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4 août 2018 6 04 /08 /août /2018 22:30

Après le vaccin ROR, Alina a perdu la parole, l’appétit. Elle a souffert d’horribles crises épileptiques et est finalement décédée

Melissa Curtin, 1er août 2018

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

C’est l’histoire déchirante d’une maman australienne, Rajni Sharma, qui a reconstitué  et tracé la chronologie des problèmes de santé et de la mort de sa petite fille après la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 18 mois. La maman veut partager sa douloureuse expérience et l’histoire tragique de son unique petite fille. Elle espère que cette histoire en aidera d’autres à prendre des décisions éclairées.

Rajni : ma merveilleuse petite fille a vécu pleinement et merveilleusement chaque jour de sa courte vie avant de recevoir le vaccin ROR. Alina est née à terme le 12 mai 2016. Elle était en parfaite santé ; elle était heureuse et adorait la vie. Elle était mon rêve devenu réalité. C’est avec elle que j’ai appris ce qu’était l’amour d’un enfant, un amour qui n’a pas de limite ou de condition ; un pur amour altruiste. Alina était très aimante, attentionnée. Elle avait le sens de l’humour et aimait beaucoup jouer.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Quand elle eût cinq mois, Alina commença à fréquenter la garderie. Elle aimait rencontrer d’autres enfants. Se sentant beaucoup aimée, elle avait un grand sentiment de sécurité. Dès qu’elle voyait Patrick, son père, elle courait se jeter dans ses bras…

La vie était vraiment bonne ! Je vivais mon rêve. C’étaient les derniers moments qu’Alina s’est vraiment sentie heureuse. Puis est venu le moment de la visite médicale de ses 18 mois avec le vaccin ROR.

Après avoir reçu ce vaccin, Alina a commencé à dormir beaucoup; elle a cessé de jouer et a perdu tout attrait pour la nourriture. La garderie m’a fait savoir qu’elle dormait beaucoup et paraissait extrêmement fatiguée. Comme Alina était mon premier enfant, j’ai pensé qu’elle pouvait peut-être faire une poussée dentaire. J’étais à ce point naïve que je n’ai même pas pensé au vaccin. Comme elle n’allait pas bien du tout, nous avons appelé l’ambulance qui l’a transportée à l’hôpital.

Le personnel de l’hôpital n’avait jamais vu ce genre de crise et ne savait quoi faire.

Il nous avait fallu 55 minutes pour nous rendre à l’hôpital. Pendant tout ce trajet Alina n’a pas cessé de faire crise sur crise. A l’hôpital on lui a administré du Midozalam par voie intraveineuse et les crises ont cessé après une heure. J’étais secouée et brisée tout en ne sachant toujours pas qu’il s’agissait d’une réaction indésirable au vaccin parce qu’on m’avait souvent répété que « les vaccins ne tuent pas les bébés ».

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Deux jours plus tard, Alina a recommencé à faire des crises. Elle a dû être transférée à l’hôpital pour enfants de Randwick pour y subir une IRM. Cette IRM était très claire : pas de tumeur, pas de masse, pas de cicatrice. Le neurologue nous a dit : « Ne vous inquiétez pas pour votre petite fille ; elle ira bien, son IRM semble bonne. C’est le bébé en meilleure forme de toute la salle ; elle ne risque pas de mourir. »

Dans la suite, ils ont diagnostiqué une épilepsie. Les neurologues ont été incapables de déterminer la cause de ses crises car elle n’avait pas de fièvre ou quelqu’autre maladie.

On m’a demandé si les vaccins d’Alina étaient à jour, et j’ai répondu : « Oui, elle a reçu son ROR la semaine dernière. » Je me suis alors arrêtée un moment, puis ai demandé au médecin : «  Pensez-vous que le vaccin puisse être la cause des crises  d’Alina ? » Ils m’ont répondu que ce n’était pas possible. – «  Je croyais encore le médecin parce que je me disais pourquoi un médecin mentirait-il ? Ce n’est pas l’ennemi de mon bébé !

Nous sommes finalement rentrés à la maison. Alina a reçu du Keppra contre l’épilepsie. Au cours de la semaine, elle a refait une crise. Ce fut le dernier jour qu’Alina passa à la maison. Nous étions le 25 novembre 2017.

Après 14 heures de crises quasi ininterrompues Alina fut plongée dans le coma. Elle se réveilla cinq jours plus tard et put me reconnaitre.

Alina dut subir par deux fois des tests pour les troubles  mitochondriaux. Tous les tests sont revenus négatifs. C’est alors, que je fus certaine que la santé d’Alina fut altérée par le vaccin.

A chaque crise, la santé d’Alina se détériorait. Elle a commencé par perdre la mémoire, elle ne nous reconnaissait plus, ni moi, ni Patrick, puis ce furent ses mots, ses jeux et la motricité de sa main gauche. C’est alors que je me suis écriée : «  Pourquoi personne ne m’écoute quand je parle des vaccins ? » - On m’a fait taire parce que « les vaccins ne tuent pas les bébés. »

Le 12 janvier 2018, Alina put à nouveau articuler quelques mots, mais à midi les crises recommencèrent, et ce fut le commencement de la fin de sa petite vie. Les crises se répétèrent pendant le reste du mois de janvier et début février et ce, jusqu’au 26 mars 2018 qui fut le jour de sa mort. Alina est morte dans mes bras. Je tenais le corps raide et froid de mon bébé au lieu de la petite fille pleine de vie que j’avais connue auparavant.

Personne n’a osé admettre que le vaccin ROR avait tué mon bébé. Au lieu de cela, je reçus une lettre de deux pages m’expliquant que mon bébé avait souffert  d’un cas rare de trouble mitochondrial, le CARS2. On nous expliquait que mon mari et moi-même étions porteurs d’une mutation génétique rare et que nous avions transmis ces gènes à notre petite fille.

Mais quelles étaient les chances pour que mon mari et moi-même soient porteurs du même gène récessif ? Nous ne faisons pas partie de la même ethnie, ni du même pays. Je suis indienne de naissance et mon mari est anglais.- Je me méfie de ces conclusions qui font penser que c’est un gène qui est la cause. Mais je sais qu’ils ne sont pas sûrs à 100%.

