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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 22:15

Des enfants africains toujours paralysés après des vaccins

   

Pour le gouvernement «  tout est dans leur tête »

 

 

Christina England, 25 janvier 2013

 

Enfant-Africain.jpg

 

« Ils ont voulu des preuves que la tragédie s’est bel et bien passée, et nous les leur avons fournies. 500 enfants ont reçu le vaccin contre la méningite en Afrique, 106 enfants sont tombés gravement malades, 38 ont été paralysés. Aujourd’hui, la chose a été finalement confirmée par le gouvernement, mais ils prétendent que LE VACCIN N’EST PAS EN CAUSE, que tout est dans leurs têtes. N’avons-nous déjà pas vu cette explication quelque part ?? » Christina England

 

Le gouvernement africain nie le fait que les vaccins ont endommagé la santé de certains enfants.

 

Il a maintenant été officiellement confirmé qu’en décembre 2012, 38 enfants ont été hospitalisés après avoir reçu le vaccin contre la méningite MenAfriVac au cours d’une campagne de vaccination organisée par le gouvernement tchadien. France 24 a expliqué que Saleh Ahmat Bodoumi, ancien membre du parlement tchadien, a confirmé que sept des enfants les plus gravement touchés ont dû être évacués des hôpitaux de la capitale N’djamena vers la République de Tunisie, en Afrique du Nord pour y subir d’autres examens, ainsi qu’un traitement spécialisé. [1]

 

Cette information a été confirmée par le « Medical Xpress » qui a précisé que le Ministre de la Santé Mamouth Nahor N’Gawara a fait la déclaration suivante à l’Agence France-Presse, l’une des plus importantes agences de presse au monde (AFP) : « Au cours de la dernière phase de la campagne de vaccination organisée à Gouro (près de la frontière Lybienne) du 11 au 15 décembre 2012, des réactions inhabituelles ont été observées. » N’Gawara a ajouté que « leur état de santé n’était pas inquiétant. » [2]

 

VACCINATIONS FORCEES

 

Toutefois, le Medical Xpress, ainsi que d’autres sites ont suivi cette histoire depuis le début et ont rapporté les informations suivantes :

 

« Dans un communiqué, le ministère de la Santé a fait savoir que les tests n’ont pas permis d’établir un lien causal entre les manifestations cliniques observées chez les patients et le vaccin MenAfriVac. »

 

Selon le communiqué, un enfant qui n’avait jamais reçu le vaccin contre la méningite se plaignait de souffrir des mêmes symptômes que les autres enfants. [3]

 

Toutefois, un contact au Tchad a fourni à VacTruth une version très différente des événements.

« Ce sont le gouvernement et l’Organisation Mondiale de la Santé qui ont inventé la tournure de ces faits

 

Le gouvernement a interdit aux journalistes de pénétrer dans l’hôpital où les enfants avaient été amenés (sic). Tous les enfants de Gouro ont reçu le vaccin.

 

Tout d’abord, ils (le gouvernement et l’OMS) ont collaboré avec le directeur de l’école qui a verrouillé la porte principale de l’école avant de vacciner tous les enfants. Le directeur de l’école a dit aux enfants que ceux qui refuseraient le vaccin seraient exclus de l’école et seraient arrêtés. Deuxièmement, ils ont fait du porte à porte et injecté le vaccin aux bébés de plus d’un an. »

 

Si vous trouvez cet événement difficile à croire, il vous suffit de vous souvenir de ce qui s’est passé en 2007 lorsqu’on a appris que des enfants du Maryland avaient été vaccinés de force par des hommes armés, sous les ordres du procureur général, de différents juges et du directeur de l’école locale. Ils ont tous illégalement menacé les parents d’emprisonnement s’ils ne soumettaient pas leurs enfants à la vaccination. [4]

 

Un autre exemple de ces tactiques d’intimidation s’est passé l’année dernière au Malawi, où 131 enfants ont été vaccinés à la pointe du fusil après que leurs parents aient refusé le vaccin contre la rougeole. [5] [6]

 

UN CALENDRIER TRAGIQUE

 

Fait intéressant, le ministre de la Santé a terminé sa déclaration officielle en disant que l’état de santé des enfants paralysés n’était pas inquiétant. Si cela était vrai, pourquoi alors le gouvernement tchadien a-t-il pris la décision de les transférer dans un autre hôpital, et pourquoi ce transfert s’est-il fait en secret ?

 

Notre contact au Tchad nous a informés qu’avant l’évacuation des enfants, les parents n’ont même pas été autorisés à savoir où les enfants étaient évacués. Notre contact nous a confirmé que le jour où les enfants ont été évacués, l’aéroport international de N’Djamena a été fermé aux visiteurs !

 

VacTruth a publié un rapport sur cette tragédie tchadienne le 6 janvier 2013. [7] Cependant, l’équipe d’experts du Tchad n’a commencé à enquêter sérieusement sur la situation que le 9 janvier. Le Premier Ministre du Tchad n’a rendu visite aux enfants malades à l’hôpital que quelques jours plus tard, et c’est le 13 janvier que VacTruth a publié les images télévisées de cette visite (images télévisées qui lui avaient été transmises du Tchad) [8]

 

Pourquoi a-t-il fallu tant de temps pour que le gouvernement tchadien intervienne dans cette tragédie épouvantable ? Selon France 24, le Ministre de la Santé n’a annoncé la tragédie que le 9 janvier, soit cinq semaines après que les accidents se soient produits.

 

Une autre fausse présentation des faits présentés au public est l’information suivante publiée sur plusieurs sites internet.

 

« Au total, plus de 100 millions de personnes dans 10 pays africains ont été vaccinées contre la maladie. »

 

Il est possible que des dizaines de millions de personnes aient été vaccinées avec MenAfriVac, bien que très peu probable. Toutefois, de l’avis même de l’OMS, il est totalement impossible que ce nombre de personnes aient été vaccinées dans le respect des recommandations ayant trait au contrôle de la chaîne du froid. [9]

 

NON RESPECT DES REGLES (au moins à deux reprises)

 

Que s’est-il donc passé dans les coulisses ?

 

MenAfriVac est un vaccin de pré-licence encore en phase de test. Il avait été annoncé par toutes les grandes organisations impliquées dans la campagne, notamment l’UNICEF, la FDA, le CDC, la Fondation Bill et Melinda Gates, PATH, Projet Vaccins Méningite et l’OMS, comme étant un vaccin qui pouvait être conservé à température contrôlée allant jusqu’à 40 degrés Celcius pendant 4 jours. Toutefois, selon le fabricant, cette information n’était pas tout à fait exacte, car il déclare :

 

« MenAfriVac doit être stocké et transporté à des températures de 2- 8°C. Il doit être protégé de la lumière. Le diluant doit être conservé à 25°C. Il est recommandé de protéger le vaccin reconstitué de la lumière directe du soleil. » [10]

 

Selon le rapport d’une réunion qui eut lieu en octobre 2012 entre l’Organisation Mondiale de la Santé, le groupe Vaccines and Biologicals, le Comité Consultatif des Pratiques d’Immunisation (IPAC), le vaccin MenAfriVac n’avait pas encore totalement obtenu la licence et n’aurait pas pu être complètement approuvé avant 2013 au plus tôt. [11]

 

Les enfants de Gouro ont été vaccinés en Décembre 2012, apparemment avec un vaccin qui était en cours de test et qui n’avait pas encore obtenu l’approbation pour être utilisé en dehors de la chaîne du froid.

  

Selon certaines sources, le Dr Diego Buriot aurait lu le message suivant en français sur une chaîne de télévision tchadienne :

 

« Nous avons fait toutes les analyses. Nous pensons que ce n’’est pas le vaccin qui a été la cause des paralysies. Les enfants ne sont pas en danger. Il est clair que le vaccin n’est pas la cause. Tout semble montrer que le vaccin qui a déjà été largement utilisé dans l’ensemble de la chaîne, ne produit pas de complications vaccinales. Nous avons à nouveau fait tester le vaccin, tant au niveau du producteur qu’au niveau des contrôles aléatoires. Ceux-ci communiqueront leurs résultats dans quelques semaines, mais en réalité nous sommes certains que le vaccin n’est pas en cause. Ce dont nous sommes certains, c’est tout d’abord qu’il n’y a aucun danger pour les enfants, il est très important de le dire. Tous les essais cliniques que nous avons réalisés sont tout à fait normaux ; c’est évidemment toute autre chose que cette agitation, réelle bien sûr, mais qui traduit la peur des enfants. »

 

Il s’agit ici de la première reconnaissance publique, admettant que les enfants sont tombés malades et ont été paralysés après avoir reçu le vaccin. C’est aussi la première des dénégations qui mettait hors de cause la responsabilité du vaccin.

 

Mais qui est le Dr Diego Buriot et qui représente-t-il ?

 

TOUT EST DANS LEUR TETE

 

Le Dr Diego Buriot est le Directeur du Bureau de l’OMS à Lyon, France. Il est en charge du Département de Surveillance des Maladies Transmissibles. Il possède une expérience considérable des problèmes de santé publique dans les pays en voie de développement [12]

 

Il devait bien sûr déclarer que les vaccins n’avaient pas provoqué les dommages causés aux enfants, bien qu’il avait admis que les résultats des tests n’étaient pas encore disponibles et qu’ils ne le seraient pas avant plusieurs semaines. Vous rappelez-vous de ses paroles :

 

« Nous avons à nouveau fait tester le vaccin, tant au niveau du producteur qu’au niveau des contrôles aléatoires. Ceux-ci communiqueront leurs résultats dans quelques semaines, mais en réalité nous sommes certains que le vaccin n’est pas en cause. »

 

Le 20 janvier 2013, l’Organisation des Droits Humains ECOTERRA et moi-même avons écrit une lettre au représentant de l’OMS au Tchad, le Dr Saïdou Pathé Barry. Depuis, nous avons régulièrement consulté le site de l’OMS [13], mais n’avons trouvé aucun rapport ou mise à jour. C’est pour cette raison que nous nous sommes sentis obligés de faire un appel public à l’OMS en leur demandant de répondre, dans les meilleurs délais, à nos quatorze questions concernant la tragédie de la vaccination MenAfriVac.

