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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 14:30

Selon le Tribunal Fédéral Américain traitant des effets secondaires de vaccins :

Le vaccin ROR a provoqué l’autisme chez deux enfants

 

autisme-cour-federale.jpg   

Ce problème n’était pas sensé se produire, mais l’accident est malgré tout arrivé.

 

Le Tribunal Fédéral Américain traitant des complications vaccinales (VICP) a décidé d’octroyer à Ryan Mojabi et à sa famille une somme de plusieurs millions de dollars en dédommagement pour ce cas d’autisme qui s’est produit à la suite de la vaccination ROR (Rougeole-Rubéole-Oreillons).

 

La famille de Ryan Mojabi  s’ajoute à la liste de 85 autres familles, dont celle d’Hannah Poling, qui se sont adressées au Tribunal Fédéral (VICP) pour des cas d’autisme qui se sont produits à la suite de vaccinations. Il est incroyable que ces gens ne sont pas sensés exister ! On n’arrête pas de nous dire que les vaccins ne peuvent pas causer l’autisme, qu’ils n’ont jamais causé l’autisme et qu’ils ne causeront jamais l’autisme. Sauf évidemment quand les drames se produisent.

 

Voici le lien concernant le règlement de cette affaire :

   

Veuillez cliquer sur ce lien pour pouvoir partager cette information  avec vos représentants élus à Washington. Demandez- leur de soutenir les autres plaignants par rapport à ces drames qui ne sont pas censés se produire mais qui n’arrêtent pas de se produire.

 

Comme nous l’avons remarqué au cours des audiences de Novembre, beaucoup de membres du Congrès sont clairement sceptiques quant à la compétence et à l’authenticité des bureaucrates qui s’occupent des problèmes de l’autisme.

 

Rappelez-vous que le Dr Andrew Wakefield a perdu son droit d’exercer la médecine pour avoir suggéré qu’il pourrait y avoir un lien entre l’autisme, le vaccin ROR et une maladie intestinale. Il précisait également que des études plus approfondies étaient justifiées. (mais à part ça, il faudrait que les gens continuent à se faire vacciner !!)

 

Pour en savoir plus sur le cas de familles qui, grâce au VICP, ont reçu des dédommagements, il faut lire : « Unanswered questions, A Review of Compensated Cases of Vaccine Brain Injury »  

  

Le Tribunal Fédéral spécialisé dans les problèmes de vaccins accorde des millions de dollars à deux enfants souffrant d’autisme

 

David Kirby, Huffington Post (Extraits)

 

Le Tribunal Fédéral pour le dédommagement des victimes de vaccinations, mieux connu sous le nom de « Tribunal des Vaccins » vient d’accorder des millions de dollars à deux enfants souffrant d’autisme pour « douleurs et souffrances », ainsi que pour des soins à vie qui pourraient coûter des dizaines de millions de dollars.

 

Le premier cas concerne un garçon de 10 ans de Californie du Nord, Ryan Mojabi. Les parents affirment que « toutes les vaccinations » reçues de 2003 à 2005, et « plus particulièrement la vaccination ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons) » ont provoqué « des dommages graves et débilitants à son cerveau, dommages désignés par les lettres TSA ou troubles du spectre autistique. »

 

Le deuxième cas concerne une jeune fille nommée Emily dont la mère Jillian Moller a déposé plainte en 2003 et s’est battue depuis devant les tribunaux. Le dossier bourré de 188 articles reprend les longues étapes de sa lutte en vue d’obtenir réparation pour Emily qui souffre d’une forme d’autisme (PDD-NOS).

 

Madame Moller a signalé que la santé d’Emily avait été gravement endommagée au cours de sa réaction au vaccin DTCa (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) à 15 mois, alors qu’elle avait également été vaccinée avec les vaccins ROR, Hib et Prevnar. Dans une interview, la maman signalait : Elle a eu une réaction au vaccin et qui a échappé à tout contrôle »..

 

Pour lire toute l’histoire : voir ICI 

Voir aussi l'article suivant : Cas d'autisme, pour le tribunal de Rimini, "c'est la faute du vaccin"

Vaccine-Epidemic.JPG

Source: Health Impact News

   

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 20:15

Le Figaro, 15 janvier 2013

 

Par Anne Jouan

 

Pilule : plus de neuf accidents sur dix ne sont pas déclarés

 

« Le Figaro » s’est procuré une étude qui, sur 800 000 habitants, chiffre à 47 les accidents liés à la pilule en 14 ans.

 

De 17 063 déclarations aux centres de pharmacovigilance en 2000, la France est passée à 36 031 en 2011.

 

Selon une étude confidentielle que s’est procuré Le Figaro, 47 cas d’effets indésirables graves (embolie pulmonaire, thrombose veineuse profonde ou encore accident vasculaire cérébral) chez des femmes exposées à la pilule (et ce, quelle que soit la pilule), sont à dénombrer sur un échantillon de population de 800 000 personnes entre 1998 et 2012. Parmi ces 47 cas, on dénombre deux morts. Si l’on extrapole ces données à l’ensemble de la population française, cela représente, toujours sur la même période, environ 3 900 cas d’effets indésirables graves dont 165 décès de très jeunes femmes. Au moins la moitié de ces cas serait directement attribuable à la pilule.

 

Cette étude - dont les résultats transmis à l’Agence du médicament ce week-end doivent être encore consolidés - a été réalisée par un hôpital universitaire français qui a consulté ses archives. Partant de l’hypothèse que les professionnels de santé sous-déclarent les effets secondaires, ces experts ont regardé tous les cas d’embolie pulmonaire, de thrombose veineuse ou d’AVC qui étaient survenus chez les femmes de la région. L’établissement a passé au crible toutes les patientes âgées de 15 à 25 ans qui ont eu l’une de ces trois maladies. Ils ont ensuite comparé leurs résultats aux déclarations d’effets indésirables (ce que l’on appelle la pharmacovigilance) liés à la pilule et réalisés par les médecins dans la région. Bilan : l’intuition de ces experts était bonne puisque sur ces 47 cas, seuls 6 % ont fait l’objet d’une déclaration.

 

« Non seulement les médecins déclarent peu les effets indésirables liés aux médicaments, mais dans le cas de la pilule, c’est encore pire puisque les effets secondaires sont connus depuis longtemps, regrette un expert. L’embolie pulmonaire chez une jeune fille de 17 ans qui fume et qui prend la pilule depuis six mois, c’est hyperclassique. Du coup, ils ne le déclarent pas ». Moralité, ces cas ne sont pas répertoriés par la pharmacovigilance. Autre exemple avec cette histoire édifiante. Les pharmacologues suspectent fortement depuis quelque temps déjà, un médicament destiné à faire perdre du poids, de provoquer des hépatites.

 

L’hôpital Beaujon de Clichy est l’un des plus grands centres de transplantation de foie en France. Or ses équipes ne comprennent pas l’intérêt de transmettre les dossiers (plusieurs dizaines de cas entre 1998 et 2011) des transplantés aux experts de la pharmacovigilance afin d’étudier les possibles liens entre ces hépatites et la prise de ce médicament. Pourtant la gravité de ces effets, si elle était prouvée, pourrait conduire au retrait du médicament et donc sauver des vies.

 

Plainte en diffamation

 

À cela s’ajoute le fait que « quand les médecins ont l’impression d’avoir fait une erreur, d’avoir donné un médicament pas adapté ou quand ils n’ont pas respecté les indications, ils ne font pas de déclaration de pharmacovigilance, déplore un expert. Ils préfèrent cacher le problème sous le tapis ». La grosse différence avec l’affaire Mediator résume un spécialiste, c’est que « les cardiologues n’avaient pas fait le lien entre la prise du médicament et la survenue d’hypertension artérielle pulmonaire ou d’atteinte des valves cardiaques alors qu’avec la pilule, ils savent tous, et ce, dès la mise sur le marché qu’elles ont des effets indésirables de type thrombose ». Autre différence de taille, ces effets sont signalés dans les notices des pilules alors que ce n’était pas le cas pour le Mediator.