Ils ont suggéré que le gène CARS2 serait probablement la cause de l’état de notre petite fille. Il est très important de noter que les enfants atteints de troubles mitochondriaux présentent des niveaux élevés de lactate. Alina n’a jamais montré aucun signe de lactate élevé. Je ne crois donc pas qu’Alina ait souffert d’un trouble mitochondrial.

Il se trouve que personne dans ma famille ou dans celle de mon mari ne souffre de maladie génétique rare.- Je me casse la tête pour comprendre pourquoi l’hôpital décrète que les personnes pour lesquelles il ne trouve pas de réponse seraient atteintes d’un problème génétique rare.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Des enfants et des nourrissons du monde entier meurent tragiquement des conséquences graves et des horribles risques que présentent les vaccins. Les parents dévastés s’efforcent courageusement de raconter leur histoire afin d’informer le plus grand nombre des tragédies qu’ils ont vécues. Ces parents ne cessent de se demander QUAND les masses se rendront-elles compte que des décès, des handicaps, des troubles neurologiques et auto-immuns sont causés par les vaccins ? Quand le grand public prendra-t-il en compte les avertissements de parents au coeur brisé qui feraient l’impossible pour voir revenir leur petit garçon ou leur petite fille ? Les parents devront-ils eux-mêmes perdre et enterrer leur propre enfant pour enfin ouvrir les yeux ?

Source : Stopmandatoryvaccination

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101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

La fiche du M-M-RVAXPro sur le site Mesvaccins.net, laquelle fait état à "une fréquence indéterminée" de plusieurs complications neurologiques graves dont certaines peuvent être irréversibles (névrites, polyneuropathie, encéphalite, Guillain-Barré etc...).

Epilepsie et vaccins: le lien

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 21:04

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Maglio Christopher & Toale. P.A., 17 juillet 2018 (extraits)

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Les avocats Maglio Christopher & Toale ont négocié une indemnisation de 101 millions de dollars pour un nourrisson qui a présenté une grave réaction à la suite du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole).

La petite fille O.R. âgée d’un an savait déjà marcher et grimpait un peu partout.

Le 13 février 2013, elle a reçu les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), le vaccin contre l’hépatite A, l’haemophilus influenzae de type B (Hib), le Prevnar (pneumonie) et le vaccin contre la varicelle.

Le soir même, la maman a remarqué que sa petite fille était irritable et fiévreuse. Le pédiatre consulté conseilla à la maman de donner du Tylénol et du Benadryl. La fièvre s’est, malgré tout maintenue pendant plusieurs jours et la veille de la visite prévue du pédiatre, la petite O.R. a commencé –à faire de graves crises. Elle a de suite été transportée aux urgences. Elle y a fait un arrêt cardiaque et respiratoire. Les médecins l’ont immédiatement placée sous respirateur.

Les médecins ont pu remédier aux crises et le coeur est reparti, mais la petite O.R. a gardé une grave lésion cérébrale, une encéphalopathie avec altération de la vision corticale, hypotonie musculaire et une insuffisance rénale.

Après des mois de traitement à l’hôpital, la petite est rentrée à la maison, mais son handicap nécessite des soins médicaux spécialisés et une supervision 24 heures sur 24 pour le restant de ses jours.

Le dédommagement de 101 millions de dollars servira à payer les soins médicaux de la petite fille pour le restant de ses jours. La famille a reçu une somme forfaitaire de 1 million de dollars pour couvrir les frais médicaux immédiats. Le restant de la somme sera versé sous forme de rente pendant toute la vie de la petite fille.

Source: Mctlawyers

"Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins et ceux-ci ont un intérêt majeur dans la promotion de la santé".  Office de la naissance et de l'Enfance (ONE, Belgique), article RTBF du 1er décembre 2011 intitulé "Décès d'un bébé à Charleroi: l'ONE tient à se défendre". 

 

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20 juillet 2018 5 20 /07 /juillet /2018 21:25

GARDASIL : une victoire légale, une décision historique

La Cour fédérale du Canada décide de divulguer les données d’essais cliniques à un chercheur américain

Par Brian Shilhavy, Health Impact News,19 juillet 2018

GARDASIL : une victoire légale, une décision historique

CBC News, ainsi que le British Medical Journal (BMJ) rapportent que le professeur Peter Doshi a remporté une victoire juridique majeure contre les sociétés pharmaceutiques qui tentent de cacher les données d’essais cliniques au public, prétendant qu’il s’agit « d’accords confidentiels » pour 5 produits pharmaceutiques.

Doshi a poursuivi Santé Canada pour qu’elle communique les données concernant les essais cliniques qui lui furent soumis par les fabricants de vaccins contre le HPV, le Gardasil 9 et le Cervarix, ainsi que les médicaments antiviraux contre la grippe, le Tamiflu et le Relenza.

Un juge de la Cour fédérale du Canada a ordonné à Santé Canada de divulguer les données des essais cliniques réalisés sur les produits pharmaceutiques repris ci-dessus, compromettant ainsi les tentatives du gouvernement canadien de garder cette information confidentielle.

Pour autant que je sache, cette décision historique du Canada a été complètement censurée dans les médias « dominants » parrainés par les entreprises américaines.

Tout ceci relève d’une stratégie juridique brillante du Dr Doshi et de ses avocats, car ils avaient peu ou pas de chance d’obtenir ces données d’essais cliniques d’un tribunal aux Etats-Unis, où les sociétés pharmaceutiques jouissent d’une immunité juridique contre la plupart des poursuites.

L’importance de recevoir ces données, particulièrement sur le vaccin Gardasil de Merck, ne peut être surestimée.

Comme nous l’avons signalé à plusieurs reprises ici à Health Impact News, tout le processus d’approbation médicale pour introduire le vaccin contre le HPV sur le marché américain est rempli de scandales et de dissimulations qui ont provoqué des problèmes de santé et le décès de nombreux jeunes, particulièrement des jeunes femmes âgées de 12 à 26 ans, et dont beaucoup ne peuvent plus avoir d’enfants, suite au vaccin qui les a rendues stériles.

 

«J’espère que mon cas permettra d’établir un précédent et permettra aussi aux chercheurs, aux cliniciens, ainsi qu’au public d’accéder facilement aux données des essais cliniques », aurait déclaré le Dr Doshi dans un courriel envoyé à CBC News.