 

Le 22 janvier, nous avons reçu une copie du communiqué de presse original signé par le Ministre de la Santé publique, le Dr Mamouth Nahor N’gawara. C’est une lecture intéressante mais prévisible.

 

Il s’agissait en fait des mêmes vieux arguments, bien qu’il était reconnu que les conditions d’hospitalisation étaient inadéquates, qu’il y avait un manque de suivi médical – notamment sur le plan psychologique et que le dialogue entre le personnel de santé et la communauté était insuffisant.

 

Aucune cause de la maladie des enfants ne semble avoir été trouvée.

 

Dans leurs recommandations, les experts ont déclaré :

 

« Assurez-vous d’un retour progressif mais rapide des enfants dans leur famille, comme d’un suivi médical.

Maintenez le dialogue avec les familles, les acteurs et les partenaires de la vaccination.

Renforcez la structure médicale à l’échelon local par l’ajout d’un médecin et d’une infirmière diplômée d’Etat pour un meilleur suivi de la santé de la population et des activités de routine.

Renforcez les possibilités du personnel de santé dans la communication en temps de crise pour le contrôle des rumeurs. »

 

« Les experts tiennent à souligner que l’analyse des données épidémiologiques, médicales, cliniques et paracliniques ne leur permettent pas d’établir un lien de causalité entre les manifestations cliniques observées chez les patients et le MenAfriVac. »

 

« Les symptômes observés chez les patients ressemblent à ceux qui ont été décrits dans la littérature sous plusieurs noms :

 

hystérie collective

• comportement collectif obsessionnel

• phénomène psychogénique de masse »

 

En d’autres termes, les « experts » essaient de dire que l’état de santé des enfants relève du domaine psychologique. Cette tendance est de plus en plus en vogue chez les gouvernements et dans la profession médicale. On utilise de plus en plus souvent ce mantra « Tout est dans la tête » pour minimiser les dégâts produits par les vaccinations, manière de déplacer le blâme sur les parents ou la victime.

 

Ils terminent en disant :

 

« Les experts indépendants tiennent à remercier la population, ainsi que les autorités tchadiennes pour la confiance qu’ils leur ont accordée. Ils font appel à la diligence des autorités pour mettre rapidement en œuvre les recommandations proposées, ce qui facilitera le retour à une situation plus calme qui ne pourra qu’être bénéfique à la réalisation correcte des programmes de vaccination. »

 

Le communiqué de presse indique également qu’un rapport final sera complété par les services de Santé de Tunisie.

 

Ce que le communiqué de presse ne dit pas, c’est que pour un total de 500 enfants vaccinés, 106 sont tombés malades. 38 enfants ont été hospitalisés. 62 enfants ont dû rester à Gouro et ont été pris en charge par des proches.[13]

 

COMMENT SE PORTENT LES ENFANTS

 

Quand j’ai demandé à mon contact si la santé des enfants hospitalisés s’améliorait, il a répondu :

 

« Les enfants hospitalisés sont toujours paralysés. La plupart de ces enfants ne parviennent pas à se lever. Certains font des convulsions à un point tel qu’il faut parfois quatre personnes pour les maintenir ; d’autres convulsent avec les bras tendus, les yeux fixes, sans aucune réaction. Nous n’avons pas suffisamment d’informations sur les enfants que le gouvernement et l’OMS ont envoyés en Tunisie. A Gouro, il y a des enfants malades qui pourraient être évacués vers la Lybie. »

 

Tchad enf..

 

CONCLUSION

 

Nous ne connaissons pas encore toutes les conséquences de la tragédie vaccinale du MenAfriVac. Il n’y a pas de doute que ces enfants sont très malades et pourraient devoir bénéficier de soins à vie et d’une attention toute particulière. Il est probable que ces enfants rentreront chez eux s’ils récupèrent suffisamment, mais probablement sans les soins adéquats que nécessiterait leur état, étant donné que leurs parents risquent d’être laissés seuls, sans l’aide nécessaire pour s’occuper de leurs enfants handicapés.

 

Malheureusement de nombreux pays du Tiers Monde n’ont pas accès à des équipements de base tels que des fauteuils roulants qui nous paraissent pourtant élémentaires dans notre monde occidental.

 

Assurément, il est maintenant temps pour le gouvernement tchadien et les organisations concernées de cesser de dissimuler cette tragédie, alors qu’ils devraient plutôt s’occuper, comme il se doit, des enfants malades. Je crois que la véritable tragédie au travers de toute cette situation se produira dans quelques mois : comme des milliers d’autres, ces enfants seront oubliés et ce sera « le business habituel » pour toutes les organisations impliquées.

 

Le vaccin MenAfriVac sera vraisemblablement administré à des millions d’autres enfants du Tiers Monde en Afrique. Il faut que cesse la vaccination des enfants avec des vaccins qui n’ont pas encore reçu leur licence ou qui n’ont qu’une pré-licence; ces vaccinations peuvent être mortelles (et sont par définition expérimentales !). Tout ceci ne concerne plus la santé ; il s’agit plutôt d’un mépris total de la vie humaine au nom du profit.

 

Références

 

1.http://mobile.france24.com/fr/20130121-tchad-38-enfants-hospitalises-apres-vaccin-contre-meningite

2.http://medicalxpress.com/news/2013-01-children-hospitalised-meningitis-shot-chad.html#jCp

3. http://medicalxpress.com/news/2013-01-chad-link-sick-kids-meningitis.html#jCp

4. http://www.naturalnews.com/022267.html#ixzz2ItUWLWPL

5. http://www.activistpost.com/2011/07/gates-foundation-partner-in-malawi.html

6. http://www.naturalnews.com/033119_vaccinations_gunpoint.html

7. http://vactruth.com/2013/01/06/paralyzed-after-meningitis-vaccine /

8. http://vactruth.com/2013/01/13/children-paralyzed-by-vaccine/

9. http://www.who.int/immunization/newsroom/menafrivac_20121114/en/index.html 

10. http://www.who.int/inf-pr-2001/en/pr2001-06.html

11. http://www.seruminstitute.com/content/products/product_menafrivac.htm

12. http://www.path.org/files/TS-optimize-newsletter-apr12.pdf

13. http://www.who.int/inf-pr2001/en/pr2001-06.html

14. http://www.journalavoix.info/derniereminute.php?action=fullnews&id=244

15. http://www.who.int/countries/tcd/en



Source: Vactruth

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 19:30

Voilà une question incontournable s'il en est, à la lueur d'informations récemment publiées dans le Journal du Médecin.

 

Dans un article paru le 15 janvier dernier, on apprend en effet qu'il y a eu, en Wallonie, 197 décès d'enfants par mort subite entre 2000 et 2008, soit certainement plus de 400 décès sur cette même période pour la Belgique entière (avec les chiffres de Bruxelles et ceux de la Flandre), ce qui représente 50 décès par an par mort subite dans notre pays. Mais combien d'autres si on tient compte de la sous-notification?

 

Jdm-15-janvier-2013-mort-subite.jpg

 

Depuis des décennies, des scientifiques du monde entier tirent la sonnette d'alarme et attirent l'attention du public sur la cause possible que représente la vaccination, infligée à quasi 100% des enfants. Ce qui n'a pas empêché l'ONE de recommander dans son Guide de Médecine Préventive, parmi les mesures préventives de la mort subite du nourrisson, le respect scrupuleux... du calendrier vaccinal!!

 

Nos enfants sont de plus en plus vaccinés et ils sont aussi de plus en plus malades: plus de cancers, plus de maladies chroniques et auto-immunes, plus de troubles neurologiques et d'autisme, plus d'allergies, etc etc.

 

Sans arrêt, on nous prétend que plus de vaccins, c'est forcément mieux mais où donc sont les preuves SCIENTIFIQUES démontrant que cela constitue vraiment un progrès?

 

Avant que les coûteux vaccins anti-rotavirus ne soient remboursés, les experts du KCE avaient rendu un rapport (favorable aux vaccins, est-il seulement besoin de le préciser?!).

 

Dans ce rapport du KCE de 2007, on trouve cependant les noms de plusieurs experts qui sont en conflits d'intérêts: parmi les auteurs, les Prs Marc Van Ranst et Pierre Van Damme et parmi les "experts externes", les Drs Jack Levy, Béatrice Swennen, Marc Raes, ainsi aussi que le Pr Patrick Goubeau (celui-là même qui osait affirmer en 2009 au sujet du Pandemrix qu'il ne pouvait pas paralyser quelqu'un... contrairement à ce que disait pourtant sa notice!!!!)

 

L'année d'avant, en 2006, pour "bien préparer le terrain", le Dr Béatrice Swennen et le Pr Jack Levy, qui traînent désormais comme autant de casseroles leurs conflits d'intérêts avérés, écrivaient un article enthousiaste sur les vertus attendues de la vaccination anti-rotavirus. Ils parlaient alors d'une "excellente efficacité" mais avouaient dans une revue qui n'est lue que par le corps médical que "l'immunité acquise (contre le rotavirus) n'empêche pas les infections."

Les auteurs prenaient soin de préciser aussi en conclusion de leur article que  « La promotion de cette vaccination nécessite donc de développer un discours et une pédagogie adaptés. La perception par les parents de jeunes enfants de la pathologie induite par le Rotavirus et de l’intérêt de la vaccination est en cours d’évaluation au travers d’enquêtes réalisées en Wallonie et à Bruxelles auprès d’un échantillon représentatif d’enfants âgés de moins de 2 ans. »

 

Ainsi donc, certains "experts" s'attachent à promouvoir l'idée de vaccination contre telle ou telle maladie, par principe et ce, bien avant l'arrivée sur le marché de tel ou tel vaccin!

 

Partout, les parents ont entendu dire que l'efficacité de cette vaccination contre la diarrhée du nourrisson est excellente, qu'il y a eu une baisse des hospitalisations etc....

 

Et pourtant, voici l'aveu accablant qu'on pouvait lire après plus de 5 ans de vaccination anti-rotavirus, dans le Journal du Médecin n° 2990 du 15 janvier dernier (là encore une publication qui n'est en règle accessible qu'au seul corps médical):

 

"Le rotavirus est à peine partiellement neutralisé par la vaccination infantile..."