 

De 17 063 déclarations aux centres de pharmacovigilance en 2000, la France est passée à 36 031 en 2011. Mais il faut parfois avoir les reins solides pour faire face aux laboratoires.

 

Ce n’est pas l’histoire du Dr Georges Chiche qui risque de motiver les récalcitrants. Ce cardiologue marseillais est le premier à avoir fait, en 1999, une déclaration d’effets indésirables graves du Mediator (en l’occurrence une atteinte des valves du cœur). Il envoie sa déclaration au centre régional de pharmacovigilance de Marseille. Quelque temps plus tard, il reçoit un coup de fil très énervé d’un adjoint au maire de la ville, le sermonnant de mettre en cause un laboratoire. Depuis, le Dr Chiche a raconté cette anecdote devant le Sénat, l’Assemblée nationale, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et dans les médias.

 

Or, le 17 décembre dernier, il a été mis en examen par un juge parisien dans le cadre d’une plainte en diffamation du laboratoire Servier pour avoir raconté ce coup de fil sur France 2. « Le problème c’est que cette histoire peut faire jurisprudence et que pour décourager les médecins de faire des déclarations de pharmacovigilance, les laboratoires pourront utiliser l’arme de la plainte en diffamation », confie un avocat. Si la mise en examen est quasi automatique dans les affaires de diffamation, pas sûr que beaucoup de médecins soient tentés par l’expérience…

 

Le subterfuge de l’industrie

 

LE PROFESSEUR Frédérique Kuttenn, consultante en endocrinologie à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, expert à la commission d’AMM, alerte depuis les années 1990 les autorités sanitaires sur les risques des pilules de 3e et 4e génération. « Pour pouvoir augmenter leurs prix au début des années 1990, les laboratoires ont inventé un subterfuge, explique-t-elle au Figaro. Ils ont dit disposer d’un nouveau progestatif dit de 3e génération. Selon eux, il s’agissait d’un produit plus efficace et présentant moins d’effets secondaires (acné, prise de poids) que les autres déjà sur le marché. » Les firmes ont alors demandé un prix libre, afin de ne pas être limitées par les contraintes du remboursement et pouvoir proposer un prix 4 à 5 fois plus élevé que pour les pilules remboursées. Ensuite, ils ont accusé le ministère de ne pas vouloir rembourser ces pilules prétendument révolutionnaires. « Ce lobbying s’est exercé sur les médecins prescripteurs, mais aussi le public, et notamment les groupements féministes qui n’ont pas compris que c’était les firmes qui avaient demandé que ces pilules nouvelles ne soient pas remboursées », confie le Pr Kuttenn. L’industrie a obtenu gain de cause puisque Roselyne Bachelot a accordé à certaines d’entre elles le remboursement.

 

 

 

Attrapez ce réflexe et essayez de décrypter toute information médiatique quelle qu’elle soit !

 

- Les manœuvres des labos sont une chose, la complicité politique en est une autre. Madame Bachelot, pharmacienne de profession et ayant elle-même travaillé pour un laboratoire pharmaceutique, pouvait-elle vraiment être dupe ?

 

- En 2007, l’Agence Reuters publiait déjà une information selon laquelle un tiers des médecins ont tendance à nier les effets secondaires des médicaments même quand ils sont pourtant explicitement repris dans les notices. Si ce déni a lieu pour les pilules, pensez-vous vraiment qu’il ne sera pas de mise avec les vaccins, sujet beaucoup plus tabou que la pilule contraceptive ?

 

- Si déjà les médecins ont tendance à ne pas rapporter des effets secondaires repris dans les notices, que penser alors des effets secondaires nombreux et variés repris dans des documents confidentiels comme ceux de GSK ou de Pfizer sur l’Infanrix hexa ou le Prevenar et qui ne sont même JAMAIS communiqués aux praticiens ??!

 

- La sous-estimation des effets secondaires des vaccins est égale ou supérieure à celle des effets secondaires de la pilule contraceptive. Les estimations optimistes disent que seuls 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement recensés, les estimations les plus pessimistes et selon nous, les plus réalistes, parlent de seulement 1% d’effets secondaires graves de vaccins comptabilisés. Autrement dit 99% des cas ne sont jamais pris en compte : pneumonie après une vaccination suivie d’une hospitalisation, troubles tardifs du langage ou de l’apprentissage après l’une ou l’autre crise d’épilepsie en bas-âge, dysfonction thyroïdienne ou diabète insulino-dépendant quelques temps après un rappel, autant de situations qui peuvent impliquer les vaccins sans que ni les médecins ni les parents ne pensent jamais à faire le lien.

 

- Ici, pour la pilule, on évoque 165 décès sur l'ensemble de la population française sur une durée de 14 ans. Rappelons à ce propos que les vaccins HPV ont déjà, à eux deux, fait 128 décès depuis 2006, aux USA, en sachant que seuls 1 à 10% des effets GRAVES de vaccins sont recensés! Proportionnellement donc, les dommages occasionnés aux jeunes femmes par les vaccins anti-HPV sont plus importants avec les vaccins HPV qu'avec la pilule contraceptive!

 

- Ajoutons à cela aussi le fait que, dans les statistiques évoquées ci-dessus de thromboses, embolies et AVC recensés chez des jeunes filles de 15 à 25 ans sous pilule, il n'a plus que probablement été étudié qu'un seul facteur (la prise de la pilule) ET NON l'implication additionnelle d'un vaccin comme le Gardasil pourtant souvent administré à des jeunes filles sous pilule de la tranche d'âge concernée et qui est pourtant connu comme pouvant justement favoriser ces mêmes évènements, selon les données du système américain VAERS (système de monitoring des effets secondaires de vaccins, bien que les effets secondaires restent cependant largement sous-notifiés quantitativement parlant.)

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 15:00

Une étude le révèle : un nombre impressionnant d’enfants sont atteints de maladies chroniques

 

Quel espoir y a-t-il pour l’avenir, si la moyenne des enfants est malade ? Or, on est bien obligé de constater que c’est la réalité d’aujourd’hui – grâce en partie aux vaccins d’avides sociétés pharmaceutiques qui s’en foutent.

 

Enfant-malade-Gaia.jpg

 

D’après Heidi Stevenson

 

Beaucoup d’entre nous savent tout simplement, parce que c’est le fruit de l’observation, que de nombreux enfants ne sont plus en bonne santé. Une étude scientifique corrobore ce que nous pouvons observer. De nombreux enfants sont maintenant malades, souffrant souvent de maladies chroniques. Le fait n’est guère de bonne augure pour les Etats-Unis et la situation est quasiment la même dans les autres pays développés.

 

La nature de la maladie n’est aujourd’hui plus la même que celle qui touchait jadis l’enfant pendant quelques jours pour une maladie bénigne. Les maladies qui  affectent les enfants d’aujourd’hui risquent de les poursuivre tout au cours de leur vie, rendant celle-ci plus lamentable et plus courte. Cette situation semble bien être un « cadeau » de la médecine moderne dont elle doit et devra rendre des comptes.

 

La grande question est de savoir pourquoi cette situation n’a pas fait les gros titres des journaux ? Les gens souhaiteraient-ils ne pas savoir ? Le fait est que l’étude à laquelle nous avons fait allusion n’est pas toute nouvelle. Elle a été publiée en 2010 et…tout y est clairement destiné à camoufler la vérité.

 

Le titre même de l’étude A National and State Profile of Leading Health Problems and Health Care Quality for US children. Key Insurance Disparities and Across-State Variations donne l’impression qu’il s’agit essentiellement de problèmes d’assurances …

 

 

Graphique-enfant-malade-Gaia.jpg

 

Il n’y a pas un seul mot dans l’étude qui évoque la véritable épidémie que représentent  les problèmes de santé chez les enfants ! Ce serait là normalement ce qui devait faire l’objet de l’étude. Le graphique nous montre cependant l’état de santé désastreux des enfants américains.