« Les régulateurs ne devraient pas avoir le monopole de l’évaluation des risques et des avantages des médicaments. Ils ne devraient pas non plus empêcher les autres de faire de même par des accords de confidentialité. »

La décision du juge de la Cour fédérale du Canada, M. Sébastien Grammond, qui a qualifié la position de Santé Canada de « déraisonnable », a été bien accueillie par d’autres experts juridiques au Canada, selon CBC News.

« La Cour a déclaré très clairement que c’était l’intérêt du public de pouvoir accéder à cette information afin que les chercheurs indépendants puissent exercer une surveillance. Cet accès à l’information l’emporte donc fondamentalement sur tout intérêt à protéger des intérêts commerciaux », a déclaré Matthew Herder, directeur du Health Law Institute de Dalhousie, Université de Halifax.

Herder qui a étudié l’affaire de près, a dit qu’il espérait que cette décision courageuse entrainerait les chercheurs, même à l’extérieur du Canada, à commencer à demander des données concernant d’autres médicaments actuels qui se trouvent sur le marché.

Lire ici la décision du Tribunal.

Le Dr Peter Doshi a critiqué publiquement les compagnies pharmaceutiques et les politiques gouvernementales qui induisent le public en erreur  en matière de sécurité des médicaments en dissimulant les données des essais cliniques sur les médicaments accessibles au public et aux chercheurs indépendants.

La renommée du Dr Doshi ne lui revient pas pour avoir, par exemple, résolu l’énigme du cancer ou pour la découverte d’un nouveau médicament à succès, mais d’avoir réussi à pousser les plus grandes firmes pharmaceutiques du monde à ouvrir leurs dossiers afin que les avantages et les inconvénients potentiels de ces médicaments que le public prend tous les jours, soient enfin mieux compris.

Avec un groupe de chercheurs et d’activistes de tout pays, le Dr Doshi essaie de dénicher les données des essais cliniques qui sont en fait des études complexes qui durent des années et impliquent souvent des milliers de patients dans de nombreux pays, pour finalement rendre ces données publiques.

Dans le système actuel, disent les militants, ce ne sont que de maigres détails des essais cliniques qui sont publiés dans les revues médicales, souvent même par des auteurs ayant des liens financiers avec les entreprises pour lesquelles ils écrivent les articles. Il semble évident que ces données sont à ce point insuffisantes qu’elles sont susceptibles d’induire en erreur.

Cette décision prise au Canada représente une grande victoire pour le Dr Doshi et devrait mener à une plus grande transparence dans les essais cliniques des médicaments et, potentiellement permettre des poursuites contre les sociétés pharmaceutiques qui ont agi de façon contraire à l’éthique en commercialisant des produits dangereux comme le vaccin annuel contre la grippe et les vaccins contre le HPV (cancer du col de l’utérus).

Le Dr Peter Doshi est rédacteur associé au BMJ et à l’équipe News & Views. A Baltimore, il est également professeur adjoint de recherche dans les services de santé à l’Université de Maryland (School of Pharmacy).

Source : VaccineImpact

 

 Faites-nous confiance.  Après le Vioxx, voici le Gardasil, deux grands produits de chez Merck.

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16 juillet 2018 1 16 /07 /juillet /2018 20:43

Deux enfants meurent à Samoa dans les minutes qui ont suivi l’administration du vaccin ROR

Le premier Ministre de Samoa évoque le décès de ces deux enfants et parle de sa propre expérience avec son petit- fils

Tuilaepa Lupesoliai Neioti Aiono Sailele Maliegaoi, Premier Ministre de Samoa

Tuilaepa Lupesoliai Neioti Aiono Sailele Maliegaoi, Premier Ministre de Samoa

« En tant que père et grand-père, je puis comprendre le chagrin causé dans ces familles par la perte de leur enfant. J’ai aussi, il y a plusieurs années, et dans des circonstances similaires, failli perdre mon petit fils. Mais par la grâce de Dieu, il a pu survivre. Il ne sera cependant jamais plus le même enfant car il ne sait plus parler. » Tuilaepa Lupesoliai Neioti Aiono Sailele Maliegaoi, Premier Ministre de Samoa. (rapporté par J.B. Handley)

 

Communiqué de presse de l’ Australian Vaccination-Skeptics Network  (AVN)

9 juillet 2018

Après le décès ces deux enfants, le Ministère de la santé a ordonné la saisie de tous les vaccins ROR et a ordonné une enquête immédiate.

Deux enfants sont morts dans les minutes qui ont suivi la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole dans les villages de Safatou et de Sasina au Samoa. Les décès se sont produits le 6 juillet 2018.

La famille du premier enfant a déclaré aux journalistes que leur petite fille, Lannacallystah Samuelu est décédée dans les 3 minutes après que l’infirmière ait administré le vaccin.

 

 

 

La famille d’un autre enfant, Lameko Siu, âgé d’un an, ayant appris la mort de Lannacallystah qui était survenue deux heures plus tôt a poussé la maman à refuser la vaccination pour son fils de peur qu’il ne subisse un sort similaire.

Ignorant les souhaits de cette famille, l’infirmière de l’hôpital a administré le vaccin. Cet enfant est mort dans la minute qui a suivi.

Les vaccins ont été saisis dans le pays et une enquête fut immédiatement ordonnée.

Cette tragédie met en évidence les risques réels que peuvent présenter les vaccinations pour les enfants et les adultes.

Tasha David, Présidente d’AVN et d’origine samonane, est horrifiée par cette situation :

«  Il est bien écrit dans la littérature médicale que les communautés autochtones peuvent être beaucoup plus vulnérables aux dommages causés par les vaccinations. La santé de six de mes huit enfants a été endommagée, et la situation de ma famille n’est pas rare ! Pourtant le gouvernement australien veut nous forcer à mettre nos enfants en danger, tout comme l’hôpital de Samoa a porté préjudice à ces deux pauvres enfants.