 

Jdm-15-janvier-2013-rotavirus-001.jpg

 

En conclusion, on peut donc se rendre compte qu'on se fout complètement du public à qui on promet sans cesse monts et merveilles pour simplement réussir à introduire sans cesse de nouveaux vaccins. Dans le même temps, les maladies chroniques explosent, des enfants meurent en toute discrétion de mort subite prétendument (comme c'est commode!) "inexpliquée" et la majorité des parents continuent dans ce système mortifère sans se poser aucune question!! A se demander si c'est du norovirus ou des vaccins qu'on a le moins "fini d'en vomir"...

 

 

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 21:20

D’après REUTERS

 

Les liens entre la narcolepsie et le vaccin contre la grippe de GSK deviennent de plus en plus évidents

 

Kate Kelland, Health and Science Correspondent, Reuters

 

22 janvier 2013

 

narcolepsie fille

Stockholm (Reuters)

 

Emilie est en proie à des hallucinations et des cauchemars. Quand elle se réveille, elle est souvent paralysée, elle ne parvient plus à respirer normalement ou même appeler à l’aide. Au cours de la journée, elle peut à peine rester éveillée. Elle manque souvent l’école et ne peut plus guère s’amuser avec ses amies. Elle n’a que 14 ans, mais elle se demande parfois si sa vie vaut encore la peine d’être vécue.

 

Emilie Olsson s’endort alors qu’elle regarde la télévision dans son appartement de Stockholm. le 17 janvier 2013. Emilie est l’un des quelque 800 enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine (H1N1), fabriqué par le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline.

 

Emilie est l’un des enfants en Suède et ailleurs en Europe qui ont développé la narcolepsie, un trouble du sommeil incurable, après avoir été vaccinés en 2009 avec le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine H1N1 fabriqué par le groupe pharmaceutique GSK.

 

La Finlande, la Norvège, l’Irlande et la France ont également connu des pics de narcolepsie. Les personnes qui connaissent les résultats d’une étude qui sera bientôt publiée en Grande-Bretagne, ont déclaré à Reuters que cette publication montrera une tendance similaire pour les enfants de ces pays.

 

Le destin de ces enfants, en proie à une maladie qui détruit toute vie normale, est en train de devenir ce qu’un agent suédois de la Santé (qui a coordonné le programme de vaccination) n’a pas hésité à appeler « une tragédie médicale ». Cette tragédie va  nécessiter une attention médicale et scientifique croissantes.

 

Au niveau de l’Europe, il a été précisé que le Pandemrix ne pourrait plus être utilisé chez des personnes en-dessous de 20 ans. Le médecin-chef de la division vaccins chez GSK, Norman Begg, affirme que son département prend la question très au sérieux et qu’il est absolument déterminé à aller jusqu’au bout des choses, mais il ajoute qu’il n’existe pas encore suffisamment de données ou de preuves pour suggérer un lien de causalité.

 

« Il n’y aucun doute dans mon esprit que le Pandemrix a augmenté la fréquence de l’apparition de la narcolepsie chez les enfants de certains pays, et probablement dans la plupart des pays », précise Mignot spécialiste des problèmes de sommeil à l’Université de Stanford aux Etats-Unis.

 

30 MILLIONS DE PERSONNES ONT RECU LE PANDEMRIX

 

Au total, le vaccin de GSK a été administré à plus de 30 millions de personnes dans 47 pays au cours de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009-2010. Du fait que le vaccin contenait un adjuvant, il n’a pas été utilisé aux Etats-Unis parce que les autorités compétentes se méfient des vaccins avec adjuvants.

 

GSK reconnaît qu’en Europe, 795 personnes ont affirmé avoir développé une narcolepsie depuis le lancement du vaccin en 2009.

 

Plusieurs questions font, pour le moment, l’objet d’intenses investigations scientifiques comme par exemple les suivantes : Par quels mécanismes la narcolepsie est-elle liée au Pandemrix ? Quels sont les facteurs déclenchants et les mécanismes biologiques qui ont pu entrer en ligne de compte ? Y aurait-il une susceptibilité génétique sous-jacente ?

 

Mais les experts de tous bords se méfient. Des effets secondaires rares pourraient rapidement entraîner la « peur des vaccins » qui pourrait prendre une importance disproportionnée et, comme le précise un des plus grands experts européens, entamer la confiance du public dans des vaccins qui contrôlent des tueurs potentiels comme la polio et la rougeole.

 

« Personne ne veut être le prochain Wakefield » déclare Mignot, s’en référant au médecin britannique discrédité et qui a depuis longtemps suscité une réaction contre le vaccin ROR avec de fausses allégations de liens avec l’autisme. [notes d’IC en fin d’article à ce sujet !!]

 

Avec les études sur la narcolepsie, rien n’indique que les résultats seront le travail d’un médecin voyou.

 

Des équipes indépendantes de chercheurs ont publié des études revues par les pairs en Suède, Finlande et Irlande, montrant que le risque de développer une narcolepsie après les campagnes de vaccination de 2009-2010 était de 7 à 13 fois plus élevé pour les enfants qui avaient été vaccinés avec le Pandemrix par rapport à des enfants non vaccinés.

 

« Nous voulons vraiment aller au fond des choses. Ce n’est dans l’intérêt de personne qu’il existe des problèmes de sécurité. Ils doivent être étudiés. » a déclaré Begg de GSK.

 

LA VIE A CHANGE

 

Les parents d’Emilie, Charles et Marie Olsson, rappellent que leur fille était une étudiante brillante qui aimait jouer du piano, prendre des leçons de tennis, de création artistique et s’amuser avec des amis. Mais sa vie a commencé à changer au début 2010, quelques mois après avoir reçu le Pandemrix. Au printemps 2010, les parents ont remarqué qu’elle était souvent fatiguée et avait besoin de dormir quand elle rentrait de l’école. Mais ce n’est qu’en mai, quand elle s’évanouissait à l’école, qu’il est devenu clair que quelque chose de grave se passait.

 

En plus des épisodes de somnolence diurne, la narcolepsie provoque des cauchemars, des hallucinations, des paralysies pendant le sommeil, ainsi que des épisodes de catalepsies lorsque des émotions fortes déclenchent une perte soudaine et spectaculaire de la force musculaire.

 

Dans le cas d’Emilie, le fait de s’amuser est précisément le déclencheur émotionnel. « Je ne peux plus rire ou plaisanter avec des amis parce qu’alors, je tombe en catalepsie et je m’effondre » a-t-elle déclaré au cours d’une interview dans la capitale suédoise.

 

On estime que la narcolepsie affecte entre 200 et 500 personnes par million et constitue une maladie irréversible. Il n’existe pas de remède connu et les scientifiques ne savent pas vraiment ce qui provoque la maladie. Ils savent seulement que les patients souffrent du déficit d’un neurotransmetteur du cerveau appelé orexine, connu aussi sous le nom d’hypocrétine qui régule l’état d’éveil.

   

La recherche a montré que certaines personnes naissent avec une variante du gène HLA qui est l’indicateur d’une hypocrétine faible, chose qui les rend plus sensibles à la narcolepsie. On pense qu’environ 25% des Européens sont censés avoir cette vulnérabilité génétique.

 

GSK finance une étude au Canada où son vaccin Arepanrix avec adjuvant (vaccin similaire au Pandemrix) a été utilisé au cours de la pandémie 2009-2010. L’étude ne sera pas terminée avant 2014. Certains experts craignent que cette étude n’apporte pas beaucoup de lumière sur la question vu que les vaccins étaient semblables, mais pas tout à fait les mêmes.

 

A ce niveau de la recherche, il reste plus de questions qu’il n’y a de réponses et encore beaucoup plus de recherches à réaliser.

 

Lorsque les résultats du test d’hypocrétine d’Emilie ont été connus en novembre de l’année dernière, on a pu se rendre compte qu’elle avait 15% de la quantité normale, état typique d’une sérieuse narcolepsie avec catalepsie.

 

La gravité de son étrange maladie l’a forcée à réfléchir sur la vie, beaucoup plus profondément que ne le feraient beaucoup de jeunes de son âge : «  Au début, je ne voulais vraiment plus vivre, mais aujourd’hui, j’ai appris à mieux gérer les choses. » déclare-t-elle.

 

LES DECLENCHEURS ?

 

Les scientifiques qui étudient ces cas se sont plus précisément penchés sur l’adjuvant du Pandemrix, le ASO3 pour trouver des indices.

 

Certains suggèrent que l’ASO3, ou peut-être son effet stimulant, ou encore la grippe H1N1 elle-même, pourraient déclencher l’apparition de la narcolepsie chez les personnes qui possèdent la variante sensible du gène HLA.

 

Angus Nicoll, un expert du Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies (ECDC) estime que les gènes pourraient bien jouer un rôle, mais qu’il ne faudrait pas leur imputer toute la responsabilité.

 

« Oui, il existe une prédisposition génétique à cette maladie, mais cela ne suffit pas à expliquer tous ces cas », a-t-il déclaré. « Il y a aussi quelque chose qui a un rapport avec le fait de recevoir telle vaccination spécifique. Qu’il s’agisse du vaccin et de la prédisposition génétique ou qu’il y ait aussi un troisième facteur – comme par exemple une infection. Nous ne savons tout simplement pas encore. »

 

EST-CE QUE CA EN VALAIT VRAIMENT LA PEINE ?

 

Dans son bureau qui surplombe l’église Maria Magdaléna de Stockholm, Goran Stiernstedt, médecin fonctionnaire de Santé publique a passé de nombreuses heures difficiles par rapport à ce qui s’est passé dans son pays au cours de la pandémie de grippe porcine. Il s’est demandé si la situation aurait pu être différente.

 

« La grande question : est-ce que ça en valait vraiment la peine ? Rétrospectivement, je dois dire que non », a-t-il déclaré à Reuters, dans une interview.

 

Etant un pays riche, la Suède a toujours été à l’avant plan en ce qui concerne les vaccins pandémiques. La Suède a reçu le Pandemrix de GSK dès qu’il a été disponible. Une campagne nationale de vaccination a immédiatement été organisée : 59%, soit environ 5 millions d’habitants ont reçu le vaccin.

 

Stiernstedt, Directeur de la Santé et des Services Sociaux de l’Association Suédoise des Autorités Locales et Régionales, a contribué à coordonner la campagne de vaccination dans les 21 régions de Suède.