 

Dans l’ensemble, l’étude révèle que 43% des enfants souffrent d’au moins un des troubles de santé parmi les 20 problèmes envisagés quand on ne prend pas en compte les cas d’obésité et de retards du développement. Cela représente plus de 32 millions d’enfants dont la santé est endommagée!

Si à ce chiffre on ajoute celui des enfants classifiés obèses ou « à risque de problèmes développementaux », on atteint le chiffre de 54,1%.

 

Il est aussi à noter que les chiffres du graphique ne comprennent pas les cas de lupus, de maladies intestinales comme la colite ulcérative, la maladie de Crohn, la sclérose en plaques (qui peut se développer au cours de l’adolescence dans beaucoup de cas), ou l’arthrite. Il faut également noter que les chiffres ne comprennent pas le nombre excessif de décès des nourrissons, y compris ceux décédés de « mort subite du nourrisson ». Il est donc évident que la réalité est pire que ce que veut bien nous montrer l’étude.

 

POURQUOI ?

 

La véritable question qu’il faut se poser c’est « pourquoi ? » et quelles sont les raisons qui font que cette information n’est pas correctement reprise par les médias. Il est pourtant évident qu’une société qui espère avoir un avenir ne peut que reconnaître l’importance primordiale de la santé des enfants. Pourtant notre société est en train d’ignorer la chose ; elle met volontairement la tête dans le sable en prétendant que tout va bien.

 

Tout ceci ne surprendra pas les parents d’enfants autistes qui vivent cette réalité jour après jour. Eux, savent que leurs enfants sont malades, comme le savent aussi leurs enseignants et toutes les personnes qui s’occupent d’eux régulièrement. Toutes ces personnes sont conscientes du carnage. Elles voient les asthmatiques auxquels on a « volé » le souffle. Elles voient les diabétiques  qui doivent se piquer tous les jours. Elles voient les résultats des allergies et des troubles neurologiques ; elles voient surtout tous ces enfants qui ne peuvent plus mener une vie normale comme ça aurait été le cas il y a quelques décennies.

 

Certes il y a les problèmes des toxines, de la pollution. Mais, comme tous les parents d’enfants autistes pourront parfaitement le comprendre, il y a surtout le fait qu’il y a un éléphant dans la pièce et qui n’est nullement pris en compte : ce sont les vaccinations.

 

  • Le fait que les vaccinations ont clairement été liées au diabète ne peut être nié que par ceux dont les revenus dépendent de Big Pharma et de leurs laquais.
  • Le fait que les vaccinations provoquent des troubles auto-immuns est parfaitement documenté.
  • Le fait que l’adjuvant aluminique dans les vaccins est susceptible de déclencher l’autisme a lui aussi été bien étudié.
  • Le fait que les pays qui vaccinent le plus ont les taux de mortalité infantile les plus élevés a aussi été bien documenté.
  • Il n’y a guère d’explication vraiment crédible pour le syndrome de la mort subite du nourrisson à part les vaccinations.

 

Face à tous ces éléments, il ne peut y avoir que peu de doute que la principale cause des maladies chroniques chez les enfants soit en premier lieu, la vaccination. Pourtant, nos agences officielles la FDA, le CDC, le NIH etc. continuent de nier complètement tout lien possible.

 

Ils blâment tout et n’importe quoi depuis l’âge même des parents, la génétique, l’environnement pour lequel ils ne font d’ailleurs rien.

 

Ils refusent d’effectuer les études qui pourraient clarifier une bonne fois pour toutes le problème des vaccins. Ceux-ci sont-ils oui ou non à l’origine de l’épidémie des maladies chroniques. Quelle autre raison pourrait-on invoquer que leur mauvaise volonté ? Ils sont tellement à l’aise dans leurs bureaux confortables et leurs belles maisons, autant d’avantages acquis sur le dos de nos enfants.

 

  • Les scientifiques qui acceptent joyeusement des subventions pour des études génétiques inutiles et qui leur fournissent les éléments pour maintenir en quelque sorte le statu quo.
  • Les revues médicales qui publient  la pseudo science de Big Pharma et des scientifiques payés pour permettre à leurs patrons de maintenir leurs revenus.
  • Les patrons de Big Pharma dont la richesse est en contraste criant avec la misère et la destruction de vies par leurs vaccins toxiques.
  • Les élus qui agissent comme hommes de paille pour Big Pharma
  • Les organismes qui reçoivent de l’argent de Big Pharma…
  • Les médecins qui continuent à injecter des poisons à nos enfants et qui poussent de plus en plus les parents à vacciner.

 

Tout cela, et plus encore, fait partie de la promotion des vaccins comme de la dissimulation de leurs suites, avec comme conséquence la destruction de la santé de nos enfants et de l’avenir de toute la société.

 

Source: Gaia Health

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 19:35

3 janvier 2013

 

Par Léa Aubrit (Sudouest)

 

Villeneuve-sur-Lot : une vie de famille brisée par un vaccin contre le tétanos

 

Pierre Bonizzoni souffre de troubles neuromusculaires depuis un vaccin de rappel du tétanos en 1995. Son épouse raconte.

 

femme-dont-le-mari-est-victime--vaccin-tetanos-.jpgColette Bonizzoni se bat pour que la dangerosité des sels d'aluminium

dans les vaccins soit reconnue. (Photo Léa Aubrit)

 

C'était une piqûre censée éviter la maladie, mais pour Pierre Bonizzoni, en 1995, le vaccin contre le tétanos va changer sa vie à jamais à cause de l'aluminium qu'il contient.

 

« C'est après le rappel qu'il a fait en 1995, raconte sa femme, Colette, qu'il a commencé à avoir de très fortes douleurs dans le bras gauche où il avait été vacciné ainsi que dans les cuisses, le tout accompagné de grosses fatigues. » Dynamique et sportif, Pierre Bonizzoni se fait dire par les médecins de Villeneuve-sur-Lot qu'il en fait trop et que c'est dans sa tête, avant qu'une dégénérescence neuromusculaire soit évoquée.


L'aluminium dans le cerveau

 

En 1998, il se rend au Tripode de Bordeaux où une biopsie de son bras gauche révèle la présence de cristaux d'aluminium à l'endroit de la vaccination. Le diagnostic tombe : myofasciite à macrophage, une maladie neuromusculaire induite par les sels d'aluminium présents comme adjuvants vaccinaux et qui remontent dans le cerveau.

 

Après plusieurs hospitalisations, il est mis sous cortisone, seul produit capable de calmer les douleurs. « Mais les effets secondaires étaient très présents, raconte sa femme. Il avait le visage rouge et enflé et au bout de trois mois de traitement, il a dû arrêter car ses articulations des doigts se disloquaient. »

 

Réclamant un second avis, les époux Bonizzoni se rendent à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, en 1999. « Le médecin que nous avons vu à confirmé la maladie mais déconseillé la cortisone : « "Il faut apprendre à vivre avec", nous a t-il dit. » C'est ce que le couple essaye de faire depuis plus de dix ans. « C'est une maladie qui touche beaucoup de gens dynamiques et sportifs comme Pierre, ce qui est encore plus dur à vivre. Aujourd'hui, c'est une vie foutue en l'air.»

 

Aujourd'hui, ce qui met hors d'elle Colette Bonizzoni, c'est la non-reconnaissance de la dangerosité des vaccins à adjuvant aux sels d'aluminium qui sont encore prescrits. « On n'est pas contre les vaccins mais la recherche doit avancer sur ce sujet pour protéger les gens. » Tous les deux ont rejoint depuis plusieurs années l'association E3M, d'entraide autour des malades, qui a organisé, en décembre, une grève de la faim collective à Paris pour alerter sur les dangers des vaccins.

 

Un danger pour les enfants

 

« Comme il semblerait qu'il y ait une prédisposition génétique à contracter cette maladie, c'est un véritable casse-tête pour la vaccination de nos enfants et de nos petits-enfants. C'est une roulette russe, un risque que nous ne pouvons pas prendre tant que des vaccins sans aluminium ne sont pas proposés. » Dans son combat quotidien aux côtés de son époux malade, Colette Bonizzoni répond aux courriers qui l'enjoignent à se faire vacciner contre la grippe, a écrit à la ministre de la Santé et même au président de la République, sans obtenir la réponse qu'elle attend depuis tant d'années.