Nous espérons sincèrement que l’enquête sera honnête, se déroulera rapidement et que la justice prévaudra. L’AVN est très soucieuse de la santé des enfants et de leurs familles. Tout ce que nous demandons c’est de pouvoir exercer nos propres choix éclairés en matière de santé et que ces droits soient respectés. »

Breaking News: Two children die in Samoa minutes after MMR Vaccination (AVN, 09.07.2018

Source : Australian Vaccination Network

Contrairement aux propos péremptoires du Pr Lévy qui a osé dire à la télévision qu’ « il n’y a pas de mort d’enfant liée aux vaccinations », en réalité c’est TOUT FAUX. Et c’est d’ailleurs tellement le cas qu’un programme officiel canadien (au Québec) inclut une indemnisation de décès y compris les frais funéraires. Or ces vaccins de même composition sont aussi injectés de l’autre côté de l’Atlantique où une forme particulière de négationnisme conduit à nier de façon affligeante cette même possibilité de décès et tous les handicaps qui sont indissociablement liés à la pratique vaccinale… Ce déni surréaliste est donc intenable, très clairement. Lorsque des décès surviennent, chez des patients immunodéprimés le plus souvent, et qu’ils sont mis en lien avec la rougeole, on a droit à un battage médiatique énorme mais c’est une fois encore un deux poids deux mesures puisque les décès et handicaps graves d’enfants après ces vaccins « sauveurs », eux, sont systématiquement classés parmi les « coïncidences », les « malheureux hasards ». Comment s’étonner que cet état des choses suscite une indignation et un malaise croissant… Les promoteurs de vaccins feraient bien, d'une part, de modifier en profondeur les critères d'évaluation des vaccins et d'autre part d'essayer (plutôt que d'imposer indistinctement à tous une vaccination avec ses risques propres) de mettre à jour les facteurs individuels de risque de complications

 

Voir aussi:

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

Bénéfices/risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

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Capture d'écran de la page du programme officiel d'indemnisation des victimes de vaccins au Québec

Capture d'écran de la page du programme officiel d'indemnisation des victimes de vaccins au Québec

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10 juillet 2018 2 10 /07 /juillet /2018 22:05
Probabilité réduite de grossesse chez les femmes vaccinées contre le HPV (Gardasil et Cervarix)

Une probabilité réduite de grossesse chez les femmes âgées de 25 à 29 ans et qui ont reçu une injection de vaccin contre le HPV

DeLong G. –J Toxicol Environ Health A. 2018;81(14):661-674. doi: 10.1080/15287394.2018.1477640. Epub 2018 Jun 11.

 

Abstract/résumé:

Aux Etats-Unis, les taux de natalité ont récemment chuté. Les taux de natalité pour 1.000 femmes âgées de 25 à 29 ans sont passés de 118 en 2007 à 105 en 2015. Un facteur pourrait être la vaccination contre le papillomavirus humain. (HPV) Peu de temps après l’homologation du vaccin, plusieurs cas d’insuffisance ovarienne primaire ont été signalés. Cette étude a analysé les informations recueillies dans le cadre de l’Enquête nationale sur la santé et la nutrition, qui représentait 8 millions de femmes âgées de 25 à 29 ans et résidant aux Etats-Unis entre 2007 et 2014.

60% environ des femmes n’ayant pas reçu le vaccin HPV ont été enceintes au moins une fois, alors que seulement 35% des femmes qui avaient reçu le vaccin avaient pu concevoir. Pour les femmes mariées, 75% d’entre elles qui n’avaient pas été vaccinées ont pu concevoir, tandis que seulement 50% des femmes vaccinées ont pu être enceintes. En utilisant le « régression logistique » pour analyser les données, la probabilité d’avoir été enceintes a été estimée pour les femmes qui ont reçu le vaccin contre le HPV, comparativement aux femmes qui n’ont pas reçu le vaccin.

Les résultats suggèrent que les femmes qui ont reçu le vaccin contre le HPV étaient moins susceptibles d’avoir pu concevoir que les femmes du même groupe d’âge qui n’avaient pas reçu le vaccin.

Si 100% des femmes qui ont fait l’objet de cette étude avaient reçu le vaccin HPV, les données recueillies suggèrent que le nombre des femmes ayant jamais conçu aurait diminué de 2 millions. Une étude plus approfondie sur l’influence du vaccin anti-HPV sur la fertilité est donc justifiée.

Source: Pubmed

En Belgique, le député médecin Jacques Brotchi vient encore récemment d'appeler à l'extension de cette vaccination pour toutes les filles et tous les garçons de 9 à 14 ans...  On imagine le sort désastreux possible de ces jeunes si leurs parents ont oublié d'écrire NON, NON et NON à cette folle vaccination et qu'on applique le "qui ne dit mot consent": une jeune fille (ou un garçon) paralysé(e), qui devient subitement épileptique, qui enchaînera problème sur problème avec risque d'altération ou même d'interruption de sa scolarité ou encore à terme... une stérilité, quel cadeau à notre jeunesse, il n'y a vraiment pas à dire, quel triste cadeau à notre jeunesse! Mais terminons enfin sur la phrase de Bill Gates, 1er contributeur privé au budget de l'OMS, faut-il le rappeler, lors d'une conférence en Californie en 2010:  "si nous faisons un réel bon travail avec les vaccins et les techniques de procréation médicalement assistées, nous pouvons espérer réduire la population mondiale de 10 à 15%". Rappel enfin aussi des aveux quand même accablants retrouvés dans un document de l'INAMI en réponse à GSK sur le vaccin HPV Cervarix et qui précise que "le taux d'effets secondaires est assez élevé". Il faut quand même savoir que dans un essai clinique post-commercialisation (étude Patricia), la firme GSK a listé 9% d'effets secondaires GRAVES après vaccination par Cervarix (quasi 1 personne sur 10, bien au-delà de l'incidence des complications d'une infection naturelle au HPV) et 8,9% dans le groupe ayant reçu un autre vaccin adjuvanté du groupe, l'Havrix (= contre l'hépatite A), des taux sans surprise pas vraiment différents car tout vaccin présente des effets secondaires bien que ceux-ci soient tragiquement et drastiquement sous-estimés pour des raisons idéologiques. Par une pirouette, l'étude financée par GSK conclut comme par magie que seul 0,1% de tous ces effets graves sont imputables à l'un de ses deux vaccins, la firme n'allant évidemment pas se tirer une balle dans le pied. 