 

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dit que la pandémie de 2009-2010 a tué 18.500 personnes, bien qu’une étude publiée l’année dernière signale que le total pourrait être 15 fois plus élevé.

 

Bien que les estimations puissent varier, Stiernstedt dit que la vaccination de masse en Suède contre la grippe porcine a sauvé la vie de 30 à 60 personnes. Pourtant, depuis que la pandémie a pris fin, plus de 200 cas de narcolepsie ont été signalés en Suède.

 

Avec le recul on peut donc dire que la relation bénéfices/risques est inacceptable. « C’est une tragédie médicale » a-t-il déclaré. « La vie de centaines de jeunes a pratiquement été détruite ».

 

LES PANDEMIES SONT DES CAS D’URGENCE

 

Le problème avec les analyses bénéfices/risques est qu’elles se présentent d’une manière radicalement différente quand le monde doit faire face à une pandémie qui pourrait anéantir des millions de vies. La situation est toute différente quand il s’agit d’une pandémie comme celle du H1N1, qui s’est avérée beaucoup plus faible que ce qu’on avait craint.

 

David Salisbury, directeur des services gouvernementaux britanniques de la vaccination, dit : «  c’est là que réside le risque et la difficulté du travail en matière de Santé Publique », lorsque surviennent des cas d’urgence par rapport à tel ou tel virus.

 

Le Pandemrix a été autorisé par les organismes européens de réglementation des médicaments sur base d’un schéma de développement qui permet  l’autorisation d’un vaccin avec une autre souche de grippe avant que la pandémie n’apparaisse. Dans le cas du Pandemrix, le substitut était le H5N1 de la grippe aviaire.

 

Quand l’OMS a déclaré la pandémie, GSK à remplacé  la souche H5N1 par celle du H1N1 pour lancer le Pandemrix.

 

GSK déclare que la version finale du vaccin H1N1 a fait l’objet de tests cliniques sur 3.600 patients, y compris des enfants, des adolescents, des adultes et des personnes âgées, avant qu’il ne soit mis sur le marché.

 

Nicoll de l’ECDC dit que les systèmes d’alerte précoce qui donnent une analyse plus précise  de la menace que présente une souche de grippe est la meilleure manière de minimiser les risques de ce genre de tragédie qui pourrait se produire dans le futur.

 

« Dans le cas d’une pandémie grave, le risque de décès est bien plus élevé que le risque de narcolepsie » a-t-il déclaré à Reuters. « Si nous avions passé plus de temps à développer et à tester le vaccin sur de larges couches de population et attendu de savoir si certaines personnes développaient des narcolepsies, une grande partie de la population aurait pu être décimée. »

 

Salisbury est d’accord et estime que des progrès vers un nouveau vaccin universel  contre la grippe - vaccin qui n’aurait pas besoin de modifications de dernière minute lorsqu’une nouvelle souche apparaît- contribuerait à réduire davantage les risques.

 

« Idéalement, nous aurions un meilleur vaccin qui pourrait fonctionner contre toutes les souches de la grippe et nous n’aurions jamais plus besoin de nous inquiéter à ce sujet. » a-t-il déclaré. « Mais il y a pour cela encore un long chemin à parcourir ». Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.

 

Alors que les scientifiques sont confrontés à des années d’enquêtes et de recherches, Emilie veut, de son côté, tirer le meilleur parti de sa vie.

 

C’est à contrecœur qu’elle accepte de prendre un cocktail de médicaments pour tenter de contrôler les symptômes de la narcolepsie. On lui prescrit de la Ritaline et du Sobril pour sa somnolence diurne et ses terreurs nocturnes. Elle prend aussi du Prozac pour tenter de la stabiliser et de limiter ses états de catalepsies.

 

«  C’est l’une des choses qui me gêne le plus » explique-t-elle.



« Avant que je n’attrape cette maladie, je ne prenais aucun médicament et maintenant il faut que j’en prenne des quantités, et peut-être pour le restant de mes jours. Ce n’est pas bon de prendre autant de médicaments, surtout quand on en connaît les effets secondaires. »

 

(Reportage par Kate Kelland ; édité par Will Waterman)

 

Source: Health yahoo.fr

 

Cette dépêche appelle de nombreux commentaires. Parmi les principaux, nous retrouvons, dans l’ordre, les suivants :

 

- Si GSK admet 800 cas, il faut bien comprendre qu’il y en a eu bien plus que ça (seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES des vaccins étant recensés, selon des revues médicales officielles !)

 

- Si ce vaccin a occasionné autant de victimes incurables (sans parler de tous les autres types d’effets NON MEDIATISES), c’est que « les autorités compétentes » ne sont pas si compétentes que cela et qu’elles ne méritent tout simplement plus notre confiance, quelle que soit l’époque (de pandémie ou non !)

 

- On retrouve pour cet effet secondaire vaccinal COMME POUR TOUS LES AUTRES en tout temps, cette même crainte d’éroder la confiance générale des gens dans tous les autres vaccins (car il y a encore beaucoup d’autres vaccins qui devront trouver des consommateurs-pigeons, près de 300 dans le pipeline des pharmas).

 

- La critique de Wakefield est affligeante et inconsistante étant donné que ses résultats ont dérangé depuis le début d’énormes intérêts commerciaux, qu’un juge d’une haute Cour britannique a estimé que Wakefield et ses collègues avaient fait l’objet nous citons d’une « chasse aux sorcières » et surtout, que ses résultats ont été à plusieurs reprise reproduits et donc confirmés par d’autres équipes de chercheurs qui eux, n’ont pas du tout été salis ni traînés dans la boue !

 

- Lorsque Begg, de GSK, affirme que ce n’est dans l’intérêt de personne de ne pas élucider cet effet secondaire, ça laisse en tout cas songeur quand on sait que ces pharmas récupèrent d’une main (en termes de malades chroniques, c'est-à-dire de consommateurs A VIE de leurs produits) ce qu’ils ont perdu de l’autre (ces gens ne souhaitant certainement plus accepter le moindre autre vaccin de leur vie). L'intérêt des pharmas à rendre leurs produits plus sûrs n'est donc pas du tout évident puisqu'en écoulant massivement des vaccins, ils font en réalité « coup double » : jackpot vaccinal à la vente et entretien/essor consécutif de leur vaste marché de médicaments pour malades chroniques !

 

- Alors que les maladies infectieuses sont majoritairement des maladies aigues, on les troque contre des maladies chroniques toujours incurables ! Il ne fallait pas être expert pour se rendre compte qu’un vaccin expérimental serait nettement plus risqué qu’une infection non certaine contre laquelle nous avions déjà une arme gratuite et non négligeable, notre propre système immunitaire !

 

- Les propos de Salisbury ne devraient plus duper personne. La première raison, c’est que cet homme, on ne peut plus lié aux pharmas, est impliqué jusqu’au cou dans les omissions et dissimulations volontaires des risques vaccinaux graves au public britannique depuis plus de 30 ans comme l’a révélé le contenu de documents gouvernementaux secrets arrachés au forceps par une chercheuse canadienne, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information.

 

- Ce procédé de  « maquette vaccinale » est un indice assez lourd que les prochaines pandémies sont activement attendues et préparées. La preuve, le H5N1 n’avait pas eu lieu mais on continue à financer d’arrache-pied à coup de millions de dollars des recherches sur cette future pandémie tant attendue… en temps de crise financière qui plus est et au motif de « mieux se préparer » ! Plus c’est gros, plus ça passe décidément !!

 

- Le vaccin Pandemrix n’avait été testé QUE sur un peu plus de 3000 personnes ! Pour mieux se rendre compte du problème, il est bon de savoir que certains effets gravissimes possibles ne sont pas toujours détectables avec des cohortes d’études de 100 000 personnes ! Encore un indice clair que ce vaccin était bel et bien expérimental donc, bien que la Ministre Onkelinx et l’Administrateur général de l’Agence belge du Médicament (AFMPS) aient cependant osé le nier sans vergogne sur les plateaux télés à l’automne 2009.

 

- L’argument de l’urgence pour justifier de foncer à l’aveuglette, tel qu’évoqué par Salisbury, ne tient absolument pas mais cet homme et surtout les intérêts financiers en jeu continuent d’emprisonner le public dans un carcan idéologique dramatique, consistant à faire croire que pandémie veut forcément dire « vaccins ». C’est le droit de cet « expert » de le penser MAIS PAS de faire pression pour imposer sa croyance à autrui. Rappelez-vous, les experts ne peuvent répéter QUE ce qu’ils ont appris et rien d’autre ! Etant payés par le lobby du vaccin, ils vont vous agiter la pseudo solution vaccinale comme étant vraiment « la seule possible », à saisir dans l’urgence. Mais ces lobbys, comme leurs valets, savent aussi que c’est dans l’urgence qu’on peut le plus FAIRE PEUR et donc limiter les possibilités de choix et de réflexion du public. Il est cependant important de comprendre qu’il existe d’autres solutions, destinées à renforcer par diverses méthodes naturelles le système immunitaire. Lors de la grippe espagnole, la mortalité dans les groupes traités à l’homéopathie était incomparablement réduite par rapport aux groupes traités de façon classique  (30% pour les méthodes classiques Vs 1 à 5% seulement sous couverture homéopathique !)

 

En conclusion, on peut dire qu’avec des vaccins expérimentaux anti-H1N1 comme le Pandemrix le Code de Nuremberg a été lamentablement violé, bien que des générations précédentes se soient battues contre les expérimentations illicites des nazis. Il ne tient qu’à nous d’en prendre conscience pour ne plus jamais tolérer la moindre répétition de ce désastre qui pourrait s’avérer bien pire une prochaine fois !

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:30

Selon le Tribunal Fédéral Américain traitant des effets secondaires de vaccins :

Le vaccin ROR a provoqué l’autisme chez deux enfants

 

autisme-cour-federale.jpg   

Ce problème n’était pas sensé se produire, mais l’accident est malgré tout arrivé.

 

Le Tribunal Fédéral Américain traitant des complications vaccinales (VICP) a décidé d’octroyer à Ryan Mojabi et à sa famille une somme de plusieurs millions de dollars en dédommagement pour ce cas d’autisme qui s’est produit à la suite de la vaccination ROR (Rougeole-Rubéole-Oreillons).