 

« C'est un combat de tous les jours : nous souhaitons être soignés par les vaccins et non démolis. C'est important de faire entendre notre voix grâce à l'association, que les gens connaissent le risque encouru. »

 

Source: SudOuest.fr

 

Ce cas parmi des milliers d’autres (qui restent dans l’ombre) illustre hélas bien qu’un seul vaccin de trop peut véritablement être « la goutte d’eau qui fera déborder le vase » et qui bousillera une vie à jamais. Le corps accumule, essaie de contrôler cet apport de toxines, sous forme de court-circuitage du système immunitaire, jusqu’au jour où la machine s’enraie.

 

« La vaccination tout au long de la vie », comme le recommande ainsi d’une façon scandaleuse la Fédération Wallonie-Bruxelles constitue donc un des meilleurs gages de maladies chroniques et de vieillesse en MAUVAISE SANTE (si les gens arrivent toutefois jusque là et qu'ils n'ont par exemple pas été terrassés par un cancer entretemps). Les chiffres actuels, donnés par les mutualités, parlent d’ailleurs déjà d’eux-mêmes : 80% des + de 65 ans ont au moins une maladie chronique et 85% des + de 75 ans en ont au moins 3 !

 

Parallèlement, l’étude de Kobe en 2009, montre qu’au plus on injecte des antigènes chez les souris, au plus le risque de maladies auto-immunes augmente. Et cette étude s’ajoute bien sûr à l’amas d’autres publications attestant du rôle délétère des vaccinations dans la genèse de ces maladies, qu’il s’agisse du rôle des adjuvants ou d’autres types de vaccins n’en contenant pas. Cette problématique dépasse donc très largement hélas, le seul rôle de l’aluminium utilisé comme adjuvant.

 

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7 janvier 2013 1 07 /01 /janvier /2013 18:30

MenAfriVac--1--copie-1.jpg

Au moins 40 enfants paralysés par un nouveau vaccin contre la méningite.

 

6 janvier 2013, Christina England, Vactruth

  

Le 20 décembre 2012, une tragédie vaccinale a frappé le petit village de Gouro, localisé au nord du Tchad, en Afrique. Selon le journal La Voix, au moins 40 enfants sur les 500 qui ont reçu le nouveau vaccin contre la méningite, MenAfriVac, et âgés de 7 à 18 ans, ont été paralysés. Ces enfants ont aussi souffert de convulsions et d’hallucinations.

 

Depuis que ces cas ont été rapportés, l’ampleur réelle de cette tragédie est en train d’être mise à nu, et les parents d’autres enfants vaccinés ont déjà rapporté d’autres effets secondaires supplémentaires. Les autorités de la région sont mises sous pression, depuis qu’un véhicule sanitaire a été incendié par des citoyens, en guise de manifestation de leur frustration et de leur colère face à la négligence du gouvernement. [1]

 

“Nous voulons que l’on rende la santé qui a été volée à nos enfants » a réagi le parent d’un enfant malade.

 

Le vaccin MenAfriVac

 

MenAfriVac est un nouveau vaccin produit par l’Institut Indien Serum Limited. Selon le Projet pour le vaccin contre la méningite (MVP), c’est le premier vaccin à avoir été approuvé pour une utilisation en dehors de la chaîne du froid, ce qui signifie que le vaccin peut être transporté sans système de réfrigération ou sans packs de glace pendant au moins 4 jours :

 

« Le vaccin contre la méningite A, connu sous le nom de MenAfrivac®, et créé pour répondre aux besoins de la ceinture africaine de la méningite, peut à présent être conservé dans une chaîne contrôlée de températures pouvant être de 40°C ou plus pendant un délai de maximum 4 jours, une décision qui pourrait accroître l’efficacité de la campagne ainsi que le taux de couverture et épargner des fonds normalement investis dans le maintien de la chaîne du froid durant les « derniers kilomètres » de la distribution du vaccin. » [2]

 

Ces données  sur le vaccin MenAfriVac sont par ailleurs confirmées sur le site internet de l’OMS et celui de la Fondation Bill et Melinda Gates. [4]

 

Mais alors, pourquoi cette information diffère-t-elle grandement de l’information fournie par le fabricant sur son propre site internet ? Voici ce qu’indique en effet l’Institut Indien Serum Limited (le fabricant du MenAfriVac) sur son site internet, à la rubrique CONSERVATION :

 

« MenAfriVac devrait être conservé et transporté à une température située entre 2 et 8°C. Il faut le conserver à l’abri de la lumière. Le diluant devrait être conservé à une température de 25°C. Il est recommandé de protéger le vaccin reconstitué de la lumière directe du soleil. Ne pas dépasser la date limite d’expiration qui se trouve sur l’emballage externe. » [5]

 

L’HISTOIRE AFRICAINE, vécue de l’intérieur

 

Mr M., le cousin de deux enfants victimes du vaccin, qui restent actuellement sévèrement atteints et hospitalisés à l’heure actuelle, a expliqué que beaucoup des enfants ont réagi endéans les 24 heures qui ont suivi leur vaccination. Il a déclaré que les enfants ont d’abord commencé à vomir et se plaindre de maux de tête, avant de tomber au sol, pris de convulsions avec la salive qui s’échappait de leurs lèvres.

 

Il a fait état du fait que le 26 décembre 2012, le Ministre de la Santé et le Ministre de la Sécurité Sociale se sont rendus à Gouro en compagnie de deux membres du Parlement. Il a dit qu’après discussion, ils ont décidé d’évacuer environ 50 enfants paralysés vers un hôpital situé à près de 500 km de là, à N’Djamena, la capitale du Tchad.

 

Il a ajouté que le gouvernement avait réagi à la tragédie en essayant désespérément d’acheter le silence des parents, plusieurs de ceux-ci étant traumatisés et confus.

 

Comme rapporté dans La Voix, selon un membre du staff médical et également selon le Dr Daugla Oumagoum Moto, le directeur du Centre International d’Aide Sanitaire, les réactions développées par ces enfants ne sont pas habituelles avec ce type de vaccin contre la méningite, celles-ci se limitant normalement à de la fièvre, des vomissements et des maux de tête, mais pas aux effets secondaires dont souffrent les enfants hospitalisés.

 

UN DECHIRANT APPEL A L’AIDE

 

Craignant pour la santé présente et future de leurs enfants rendus malades par la vaccination, les parents ont commencé à poser des questions :

 

1. S’agissait-il d’un lot défectueux de vaccins ?

2. Les vaccinateurs ont-ils malencontreusement utilisé un produit dangereux ?

3. Le produit a-t-il été retiré de la chaîne du froid pendant une trop longue période ?

4. Les vaccinateurs ont-ils été sérieusement et complètement formés ?

 

On s’occupe de cet enfant récemment vacciné et qui vient d’être paralysé.

 

MenAfriVac--2-.jpg

Mr. M. pense que les enfants ont été laissés trop longtemps sans soins. Il m’a dit que, en dépit de l’état déplorable des enfants et les appels pressants des parents, les autorités régionales n’ont pas réagi suffisamment tôt. Ce n’est qu’après une semaine que les enfants ont été examinés par le seul médecin de la région.