 

Voir aussi

Le Gardasil détruit les ovaires d'une jeune fille

Les effets secondaires graves du Gardasil étaient prévisibles

Devenues stériles après le Gardasil: deux soeurs déposent plainte

Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vacci anti-HPV Gardasil

Médaillée d'or aux JO mais vaccinée contre le HPV: elle décède... d'un cancer du col de l'utérus!

Une jeune virtuose japonaise détruite par le vaccin HPV Cervarix

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

La fronde danoise contre le vaccin HPV Gardasil

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

Les dessous de la vaccination scolaire contre le HPV

Les autorités gaspillent l'argent public en vaccins au détriment du frottis, plus efficace

Notre courrier aux directions d'écoles secondaires et aux associations de parents sur ces dangereux vaccins HPV (2011), auxquels nous réécrivions (en 2013)

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

Sperme dégradé, puberté précoce: une agence sanitaire pointe des causes environnementales (NB: la vaccination fait partie de ces "facteurs environnementaux" qui risquent d'altérer l'équilibre interne du corps)

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23 juin 2018 6 23 /06 /juin /2018 08:11

Comment j’ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Aplanetruth info, 15 janvier 2018

Comme nous venons d’accueillir notre troisième enfant, c’est pour moi l’occasion d’expliquer pourquoi nous ne les avons pas fait vacciner, et aussi pourquoi ils sont en parfaite santé.

Je voudrais aussi évoquer les réactions hostiles et négatives que nous avons dû essuyer quand nous avons consulté des pédiatres à la suite de notre position sur les vaccins.

Nous avons cependant réussi à mettre l’un d’eux dans l’embarras pour finalement le remettre à sa place quand il a tenté de nous provoquer.

J’ai personnellement travaillé pendant 10 ans dans l’industrie pharmaceutique en tant que scientifique. J’ai aussi mené des recherches approfondies sur les vaccins et leurs différents constituants.

Le pédiatre qui nous recevait n’était pas au courant de ces derniers éléments.

Avant que je ne fasse état de toutes mes objections, ce pédiatre a commencé à m’agresser verbalement en voulant me faire comprendre que nous tuions nos enfants en ne les faisant pas vacciner. Il a poursuivi en me disant que l’autisme soi- disant provoqué par les vaccins était une théorie totalement démentie et démystifiée , et que cette théorie n’était basée que sur des études frauduleuses. Il me disait ces choses alors que je n’avais même pas abordé le thème de l’autisme. Nombreux sont les pédiatres qui se précipitent sur ces fausses conclusions. Ils estiment que l’autisme n’est pas causé par les vaccins parce que c’est ce que disent et redisent les grands médias.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Entre nous, je pense qu’il y a bel et bien une corrélation entre les vaccins et l’autisme.

Comme j’ai vite pu réaliser que la discussion ne mènerait à rien avec ce pédiatre, j’ai décidé de changer l’orientation de la discussion.

Comme je l’ai dit au début, j’ai remis ce pédiatre à sa place quand il a fini par avouer ne pas avoir approfondi la question. Je lui ai finalement dit que mes inquiétudes ne concernaient pas que l’autisme, mais bien les troubles auto-immuns.

Dans chaque vaccin, il y a des adjuvants. Ces éléments font partie des vaccins dans le but de sur-stimuler le système immunitaire.

Les vaccins qui ne contiendraient que l’antigène spécifique à telle ou telle maladie, ne peuvent pas engendrer une réponse immunitaire suffisante permettant de créer un nombre suffisant d’anticorps. Les producteurs de vaccins reconnaissent la chose, et c’est la raison pour laquelle ils ajoutent des adjuvants.

Ces adjuvants stimulent le système immunitaire de façon aveugle et non sélective pour qu’il puisse produire une réponse suffisante aux antigènes des vaccins et ainsi créer une protection.

La véritable clé de compréhension réside dans le fait que ces adjuvants sur-stimulent de manière non sélective le système immunitaire. Cela veut dire que quand ces adjuvants sont introduits dans le corps, celui-ci produit une réponse immunitaire SYSTEMIQUE, c’est-à-dire une réponse qui se répercute sur l’ensemble du corps, et au cours de laquelle les anticorps pourraient ne pas exclusivement se retourner contre l’antigène du vaccin, mais contre d’autres types de cellules du corps. Les inquiétudes portent sur le fait que les adjuvants pourraient susciter des réponses immunitaires dirigées contre, par exemple, d’autres protéines du corps, provoquant ainsi l’auto-immunité.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Si vous suivez les nouvelles, vous aurez appris que les maladies auto-immunes sont en progression. Les Instituts nationaux de santé américains estiment que 23 millions d’Américains souffrent de maladies auto-immunes, et que, chaque année, leur nombre augmente. 

En 1962, nous stimulions le système immunitaire avec 5 doses de vaccins. Aujourd’hui en 2017, le système immunitaire est stimulé 72 fois.- Devons-nous, dès lors, nous étonner d’avoir tant de troubles auto-immuns quand le corps attaque ses propres cellules ?

Une étude s’est penchée sur la comparaison entre des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

L’image montre clairement combien les personnes vaccinées sont susceptibles de faire davantage de maladies.

A titre d’exemple, nous voyons que dans le domaine des allergies et notamment dans les rhinites allergiques, les personnes vaccinées ont 30,1 fois plus de risques de faire une rhinite allergique que les non vaccinés.

Quand j’ai expliqué ces choses au pédiatre, il a immédiatement cessé d’avoir une attitude hostile et négative. Il s’est immédiatement placé en « mode de défense ». Il n’a plus osé m’attaquer en me disant que j’allais tuer mes enfants etc. Il n’était plus à l’aise du tout !

Dr Bob Sears, M.D., pédiatre explique :

Vous pourriez penser que la FDA a étudié tous ces ingrédients, ainsi que leur action sur les enfants afin de s’assurer que chacun d’entre eux était sans danger. Et bien… cette étude n’a jamais été effectuée !

 

 

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14 juin 2018 4 14 /06 /juin /2018 09:16

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Dr Jacob PULIYEL, 26 mai 2018

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Le prestigieux journal Nature Medicine, rapportait dans son numéro de février, que le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) devait faire l’essai clinique d’un vaccin antitétanique (TT) associé à une hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG). Ce vaccin devait être étudié sur 120 femmes indiennes.