 

La famille de Ryan Mojabi  s’ajoute à la liste de 85 autres familles, dont celle d’Hannah Poling, qui se sont adressées au Tribunal Fédéral (VICP) pour des cas d’autisme qui se sont produits à la suite de vaccinations. Il est incroyable que ces gens ne sont pas sensés exister ! On n’arrête pas de nous dire que les vaccins ne peuvent pas causer l’autisme, qu’ils n’ont jamais causé l’autisme et qu’ils ne causeront jamais l’autisme. Sauf évidemment quand les drames se produisent.

 

Voici le lien concernant le règlement de cette affaire :

   

Veuillez cliquer sur ce lien pour pouvoir partager cette information  avec vos représentants élus à Washington. Demandez- leur de soutenir les autres plaignants par rapport à ces drames qui ne sont pas censés se produire mais qui n’arrêtent pas de se produire.

 

Comme nous l’avons remarqué au cours des audiences de Novembre, beaucoup de membres du Congrès sont clairement sceptiques quant à la compétence et à l’authenticité des bureaucrates qui s’occupent des problèmes de l’autisme.

 

Rappelez-vous que le Dr Andrew Wakefield a perdu son droit d’exercer la médecine pour avoir suggéré qu’il pourrait y avoir un lien entre l’autisme, le vaccin ROR et une maladie intestinale. Il précisait également que des études plus approfondies étaient justifiées. (mais à part ça, il faudrait que les gens continuent à se faire vacciner !!)

 

Pour en savoir plus sur le cas de familles qui, grâce au VICP, ont reçu des dédommagements, il faut lire : « Unanswered questions, A Review of Compensated Cases of Vaccine Brain Injury »  

  

Le Tribunal Fédéral spécialisé dans les problèmes de vaccins accorde des millions de dollars à deux enfants souffrant d’autisme

 

David Kirby, Huffington Post (Extraits)

 

Le Tribunal Fédéral pour le dédommagement des victimes de vaccinations, mieux connu sous le nom de « Tribunal des Vaccins » vient d’accorder des millions de dollars à deux enfants souffrant d’autisme pour « douleurs et souffrances », ainsi que pour des soins à vie qui pourraient coûter des dizaines de millions de dollars.

 

Le premier cas concerne un garçon de 10 ans de Californie du Nord, Ryan Mojabi. Les parents affirment que « toutes les vaccinations » reçues de 2003 à 2005, et « plus particulièrement la vaccination ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons) » ont provoqué « des dommages graves et débilitants à son cerveau, dommages désignés par les lettres TSA ou troubles du spectre autistique. »

 

Le deuxième cas concerne une jeune fille nommée Emily dont la mère Jillian Moller a déposé plainte en 2003 et s’est battue depuis devant les tribunaux. Le dossier bourré de 188 articles reprend les longues étapes de sa lutte en vue d’obtenir réparation pour Emily qui souffre d’une forme d’autisme (PDD-NOS).

 

Madame Moller a signalé que la santé d’Emily avait été gravement endommagée au cours de sa réaction au vaccin DTCa (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) à 15 mois, alors qu’elle avait également été vaccinée avec les vaccins ROR, Hib et Prevnar. Dans une interview, la maman signalait : Elle a eu une réaction au vaccin et qui a échappé à tout contrôle »..

 

Pour lire toute l’histoire : voir ICI 

Voir aussi l'article suivant : Cas d'autisme, pour le tribunal de Rimini, "c'est la faute du vaccin"

Vaccine-Epidemic.JPG

Source: Health Impact News

   

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 20:15

Le Figaro, 15 janvier 2013

 

Par Anne Jouan

 

Pilule : plus de neuf accidents sur dix ne sont pas déclarés

 

« Le Figaro » s’est procuré une étude qui, sur 800 000 habitants, chiffre à 47 les accidents liés à la pilule en 14 ans.

 

De 17 063 déclarations aux centres de pharmacovigilance en 2000, la France est passée à 36 031 en 2011.

 

Selon une étude confidentielle que s’est procuré Le Figaro, 47 cas d’effets indésirables graves (embolie pulmonaire, thrombose veineuse profonde ou encore accident vasculaire cérébral) chez des femmes exposées à la pilule (et ce, quelle que soit la pilule), sont à dénombrer sur un échantillon de population de 800 000 personnes entre 1998 et 2012. Parmi ces 47 cas, on dénombre deux morts. Si l’on extrapole ces données à l’ensemble de la population française, cela représente, toujours sur la même période, environ 3 900 cas d’effets indésirables graves dont 165 décès de très jeunes femmes. Au moins la moitié de ces cas serait directement attribuable à la pilule.

 

Cette étude - dont les résultats transmis à l’Agence du médicament ce week-end doivent être encore consolidés - a été réalisée par un hôpital universitaire français qui a consulté ses archives. Partant de l’hypothèse que les professionnels de santé sous-déclarent les effets secondaires, ces experts ont regardé tous les cas d’embolie pulmonaire, de thrombose veineuse ou d’AVC qui étaient survenus chez les femmes de la région. L’établissement a passé au crible toutes les patientes âgées de 15 à 25 ans qui ont eu l’une de ces trois maladies. Ils ont ensuite comparé leurs résultats aux déclarations d’effets indésirables (ce que l’on appelle la pharmacovigilance) liés à la pilule et réalisés par les médecins dans la région. Bilan : l’intuition de ces experts était bonne puisque sur ces 47 cas, seuls 6 % ont fait l’objet d’une déclaration.

 

« Non seulement les médecins déclarent peu les effets indésirables liés aux médicaments, mais dans le cas de la pilule, c’est encore pire puisque les effets secondaires sont connus depuis longtemps, regrette un expert. L’embolie pulmonaire chez une jeune fille de 17 ans qui fume et qui prend la pilule depuis six mois, c’est hyperclassique. Du coup, ils ne le déclarent pas ». Moralité, ces cas ne sont pas répertoriés par la pharmacovigilance. Autre exemple avec cette histoire édifiante. Les pharmacologues suspectent fortement depuis quelque temps déjà, un médicament destiné à faire perdre du poids, de provoquer des hépatites.

 

L’hôpital Beaujon de Clichy est l’un des plus grands centres de transplantation de foie en France. Or ses équipes ne comprennent pas l’intérêt de transmettre les dossiers (plusieurs dizaines de cas entre 1998 et 2011) des transplantés aux experts de la pharmacovigilance afin d’étudier les possibles liens entre ces hépatites et la prise de ce médicament. Pourtant la gravité de ces effets, si elle était prouvée, pourrait conduire au retrait du médicament et donc sauver des vies.

 

Plainte en diffamation

 

À cela s’ajoute le fait que « quand les médecins ont l’impression d’avoir fait une erreur, d’avoir donné un médicament pas adapté ou quand ils n’ont pas respecté les indications, ils ne font pas de déclaration de pharmacovigilance, déplore un expert. Ils préfèrent cacher le problème sous le tapis ». La grosse différence avec l’affaire Mediator résume un spécialiste, c’est que « les cardiologues n’avaient pas fait le lien entre la prise du médicament et la survenue d’hypertension artérielle pulmonaire ou d’atteinte des valves cardiaques alors qu’avec la pilule, ils savent tous, et ce, dès la mise sur le marché qu’elles ont des effets indésirables de type thrombose ». Autre différence de taille, ces effets sont signalés dans les notices des pilules alors que ce n’était pas le cas pour le Mediator.

 

De 17 063 déclarations aux centres de pharmacovigilance en 2000, la France est passée à 36 031 en 2011. Mais il faut parfois avoir les reins solides pour faire face aux laboratoires.

 

Ce n’est pas l’histoire du Dr Georges Chiche qui risque de motiver les récalcitrants. Ce cardiologue marseillais est le premier à avoir fait, en 1999, une déclaration d’effets indésirables graves du Mediator (en l’occurrence une atteinte des valves du cœur). Il envoie sa déclaration au centre régional de pharmacovigilance de Marseille. Quelque temps plus tard, il reçoit un coup de fil très énervé d’un adjoint au maire de la ville, le sermonnant de mettre en cause un laboratoire. Depuis, le Dr Chiche a raconté cette anecdote devant le Sénat, l’Assemblée nationale, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et dans les médias.

 

Or, le 17 décembre dernier, il a été mis en examen par un juge parisien dans le cadre d’une plainte en diffamation du laboratoire Servier pour avoir raconté ce coup de fil sur France 2. « Le problème c’est que cette histoire peut faire jurisprudence et que pour décourager les médecins de faire des déclarations de pharmacovigilance, les laboratoires pourront utiliser l’arme de la plainte en diffamation », confie un avocat. Si la mise en examen est quasi automatique dans les affaires de diffamation, pas sûr que beaucoup de médecins soient tentés par l’expérience…

 

Le subterfuge de l’industrie

 

LE PROFESSEUR Frédérique Kuttenn, consultante en endocrinologie à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, expert à la commission d’AMM, alerte depuis les années 1990 les autorités sanitaires sur les risques des pilules de 3e et 4e génération. « Pour pouvoir augmenter leurs prix au début des années 1990, les laboratoires ont inventé un subterfuge, explique-t-elle au Figaro. Ils ont dit disposer d’un nouveau progestatif dit de 3e génération. Selon eux, il s’agissait d’un produit plus efficace et présentant moins d’effets secondaires (acné, prise de poids) que les autres déjà sur le marché. » Les firmes ont alors demandé un prix libre, afin de ne pas être limitées par les contraintes du remboursement et pouvoir proposer un prix 4 à 5 fois plus élevé que pour les pilules remboursées. Ensuite, ils ont accusé le ministère de ne pas vouloir rembourser ces pilules prétendument révolutionnaires. « Ce lobbying s’est exercé sur les médecins prescripteurs, mais aussi le public, et notamment les groupements féministes qui n’ont pas compris que c’était les firmes qui avaient demandé que ces pilules nouvelles ne soient pas remboursées », confie le Pr Kuttenn. L’industrie a obtenu gain de cause puisque Roselyne Bachelot a accordé à certaines d’entre elles le remboursement.