 

Il a déclaré par e-mail :

 

« En outre, le gouvernement et les médias ont passé la tragédie sous silence, alors que les faits nécessitaient une clarification, quelles qu’en soient les raisons. Tout cela nous dérange et nous fait craindre le pire pour l’avenir. Nous ne savons pas ce qui se passe dans les coulisses du Ministère de la Santé et ailleurs (OMS, UNICEF). En tant que parents, nous devons savoir ce qu’il nous faut dire à nos enfants. Il est vraiment très triste qu’une cité entière soit paralysée. Nous supplions notre gouvernement d’agir le plus vite possible pour sauver nos enfants. Nous le trouvons trop lent et manquant de motivation. C’est pourquoi nous lançons un appel au monde pour nous venir en aide. »

 

Au début de la campagne, le Président Idriss Deby Itno, a annoncé que le vaccin était sûr et permettrait de protéger les citoyens de la méningite pendant dix ans. [6]

 

L’Alliance GAVI, un important partenaire financier de ce projet qui a coûté 571 millions de dollars, a déclaré :

 

« Si tout cela fonctionne comme nous  pensons que cela va fonctionner, alors nous allons éliminer ces épidémies. Point final. », a déclaré Marc La Force, Directeur du Projet Vaccins contre la Méningite (MVP), un projet impliquant PATH et l’OMS qui ont mis au point MenAfriVac en moins de dix ans. [7]

 

Ces deux organisations semblent avoir gardé le silence depuis la tragédie.

 

CONCLUSION

 

MenAfriVac--4-.JPG

Cette tragédie soulève de nombreuses questions qui restent sans réponses. Pourquoi a-t-on vacciné 500 enfants dans une région qui ne dispose que d’un médecin, et qui n’a été capable de fournir des conseils ou de traiter les effets indésirables du vaccin qu’une semaine plus tard ?

 

Pourquoi le fabricant du MenAfriVac a-t-il spécifiquement précisé que le produit devait être stocké et transporté à des températures beaucoup plus basses que ce qu’avait précisé le Projet Méningite ? Pourquoi a-t-on tenté d’acheter le silence des parents des enfants dont la santé a été endommagée par ce vaccin ? Pourquoi a-t-on si fortement poussé à vacciner dans une région qui manque d’eau potable et de services sanitaires de base ? L’UNICEF avait d’ailleurs déjà critiqué le Tchad pour les épidémies récurrentes de maladies, y compris la méningite, qui se produisent parce que les besoins sanitaires élémentaires ne sont pas suffisamment rencontrés. [8]

 

Pourquoi les grandes organisations ont-elles dépensé 571 millions de dollars sur un projet de vaccinations, alors que les puits destinés à fournir de l’eau potable sont construits pour moins de 3.000 dollars/pièce par le Comité International de la Croix Rouge ? [9]

 

Comment se fait-il qu’au moins 40 enfants aient été paralysés après avoir reçu un vaccin, et qu’aucune agence de presse n’ait assuré la couverture de cette inquiétante situation ? Les médias sont restés complètement silencieux. Il semble qu’aucun rapport de ce drame n’ait été publié sur aucun site gouvernemental ! La seule information disponible en dehors de cet article de journal semble avoir été comme « enterrée » dans un petit blog dénommé le blog de Makaila qui a publié des mises à jour régulières de la situation. [10]

 

Où peut-on trouver les déclarations des organisations concernées – OMS, GAVI, PATH, UNICEF, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates ? Pourquoi ce programme de vaccination a-t-il été suspendu ? Qu’est-ce que ces organisations ont l’intention de faire par rapport au drame qui s’est produit à Gouro ?

 

 

Références :

  1. Wigne, Danzabe and Byakzahbo, Anrde. “Numerous Children of Gouro Hospitalized After a Vaccination Campaign to Control Meningitis.” La Voix.
  2. http://www.meningvax.org/files/PressReleasePATH_WHO_MVP-14Nov2012.En.pdf
  3. http://www.who.int/immunization/newsroom/menafrivac_20121114/en/index.html
  4. http://www.impatientoptimists.org/Posts/2013/01/Saving-Time-amp-Lives-Meningitis-A-Vaccine-Breaks-the-Cold-Chain-Barrier?p=1
  5. http://www.seruminstitute.com/content/products/product_menafrivac.htm
  6. http://www.presidencetchad.org/affichage_news.php?id=192&titre=%20Campagne%20de%20vaccination%20contre%20la%20m%E9ningite%20de%20souche%20%AB%20A%20%BB
  7. http://www.gavialliance.org/support/nvs/meningitis-a/
  8. http://www.unicef.org/infobycountry/chad_61754.html
  9. http://www.icrc.org/eng/resources/documents/feature/2007/chad-stories-200307.htm
  10. http://makaila.over-blog.com/article-campagne-de-vaccination-contre-la-meningite-tourne-au-drame-a-gouro-113690954.html

Voir aussi:

 

(la suite) Des enfants africains toujourd paralysés après des vaccins. Pour le gouvernement, tout serait "dans leur tête"!  

 

La vaccination en Afrique pose de gros problèmes éthiques

 

L'UNICEF, prête à tout pour fourguer ses vaccins, même à manipuler les groupes religieux?

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 11:13

Vendredi 28 décembre 2012

 

Solange-Jaffre.JPG

 

Témoignage

 

Des douleurs

 

Solange Jaffré était très sportive. Jusqu'au jour où un vaccin obligatoire dans le cadre de sa profession, elle travaille dans le milieu de la santé, l'a mise sur le flanc. Douleurs musculaires et articulaires, dérèglement du sommeil, difficultés de concentration, grandes fatigues ont désormais envahi son quotidien.

 

Un diagnostic erroné

 

De 2000 jusqu'à décembre 2008, elle était considérée comme atteinte de la fibromyalgie et d'une spondylarthrite ankylosante, diagnostic qui avait été porté par plusieurs spécialistes dans un centre antidouleur. « J'ai subi quantité d'examens, de traitements sans que mon état ne s'améliore, explique cette Gourinoise de 46 ans. J'ai effectué un véritable parcours du combattant pendant huit ans jusqu'à ce que l'association E3M (1) m'oriente vers une biopsie musculaire réalisée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Cette biopsie a révélé que je suis atteinte de myofasciite à macrophages, une maladie neuromusculaire induite par les sels d'aluminium utilisés comme adjuvants vaccinaux ».

 

Un suivi régulier

 

Solange a été reconnue en accident du travail mais elle se bat aujourd'hui « pour obtenir un taux d'invalidité correct ». Aujourd'hui, elle est suivie à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil. Elle souhaite maintenant témoigner pour aider à faire connaître cette maladie et favoriser son diagnostic rapide.

 

Un lien reconnu

 

De récentes avancées lui mettent un peu de baume au coeur. Le 21 novembre dernier, le conseil d'État a reconnu le lien entre le myofasciite à macrophages et la vaccination.

 

Témoigner pour informer

 

Le mouvement collectif de grève de la faim, initié par l'association E3M, a pris fin le 19décembre 2012, après 24 jours d'action menée place de la Bourse à Paris puis devant le ministère de la Santé. Le financement de la recherche menée par l'unité Inserm de l'hôpital Henri-Mondor est maintenant acquis pour 2013. « Au-delà du montant qui ne sera certainement pas à la hauteur du problème de santé publique, pour la première fois, un gouvernement accepte de financer une recherche sur l'utilisation des sels d'aluminium comme adjuvants vaccinaux. Il s'agit d'une décision forte, estime Solange qui ajoute, Mérial, filiale vétérinaire de Sanofi, a retiré l'aluminium de ses vaccins pour les chats. Il me semble que l'être humain devrait bénéficier des mêmes attentions ».

 

(1) E3M : Entraide aux malades de myofasciite à macrophages. Cette association ne fonctionne qu'avec des dons déductibles des impôts.

 

Source : Ouest France

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 21:19

Témoignage/réaction du Dr Suzanne Humphries, médecin spécialiste en néphrologie, sur le site du British Medical Journal:

 

dialyse

C’est pendant des années que j’ai pu observer l’administration de ces vaccins expérimentaux à des patients souffrant de maladies rénales, alors qu’on leur avait dit que ce vaccin (antigrippal donc) était efficace et sans danger. Je possède de nombreux témoignages qui disent tout autre chose. J’ai effectué une recherche sur Pubmed et ai pu me rendre compte que d’autres rapports ont été publiés sur l'apparition de glomérulonéphrites  après des vaccins chez des personnes dont les reins étaient préalablement en parfait état. Toutes ces observations montrent que les maladies chroniques des reins ne font que s’aggraver. Tous les patients que j’ai dialysés après qu’ils eurent reçu les vaccins contre la grippe sont des preuves vivantes que les dommages collatéraux de la vaccination existent et que leur gravité est imprévisible. 

