représentent une menace immédiate pour la santé publique. La Californie est aussi l’un des seuls 20 Etats qui permet aux parents de signer un formulaire autorisant les enfants à être exemptés de la vaccination. L’AB2109 permettrait simplement aux parents de recevoir une information exacte sur les vaccinations ; cette dernière serait donnée par un praticien agréé avant la signature du document par les parents. »

 

       « L’AB 2109 veille à ce que l’expertise de 150.000 praticiens en soins de santé de tout le pays puisse assurer aux parents toute l’aide dont ils auraient besoin pour prendre cette décision essentielle de santé publique. »

 

       « Cette relation est essentielle pour permettre que les décisions qui seront prises au sujet des vaccinations soient basées sur les informations les plus récentes et les plus précises. »

 

Nous relevons ici les mensonges de cette déclaration :

 

1. Le résumé du texte ne mentionne même pas la principale disposition du projet de loi qui est la signature obligatoire d’un médecin que les parents doivent obtenir pour que le formulaire d’exemption soit valide.

 

2. Cette information n’a rien à voir avec la protection des enfants contre les maladies transmissibles. Il s’agit  essentiellement de la vente de vaccins en interdisant les exemptions légales ou en tout cas, en les rendant impossibles en pratique.

 

3. Les cas de coqueluche actuels surviennent majoritairement chez des individus vaccinés ; les vaccins ne constituent donc pas la solution adéquate pour prévenir la maladie.

 

4.  Ce ne sont pas 20 états, mais tous les états sauf deux qui permettent des exemptions. L’AB2109  ne garantit pas que les parents auront des informations précises sur quoi que ce soit. La plupart des médecins ne ménageront jamais pareils rendez-vous avec les parents et ceux qui le feront ne signeront pas. La plupart des médecins ne disposent pas d’informations précises sur les vaccins à l’exception des médecins qui ne vaccinent pas. Et, en outre, ces derniers sont obligés de se taire.

 

5.  Si les parents ont déjà signé le formulaire, ils n’iront pas trouver un médecin pour obtenir plus ample information, sauf s’ils y sont forcés. C’est là tout ce que représente l’AB2109.

 

6.  « L’expertise » des 150.000 médecins ne sert à rien. Quand on interroge des pédiatres sur les vaccinations, on peut facilement se rendre compte qu’ils n’ont aucune connaissance de l’information la plus basique concernant les dangers que représentent les vaccins. La présence de mercure, le manque de tests de sécurité, les effets de la myélinisation défectueuse, les formes de microbes atténués obtenues en laboratoire, les preuves écrasantes de l’association avec l’autisme. Ils n’ont aucune idée de tous ces problèmes.

 

Il en va de même pour les membres du Comité qui n’ont aucun intérêt pour ce genre de choses. Ne serait-ce pas ici la raison pour laquelle ils ont voté à 7 contre 1.

 

En Californie, le législateur vote rarement sur le fond d’une question et n’est guère intéressé à s’ouvrir à la nouveauté. Ces personnes votent comme on leur dit, dans le sens de l’opportunisme politique. Si vous votez pour mon projet de loi, moi je voterai pour le vôtre. Les lobbyistes ne jouent-ils pas également leur rôle pour pouvoir presser certains de voter dans un sens ou dans un autre ?

 

Si on laisse de côté les principales dispositions du projet de loi, tout semble parfaitement sensé. Les vaccins sont nécessaires pour protéger les enfants de la maladie, n’est-il pas vrai ? N’a-t-il pas été précisé que le but de cette loi est de s’assurer que les parents soient informés de la valeur des vaccins ? Pourquoi y aurait-il lieu de discuter ?

 

Et le lobby pharmaceutique se hisse toujours au premier plan dans les conseils de l’administration.

 

Mes amis, c’est à cela que ressemble un chef d’œuvre de propagande du style Bernays. Camoufler la suppression des libertés traditionnelles fondamentales, la faire passer pour une décision positive, intelligente, une initiative qui assurera la protection des enfants, bref pour tout, sauf pour ce que cette loi représente vraiment. Il s’agit surtout de ne pas se documenter au-delà de cette lecture superficielle écrite par les experts en la matière et considérer toute opposition comme étant guidée par des fanatiques égarés.

 

Comme ils sont en train de perdre dans le débat sur la sécurité des vaccins et que, chaque année, de plus en plus de parents réclament des exemptions, leur dernière tactique dictée par le désespoir est de proscrire toute discussion. Rendre le débat hors propos, supprimer les exemptions, voilà le véritable programme (camouflé).

 

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et de l’opinion des masses est un élément important dans une société démocratique. Those who manipulate this unseen mechanism of society constitute an invisible government which is the true ruling power of our country. We are governed, our minds are molded, our tastes formed, our ideas suggested, largely by men we have never heard of. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le vrai pouvoir de notre pays. » Propaganda, Edward Bernays 

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 21:04

Le Mexique a déclenché lundi l'état d'urgence de santé animale sur tout le territoire en raison d'une épidémie de grippe aviaire hautement pathogène qui a touché 1,7 million de volailles, dont 870.000 sont mortes ou ont été abattues.

 

C'est ce qu'a indiqué le ministère de l'Agriculture.

 

"Le dispositif national d'état d'urgence de santé animale est activé (...) dans l'objectif de diagnostiquer, prévenir, contrôler et éradiquer le virus de la grippe aviaire de type A, sous-type H7N3", selon un bulletin du ministère paru au Journal officiel.

 

La présence du virus a été détectée le 20 juin. Celui-ci est transmissible "par le contact direct ou indirect entre animaux, produits ou sous-produits (...) infectés", est-il précisé.

 

Vendredi, l'Organisation mondiale des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a confirmé cette épidémie au Mexique et rapporté que 1,7 million de volailles avaient été contaminées, dont 870.000 sont mortes, dans 10 élevages de l'Etat de Jalisco (ouest).

 

Les dispositions annoncées lundi comprennent notamment des mesures de quarantaine, d'abattage, de vaccination et de destruction des produits infectés.

 

AFP & RTBF info

 

Et Isabelle de Conscience du Peuple de se demander  si « on ne nous ressort pas le fantôme de la grippe aviaire pour annoncer, dans les prochaines semaines, que des humains ont contracté le virus parce qu'il aurait finalement muté en une forme transmissible à l'homme? ».

 

Ne pas oublier que c'était aussi au Mexique qu'avait officiellement émergé le virus de la fausse pandémie de H1N1 et que c'est également là qu'était venu Nicolas Sarkozy pour inaugurer en 2009 la toute nouvelle usine de vaccins de Sanofi Pasteur, capable de "basculer immédiatement sa production de vaccins antigrippaux saisonniers vers une production de vaccins pandémiques"...

 

 

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