 

 

 

Attrapez ce réflexe et essayez de décrypter toute information médiatique quelle qu’elle soit !

 

- Les manœuvres des labos sont une chose, la complicité politique en est une autre. Madame Bachelot, pharmacienne de profession et ayant elle-même travaillé pour un laboratoire pharmaceutique, pouvait-elle vraiment être dupe ?

 

- En 2007, l’Agence Reuters publiait déjà une information selon laquelle un tiers des médecins ont tendance à nier les effets secondaires des médicaments même quand ils sont pourtant explicitement repris dans les notices. Si ce déni a lieu pour les pilules, pensez-vous vraiment qu’il ne sera pas de mise avec les vaccins, sujet beaucoup plus tabou que la pilule contraceptive ?

 

- Si déjà les médecins ont tendance à ne pas rapporter des effets secondaires repris dans les notices, que penser alors des effets secondaires nombreux et variés repris dans des documents confidentiels comme ceux de GSK ou de Pfizer sur l’Infanrix hexa ou le Prevenar et qui ne sont même JAMAIS communiqués aux praticiens ??!

 

- La sous-estimation des effets secondaires des vaccins est égale ou supérieure à celle des effets secondaires de la pilule contraceptive. Les estimations optimistes disent que seuls 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement recensés, les estimations les plus pessimistes et selon nous, les plus réalistes, parlent de seulement 1% d’effets secondaires graves de vaccins comptabilisés. Autrement dit 99% des cas ne sont jamais pris en compte : pneumonie après une vaccination suivie d’une hospitalisation, troubles tardifs du langage ou de l’apprentissage après l’une ou l’autre crise d’épilepsie en bas-âge, dysfonction thyroïdienne ou diabète insulino-dépendant quelques temps après un rappel, autant de situations qui peuvent impliquer les vaccins sans que ni les médecins ni les parents ne pensent jamais à faire le lien.

 

- Ici, pour la pilule, on évoque 165 décès sur l'ensemble de la population française sur une durée de 14 ans. Rappelons à ce propos que les vaccins HPV ont déjà, à eux deux, fait 128 décès depuis 2006, aux USA, en sachant que seuls 1 à 10% des effets GRAVES de vaccins sont recensés! Proportionnellement donc, les dommages occasionnés aux jeunes femmes par les vaccins anti-HPV sont plus importants avec les vaccins HPV qu'avec la pilule contraceptive!

 

- Ajoutons à cela aussi le fait que, dans les statistiques évoquées ci-dessus de thromboses, embolies et AVC recensés chez des jeunes filles de 15 à 25 ans sous pilule, il n'a plus que probablement été étudié qu'un seul facteur (la prise de la pilule) ET NON l'implication additionnelle d'un vaccin comme le Gardasil pourtant souvent administré à des jeunes filles sous pilule de la tranche d'âge concernée et qui est pourtant connu comme pouvant justement favoriser ces mêmes évènements, selon les données du système américain VAERS (système de monitoring des effets secondaires de vaccins, bien que les effets secondaires restent cependant largement sous-notifiés quantitativement parlant.)

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 15:00

Une étude le révèle : un nombre impressionnant d’enfants sont atteints de maladies chroniques

 

Quel espoir y a-t-il pour l’avenir, si la moyenne des enfants est malade ? Or, on est bien obligé de constater que c’est la réalité d’aujourd’hui – grâce en partie aux vaccins d’avides sociétés pharmaceutiques qui s’en foutent.

 

Enfant-malade-Gaia.jpg

 

D’après Heidi Stevenson

 

Beaucoup d’entre nous savent tout simplement, parce que c’est le fruit de l’observation, que de nombreux enfants ne sont plus en bonne santé. Une étude scientifique corrobore ce que nous pouvons observer. De nombreux enfants sont maintenant malades, souffrant souvent de maladies chroniques. Le fait n’est guère de bonne augure pour les Etats-Unis et la situation est quasiment la même dans les autres pays développés.

 

La nature de la maladie n’est aujourd’hui plus la même que celle qui touchait jadis l’enfant pendant quelques jours pour une maladie bénigne. Les maladies qui  affectent les enfants d’aujourd’hui risquent de les poursuivre tout au cours de leur vie, rendant celle-ci plus lamentable et plus courte. Cette situation semble bien être un « cadeau » de la médecine moderne dont elle doit et devra rendre des comptes.

 

La grande question est de savoir pourquoi cette situation n’a pas fait les gros titres des journaux ? Les gens souhaiteraient-ils ne pas savoir ? Le fait est que l’étude à laquelle nous avons fait allusion n’est pas toute nouvelle. Elle a été publiée en 2010 et…tout y est clairement destiné à camoufler la vérité.

 

Le titre même de l’étude A National and State Profile of Leading Health Problems and Health Care Quality for US children. Key Insurance Disparities and Across-State Variations donne l’impression qu’il s’agit essentiellement de problèmes d’assurances …

 

 

Graphique-enfant-malade-Gaia.jpg

 

Il n’y a pas un seul mot dans l’étude qui évoque la véritable épidémie que représentent  les problèmes de santé chez les enfants ! Ce serait là normalement ce qui devait faire l’objet de l’étude. Le graphique nous montre cependant l’état de santé désastreux des enfants américains.

 

Dans l’ensemble, l’étude révèle que 43% des enfants souffrent d’au moins un des troubles de santé parmi les 20 problèmes envisagés quand on ne prend pas en compte les cas d’obésité et de retards du développement. Cela représente plus de 32 millions d’enfants dont la santé est endommagée!

Si à ce chiffre on ajoute celui des enfants classifiés obèses ou « à risque de problèmes développementaux », on atteint le chiffre de 54,1%.

 

Il est aussi à noter que les chiffres du graphique ne comprennent pas les cas de lupus, de maladies intestinales comme la colite ulcérative, la maladie de Crohn, la sclérose en plaques (qui peut se développer au cours de l’adolescence dans beaucoup de cas), ou l’arthrite. Il faut également noter que les chiffres ne comprennent pas le nombre excessif de décès des nourrissons, y compris ceux décédés de « mort subite du nourrisson ». Il est donc évident que la réalité est pire que ce que veut bien nous montrer l’étude.

 

POURQUOI ?

 

La véritable question qu’il faut se poser c’est « pourquoi ? » et quelles sont les raisons qui font que cette information n’est pas correctement reprise par les médias. Il est pourtant évident qu’une société qui espère avoir un avenir ne peut que reconnaître l’importance primordiale de la santé des enfants. Pourtant notre société est en train d’ignorer la chose ; elle met volontairement la tête dans le sable en prétendant que tout va bien.

 

Tout ceci ne surprendra pas les parents d’enfants autistes qui vivent cette réalité jour après jour. Eux, savent que leurs enfants sont malades, comme le savent aussi leurs enseignants et toutes les personnes qui s’occupent d’eux régulièrement. Toutes ces personnes sont conscientes du carnage. Elles voient les asthmatiques auxquels on a « volé » le souffle. Elles voient les diabétiques  qui doivent se piquer tous les jours. Elles voient les résultats des allergies et des troubles neurologiques ; elles voient surtout tous ces enfants qui ne peuvent plus mener une vie normale comme ça aurait été le cas il y a quelques décennies.

 

Certes il y a les problèmes des toxines, de la pollution. Mais, comme tous les parents d’enfants autistes pourront parfaitement le comprendre, il y a surtout le fait qu’il y a un éléphant dans la pièce et qui n’est nullement pris en compte : ce sont les vaccinations.

 

  • Le fait que les vaccinations ont clairement été liées au diabète ne peut être nié que par ceux dont les revenus dépendent de Big Pharma et de leurs laquais.
  • Le fait que les vaccinations provoquent des troubles auto-immuns est parfaitement documenté.
  • Le fait que l’adjuvant aluminique dans les vaccins est susceptible de déclencher l’autisme a lui aussi été bien étudié.
  • Le fait que les pays qui vaccinent le plus ont les taux de mortalité infantile les plus élevés a aussi été bien documenté.
  • Il n’y a guère d’explication vraiment crédible pour le syndrome de la mort subite du nourrisson à part les vaccinations.

 

Face à tous ces éléments, il ne peut y avoir que peu de doute que la principale cause des maladies chroniques chez les enfants soit en premier lieu, la vaccination. Pourtant, nos agences officielles la FDA, le CDC, le NIH etc. continuent de nier complètement tout lien possible.

 

Ils blâment tout et n’importe quoi depuis l’âge même des parents, la génétique, l’environnement pour lequel ils ne font d’ailleurs rien.

 

Ils refusent d’effectuer les études qui pourraient clarifier une bonne fois pour toutes le problème des vaccins. Ceux-ci sont-ils oui ou non à l’origine de l’épidémie des maladies chroniques. Quelle autre raison pourrait-on invoquer que leur mauvaise volonté ? Ils sont tellement à l’aise dans leurs bureaux confortables et leurs belles maisons, autant d’avantages acquis sur le dos de nos enfants.

 

  • Les scientifiques qui acceptent joyeusement des subventions pour des études génétiques inutiles et qui leur fournissent les éléments pour maintenir en quelque sorte le statu quo.
  • Les revues médicales qui publient  la pseudo science de Big Pharma et des scientifiques payés pour permettre à leurs patrons de maintenir leurs revenus.
  • Les patrons de Big Pharma dont la richesse est en contraste criant avec la misère et la destruction de vies par leurs vaccins toxiques.
  • Les élus qui agissent comme hommes de paille pour Big Pharma
  • Les organismes qui reçoivent de l’argent de Big Pharma…
  • Les médecins qui continuent à injecter des poisons à nos enfants et qui poussent de plus en plus les parents à vacciner.

 

Tout cela, et plus encore, fait partie de la promotion des vaccins comme de la dissimulation de leurs suites, avec comme conséquence la destruction de la santé de nos enfants et de l’avenir de toute la société.

 

Source: Gaia Health

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 19:35

3 janvier 2013

 

Par Léa Aubrit (Sudouest)

 

Villeneuve-sur-Lot : une vie de famille brisée par un vaccin contre le tétanos

 

Pierre Bonizzoni souffre de troubles neuromusculaires depuis un vaccin de rappel du tétanos en 1995. Son épouse raconte.