  

Certains médecins ont cependant voulu classer ces observations sous prétexte que ces cas seraient anecdotiques. Les rapports de cas se sont cependant à ce point accumulés qu’ils ont pu montrer qu’en prenant en considération la relation bénéfices/risques, il valait beaucoup mieux faire tout simplement et naturellement la grippe.

 

J’ai vu des diabétiques de type I et des patients transplantés relativement bien se porter après avoir été infectés par le virus de la grippe et le H1N1, alors que ces patients seraient censés souffrir terriblement après avoir été contaminés.

 

Quand je me suis rendue dans les chambres stériles du département des soins intensifs où je m’attendais à trouver des personnes terriblement malades de la grippe, je n’ai pu voir que des personnes assises qui mangeaient et jouaient aux échecs avec des membres de leurs familles (qui portaient des masques).

 

Pour moi, ce vaccin n’en vaut pas le risque. Mais si les médecins avaient quelques notions de diététique et s’ils savaient qu’il est possible de soigner une personne infectée avec de la vitamine C, il n’est pas difficile d’imaginer l’impact que cette manière d’envisager les soins aurait sur les autres personnes, comme sur la morbidité. Ma pratique m’a montré l’impact positif que peut avoir cette manière d’envisager le traitement de la grippe chez mes patients atteints de maladies rénales et qui avaient, depuis toujours, refusé les vaccinations.

 

Dr Suzanne HUMPHRIES, MD, néphrologue.

 

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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 20:46

Voici un témoignage envoyé il y a très peu de temps à Initiative Citoyenne.

Ces parents ont préféré garder l'anonymat.

Merci à eux d'informer les autres en tout cas !

 

Enfant vaccin ROR

Bonsoir,

 

Je vais exposer notre cas en détail ci-après:

 

Nous avons donc 3 enfants, actuellement âgés de 13 ans, 7,5 ans et bientôt 25 mois. Les 2 aînés ont donc été vaccinés sans aucun problème ni réaction (fièvre ou autre). Notre dernier fils devait avoir son vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole) à 12 mois. Comme il était chaque fois malade (rhume, bronchio), nous avons dû reporter son vaccin et il l’a reçu à ses 15 mois, un mercredi.  Le samedi qui a suivi, soit 72 heures après sa vaccination, il a eu des convulsions suite à une fièvre, nous étions alors en rue.  Sa température est apparemment montée très rapidement et a provoqué ses convulsions, nous avons dû appeler les secours, nous n’avions aucune idée de ce qui se passait.  Nous pensions que nous perdions notre enfant, il était dans les bras de mon mari, perdant connaissance,  les lèvres mauves avec le teint blême.  Nous avons passé 24 h aux urgences en observation.  Sans vraiment d’explication claire concernant la cause de ceci.

 

Cet épisode s’est encore reproduit 3 autres fois.  Octobre, novembre, décembre et janvier => convulsions hyperthermiques.  Après la 2ème convulsion, nous avons consulté un neurologue qui nous a expliqué les raisons des convulsions hyperthermiques: dérèglement du thermomètre interne, régulé dans le cerveau, notre fils ne sait donc plus régler sa température interne comme il le faisait de sa naissance à ses 15 mois!  Le neuro nous a dit qu’après 2 convulsions, nous ne devions pas encore penser à un traitement mais bien si cela devait se reproduire. Après la 3ème convulsion, encore rendez-vous chez le neuro.  Après la 4ème convulsion, le neuro nous a bien dit que dans le cas de notre fils, nous devions commencer un traitement neuro et qu’un anti-épileptique était le remède à ce dérèglement neuro.

 

Pour info, depuis le dérèglement thermique de notre fils, le perdolan et nurofen (suppo) n’agissent pas rapidement comme pour un enfant “normal”, aussi nous ne pouvons pas lui faire baisser sa température de façon classique (bain tiède ou gant de toilette tiède), notre fils a déjà convulsé en lui donnant un bain à 3°C seulement sous sa température.  Il convulsait à 39,5 ou 39,6°C, il n’atteignait pas des températures incroyablement hautes.

 

Il a donc démarré son traitement anti-épileptique depuis fin janvier 2012 et ce traitement heureusement marche bien pour lui!  Lorsqu’il est malade, son thermomètre interne ne s’affole plus vers le haut comme avant.  Par contre, il nous fait depuis peu des hypothermies (35,1°C)! Le neurologue n’a pas encore de réponse concrète par rapport à cela.  Nous avons fait des prises de sang et examens et j’attends les résultats.

 

Autre conséquence de son dérèglement neurologique, notre fils en été par exemple, ne peut pas être exposé à des chaleurs importantes car il prend réellement la température extérieure.  De façon générale, nous devons lui donner un suppo dès que  sa température atteint 38°C, même s’il ne souffre de rien.  En été, cela arrive très souvent évidemment.

 

Il est actuellement à la crèche quelques heures par jour et tout s’y passe bien.  La responsable a formé son personnel au risque de convulsions qui était peu connu dans les équipes.

 

Il est dans une crèche néerlandophone, qui n’exige donc aucun carnet de vaccination. 

 

Nous prenons le température de notre fils pratiquement tous les jours, même quand il n’est pas malade.  Nous vivons évidemment dans un stress permanent depuis plus d’un an.  Il ne peut pas trop jouer avec ses frères aînés de peur qu’il ne chauffe de trop, nous ne le faisons jamais garder par un membre de la famille car personne n’ose le garder.  Nous avons géré ses autres convulsions avec du valium et en appelant les secours pour l’oxygène. Il a chaque fois été hospitalisé 24 h.  A chaque sortie nous devons prendre valium, thermomètre et différents suppo contre la fièvre.

 

Il rentrera en principe à l’école en février prochain.  EN principe, notre fils aura une maturité neuro vers l’âge de 5 – 6 ans pour réguler sa température... d’ici là, nous continuons son traitement.

 

Concernant son évolution motrice, tout se passe correctement, il a marché à 15 mois (une semaine après sa 1ère convulsion), il est propre en journée depuis ses 22 mois, il parle assez bien, il sait déjà lire et reconnaitre 13 lettres de l’alphabet, mange seul... aucun retard par rapport à ses frères.

 

Actuellement, nous préférons vous livrer par mail notre témoignage.  Autre information, nous ne sommes pas foncièrement contre les vaccins car nous n’avions connu aucun problème auparavant.  Mais maintenant, nous faisons part de notre situation aux jeunes parents dès que nous le pouvons.  Nous avons un jour consulté un médecin généraliste lors d’une consultation de garde chez nous à Tervuren, nous lui avons expliqué le cas de notre fils et ce médecin nous a dit être bien conscient des risques liés aux vaccins et qu’il a lui-même vacciné sa fille avec 3 doses séparées et espacées dans le temps (Rougeole-oreillons-rubéole).

 

Voilà, j’espère que mon témoignage pourra vous être utile.

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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 16:15

Lire à ce sujet notre communiqué de presse de ce 22 décembre 2012: ICI 

 

[English version of our Press Release about Synflorix: here]

 

Un retrait d'autant plus étonnant que voici encore ce que déclarait l'ex PDG de GSK Vaccins, le baron Jean Stéphenne, le 11 février 2010 dans son allocution au monde politique:

 

"Dans le domaine pédiatrique, nous pouvons compter sur deux produits importants :
 
Rotarix.[...]

 
Et Synflorix: Synflorix
, vaccin qui protège contre la méningite à streptocoque pneumoniae et aussi l’otite. Lancé depuis peu, il devrait être promis à un succès planétaire important même si la concurrence est sévère dans ce domaine: nous attendons la recommandation du Conseil Supérieur d’Hygiène et nous plaidons pour une accélération du travail du Conseil Supérieur pour toutes les innovations en cours."

  

Focus sur les essais cliniques bâclés du Synflorix, en Argentine:

 

14 décès d'enfants, condamnation de GSK pour manquement à l'éthique...