Ce « vaccin » contre la grossesse a été développé par le Dr G.P. Talwar en 1972. L’idée était de faire produire des anticorps contre l’hormone de grossesse, pour que les femmes ne puissent pas être en mesure de mener à terme une grossesse normale. Les femmes enceintes devaient avorter, et celles qui ne l’étaient pas devaient devenir stériles. Le rapport est en effet troublant. Quelques mois plus tôt, un article intitulé « HCG trouvé dans le vaccin de l’OMS au Kenya contre le tétanos a suscité des inquiétudes dans les pays en voie de développement » Cet article a été publié par Oller et collègues dans l’ « Open Access Library Journal ».

Le rapport Oller décrit des jeunes femmes au Kenya qui ont été vaccinées avec ce vaccin Talwar » sous prétexte de prévenir le tétanos maternel et néonatal. Un grand nombre d’échantillons du vaccin contre le tétanos qui ont été testés positifs à l’hCG provenaient du Sérum Institute of India.

Le programme de vaccination qui a été promu par l’OMS et le gouvernement du Kenya a été financé par la Fondation Gates. Les futures mères ont été encouragées à prendre le vaccin pour prévenir le tétanos chez leur bébé à naître, sans qu’on leur dise que le vaccin empêcherait le bébé à naître. Le rapport Oller souligne certains aspects intéressants de la campagne. Les vaccins utilisés au cours de cette campagne n’ont pas été stockés localement, mais ont été distribués directement à partir de Nairobi. Ces vaccins ont, en outre, été gardés par la police. Chaque flacon de vaccin utilisé a été retourné à Nairobi sous escorte militaire et à des frais considérables. – Il a été conseillé que le vaccin soit administré cinq fois à six mois d’intervalle. Cette façon de faire diffère complètement du calendrier de l’anatoxine tétanique partout dans le monde. Il s’agit en fait du calendrier recommandé pour le « vaccin Talwar ».

Les publications de l’OMS décrivent apparemment un objectif à long terme de réduction de la croissance démographique dans les « pays moins développés » instables et travaillent sur un vaccin anti-fertilité plus puissant, en utilisant de l’ADN recombinant.

Dans le contexte de ces rapports sur l’utilisation non éthique de « vaccin Talwar » au Kenya, fabriqué par le « Serum Institute of India », les nouvelles de l’étude de l’ICMR sont alarmantes. On prétend que l’effet du vaccin n’est pas permanent, mais il n’existe aucune preuve claire que les femmes seront capables de concevoir à volonté, après avoir été immunisées avec ce vaccin.

La crédibilité de l’OMS et de la Fondation Gates a été irrémédiablement entachée par cette stérilisation non éthique des femmes du Kenya. Il est important que l’ICMR, qui a déjà été critiqué par le 72ème Comité parlementaire permanent sur la santé et le bien-être familial pour sa participation à l’essai HPV, reconsidère sérieusement la nécessité de ce nouvel essai clinique. Le Parlement et le public doivent chercher à savoir qui ou quoi a incité l’ICMR à étudier ce vaccin développé et abandonné en Inde, il y a 45 ans.

Jacob Puliyel est pédiatre. Les opinions exprimées sont les siennes.

 

 

 

 

Source : Sunday Guardianlive

 

Voir aussi: 

Eugénisme et vaccination: qu'en penser?

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Mary Holland, prof de droit à l'université de New York interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

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7 juin 2018 4 07 /06 /juin /2018 10:00

« Le vaccin contre l’hépatite B et l’injection de vitamine K ont tué mon bébé qui avait à peine 4 jours ! » Leah Feuerberg

Par Melissa Curtin, 19 mai 2018 (Extraits)

"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.

Jamais aucun parent ne devrait avoir à se pencher sur la tombe de leur bébé ! Aucun parent ne devrait, pour aucune raison, vivre la terrible déchirure de la perte d’un de leur tout petits, et tout spécialement à cause de vaccins, et surtout quand leur maman était initialement une infirmière pro-vaccins ! La maman, Leah Feuerberg, vient tout juste de se réveiller à la terrible réalité que le vaccin contre l’hépatite B et l’injection de vitamine K ont pu tuer leur petite Emily qui avait à peine 4 jours !

Cette tragédie rappelle à Leah, la maman, les problèmes de santé qu’elle avait été amenée à vivre à la suite des vaccins qu’elle fut obligée d’accepter  pour pouvoir rentrer à l’école d’infirmière quand elle avait 18 ans. Ses problèmes de santé se sont à ce point aggravés qu’elle s’est retrouvée alitée et a dû abandonner son travail pendant 3 ans.

Leah Feuerberg :

« Administrez de la vitamine K à votre bébé, sinon il risque de faire des hémorragies cérébrales. »

«  Il est prouvé que les vaccins sont sûrs et efficaces. Pourquoi hésiteriez-vous à faire administrer le vaccin contre l’hépatite B à vos bébés pour les protéger contre les maladies sexuellement transmissibles ? »

Voilà quelques-uns des mensonges que ne cesse de nous répéter le personnel médical et notre gouvernement en qui nous avions placé toute notre confiance ! A partir du moment où vous commencez à vous interroger sur ces mensonges sans cesse répétés, vous devenez le cinglé ou la personne archi mal informée. Quand, malgré tout, vous rapportez des faits et des expériences, les instances de santé n’hésitent pas à vous dire, que cela ne correspond pas à la réalité parce que « les vaccins sauvent des vies ». Rappelez-vous de la polio, etc…

Je souhaiterais aujourd’hui m’être posée un peu plus de questions. J’aurais voulu être moins naïve en attribuant de l’importance à des choses que je ne connaissais vraiment pas. Comme j’étais infirmière, je n’aurais jamais pu croire que la médecine pouvait faire des dégâts. Il est assez ironique de réaliser que peu d’information parvient aux professionnels de la santé sur la vaccination, alors que celle-ci fait intégralement partie de la médecine.

Il m’a fallu payer le prix fort pour pouvoir comprendre à quel point les vaccins pouvaient être dangereux et dévastateurs.

Les vaccins n’ont pas sauvé des vies ; ils ont ruiné et volé des vies. Ils ont pris la vie d’Emily alors qu’elle avait à peine quatre jours et qu’elle avait toujours été en parfaite santé.