 

femme-dont-le-mari-est-victime--vaccin-tetanos-.jpgColette Bonizzoni se bat pour que la dangerosité des sels d'aluminium

dans les vaccins soit reconnue. (Photo Léa Aubrit)

 

C'était une piqûre censée éviter la maladie, mais pour Pierre Bonizzoni, en 1995, le vaccin contre le tétanos va changer sa vie à jamais à cause de l'aluminium qu'il contient.

 

« C'est après le rappel qu'il a fait en 1995, raconte sa femme, Colette, qu'il a commencé à avoir de très fortes douleurs dans le bras gauche où il avait été vacciné ainsi que dans les cuisses, le tout accompagné de grosses fatigues. » Dynamique et sportif, Pierre Bonizzoni se fait dire par les médecins de Villeneuve-sur-Lot qu'il en fait trop et que c'est dans sa tête, avant qu'une dégénérescence neuromusculaire soit évoquée.


L'aluminium dans le cerveau

 

En 1998, il se rend au Tripode de Bordeaux où une biopsie de son bras gauche révèle la présence de cristaux d'aluminium à l'endroit de la vaccination. Le diagnostic tombe : myofasciite à macrophage, une maladie neuromusculaire induite par les sels d'aluminium présents comme adjuvants vaccinaux et qui remontent dans le cerveau.

 

Après plusieurs hospitalisations, il est mis sous cortisone, seul produit capable de calmer les douleurs. « Mais les effets secondaires étaient très présents, raconte sa femme. Il avait le visage rouge et enflé et au bout de trois mois de traitement, il a dû arrêter car ses articulations des doigts se disloquaient. »

 

Réclamant un second avis, les époux Bonizzoni se rendent à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, en 1999. « Le médecin que nous avons vu à confirmé la maladie mais déconseillé la cortisone : « "Il faut apprendre à vivre avec", nous a t-il dit. » C'est ce que le couple essaye de faire depuis plus de dix ans. « C'est une maladie qui touche beaucoup de gens dynamiques et sportifs comme Pierre, ce qui est encore plus dur à vivre. Aujourd'hui, c'est une vie foutue en l'air.»

 

Aujourd'hui, ce qui met hors d'elle Colette Bonizzoni, c'est la non-reconnaissance de la dangerosité des vaccins à adjuvant aux sels d'aluminium qui sont encore prescrits. « On n'est pas contre les vaccins mais la recherche doit avancer sur ce sujet pour protéger les gens. » Tous les deux ont rejoint depuis plusieurs années l'association E3M, d'entraide autour des malades, qui a organisé, en décembre, une grève de la faim collective à Paris pour alerter sur les dangers des vaccins.

 

Un danger pour les enfants

 

« Comme il semblerait qu'il y ait une prédisposition génétique à contracter cette maladie, c'est un véritable casse-tête pour la vaccination de nos enfants et de nos petits-enfants. C'est une roulette russe, un risque que nous ne pouvons pas prendre tant que des vaccins sans aluminium ne sont pas proposés. » Dans son combat quotidien aux côtés de son époux malade, Colette Bonizzoni répond aux courriers qui l'enjoignent à se faire vacciner contre la grippe, a écrit à la ministre de la Santé et même au président de la République, sans obtenir la réponse qu'elle attend depuis tant d'années.

 

« C'est un combat de tous les jours : nous souhaitons être soignés par les vaccins et non démolis. C'est important de faire entendre notre voix grâce à l'association, que les gens connaissent le risque encouru. »

 

Source: SudOuest.fr

 

Ce cas parmi des milliers d’autres (qui restent dans l’ombre) illustre hélas bien qu’un seul vaccin de trop peut véritablement être « la goutte d’eau qui fera déborder le vase » et qui bousillera une vie à jamais. Le corps accumule, essaie de contrôler cet apport de toxines, sous forme de court-circuitage du système immunitaire, jusqu’au jour où la machine s’enraie.

 

« La vaccination tout au long de la vie », comme le recommande ainsi d’une façon scandaleuse la Fédération Wallonie-Bruxelles constitue donc un des meilleurs gages de maladies chroniques et de vieillesse en MAUVAISE SANTE (si les gens arrivent toutefois jusque là et qu'ils n'ont par exemple pas été terrassés par un cancer entretemps). Les chiffres actuels, donnés par les mutualités, parlent d’ailleurs déjà d’eux-mêmes : 80% des + de 65 ans ont au moins une maladie chronique et 85% des + de 75 ans en ont au moins 3 !

 

Parallèlement, l’étude de Kobe en 2009, montre qu’au plus on injecte des antigènes chez les souris, au plus le risque de maladies auto-immunes augmente. Et cette étude s’ajoute bien sûr à l’amas d’autres publications attestant du rôle délétère des vaccinations dans la genèse de ces maladies, qu’il s’agisse du rôle des adjuvants ou d’autres types de vaccins n’en contenant pas. Cette problématique dépasse donc très largement hélas, le seul rôle de l’aluminium utilisé comme adjuvant.

 

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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 18:30

MenAfriVac--1--copie-1.jpg

Au moins 40 enfants paralysés par un nouveau vaccin contre la méningite.

 

6 janvier 2013, Christina England, Vactruth

  

Le 20 décembre 2012, une tragédie vaccinale a frappé le petit village de Gouro, localisé au nord du Tchad, en Afrique. Selon le journal La Voix, au moins 40 enfants sur les 500 qui ont reçu le nouveau vaccin contre la méningite, MenAfriVac, et âgés de 7 à 18 ans, ont été paralysés. Ces enfants ont aussi souffert de convulsions et d’hallucinations.

 

Depuis que ces cas ont été rapportés, l’ampleur réelle de cette tragédie est en train d’être mise à nu, et les parents d’autres enfants vaccinés ont déjà rapporté d’autres effets secondaires supplémentaires. Les autorités de la région sont mises sous pression, depuis qu’un véhicule sanitaire a été incendié par des citoyens, en guise de manifestation de leur frustration et de leur colère face à la négligence du gouvernement. [1]

 

“Nous voulons que l’on rende la santé qui a été volée à nos enfants » a réagi le parent d’un enfant malade.

 

Le vaccin MenAfriVac

 

MenAfriVac est un nouveau vaccin produit par l’Institut Indien Serum Limited. Selon le Projet pour le vaccin contre la méningite (MVP), c’est le premier vaccin à avoir été approuvé pour une utilisation en dehors de la chaîne du froid, ce qui signifie que le vaccin peut être transporté sans système de réfrigération ou sans packs de glace pendant au moins 4 jours :

 

« Le vaccin contre la méningite A, connu sous le nom de MenAfrivac®, et créé pour répondre aux besoins de la ceinture africaine de la méningite, peut à présent être conservé dans une chaîne contrôlée de températures pouvant être de 40°C ou plus pendant un délai de maximum 4 jours, une décision qui pourrait accroître l’efficacité de la campagne ainsi que le taux de couverture et épargner des fonds normalement investis dans le maintien de la chaîne du froid durant les « derniers kilomètres » de la distribution du vaccin. » [2]

 

Ces données  sur le vaccin MenAfriVac sont par ailleurs confirmées sur le site internet de l’OMS et celui de la Fondation Bill et Melinda Gates. [4]

 

Mais alors, pourquoi cette information diffère-t-elle grandement de l’information fournie par le fabricant sur son propre site internet ? Voici ce qu’indique en effet l’Institut Indien Serum Limited (le fabricant du MenAfriVac) sur son site internet, à la rubrique CONSERVATION :

 

« MenAfriVac devrait être conservé et transporté à une température située entre 2 et 8°C. Il faut le conserver à l’abri de la lumière. Le diluant devrait être conservé à une température de 25°C. Il est recommandé de protéger le vaccin reconstitué de la lumière directe du soleil. Ne pas dépasser la date limite d’expiration qui se trouve sur l’emballage externe. » [5]

 

L’HISTOIRE AFRICAINE, vécue de l’intérieur

 

Mr M., le cousin de deux enfants victimes du vaccin, qui restent actuellement sévèrement atteints et hospitalisés à l’heure actuelle, a expliqué que beaucoup des enfants ont réagi endéans les 24 heures qui ont suivi leur vaccination. Il a déclaré que les enfants ont d’abord commencé à vomir et se plaindre de maux de tête, avant de tomber au sol, pris de convulsions avec la salive qui s’échappait de leurs lèvres.

 

Il a fait état du fait que le 26 décembre 2012, le Ministre de la Santé et le Ministre de la Sécurité Sociale se sont rendus à Gouro en compagnie de deux membres du Parlement. Il a dit qu’après discussion, ils ont décidé d’évacuer environ 50 enfants paralysés vers un hôpital situé à près de 500 km de là, à N’Djamena, la capitale du Tchad.

 

Il a ajouté que le gouvernement avait réagi à la tragédie en essayant désespérément d’acheter le silence des parents, plusieurs de ceux-ci étant traumatisés et confus.

 

Comme rapporté dans La Voix, selon un membre du staff médical et également selon le Dr Daugla Oumagoum Moto, le directeur du Centre International d’Aide Sanitaire, les réactions développées par ces enfants ne sont pas habituelles avec ce type de vaccin contre la méningite, celles-ci se limitant normalement à de la fièvre, des vomissements et des maux de tête, mais pas aux effets secondaires dont souffrent les enfants hospitalisés.

 

UN DECHIRANT APPEL A L’AIDE

 

Craignant pour la santé présente et future de leurs enfants rendus malades par la vaccination, les parents ont commencé à poser des questions :

 

1. S’agissait-il d’un lot défectueux de vaccins ?

2. Les vaccinateurs ont-ils malencontreusement utilisé un produit dangereux ?

3. Le produit a-t-il été retiré de la chaîne du froid pendant une trop longue période ?

4. Les vaccinateurs ont-ils été sérieusement et complètement formés ?

 

On s’occupe de cet enfant récemment vacciné et qui vient d’être paralysé.

 

MenAfriVac--2-.jpg

Mr. M. pense que les enfants ont été laissés trop longtemps sans soins. Il m’a dit que, en dépit de l’état déplorable des enfants et les appels pressants des parents, les autorités régionales n’ont pas réagi suffisamment tôt. Ce n’est qu’après une semaine que les enfants ont été examinés par le seul médecin de la région.