 

(Documentaire de: Chloé Henry-Biabaud) 

 

Santiago del Estero, à 1000 kilomètres au nord de Buenos Aires : province agricole, la plus pauvre du pays. En 2007, plusieurs milliers de bébés ont été recrutés par le laboratoire anglais GSK pour tester le Synflorix. Un vaccin contre la pneumonie, l’otite et la méningite.

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Cimetière de Santiago del Estero. Oscar et Suzanne s’y rendent une fois par mois. Leur fils unique Luis, est mort au cours des essais cliniques du vaccin Synflorix. Il avait trois mois. Officiellement 13 autres familles ont déclaré le décès de leur enfant. Il pourrait y en avoir plus…

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Suzanna a six enfants. La famille vit avec 400 euros par mois et dépend des soins de l’hôpital public. Elle ne voulait pas de ce nouveau vaccin gratuit. L’équipe de médecins Argentins recrutés par GSK, lui a forcé la main pour que son fils qui était malade, soit vacciné. De nombreuses familles seront victimes de pressions et d’irrégularités durant le protocole.

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Janvier 2012, le laboratoire Britannique GSK est finalement condamné pour violation des principes éthiques, dont celui du « consentement éclairé ». Une première en Argentine.

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Santiago del Estero, 2008. Au dispensaire « Général Paz », des centaines de bébés ont été vaccinés avec le Synflorix. Au moment où le scandale a éclaté, le laboratoire GSK a tout fait pour étouffer l’affaire. Ces images d’archives destinées à la télévision nationale n’ont encore jamais été diffusées. Le médecin investigateur dément toute violation des principes d’éthique…

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Le pédiatre Leandro Gamba a refusé de participer aux tests de GSK. Il s’est battu pour les faire suspendre. Les médecins participant aux protocoles auraient triplé leur salaire et touché 300 dollars par enfant recruté.

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A l’hôpital public, les files d’attente sont interminables. Les médecins sont compétents et formés mais peu nombreux et mal rémunérés. Les infrastructures sont vétustes. 12 millions d’Argentins, soit 1/3 de la population est sans couverture médicale.

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Les Argentins comportent les mêmes caractéristiques ethniques que les Européens et sont victimes des mêmes maladies ; Un atout majeur pour les laboratoires pharmaceutiques qui font d’une pierre deux coups : d’un côté, ils peuvent tester leurs médicaments sur des populations identiques à leurs clients Européens, de l’autre, ils espèrent conquérir  de nouveaux marchés en revendant leurs médicaments en Argentine.

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Les plus importants laboratoires occidentaux, comme Sanofi Aventis ont installé leurs bureaux dans une banlieue cossue de Buenos Aires. Le lieu très protégé est surveillé jour et nuit.

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Centre d’essais cliniques d’un CRO. Pour réaliser des essais dans un temps record et à moindre coût, les laboratoires occidentaux sous-traitent auprès de prestataires privés : des CRO (Contract Research Organizer). Un business en pleine expansion, avec un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros en 2011 et une augmentation d’activité annuelle de 9%.

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Alvajo Ovejero, a aussi perdu son fils au cours des essais du Synflorix. Il a participé à plusieurs marches de protestations en 2008 pour connaître la vérité sur la mort de son enfant. Des zones d’ombre reignent. Certains corps n’auraient même pas été autopsiés. Officiellement l’affaire est toujours en cours, mais les familles commencent à désespérer.

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GSK a été condamné à une amende dérisoire de 70.000 euros à verser au gouvernement Argentin pour non respect des codes éthiques. Les familles, elles n’ont reçu aucune indemnisation…

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Le Synflorix a été autorisé en Europe, et il est vendu dans plus de 90 pays. Pourtant, le respect des principes éthiques internationaux est censé être une condition sine qua non à la commercialisation d’un nouveau médicament.

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Suite au scandale du Synflorix, de nombreuses familles ont perdu confiance dans le système de santé et le corps médical. Comme Suzanna, elles refusent désormais tout vaccin pour leurs enfants.

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Ces photos de COBAYES HUMAINS en Argentine, en pdf: ICI

 

Le documentaire ici:

 


 


Commentaire d'un anonyme sur le forum de infobébés.com le samedi 7/5/2011:

 

" C'est le Synflorix qui pose un risque pour les bébés. On a une voisine (de 14 mois) qui est décédée après l'injection de Synflorix."

 

Bébés argentins, bébés français et belges: même combat? Plus jamais cobayes?!

 

PS: Un visiteur nous écrit ceci dans les commentaires:

 

« Merci de préciser que les 14 décès ont été recensés dans le groupe PLACEBO et donc n'ayant pas reçu le vaccin. (voir éditorial du Lancet 2012). »

 

Réponse d'Initiative Citoyenne:

 

Ca ne vous fait pas réagir ce que vous répétez naïvement?

 

Un placebo est censé être "neutre", ce qu'il n'est cependant JAMAIS en matière d'évaluation de la tolérance/sécurité dans les essais cliniques de vaccins: par exemple Pfizer compare dans ses essais cliniques le Prevenar 13 au "placebo" Prevenar 7, le voilà le genre de "placebo" dont vous parlez. Idem pour les essais cliniques du vaccin Gardasil, comparé à des gens ayant reçu un faux placebo à base d'aluminium (intrinsèquement toxique!!) ou une fausse "solution saline" rassemblant en réalité tous les additifs vaccinaux moins les antigènes et l'aluminium. Votre affirmation, si elle est vraie, est donc bien la preuve indubitable que ces placebos sont FAUX sans quoi la mortalité ne pourrait être supérieure dans le "groupe témoin" par rapport au groupe vacciné!

 

Les placebos sont donc de faux placebos, alors répéter sans réfléchir les excuses assez pitoyables pour innocenter à tout prix le vaccin testé ou l'image sacrée des vaccins, fussent-elles reprises dans les journaux médicaux non indépendants comme ceux-là (cfr ici partenariats d'éducation permanente entre Merck, grand fabricant de vaccins, et The Lancet ainsi que le BMJ), n'est hélas ni constructif ni intelligent:

  

Bien à vous. 

 

NB: Comme il y a encore beaucoup de confusion dans le public qui ne sait visiblement pas qu'il y a DEUX VOLETS dans les essais cliniques de vaccins (l'un pour la soi-disant efficacité, ce qu'on appelle "immunogénicité", axée sur la capacité qu'a un vaccin de faire produire des anticorps bien que ceux-ci ne puissent pas être corrélés à un degré de protection effective dans la réalité; l'autre volet pour la tolérance, ce qu'ils appellent "safety", nous publions copie d'un mail reçu ce 6 mai 2014 et notre réponse (en rouge) à ces propos:

 

 

06/05/2014 03:05:51
OverBlog : Vous avez reçu un message


Ce message vous est envoyé par un visiteur grâce au formulaire de contact accessible en bas de page de votre blog: www.initiativecitoyenne.be


Correction commentaire, article "Vaccin Synflorix: retiré en catimini du marché

belge... pourquoi? "


Steph
Bonjour,

Bonjour

Je suis tombée sur votre article par hasard, et je voulais vous indiquer une erreur sur le commentaire. En effet, dans le commentaire il est dit que dans les essais cliniques le placebo doit etre neutre. Ceci est faux. Non, non, ceci est vrai. Allez bien voir la définition d'un placebo! On peut jouer avec les mots, comme le font les règles de la soi-disant "médecine scientifique" mais alors on n'est plus dans la vraie Science et on induit en erreur aussi bien le corps médical que les patients.