Le 26 septembre, Emily était très difficile. J’ai éprouvé d’énormes difficultés à la nourrir tant elle pleurait et criait. Finalement, elle s’est endormie et l’ai couchée dans son berceau. J’en ai profité pour m’occuper quelque peu du ménage. Deux heures plus tard j’ai voulu la réveiller, bien que l’on m’avait dit qu’il ne fallait jamais réveiller un bébé qui dort. J’ai encore attendu une heure parce que j’estimais qu’étant si petite, elle devait boire. J’ai touché son visage ; il était froid. J’ai aussi remarqué que son côté gauche était devenu violet.  J’ai alors réalisé que son petit corps était froid et qu’elle était « partie ». J’ai, malgré tout, voulu tout faire pour la sauver. Après avoir appelé le 911, j’ai effectué la réanimation cardio-respiratoire (CPR). Ensuite, ce sont les médecins qui ont pris la relève. Ils l’ont conduite aux soins  intensifs. Les médecins finirent par nous dire qu'Emily était décédée, qu’ils n’avaient pas réussi à la réanimer.

Après avoir attendu 4 mois pour obtenir les résultats de l’autopsie, nous avons découvert que le rapport avait établi que la cause du décès était la mort subite et inexpliquée du nourrisson (MSIN). Les médecins légistes n’ont pas pris en compte  les contaminants qu’elle avait dans le sang, son foie, sa rate qui étaient devenus volumineux, le B5 Coxsackie qu’elle avait dans les poumons, ni non plus l’œdème pulmonaire. Ils se sont juste efforcés de prouver que ce n’était pas moi qui avais provoqué son décès.

Rapport d’autopsie  (partiel) et risques de l’injection de vitamine K

"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.
"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.
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4 juin 2018 1 04 /06 /juin /2018 18:54

La vaccination contre l’hépatite B néonatale a entravé le comportement et la neurogenèse des souris de manière transitoire au début de l’âge adulte 

Les médias occidentaux sont restés muets !

 

Par J.B. Handley, 10 mai 2018

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

« Ce travail révèle, pour la première fois, que la vaccination précoce contre l’hépatite B induit des altérations du comportement et de la neurogenèse hippocampique, apportant des données innovantes confirmant l’action potentielle du vaccin contre l’hépatite B avec certains troubles neuropsychiatriques tels que l’autisme et la sclérose en plaques. »

GUANDONG, Chine – Université  de Sun Yat-Sen (une des 10 meilleures universités de Chine) – le Dr Zhibin Yao n’est pas un nom connu dans la communauté américaine de l’autisme. Il devrait cependant peut-être l’être. Il est, non seulement diplômé de l’Université de Pittsburgh, Etats-Unis, mais il est aussi l’auteur de 33 études évaluées par des pairs et l’auteur principal de deux des études biologiques les plus importantes jamais réalisées sur l’autisme.

 

Dr Zhibin Yao

 

En 2015, le Dr Yao fut l’auteur principal de l’étude : « La vaccination néonatale avec le bacille de Calmette-Guérin et les vaccins contre l’hépatite B modulent la plasticité synaptique de l’hippocampe chez le rat ».

 

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

« Vaccine Papers », un site web consacré à une analyse rigoureuse et scientifique des risques et des avantages des vaccins, explique le document de cette façon :

« C’est la première étude qui a pu tester les effets de l’activation immunitaire par la vaccination sur le développement du cerveau. Toutes les autres études sur l’activation immunitaire ont utilisé des conditions essentiellement pathologiques qui imitent l’infection et provoquent une forte fièvre. Une critique que j’ai souvent entendue des promoteurs de la vaccination est que les expériences d’activation immunitaire ne sont pas pertinentes pour les vaccins, car les vaccins provoquent une activation immunitaire plus douce que les injections de poly-IC ou de lipo-polysaccharide (deux types d’activateurs du système immunitaire) Cette étude démontre que les vaccins peuvent affecter le développement du cerveau via l’activation immunitaire. Par conséquent, les expériences d’activation immunitaire sont pertinentes pour les vaccins… Le vaccin contre l’hépatite B a augmenté l’IL-6 dans l’hippocampe (la seule région du cerveau analysée pour les cytokines).

Malgré son importance, expliquer l’article de 2015 du Dr Yao à la personne moyenne n’était pas facile, en partie parce que cette étude couvrait un certain nombre d’autres sujets, ce qui signifiait qu’il fallait isoler les données qui impliquaient le vaccin contre l’hépatite B et ensuite l’expliquer. Avec son prochain article, cependant, le Dr Yao et son équipe ont tout expliqué beaucoup plus facilement, et laissé très peu de place à l’interprétation.

Information tellement plus importante encore que celle de Wakefield, et… aucune couverture médiatique !

En 1998, le Dr Andrew Wakefield a fini par être « crucifié » pour un article qui ne faisait que reprendre ce que certains parents avaient rapporté, à savoir que leurs enfants avaient régressé vers l’autisme après avoir reçu le vaccin ROR.

D’un autre côté, le deuxième article du Dr Yao a mené une étude approfondie de l’impact du vaccin contre l’hépatite B sur le cerveau des souris, par comparaison à un groupe témoin de souris ayant reçu un placebo salin. Il s’agit d’une étude sur animaux « de référence » qui se ferait habituellement AVANT qu’un médicament ne soit introduit dans la population humaine.

Dans un monde où les vaccins auraient été traités comme les autres médicaments, l’étude du Dr Yao aurait fait l’effet d’un énorme drapeau rouge au sujet de la neurotoxicité du vaccin contre l’hépatite B. Bien sûr, la chose ne s’est pas produite, et c’est probablement la première fois que vous entendez parler de cette étude : la vaccination contre l’hépatite B néonatale a entravé le comportement et la neurogenèse des souris de manière transitoire au début de l’âge adulte.

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

Comme vous pouvez le voir, cette étude a été publiée fin 2016. Je l’ai lue pour la première fois, il y a deux semaines. Je ne pouvais presque pas croire ce que je lisais.