 

Il a déclaré par e-mail :

 

« En outre, le gouvernement et les médias ont passé la tragédie sous silence, alors que les faits nécessitaient une clarification, quelles qu’en soient les raisons. Tout cela nous dérange et nous fait craindre le pire pour l’avenir. Nous ne savons pas ce qui se passe dans les coulisses du Ministère de la Santé et ailleurs (OMS, UNICEF). En tant que parents, nous devons savoir ce qu’il nous faut dire à nos enfants. Il est vraiment très triste qu’une cité entière soit paralysée. Nous supplions notre gouvernement d’agir le plus vite possible pour sauver nos enfants. Nous le trouvons trop lent et manquant de motivation. C’est pourquoi nous lançons un appel au monde pour nous venir en aide. »

 

Au début de la campagne, le Président Idriss Deby Itno, a annoncé que le vaccin était sûr et permettrait de protéger les citoyens de la méningite pendant dix ans. [6]

 

L’Alliance GAVI, un important partenaire financier de ce projet qui a coûté 571 millions de dollars, a déclaré :

 

« Si tout cela fonctionne comme nous  pensons que cela va fonctionner, alors nous allons éliminer ces épidémies. Point final. », a déclaré Marc La Force, Directeur du Projet Vaccins contre la Méningite (MVP), un projet impliquant PATH et l’OMS qui ont mis au point MenAfriVac en moins de dix ans. [7]

 

Ces deux organisations semblent avoir gardé le silence depuis la tragédie.

 

CONCLUSION

 

MenAfriVac--4-.JPG

Cette tragédie soulève de nombreuses questions qui restent sans réponses. Pourquoi a-t-on vacciné 500 enfants dans une région qui ne dispose que d’un médecin, et qui n’a été capable de fournir des conseils ou de traiter les effets indésirables du vaccin qu’une semaine plus tard ?

 

Pourquoi le fabricant du MenAfriVac a-t-il spécifiquement précisé que le produit devait être stocké et transporté à des températures beaucoup plus basses que ce qu’avait précisé le Projet Méningite ? Pourquoi a-t-on tenté d’acheter le silence des parents des enfants dont la santé a été endommagée par ce vaccin ? Pourquoi a-t-on si fortement poussé à vacciner dans une région qui manque d’eau potable et de services sanitaires de base ? L’UNICEF avait d’ailleurs déjà critiqué le Tchad pour les épidémies récurrentes de maladies, y compris la méningite, qui se produisent parce que les besoins sanitaires élémentaires ne sont pas suffisamment rencontrés. [8]

 

Pourquoi les grandes organisations ont-elles dépensé 571 millions de dollars sur un projet de vaccinations, alors que les puits destinés à fournir de l’eau potable sont construits pour moins de 3.000 dollars/pièce par le Comité International de la Croix Rouge ? [9]

 

Comment se fait-il qu’au moins 40 enfants aient été paralysés après avoir reçu un vaccin, et qu’aucune agence de presse n’ait assuré la couverture de cette inquiétante situation ? Les médias sont restés complètement silencieux. Il semble qu’aucun rapport de ce drame n’ait été publié sur aucun site gouvernemental ! La seule information disponible en dehors de cet article de journal semble avoir été comme « enterrée » dans un petit blog dénommé le blog de Makaila qui a publié des mises à jour régulières de la situation. [10]

 

Où peut-on trouver les déclarations des organisations concernées – OMS, GAVI, PATH, UNICEF, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates ? Pourquoi ce programme de vaccination a-t-il été suspendu ? Qu’est-ce que ces organisations ont l’intention de faire par rapport au drame qui s’est produit à Gouro ?

 

 

Références :

  1. Wigne, Danzabe and Byakzahbo, Anrde. “Numerous Children of Gouro Hospitalized After a Vaccination Campaign to Control Meningitis.” La Voix.
  2. http://www.meningvax.org/files/PressReleasePATH_WHO_MVP-14Nov2012.En.pdf
  3. http://www.who.int/immunization/newsroom/menafrivac_20121114/en/index.html
  4. http://www.impatientoptimists.org/Posts/2013/01/Saving-Time-amp-Lives-Meningitis-A-Vaccine-Breaks-the-Cold-Chain-Barrier?p=1
  5. http://www.seruminstitute.com/content/products/product_menafrivac.htm
  6. http://www.presidencetchad.org/affichage_news.php?id=192&titre=%20Campagne%20de%20vaccination%20contre%20la%20m%E9ningite%20de%20souche%20%AB%20A%20%BB
  7. http://www.gavialliance.org/support/nvs/meningitis-a/
  8. http://www.unicef.org/infobycountry/chad_61754.html
  9. http://www.icrc.org/eng/resources/documents/feature/2007/chad-stories-200307.htm
  10. http://makaila.over-blog.com/article-campagne-de-vaccination-contre-la-meningite-tourne-au-drame-a-gouro-113690954.html

Voir aussi:

 

(la suite) Des enfants africains toujourd paralysés après des vaccins. Pour le gouvernement, tout serait "dans leur tête"!  

 

La vaccination en Afrique pose de gros problèmes éthiques

 

L'UNICEF, prête à tout pour fourguer ses vaccins, même à manipuler les groupes religieux?

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 11:13

Vendredi 28 décembre 2012

 

Solange-Jaffre.JPG

 

Témoignage

 

Des douleurs

 

Solange Jaffré était très sportive. Jusqu'au jour où un vaccin obligatoire dans le cadre de sa profession, elle travaille dans le milieu de la santé, l'a mise sur le flanc. Douleurs musculaires et articulaires, dérèglement du sommeil, difficultés de concentration, grandes fatigues ont désormais envahi son quotidien.

 

Un diagnostic erroné

 

De 2000 jusqu'à décembre 2008, elle était considérée comme atteinte de la fibromyalgie et d'une spondylarthrite ankylosante, diagnostic qui avait été porté par plusieurs spécialistes dans un centre antidouleur. « J'ai subi quantité d'examens, de traitements sans que mon état ne s'améliore, explique cette Gourinoise de 46 ans. J'ai effectué un véritable parcours du combattant pendant huit ans jusqu'à ce que l'association E3M (1) m'oriente vers une biopsie musculaire réalisée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cette biopsie a révélé que je suis atteinte de myofasciite à macrophages, une maladie neuromusculaire induite par les sels d'aluminium utilisés comme adjuvants vaccinaux ».

 

Un suivi régulier

 

Solange a été reconnue en accident du travail mais elle se bat aujourd'hui « pour obtenir un taux d'invalidité correct ». Aujourd'hui, elle est suivie à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil. Elle souhaite maintenant témoigner pour aider à faire connaître cette maladie et favoriser son diagnostic rapide.

 

Un lien reconnu

 

De récentes avancées lui mettent un peu de baume au coeur. Le 21 novembre dernier, le conseil d'État a reconnu le lien entre le myofasciite à macrophages et la vaccination.

 

Témoigner pour informer

 

Le mouvement collectif de grève de la faim, initié par l'association E3M, a pris fin le 19décembre 2012, après 24 jours d'action menée place de la Bourse à Paris puis devant le ministère de la Santé. Le financement de la recherche menée par l'unité Inserm de l'hôpital Henri-Mondor est maintenant acquis pour 2013. « Au-delà du montant qui ne sera certainement pas à la hauteur du problème de santé publique, pour la première fois, un gouvernement accepte de financer une recherche sur l'utilisation des sels d'aluminium comme adjuvants vaccinaux. Il s'agit d'une décision forte, estime Solange qui ajoute, Mérial, filiale vétérinaire de Sanofi, a retiré l'aluminium de ses vaccins pour les chats. Il me semble que l'être humain devrait bénéficier des mêmes attentions ».

 

(1) E3M : Entraide aux malades de myofasciite à macrophages. Cette association ne fonctionne qu'avec des dons déductibles des impôts.

 

Source : Ouest France

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 21:19

Témoignage/réaction du Dr Suzanne Humphries, médecin spécialiste en néphrologie, sur le site du British Medical Journal:

 

dialyse

C’est pendant des années que j’ai pu observer l’administration de ces vaccins expérimentaux à des patients souffrant de maladies rénales, alors qu’on leur avait dit que ce vaccin (antigrippal donc) était efficace et sans danger. Je possède de nombreux témoignages qui disent tout autre chose. J’ai effectué une recherche sur Pubmed et ai pu me rendre compte que d’autres rapports ont été publiés sur l'apparition de glomérulonéphrites  après des vaccins chez des personnes dont les reins étaient préalablement en parfait état. Toutes ces observations montrent que les maladies chroniques des reins ne font que s’aggraver. Tous les patients que j’ai dialysés après qu’ils eurent reçu les vaccins contre la grippe sont des preuves vivantes que les dommages collatéraux de la vaccination existent et que leur gravité est imprévisible. 

  

Certains médecins ont cependant voulu classer ces observations sous prétexte que ces cas seraient anecdotiques. Les rapports de cas se sont cependant à ce point accumulés qu’ils ont pu montrer qu’en prenant en considération la relation bénéfices/risques, il valait beaucoup mieux faire tout simplement et naturellement la grippe.

 

J’ai vu des diabétiques de type I et des patients transplantés relativement bien se porter après avoir été infectés par le virus de la grippe et le H1N1, alors que ces patients seraient censés souffrir terriblement après avoir été contaminés.

 

Quand je me suis rendue dans les chambres stériles du département des soins intensifs où je m’attendais à trouver des personnes terriblement malades de la grippe, je n’ai pu voir que des personnes assises qui mangeaient et jouaient aux échecs avec des membres de leurs familles (qui portaient des masques).

 

Pour moi, ce vaccin n’en vaut pas le risque. Mais si les médecins avaient quelques notions de diététique et s’ils savaient qu’il est possible de soigner une personne infectée avec de la vitamine C, il n’est pas difficile d’imaginer l’impact que cette manière d’envisager les soins aurait sur les autres personnes, comme sur la morbidité. Ma pratique m’a montré l’impact positif que peut avoir cette manière d’envisager le traitement de la grippe chez mes patients atteints de maladies rénales et qui avaient, depuis toujours, refusé les vaccinations.

 

Dr Suzanne HUMPHRIES, MD, néphrologue.

 

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