Lorsqu'un traitement existe déjà, un nouveau traitement va être testé contre l'ancien, pour le comparer a l'efficacité de celui qui existe déjà. Le Placebo est donc dans ce cas l'ancien vaccin ou traitement. Vous mélangez beaucoup de choses malheureusement car vous semblez ignorer que dans les essais cliniques de vaccins, il y a DEUX volets: un volet "immunogénicité" qui évalue la soi-disant efficacité (limitée à l'obsession des seuls dosages de taux d'anticorps alors que, ceci dit au passage, les fabricants de vaccins eux-mêmes reconnaissent qu'il n'y a PAS de corrélation entre le taux d'anticorps artificiellement produits et le degré de protection effective dans la réalité) et un volet "tolérance/ ce qu'ils appellent "safety". De façon partiale, on recourt dans le volet "efficacité" à un vrai placebo en général, donc une solution saline pour pouvoir montrer ce qui intéressent les fabricants, que leur nouveau vaccin fait produire des anticorps alors que rien ne se passe à ce niveau avec une solution saline. En revanche, quand ça ne les arrange plus de pouvoir SANS BIAIS d'interprétation (!) comparer leur vaccin à une solution saline pour évaluer la tolérance, là ils comparent les effets secondaires entre deux vaccins de façon à pouvoir conclure frauduleusement que le nouveau vaccin a un "profil de tolérance acceptable par rapport au (faux) placebo".

 
Ces tests sont faits pour comprendre l'efficacité de nouveaux traitements. Si vous compariez Prevenar 13 à de l'eau par exemple, le test ne montrerait absolument pas que le PCV13 est plus efficace que le PCV7. Il est donc normal que dans ce cas le placebo utilise soit le vaccin Prevenar. Un vrai placebo neutre au contraire est  utilisé quand ça arrange les firmes, c'est à dire dans le volet "efficacité" (en opposition complète avec ce que vous affirmez donc! ceci n'empêche toutefois pas que certaines études peuvent parfois aussi comparer les dosages d'anticorps entre deux vaccins existants comme Prevenar 13 et 7 mais ceci n'est pas la règle générale) et pas dans le volet "safety" ce qui est scandaleux car cela contribue à présenter les vaccins comme beaucoup plus sûrs qu'ils ne sont en réalité, avec des retours de bâton épidémiologique qui sont là pour contredire la merveilleuse efficacité à laquelle vous semblez croire. Voir notamment ici le "brillant" bilan d'une vaccination de 85% des enfants français avec le Prevenar 7 ce qui aurait dû surtout ne pas faire déplacer le problème au bénéfice des seuls fabricants avec le Prevenar 13:
http://www.initiativecitoyenne.be/article-pneumocoques-l-echec-retentissant-de-la-vaccination-86420861.html


Au contraire, il faut s'inquiéter quand un test clinique est fait contre un placebo neutre alors qu'un traitement existe déjà. Il est tout de même plus facile de montrer qu'un traitement est plus efficace que de l'eau ou du sucre, plutôt que plus efficace que le traitement préexistant! Il est nettement plus inquiétant de constater l’absence de volonté d’une véritable Science et la confusion/ignorance des personnes sur le déroulement et la méthodologie exacts des essais cliniques. Si vous voulez évaluer scientifiquement et valablement le rapport bénéfices/risques du moindre médicament (et à fortiori pour les vaccins dont la vocation à agir durablement sur le système immunitaire est encore plus évidente), vous êtes obligée de comparer ce qui est comparable sans introduire de biais majeur. Ceci suppose pour ce qui est de la sécurité, une évaluation entre des vaccinés ET DES NON-VACCINES. Si vous êtes dans un dogme vaccinal (dans le style « ceci n’est plus à débattre »), vous acceptez alors ce qui colle à une idéologie au détriment d’une comparaison soigneuse et pertinente et c’est ainsi que les effets secondaires de vaccins sont si nombreux (bien que largement sous-estimés, seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES étant répertoriés, de l’aveu-même de plusieurs revues médicales, comme la Revue du Praticien de Novembre 2011) Dans l’immense majorité des cas de développement de nouveaux vaccins, ils ne comparent pas le vaccin à un autre vaccin pour la question de l’efficacité car le plus souvent (sauf dans les cas de nouvelles versions de vaccins existants) il n’en existe pas encore. En plus de 200 ans de vaccination, il y avait parfaitement moyen de comparer dans divers sous-groupes toutes les variations, même à large échelle, de statut vaccinal : par exemple des gens qui ont eu un vaccin contre des gens n’en ayant jamais eu aucun (0) puis de comparer ceux-là à des gens qui ont eu le vaccin 1+ un autre vaccin et ainsi de suite. C’était non seulement ultra-éthique (avant d’inonder aveuglément le monde entier de vaccin) mais aussi faisable. Cela n’a pas été fait et fort malheureusement, le prix à payer est énorme.


De plus, des morts dans un essai clinique dans le groupe des placebos ne prouvent pas que le vaccin est défaillant, au contraire il pourrait potentiellement montre qu'il est efficace.

Là encore, ne mélangez pas tout. Au niveau de la tolérance, on utilise un FAUX placebo donc un autre vaccin donc cela crée un biais d’interprétation majeure et cela va gonfler artificiellement le nombre d’effets secondaires et même de décès dans le faux groupe témoin pour ainsi diluer la responsabilité du nouveau vaccin testé dans la survenue d’effets secondaires du groupe de gens ayant reçu le nouveau vaccin à tester ! Tout ceci renvoie donc à votre confusion entre les deux volets différents des essais cliniques.


Je pense que l'aspect technique dans ce cas ci, et les bénéfices à long terme des essais cliniques ne sont donc pas vraiment à débattre. Toutes nos réponses détaillées ci-dessus montrent que c’est tout l’inverse et qu’il y a à la fois un problème éthique et un problème de sécurité sanitaire majeure à procéder de la sorte. C’est toute la méthodologie qui est à revoir, ce que seuls ceux qui sont dans une vision idéologique ou dogmatique peuvent trouver utile de refuser.

 

Par contre effectivement l'aspect éthique des essais cliniques reste toujours une question ouverte... Si vous relisez ce qui est écrit ci-dessous, vous comprendrez que l’aspect éthique se trouve en réalité lié, tant au niveau individuel que collectif à la méthodologie biaisée qui est à l’œuvre dans les essais cliniques de vaccins depuis des décennies.


Voila, je voudrais juste que le débat sur les vaccins soit un débat informé. Je pense que cela aiderait à la compréhension de tout le monde. Ce qui est expliqué ci-dessous montre que vous n’étiez peut-être pas si informée que vous le pensiez sur ces détails méthodologiques qui sont en réalité beaucoup plus que des détails à nos yeux. Notre site comporte plus de 1600 articles qui contribuent à exposer avec le plus de détails possibles la nature exacte du problème vaccinal, précisément dans un souci de compréhension et de débat le plus objectif possibles. Parmi ces articles, certains parlent plus en détail du problème des essais cliniques, et le passage que vous citez (notre commentaire en fin d'article sur le Synflorix) n'a de fait pas repris les explications plus détaillées de ce mail, d'où sans doute votre confusion. Nous allons donc reprendre in extenso vos réflexions et nos réponses, de façon à enrichir le site de ces explicitations. Merci!


Je vous remercie.

 
Cordialement,

Cordialement, 

L'équipe d'IC 

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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 11:42

Trois documents confidentiels nous sont récemment parvenus sur le vaccin Prevenar 13, un vaccin largement administré aux enfants: ICI, ICI et ICI

 

Vous trouverez notre communiqué de presse explicatif sur ces documents: ICI

 

[Notre communiqué en anglais/ English version of our Press Release: Here]

 

Cette actualité a été, notamment, relayée dans Le Soir de ce jour en pages 1 et 9:

 

Soir--1-.jpg

 Soir--2--copie-1.jpg

 

Soir--3-.jpg

 

 Soir--4-.jpgSoir--5-.jpg

 

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Soir--7-.jpg

 

Soir (8)

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Soir--10-.jpg

Soir--11-.jpg

Soir--12--copie-1.jpg

 

Voir aussi: "Le Prevenar est-il un vaccin sûr et sans danger?"

 

& pour mieux cerner LES GENS qui ont recommandé allègrement ce vaccin

 

Prevenar: les coulisses d'une médiatisation bien huilée

 

La presse et les conflits d'intérêts avec cette vaccination antîpneumococcique

 

Document confidentiel accablant sur l'Infanrix hexa

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