Le Dr Yao et ses collègues commencent par une déclaration qui devrait faire frémir tous les parents américains. :

« Le vaccin contre l’hépatite B est administré à plus de 70% des nouveau-nés dans le monde. Personne ne sait si cette vaccination néonatale affecte le développement du cerveau. »

Etant donné que l’on ne sait pas si oui ou non  le vaccin contre l’hépatite B affecte le développement du cerveau, le Dr Yao et ses collègues se sont efforcés de répondre à la question. Leurs réponses sont dérangeantes à plusieurs niveaux. J’essaie de résumer :

1) Le vaccin contre l’hépatite B a eu un impact négatif sur le comportement des souris.

Plus précisément, les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont montré une « diminution significative de la locomotion » et une « augmentation de l’anxiété ».

2) Les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont connu un pic de cytokine IL-6. Les auteurs ont noté que les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont présenté une «  IL-6 significativement augmentée » que nous savons être un biomarqueur de l’autisme.

3) Il a fallu du temps pour que l’impact neurologique du vaccin se manifeste. Cette observation a troublé les auteurs de l’étude. Ils ont discuté de cette « latence », à savoir le temps qui s’est écoulé entre la vaccination et l’apparition des troubles neurologiques. (Il est à noter que les essais de vaccins contre l’hépatite B chez les nourrissons suivaient généralement les nourrissons pendant une semaine ou moins pour surveiller les effets indésirables.)

« … la différence trouvée dans la présente étude se situe entre les souris immunisées et les souris témoins, plutôt qu’entre les souris de 8 semaines et les souris d’un autre âge. Par conséquent, cette différence reflète les effets de la vaccination néonatale. Le mécanisme sous-jacent à la latence et au phénomène transitoire est très complexe et nécessite d’autres études pour bien comprendre, car une telle latence implique de nombreux aspects des réponses immunitaires dans la périphérie et le SNC, ainsi que la plasticité neuronale. »

4) Ils ont conclu en déclarant que, dans un monde sain d’esprit, l’administration immédiate (le premier jour après la naissance aux USA) du vaccin contre l’hépatite B aux bébés devrait être immédiatement interrompue.

Que puis-je dire après tout cela ? Lisez ce qu’eux-mêmes ont écrit :

« Ce travail révèle pour la première fois que la vaccination précoce contre l’hépatite B induit des altérations du comportement et de la neurogenèse de l’hippocampe. Ce travail fournit des données innovantes soutenant l’association potentielle longtemps suspectée de certains désordres neuropsychiatriques tels que l’autisme et la sclérose en plaques. »

Conclusion

Tout est là noir sur blanc. Un nombre considérable, fascinant et croissant de travaux de recherche liant les vaccinations à l’autisme grâce à la science biologique. Le document de Yao nécessite peu d’interprétation. Il est là caché bien qu’au nez et à la barbe de tous. (C’est en fait la toute première fois qu’en Amérique, quelqu’un prend la plume pour commenter ce document) Récemment un groupe de scientifiques a publié un éditorial soulignant l’importance des études animales pour comprendre la neurotoxicité de l’adjuvant aluminium utilisé dans les vaccins. Ils ont noté que « l’administration de vaccins multiples, ainsi que leurs effets neurologiques/ immunologiques indésirables sont difficiles à établir ». L’épidémiologie qui étudie un grand nombre de personnes, ainsi que leurs résultats en matière de santé à l’aide d’un tableur, présente de nombreuses possibilités d’abus, de manipulations et de lacunes. C’est pourquoi la science biologique est si importante et c’est aussi la raison pour laquelle cette nouvelle étude de Yao et collègues porte un coup dévastateur à toute personne qui prétend qu’un vaccin ne pourrait pas causer des lésions cérébrales et l’autisme, comme le Dr Yao et collègues l’ont montré :

« Cette étude a utilisé le même vaccin et un calendrier similaire à ceux qui sont utilisés pour la vaccination des nourrissons humains en Chine. Par conséquent, ces résultats suggèrent qu’il pourrait y avoir des effets similaires de la vaccination néonatale contre l’hépatite B sur le développement du cerveau et le comportement des humains.»

Source : J.B. Handleyblog

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29 mai 2018 2 29 /05 /mai /2018 17:07

Un enfant décède quelques heures après avoir été vacciné,

toute une famille en pleurs

Sibdas Kundu, TheTelegraph, India, 25 mai 2018

Une maman dévastée tient son bébé mort dans les bras

Une maman dévastée tient son bébé mort dans les bras

Balasore : Le père de la petite Nilgiri, âgée de 18 mois, a déposé plainte auprès de la police alléguant que sa petite fille est morte quelques heures après avoir reçu, mercredi, une série de vaccins dans le centre hospitalier de Mardarajpur.

La petite fille aurait reçu une injection de rappel de DTC (diphtérie, tétanos coqueluche), un vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE2), ainsi qu’une dose de rappel de la polio.

Le plaignant, Parameswar Mahapatra, a allégué que sa petite fille est tombée malade à son retour du Centre de santé. Cette petite fille a été déclarée morte après  qu’elle ait  été transportée à l’hôpital général du quartier.

Soupçonnant une négligence de la part du personnel de santé, Mahapatra a déclaré : «  Je soupçonne que ma fille a reçu de mauvais vaccins. Il faudrait que des mesures strictes soient prises à l’encontre du personnel de santé. »

Environ 51 enfants ont reçu mercredi les doses du DTC, du JE2 et de la polio. Parmi eux, trois enfants seraient tombés malades. Ils ont été admis à l’hôpital de Nilgiri.

Réfutant ces allégations, le médecin en chef du district, Meenakshi Roy, a déclaré qu’il n’y avait rien d’anormal dans le processus de vaccination.

« L’autopsie de l’enfant a été menée hier soir. Les parents attendent le rapport. La petite fille est morte dans sa maison environ deux heures après avoir été vaccinée » a déclaré Roy. « Elle est devenue bleue quand l’enfant a été emmenée à l’hôpital général du quartier. Il semble que quelque chose soit resté coincé dans son œsophage pendant qu’elle mangeait. Roy déclare aussi qu’après la vaccination, certains enfants peuvent faire de la fièvre et avoir des vertiges.

La police de Nilgiri a déclaré qu’une affaire relevant de l’article 304(a) du Code pénal indien avait été enregistrée sur base de la plainte déposée par le père de l’enfant. Nous sommes en train d’examiner cette plainte, a déclaré le policier.

Source: Telegraph India

Voir aussi:

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